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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 3 janvier 2019

Mon boss prépare « son » Davos.

Et naturellement, c’est nous qui bossons le sujet…
 
Cette année, ces cinq thèmes domineront les « conversations »…
1. Les changements géopolitiques, le Brexit, la montée en puissance de la Chine, l’évolution de la politique commerciale et des relations internationales, et la dégradation croissante des paysages politiques nationaux dans le monde.
Mais aussi…
2. La quatrième révolution industrielle, un concept introduit par le Forum de 2016, autour des nouvelles technologies générant des changements en profondeur dans tous les secteurs, à une vitesse et à une échelle plus rapides que jamais dans l’histoire.
La réunion de cette année continuera à explorer les moyens de libérer les potentiels dans des domaines tels que la santé, les infrastructures, l’énergie, etc.  et ce qui reste à faire pour exploiter ses potentiels en ce qui concerne la manière dont les technologies émergentes, telles que l’intelligence artificielle, la génétique les blockchains, qui remodèlent presque toutes les industries.
Sujets importants, puisque c’est la place de « l’homo-sapiens » qui se doit de se redéfinir peu ou prou…
3. La résilience aux risques : Cyber-sécurité, face aux catastrophes nationales, aux inégalités croissantes et aux épidémies de santé persistantes, le renforcement de la résilience aux risques constituera un thème de connexion transversal.
4. Le capital humain et avenir du travail : Si l’IA sur le lieu de travail gagne du terrain, l’espérance de vie continue de croître et la technologie crée simultanément de la connectivité et de la distance entre collègues.
Ou comment redéfinir le lieu de travail pour créer un environnement durable et prospère ?
Quid de la place de la main-d’œuvre pour les générations futures ?
Enfin,
5. Les changements climatiques : Avec une nouvelle année de dialogue intensif alors que de récents rapports des Nations Unies et du gouvernement des États-Unis qui brossent un tableau sombre de son impact potentiel, le secteur privé sera-t-il appelé à jouer un rôle encore plus important sous la pression de consommateurs de plus en plus motivés ?
Je ne crois pas, mais ça n’engage que moi…
 
L’année dernière, j’avais fait l’effort de remplacer « mon boss-à-môa » pour représenter « sa boutique » accompagné de sa fille (la successeuse à chaperonner), parce que lui était retenu sous les tropiques avec « sa moitié su moment ». On s’y gèle les miches et le bout des doigts, mais on rencontre du « beau-monde » : Tous les hiérarques y font un détour ou s’y font représenter.
Quand je dis « hiérarque », il y a bien entendu quelques chefs d’État (ou assimilés), mais surtout une densité incroyable d’oligarques de toutes nationalités.
Enfin… surtout américains, européens, asiatiques et même d’Europe orientale (russes notamment) dont quelques « apatrides » transnationaux.
En réalité, si on est bien reçu, en revanche, pour y faire du business, c’est nul. C’est juste bon pour faire sa pub et se montrer…
Et la « boutique » de mon boss accrochée sur son Rocher, elle n’a aucun « oligarque » dans son portefeuille. Même pas pour les « bouts » dont personne ne veut.
Un « oligarque », c’est un milliardaire qui s’est outrageusement enrichi avec son « organisation à fournir du cash ».
C’est le point-clé.
 
Dans le temps, les « notables » d’un territoire, c’étaient le député-sénateur-maire, le notaire, le curé, le toubib.
Et déjà les « industriels » qui fournissaient du boulot à ces territoires et modelaient ceux-ci à leur image au moins depuis les « maîtres des forges » et des Godin…
Ils prenaient le pas sur les élus du peuple.
Ça existe toujours comme à « Pouzauges-les-bains-de-pieds » et encore ailleurs, mais beaucoup ont perdu leur gloire (les lainières, les salins du midi, les minières, les aciéries en jachère de l’Est, etc.).
Et ils ont passé la main aux « épiciers » : Auchan, Carrefour, Leclerc, Intermarché (et plein d’autres). Les hypers et centres commerciaux, ce sont des « usine à cash » : Paiement comptant reçu du consommateur, paiement à 90 jours des fournisseurs et entre deux, paiement mensuel des salariés…
Et quand on a 70 caisses qui tournent désormais 7 jours sur 7, ça en génère, du cash !
Le nerf de la guerre…
 
Le « pouvoir » a été en « même temps » capturé par les « grands-corps » au moins en « Gauloisie-démocratique » qui se distribuent les « postes » à pompe-à-fric dans le privé et le « pouvoir de décider » (arbitrer, réformer, préférer, soutenir, éliminer) dans les administrations où les carrières sont balisées du début à la fin.
L’exemple typique, c’est « J2M » (Jean-Marie Messier-maître-du-monde) qui a pu passer de l’un à l’autre tellement la porosité est élevée.
Les contre-exemples restent dans la « promotion Titanic ». J’en avais fait un inventaire sur l’ancien blog, mais je ne le retrouve plus…
Et entre-temps, l’économie mondiale a vu la naissance des premières « multinationales » après-guerre dans l’industrie et le bâtiment, relayées par des « usines-à-cash » directement mondialisées comme le sont devenues les « GAFAM », devenues également « too big to fail », sous le regard amusé des banques « transnationales » (et quelques fonds-pervers de pension ou autre, tellement il y en a à se partager que personne ne peut tout faire…)
Alors, mon « boss-à-moi », ce n’est même plus un nain, c’est un microbe-lilliputien dans ce monde-là…
Passons.
 
Ceci dit, demain, on se réunit pour la première fois de l’année en séance hebdomadaire pour « faire le point » et rendre nos pensums. Le mien est hors sujet (que je vais encore me faire remonter les bretelles…)
En ce qui me concerne, rétrospectivement, le tournant c’est 2016 qui n’a fait que s’amplifier : Si l’on considère l’élection de « Trompe », le tournant « populiste-étatsunien », et le Brexit, le tournant européen contre la social-démocratie, la montée des partis populistes un peu partout et la propagation de la révolte des « gilets jaunes », où les « faiseurs d’opinion » n’y voient partout que le fascisme surgir de sa tombe faisant perdre les progrès réalisés au cours des décennies précédentes, c’est du « tout faux ».
Cette analyse est erronée parce que comparer la vie politique contemporaine aux événements des années 1930 est un « faux-nez » dogmatique, une preuve de plus de la trisomie, de l’autisme de nos élites, puisque ce sont elles qui sont visées, directement et jusque dans leur chair…
Si notre époque doit se refléter dans son passé, c’est dans celui des années 1840.
En particulier 1848, il y a 170 ans.
C’est en effet l’année où les peuples de toute l’Europe se sont révoltés pour un changement politique radical, commençant au royaume de « Gauloisie-restaurée » et s’étendant à la Suède, au Danemark, aux États de « Teutonnie », aux États « Ritaliens », à l’Empire des Habsbourg et ailleurs encore.
Il s’agissait de révolutions démocratiques, exigeant l’établissement ou l’amélioration de la démocratie parlementaire, la liberté de la presse, la suppression des anciennes structures monarchiques et leur remplacement par des États-nations ou des républiques indépendants.
 
Bien sûr, 2018 n’a pas été aussi tumultueuse que 1848. Il y a eu des protestations par les urnes et des révoltes dans les rues, mais aucune tentative de réelles révolutions. Il y a maintenant des millions de personnes à travers l’Europe qui veulent rétablir les idéaux de la nation, de la souveraineté nationale et de la démocratie populaire, contre ce que nous pourrions considérer comme les structures « néo-monarchiques » de la technostructure du XXIème siècle.
Nous avons en « Gauloisie-impétueuse » un dirigeant de plus en plus monarchique – la présidence jupitérienne distante et autoproclamée de « Jupiter » soi-même – qui est défié semaine après semaine par des gens qui veulent avoir leur mot à dire et une plus grande indépendance nationale.
La Révolution de février 1848 – qui mit fin à la monarchie constitutionnelle établie en 1830 et conduisit à la création de la Deuxième République – fut l’un des principaux déclencheurs du printemps populaire qui se répandit dans toute l’Europe en 1848.
Et rappelez-vous qu’elle s’est terminée avec le coup d’État du 2 décembre 1851 et l’avènement d’un second empire, au profit de l’ex-plus-jeune Président élu par le peuple !
Le parallèle avec « Jupiter » reste assez facile…
 
Aujourd’hui, de même, la révolte des « gilets jaunes » ne cesse de se répandre. Ces dernières semaines, des manifestants belges ont tenté de prendre d’assaut la Commission européenne – un événement sans précédent, qui a été étonnamment peu médiatisé – alors que les Pays-Bas ont appelé à un référendum sur l’adhésion à l’UE et que l’Italie s’est rassemblée pour exprimer son soutien à son gouvernement d’eurosceptiques de tous bords.
Cette élection en Italie a été un événement clé de 2018. Elle a porté au pouvoir, en mars, la Ligue et le Mouvement des cinq étoiles, des partis détestés par l’establishment de l’UE, les « sachants ».
Podemos avaient ouvert le bal, les « nuits-debout » avaient repris le flambeau. La « Ritalie » a réfuté les « Eurocrates » après les Grecs, les « insurgés-gauloisiens » l’ont confirmé, et les élections locales et nationales partout, de l’Allemagne à la Suède en passant par la Pologne et la Hongrie, ont ajouté du poids au fait que la révolte « populiste » n’allait pas disparaitre de sitôt.
Ce sont des faits marquant pour entrer en 2019.
 
Il faut vous dire que quand on est au cœur de quelque chose, quand on lit les articles quotidiens sur la guerre des z’élites contre le Brexit, quand on voit sur Twister des photos de Paris brûler et regarder l’UE déclarer la guerre politique au gouvernement ritalien élu, il peut être difficile de comprendre la nature historique de ce qui se passe, voire simplement l’ampleur de la situation.
Nous nous faisons tous enliser par les tenants et aboutissants des « négociations » sur le Brexit (alors qu’en réalité, il n’y a pas eu de véritables négociations, mais seulement des désaccords entre les établissements britanniques et européens sur la manière dont le Brexit pourrait être tué le plus discrètement possible).
Tous les jours les sondages montrent l’effondrement du soutien du public aux anciens partis traditionnels, en particulier les partis sociaux-démocrates.
Et nous exprimons même notre surprise face à l’érosion de la politique du consensus, même en Suède, traditionnellement la plus consensuelle des pays.
Dans toute l’Europe, nous avons des gens qui remettent en question l’ordre politique, moral et culturel en vigueur !
 
Il ne s’agit pas de simples révoltes économiques, même en « Gauloisie-des-gilets-jaunes » où les questions économiques ont certainement joué un rôle mais débouchent sur des revendications qui ne sont pas de même nature.
Les observateurs de gôche, lorsqu’ils peuvent se dresser contre la révolte, tentent de réduire le soulèvement populiste à un appel au secours des « laissés-pour-compte » ou des « économiquement vulnérables » (les « sans-dents » qu’ils vénéraient pour en fabriquer tous les jours). Le vote en faveur du Brexit était probablement dû au sentiment d’insécurité économique des gens, affirment-ils.
Une telle analyse démotive la révolte populiste, elle la vide de son caractère véritablement radical, de son défi conscient face non seulement au néolibéralisme qui est au cœur du projet européen, mais bien plus important encore, aux normes culturelles et aux pratiques politiques des nouvelles z’élites-autistes de l’Europe du XXIème siècle.
Dire que ces gens sont pôvres et que c’est pour cela qu’ils sont en colère, c’est les priver de leur attitude radicale.
C’est s’enfoncer dans l’autisme des trisomiques-diplômés.
Comme pour se rassurer.
 
2018, c’était l’année où les « soixante-huitards » qui avaient 20 ans en ont eu 70.
Ils sont « HS » et moribonds après s’être copieusement goinfrés d’un surendettement monstrueux.
Et comme en 1848, ce n’est pas les « privations immédiates » qui les a poussées à s’organiser et à agir. Leur « instinct de révolte » s’est plutôt construit sur « des bases intellectuelles solides » et a exprimé un « déni de la légitimité de l’ordre social et politique » de l’époque.
Nous avons quelque chose de semblable aujourd’hui. Oui, la taxe sur l’essence de « Jupiter » a atteint le portefeuille des gens. Oui, de nombreux électeurs du Brexit sont moins aisés que les élites qui restent. Oui, des jeunes italiens eurosceptiques luttent pour trouver du travail. Oui le fameux « 80 Km/h » de « Fil-Ippe » ne sera pas passé (une décision purement « parigote » et technocratique dont personne n’aura vu le caractère « déconnecté » des quotidiens des « sans-dents-qui-puent-la-clope-et-le-diesel »).
Mais leurs révoltes, que ce soit dans les urnes ou dans la rue, ne sont pas seulement motivées par des « privations immédiates » – elles sont construites sur la négation de la légitimité de l’ordre politique et culturel existant qui décide des inepties !
Et c’est probablement le plus important…
 
Les votants sur le Brexit l’ont bien compris : Un vote de masse au mépris des classes politique et experte qui insistaient sur le fait que l’euro-technocratie était le seul moyen réaliste d’organiser un continent aussi vaste et complexe que l’Europe. Ils ont dit non à cela.
Ils ont remis en question la légitimité de cette orthodoxie politique.
Quand les américains ont rejeté les « candidats-naturels » de l’establishment présentés à leurs suffrages, ils ont lancé le même message (et ne sont pas déçus comme l’a montré les élections du « mid-term »)
 
En fait, nous assistons probablement à l’émergence d’un nouveau mouvement « contre culturel », alors même que la culture contrecarrée par les « gilets jaunes » reste la culture des nouvelles élites, de la génération post-1968 elle-même en fait, celle qui a 40 ans aujourd’hui et est « aux affaires ». La nouvelle religion du multiculturalisme idéologique, de la gouvernance technocratique, de l’élitisme anti-nation-État, des diktats environnementaux, voilà ce à quoi les révoltés « Gauloisiens » s’opposent, de manière tout à fait consciente. Il n’y a qu’à revoir le déroulé de « l’acte VIII » : Cette fois-ci, j’y étais et j’ai vu quelques compagnies de CRS courser quelques « fauteurs de trouble » place de la Concorde et sur les Champs-Élysées, sans être gêné plus que de devoir faire un détour pour rejoindre la rue Royale…
Ce que nous savions déjà, c’est qu’ils ont fait la tournée des sièges de la presse-libre dans la matinée !
Ce n’est évidemment pas un hasard.
 
Un « oligarque » se sert du pouvoir politique qui le sert en prébendes et « rentes-de-situation » économiques. Il achète des médias (90 % de la presse et des médias radio-télévisuels seraient aux mains de 9 milliardaires-oligarques…) et distille la doxa, la « pensée-unique » qui consolide le pouvoir politique, qui lui-même consolide le pouvoir économique et financier des oligarques…
Qui vivent et font vivre leurs empires sur le dos de chacun.
Vous vous rendez compte, on en est à cette exigence que les « grands-patrons » (issus tous des « grands-corps » d’État) de payer leurs impôts en « Gauloisie-fiscale ».
Mais quels impôts, SVP, s’ils sont déjà dans l’obligation légale de les acquitter ?
C’est bien les « oligarques » qui sont en ligne de mire des « gilets jaunes »…
 
Les gens ont désormais soif et faim de changement ne supportant plus qu’on leur ait volé leurs suffrages, car l’alternative qu’on leur promet depuis 40 ans n’existe pas.
La question est de savoir qui, le cas échéant, façonnera et dirigera ce « mouvement ».
La gôche ne peut pas, car soit elle a lié son sort à l’élitisme de la technocratie en déclin qui voit le populiste comme une nouvelle forme de fascisme, soit elle essaie de réduire le populisme à un cri économique, ce qui a le terrible effet de minimiser et même de tuer sa nature culturelle beaucoup plus historique et révoltante qu’il n’y paraît : Deux générations sont passées depuis sa refondation dans la récupération de mai 68.
Et « Mes-Luches » et ses « insoumis » ont raté le coche… n’ayant pas su anticiper !
La « droâte-républicaine » pas plus, laminée, vidée de ses talents et compétences d’autant qu’elle a perdu, avec « Bling-bling », le sens de l’intérêt général sa seule « vraie-valeur » républicaine, en se perdant devant « les affaires » qui iront l’agonir dans les prétoires.
En 2019, des voix nouvelles devront donc émerger.
Et le Davos de cette année passera probablement à côté.
 
2019, c’est aussi une année d’élection à l’échelle européenne. Ces « voix » seront issues des « mouvements-populistes », à n’en pas douter qui va bouleverser le paysage politique.
Mais pas celles que nous connaissons déjà : Le Parlement européen n’a aucun pouvoir (ou presqu’aucun). Ce n’est pas la scène principale, majeure.
(D’ailleurs, aucun leader ne veut y aller…)
En revanche, c’est un test « grandeur-nature » qui va en faire chanceler quelques-uns.
 
Et je vois déjà « mon boss » s’énerver : « Et alors ? On fait quoi ? »
Normalement, je devrais lui répondre de « replier les gaules » et de « fermer les écoutilles », mettre « à la cape », comme à chaque coup de torchon qui s’annonce à l’horizon pour préserver le navire, la cargaison et l’équipage.
Je vais lui répondre : « On fait comme on a toujours fait jusque-là : On tient le cap de nos convictions et valeurs ! »
Rester « fiable », c’est l’essentiel.
Je sens qu’il va fumer du neurone tout le week-end et probablement une bonne partie de la semaine suivante…
Ça m’amuse déjà, figurez-vous !

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