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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 25 janvier 2019

Les délires de Germaine

L’épouse de Jean-Marc n’en manque pas une.
 
Déjà avec cette « revenue », mais dans une version inversée de l’originale :
« – Hic, mon chéri. Tu sais que l’alcool te rend très beau !
– Mais je n’ai pas bu.
– Non, non, non… Ce n’est pas ce que je veux dire… C’est juste que… quand je suis saoûle, j’oublie que tu es laid comme le diable. Et que tu pues. »
 
« Ne dites pas : « Et tu sais, tu es le premier. » Car il feindrait assurément de le croire, mais ce serait courtoisie pure.
Mais dites : « Avant de te connaître, je ne savais pas ce que c’était. »
Car cela, les hommes le croient toujours. »
 
« Une femme peut fort bien porter une robe de bal sans savoir danser, une robe de cocktail sans avoir soif, un maillot de bain sans savoir nager.
Et se mettre toute nue sans savoir faire l’amour.
Mais si elle met une robe de mariée, elle sait tout de suite s’en servir. »
 
Et puis quelques autres :
 
Lors d’une revue du 14 juillet, le Général de Gaulle, alors président de la République, passe en revue les anciens combattants de la guerre 14-18.
Il s’arrête devant l’un d’eux, fort avancé en âge et lui dit :
« Mais c’est Émile Dunoyer ! Comment vas-tu, mon cher camarade de tranchées ? »
Le poilu, très étonné, ne le reconnait pas et secoue négativement la tête.
« Mais oui, Émile, le Chemin des Dames !
– ????????
– Le 2ème bataillon.
– ????????
– La 5ème Compagnie.
– ????????
– Le lieutenant.
– Nom de Dieu ! Le lieutenant De Gaulle…
Et qu’est-ce que tu deviens de Gaulle ? »
 
C’est une fois un petit gars qui joue au hockey.
Il est assis sur le banc, enlève son casque et le lèche.
Il retourne sur la patinoire et met un but.
Il retourne sur le banc, lèche à nouveau son casque, retourne sur le terrain et met un autre but.
Il refait cela, une troisième fois.
Son entraîneur qui avait remarqué son manège lui demanda pourquoi il lèche son casque.
Alors le petit gars lui répond :
« Hier soir j’ai entendu mon père dire à ma mère : Lèche-moi le casque ! Ça va rentrer ! »
 
Pour ceux et celles que ça intéresse, Jean-Marc nous fait savoir qu’il y a maintenant une toute nouvelle position pour faire l’amour.
« Il s’agit de LA CORDE À LINGE.
C’est très simple, la femme s’étend sur le lit, l’homme est étendu juste à côté, puis…
Il sèche ! »
 
Le patron de Jean-Marc vient de découvrir les bienfaits de la culture.
Il est convaincu que cela ferait du bien aux ouvriers de son entreprise de lire un peu plus.
Il offre alors à chacun de ses employés un abonnement d’un an au journal ou au magazine de leur choix.
Il en informe tout le personnel et les réunit quelques jours plus tard pour savoir ce que chaque personne a choisi comme abonnement.
L’une dit que c’est Géo, l’autre le Journal du Dimanche, l’autre Le Parisien libéré et un autre Le Monde, etc.
Arrive le tour du délégué syndical de la boutique, toujours en bagarre avec le patron.
« – Eh bien, mon cher Duconno, qu’avez-vous choisi comme journal ou comme revue ?
– J’ai choisi : « Couture moderne »
– Mais c’est un journal de femmes !
Et pourquoi avez-vous choisi « Couture moderne » ?
– C’est parce que chaque semaine, dans ce magazine, il y a un patron à découper. »
 
En pleine affaire criminelle autour du consulat turc, l’ambassadeur d’Arabie Saoudite vient de terminer son discours.
Il quitte la salle et passe dans un salon où il rencontre le Président américain qui compte bien lui renouveler son appui.
Poignées de mains chaleureuses, etc…
L’ambassadeur demande au Président :
« – Dites-moi, j’ai une question concernant une chose que j’ai vue en Amérique.
– Si je peux vous aider …
– En fait, c’est mon fils qui a vu cette série appelée ‘‘Star Trek’’.
Il y a des Russes, des Noirs, des Asiatiques, mais pas d’Arabes !
Il ne comprend pas pourquoi ? »
Le Président éclate de rire et lui murmure à l’oreille…
« C’est parce que ça se passe dans le futur. »
 
Dans une caserne de l’armée italienne, un sergent explique aux nouvelles recrues la règle des galons de l’armée italienne.
Il fait sortir des rangs un jeune soldat à l’air peu futé et avec un geste sur sa manche commence à lui expliquer la succession des galons :
« – Un galon, c’est un sous-lieutenant.
Deux galons, c’est un lieutenant.
Trois galons, c’est un capitaine.
Quatre galons, c’est un major.
Cinq galons, c’est un colonel.
Tu as compris.
– NON », répond la nouvelle recrue.
« Bien je recommence tout, » et c’est ce qu’il fait.
« – Tu as compris.
– Non, Non je ne comprends pas, c’est trop difficile.
– Alors, écoute, je vais te parler de nouilles, de pastachouta ! »
Et il explique à nouveau et plus lentement les cinq galons :
« Un gallon c’est une tagliatelle : une pastachouta.
Deux gallon c’est deux tagliatelles, deux pastachouta.
Etc. jusqu’à cinq gallons. »
Ah ce moment arrive le colonel Umberto, commandant du régiment
(Le colonel a de gros galons, de multiples décorations, des épaulettes dorées, il brille de tous les côtés).
Il demande au sergent ce qu’il fait ?
« J’explique à cette nouvelle recrue la théorie des galons dans l’armée italienne ».
Le colonel se plante devant la recrue et lui demande :
« Qu’est-ce que je suis, moi ? »
Le jeune soldat le regarde un moment et s’écrie :
« Ah j’ai compris, maintenant, vous êtes : Un plato des pastachouta »
 
Une infirmière très fatiguée entre à la banque.
Complètement exténuée après un quart de travail de 18 heures.
Elle se prépare à signer un chèque pour retirer de l’argent sur son compte au comptoir.
Elle sort de sa sacoche un thermomètre rectal.
Et essaie d’écrire avec.
Tout à coup elle réalise son erreur.
Elle regarde le commis de caisse tout surpris qui lui propose un stylo de la banque.
Du tac au tac elle dit :
« Eh bien ça c’est la meilleure Vraiment cest la meilleure !
Un trou-de-cul est parti avec mon stylo ! »
 
George W. Bush se rend dans une école primaire pour parler aux enfants du conflit armé au Proche-Orient. Après son discours, il permet une période de questions.
« Alors, qui a une question ? » demande Bush.
Un petit garçon lève la main.
« – Oui petit, quel est ton nom ?
– Billy, monsieur le président.
– Quelle est ta question Billy ?
– J’en ai trois monsieur le président…
1. Pourquoi les États-Unis ont-ils envahi l’Iraq sans le consentement des Nations Unies ?
2. Pourquoi êtes-vous président alors qu’Al Gore a eu plus de votes que vous?
3. Qu’est devenu Oussama Ben Laden ? »
La cloche annonçant la récréation se met alors à sonner.
Bush dit qu’il poursuivra la période de questions après la récréation.
Au retour, Bush demande :
« – Où en étions-nous ? Ah oui, la période de questions.
Y a t-il quelqu’un qui a une question ? »
Un petit garçon lève sa main.
« – Oui petit, quel est ton nom?
– Steve, monsieur le président.
– Quelle est ta question Steve ?
– En fait… j’en ai cinq monsieur le président :
1. Pourquoi les États-Unis ont-ils envahi l’Iraq sans le consentement des Nations Unies ?
2. Pourquoi êtes-vous président alors qu’Al Gore a eu plus de votes que vous ?
3. Qu’est devenu Oussama Ben Laden ?
4. Pourquoi la cloche de la récréation a-t-elle sonné 30 minutes plus tôt qu’à l’habitude ?
5. Qu’est devenu Billy ? »
 
Fidel Castro meurt à Cuba.
Bataille dans son entourage pour savoir où l’enterrer : Au Musée national, sur une base militaire, etc.
On décide de consulter un vieux sage.
« – Mon opinion ? Enterrez-le où vous voulez, mais surtout pas à Jérusalem.
– Mais Jérusalem, qui vous parle de Jérusalem. Et surtout pourquoi pas à Jérusalem ?
– Parce qu’ON NE VEUT PAS QU’IL RESSUCITE DANS 3 JOURS. »
 
Jean-Marc aura remarqué un jour de grand-froid que :
Il faisait tellement froid que les pickpockets ne retiraient pas leurs mains des poches de leurs victimes.
Il faisait tellement froid… que les vaches donnaient de la crème glacée.
Il faisait tellement froid que quand tu pissais debout, tu te prenais des glaçons sur les chaussures.
 
Dieu marche sur le trottoir et aperçoit un homme qui pleure à chaudes larmes !
« Qu’y a-t-il qui te mette en si grande détresse ? », demande Dieu.
Comme s’il ne savait pas pourquoi…
« – Je suis aveugle et je voudrais tellement voir !
– Voilà ! C’est fait ! »
Et l’aveugle retrouva la vue !
Dieu poursuit sa marche et tombe sur un autre homme qui pleure à chaudes larmes.
« – Qu’est ce qui se passe mon fils ?
– Je ne marche plus Seigneur et j’aimerais tellement marcher !
– Tiens, c’est réglé. »
Le paralytique se lève et part en courant !
Un peu plus loin, Dieu rencontre Myriam El-Konnerie qui pleure comme une Madeleine.
« Pourquoi pleures-tu ? » lui demanda-t-Il?
« Parce que je travaille pour le PS ! »
À ces mots, Dieu s’assoit à ses côtés et se met à pleurer avec elle !
 
Une jeune journaliste part à la campagne pour enquêter sur la vache folle.
« – Bonjour monsieur ! Il paraît que vous savez pourquoi les vaches attrapent cette maladie ?
– Oui Mademoiselle ! C’est parce que l’on présente le taureau qu’une fois par an aux vaches ! Et vous n’êtes pas sans savoir que l’on trait les vaches deux fois par jour !
– Effectivement !
– Alors si on vous pelotait les seins deux fois par jour et que l’on vous sautait qu’une fois par an, vous ne deviendriez pas folle vous ? »
 
Vanina, au cinéma d’Île-Rouse chuchote à sa copine :
« – Le monsieur d’à côté joue avec sa pine !
– Ne sois pas si bégueule », lui dit Marie-France
« Il ne fait rien de mal, laisse-le se branler
Vanina répond alors :
« D’accord, moi je veux bien, mais faut-il vraiment qu’il se serve de ma main ? »
 
Une vieille femme à l’agonie, dicte son testament :
« Que tous mes amants suivent mon enterrement. »
Or, il en vint plus de deux cents au cimetière !
Ce qui, en pleurs, fit dire à sa voisine :
« – Comme il est bon de les voir enfin réunis !
– Qui ? Les hommes de sa vie ?
– Non. Ses genoux, pardi ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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