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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 11 janvier 2019

Jean-Marc, une fois de plus !

« Je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire. »
 
« Les femmes, c’est comme les piscines : C’est trop cher pour le peu de temps qu’on passe dedans. »
(Jean-Marc, bien sûr…)
 
Un vieux monsieur de 75 ans séjourne pendant une semaine dans un hôtel 5 étoiles avec une toute jeune femme pour son voyage de noces.
Le matin suivant leur arrivée, l’homme arrive au restaurant, pour le petit déjeuner, en arborant un grand sourire.
Il se sert un énoOorme déjeuner, parle gaiement avec ses voisins de table, plaisante avec tout le monde.
Une demi-heure plus tard, sa jeune épouse le rejoint, les yeux cernés, l’air hagard. Elle commande un café d’une voix tellement faible que le garçon doit lui faire répéter sa commande.
Lorsque son mari a terminé son repas, il s’excuse auprès de sa femme, et remonte dans leur chambre.
À ce moment, le garçon qui se posait plein de questions au sujet des nouveaux mariés, s’avance vers la jeune femme.
« – Euh, madame, si je puis me permettre, vous avez l’air réellement fatiguée. C’est étonnant, d’autant plus que votre mari, lui, tient une forme incroyable ! Quel as !
– Ce type m’a bien eue ! Il m’avait dit qu’il avait économisé pendant 50 ans ! Mais moi, je croyais qu’il parlait d’argent… »
 
Le père Eugène entre à l’hôpital pour se faire opérer à la hanche.
Après l’opération, tous les jours, une jeune infirmière s’occupe de lui, mais elle a un défaut : Elle traite le père Eugène comme un bébé.
Du genre: « Alors, comment on va ce matin ? On a fait son petit pipi ? »
Et le père Eugène n’aime pas ça !
Un jour, le père Eugène décide de lui jouer un tour.
Lorsqu’on lui apporte le petit déjeuner, il transvase son jus de pomme dans l’urinoir propre qu’on venait de lui apporter.
Lorsque l’infirmière débilitante arrive, elle prend l’urinoir et l’exposant à la lumière elle dit :
« Ho-ho, on dirait que c’est un petit peu trouble aujourd’hui… »
À ce moment-là, le vieux lui prend l’urinoir des mains, enlève le bouchon du flacon et porte le tout à ses lèvres en disant :
« Pas de problème, je vais refaire passer le tout et on verra si on peut mieux filtrer cette fois-ci ! »
 
C’est Léon le routier derrière son volant qui chante pour passer le temps :
« Je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à Tarascon ! »
Notre Léon croise une bonne-sœur faisant de l’auto-stop !
Homme charitable, Léon stoppe son 38 tonnes.
La sœur monte et les voilà repartis.
Quelques kilomètres plus loin, voilà la sœur qui commence à faire de l’œil à notre Léon et puis soudain, la sœur demande :
« – Et si l’on se trouvait un coin tranquille ?
– Vous ma sœur ? Mais je croyais que les religieuses faisaient vœu de chasteté. Et ne dit-on pas « Les voies de Dieu sont impénétrables ? »
– Par devant peut-être, mais pas par derrière vous savez… mon fils ! »
Là-dessus, le Léon passablement émoustillé par ce dialogue ne fait ni un ni deux et stoppe le 38 tonnes et voilà Léon qui soulève la soutane de la sœur, et hop, il lui fait son affaire par derrière.
Le temps passe, et nous retrouvons nos deux héros une demi-heure plus tard sur la route.
Léon : « Je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à Tarascon. »
Et la sœur : « Je m’appelle André, je suis gay et je m’en vais au bal masqué. »
 
« On ne prête qu’aux riches.
Heureusement, car les autres remboursent difficilement. »
(Probablement de Philippe Bouvard)
 
Un p’tit gars de douze ans avance sur le trottoir tirant une grenouille aplatie au bout d’une corde.
Il arrête à la porte d’un bordel et cogne à la porte.
« – Bonjour petit.
– Je veux avoir du sexe avec une des filles. J’ai de l’argent pour payer.
– OK ! Viens. Quelle fille veux-tu ? Une grande, une petite, une grosse, une jeune, une vielle ?
– Non. Paraît qu’Irma est malade. J’ai entendu dire que les hommes qui ont couché avec elle reçoivent des injections.
– Oui.
– Bon, c’est elle que je veux.
– OK ! Deuxième chambre, à droite. »
Le p’tit avance vers la chambre, traînant derrière lui sa grenouille aplatie.
Il sort dix minutes plus tard, toujours avec sa grenouille, paye et quitte.
« Hé petit », dit la tenancière.
« – Oui ?
– Peux-tu me dire pourquoi tu voulais une fille malade ?
– Ce soir mes parents vont souper au restaurant, me laissant à la maison avec ma baby-sitter. La baby-sitter va en profiter pour me faire l’amour parce qu’elle aime les petits garçons mignons et que c’est une perverse. Elle va attraper la maladie que je viens d’attraper.
Quand mes parents reviendront papa va aller reconduire ma baby-sitter, il va la sauter dans l’auto (c’est la baby-sitter qui me l’a dit) et il va attraper la maladie à son tour.
Quand papa va revenir, il va faire l’amour à maman et elle va l’attraper aussi !
Demain matin quand le laitier va passer à la maison, il va baiser ma mère et il va attraper la maladie et c’est lui le salaud qui a écrasé ma grenouille… »
 
« Il vaut mieux faire l’amour avec un grand A qu’avec un gros tas ! »
(Anonyme)
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Le romantique a de grosses couilles.
– Normal il ne s’en sert jamais… »
 
« – Quelle différence entre un idiot riche et un idiot pauvre ?
– Un idiot riche est riche, tandis qu’un idiot pauvre est idiot. »
 
« – Comment se propage le SIDA ?
– Vite. »
 
 « Y’a trois choses qu’on ne peut pas regarder en face : Le soleil, la mort et le dentiste. »
 
« À part les singes, tous les animaux refusent de faire l’amour face-à-face…
Ils doivent pressentir que le derrière se ride moins vite que le visage. »
 
« Pinocchio n’a pas eu de chance !
Il a eu la gueule de bois toute sa vie ! »
 
C’est Jean-Marc qui va chez son médecin parce qu’il ne vient plus.
« Docteur, je ne viens plus. »
Le médecin l’examine et lui donne des cachets :
« Prenez ces cachets. Si vous venez, ne revenez pas, mais si vous ne venez toujours pas, et bien revenez me voir. »
Quelques semaines plus tard, Jean-Marc est à nouveau chez le médecin.
Il s’adresse à la secrétaire.
« Mademoiselle, je suis venu il y a quelques semaines parce que je ne venais pas. Le médecin m’a donné des cachets et m’a demandé de ne pas venir si je venais, mais m’a dit que si je ne venais pas, il me fallait venir aussitôt.
J’ai pris les cachets et je suis venu. Alors, je ne suis pas revenu. Cependant, maintenant je ne viens plus alors, me voici. »
La secrétaire, un peu interdite, va en parler au médecin.
« – Docteur, il y a ce type à qui vous aviez demandé de ne pas revenir s’il venait et de venir s’il ne venait pas.
Il est venu donc, il n’est pas revenu, mais, aujourd’hui il ne vient plus alors, il est venu.
– Parfait mademoiselle, faite-le venir.
– C’est ce que j’ai fait docteur mais il est reparti. »
 
C’est la petite fille de 6 ans qui sort de la chambre à coucher de ses parents en vitesse en criant :
« Dire qu’ils veulent m’envoyer voir un psychologue parce que moi, je suce mon pouce ! »
 
La vieillesse c’est quand on te dit :
« Tu as l’air en pleine forme… pour ton âge. »
 
« La vieillesse c’est quand tu réalises que tu n’es plus bon à rien, même pas au golf ! »
 
Un couple âgé est étendu sur leur lit.
Le mari est sur le point de s’endormir, mais l’épouse se sent plutôt romantique et a d’autres intentions.
Elle lui dit:
« Tu avais l’habitude de me tenir la main quand nous étions plus jeunes. »
Le mari étire le bras et lui prend la main. Mais elle ne veut pas s’endormir.
« Et de plus, tu avais l’habitude de m’embrasser. »
Un peu irrité, il s’approche, lui donne un petit bécot sur la joue et se retourne pour se rendormir.
Un peu plus tard, elle lui dit :
« Et parfois tu aimais bien me mordiller dans le cou. »
Soudain, l’homme repousse les couvertures et se lève précipitamment !
« – Où tu vas ?
– Ben, chercher mes dents, c’t’affaire ! »
 
Une superbe et plantureuse dame visite le docteur pour son examen.
Dès qu’il l’a voit, son professionnalisme vacille et il se met à saliver…
Il lui demande doucement :
« Déshabillez-vous pour que je vous examine. »
Une fois nue, la superbe créature s’approche du médecin qui commence aussitôt à la caresser.
Il lui demande :
« – Savez-vous ce que je fais ?
– Bien sûr, vous examinez ma peau afin de détecter une anomalie dermatologique.
– Très bien. »
Et il commence à lui masser les seins à pleines mains.
« – Et maintenant, savez-vous ce que je fais ?
– Vous examinez mes seins afin de détecter des bosses qui pourraient indiquer une tumeur cancéreuse.
– Très bien. Très bien. Vous avez de bonnes notions de médecine. Maintenant qu’est-ce que je fais », lui demande-t-il alors qu’il la chevauche ?
« Vous êtes en train d’attraper la MST que je suis venue me faire soigner ! »
 
Germaine et Jean-Marc
Germaine : « – Qu’est-ce que tu fais ?
– Rien.
– Rien…? Ça fait une heure que tu lis le certificat de mariage !
– Je cherche la date d’expiration. »
 
Le fiston de Jean-Marc à Germaine, sa mère :
« – Maman, dans l’autobus, aujourd’hui, papa m’a demandé de donner ma place à une jolie jeune dame.
– C’est bien, si tu l’as fait.
– Mais, maman, j’étais assis sur les genoux de papa… »
 
Jean-Marc, un jeune marié demande à sa femme :
« – Est-ce que tu m’aurais épousé si mon père ne m’avait pas laissé une fortune ?
– Chéri », répond Germaine, « je t’aurais épousé, PEU IMPORTE QUI T’AURAIT LAISSÉ UNE FORTUNE !!! »
 
Une jeune fille à Jean-Marc :
« – Un baiser et je suis à toi pour toujours, mon amour !
– Merci pour l’avertissement. Bye bye ! »
 
Jean-Marc, philosophe :
« Le mariage c’est comme un compte en banque : Ça rentre, ça sort, puis en fin de compte on y perd de l’intérêt. »
 
Deux gendarmes appellent leur compagnie et demandent à parler au commandant :
« – Nous avons un problème ici, mon commandant : Une femme vient d'abattre son mari d'un coup de fusil parce que celui-ci a marché sur le carrelage frais lavé.
– Vous avez arrêté la femme ? » demande l’officier.
« Non, mon commandant. Ce n’est pas encore sec… »
 
Vous avez dit misogyne ?...
Le taux limite d'alcoolémie pourrait revenir à son ancienne valeur soit 0,8 au lieu de 0,5 mg/l.
Selon les statistiques provenant des sociétés d'assurances, depuis l’introduction du taux de 0,5 mg/l, le nombre d'accidents de la route a considérablement augmenté.
En effet, une étude de ces chiffres montre que les hommes, après une ou deux bières, donnent le volant… à leur femme...
 
Ce qu’elle ne dira jamais…
« Hein ? Notre anniversaire de mariage, c’est aujourd’hui ? Mince, j’avais oublié ! »
« Tu tiens vraiment à parler ce soir ? Tu ne veux pas plutôt regarder ton match à la télé ? »
« Oh ! C’est magnifique ! Vraiment, ce diamant est trop gros ! »
« Et pour notre lune de miel, une partie de pêche au gros au large ! ».
« Tu tiens vraiment à ce qu’on reste seulement de « bons amis » ? Pas plus ? »
« Je crois que j’ai besoin de prendre un peu de poids… »
« Meuh non, ça doit être la bonne direction, t’inquiète pas ! »
« Si c’est pour moi au téléphone, dis que je suis pas là. »
« Je m’en fous, 250 €, c’est trop cher pour une robe. »
« Je veux juste voir ce que cette auto a dans le ventre. »
« Tiens, chérie, prends la télécommande. »
« Tu sais, si elle te plait tant que ça, j’aimerais bien la revoir, même si elle n’est vraiment pas mon genre. »
« Antonio Bandera et Brad Pitt ? Il faut absolument qu’on voit ce film. »
« Pendant que je suis debout, je peux aller te chercher quelque chose ? »
« Chérie, puisqu’on a rien prévu cet après-midi, on peut aller choisir le papier peint pour la chambre ? »
« Je veux juste que tu me tiennes dans tes bras, c’est tout. »
« Pourquoi ne viendrais-tu pas m’aider à choisir une paire de chaussures ? Celles que j’ai sont trop affreuses. »
« Oublions « Les oiseaux se cachent pour mourir », tu as mieux à faire en regardant le match de foot ! »
« Laisse-moi porter ton sac pendant que tu essaie ça. »
« Nous n’en parlerons plus. »
Eh oui, c’est comme ça…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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