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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 20 janvier 2019

Des physiciens se penchent sur vos assiettes…

Selon des physiciens italiens, cette équation complexe donne le temps de cuisson parfait pour une pizza préparée au four classique. Ils préviennent qu’il est indispensable d’avoir une idée précise de la teneur en eau de la garniture. En effet, une pizza couverte de légumes aura besoin d’un temps de cuisson plus important, car elle retournera plus de chaleur par évaporation. © Andrey Varlamov et Andreas Glatz
C’est la formule de la recette de la pizza parfaite !
Je ne plaisante pas : C’est « scientifique ».
Selon des physiciens « Ritaliens », cette équation complexe donne le temps de cuisson parfait pour une pizza préparée au four classique. Mais ils préviennent tout de suite qu’il est indispensable d’avoir une idée précise de la teneur en eau de la garniture.
En effet, une pizza couverte de légumes aura besoin d’un temps de cuisson plus important, car elle retournera plus de chaleur par évaporation.
 
En 2014 déjà, des chercheurs s’étaient de leur côté posé une question qui semble tout aussi capitale : Celle du fromage.
Mozzarella, cheddar, colby, édam, emmental et provolone ont été passés au crible.
Parmi les critères retenus par les chercheurs : L’élasticité, le goût, mais aussi la couleur après cuisson. Vous ne serez peut-être pas surpris d’apprendre que la mozzarella apparaît comme étant idéale. Mélangée avec du cheddar, le résultat est encore meilleur, le petit plus du second critère étant une affaire de goût.
L’année précédente, une chaîne de pizzerias avait même demandé à une mathématicienne d’étudier le rapport entre l’épaisseur de la pâte et la garniture. Elle avait pu établir une formule permettant de trouver la quantité idéale de garniture en fonction du diamètre de la pizza.
Une formule qui attirait déjà l’attention sur les risques d’une surcharge de garniture, susceptible de détremper la pâte.
 
Aujourd’hui, ce sont deux physiciens et un anthropologue qui prennent la question de la pizza parfaite par le bout de la cuisson. Leur étalon : La pizza Margherita, telle qu’elle est préparée par les pizzaiolos « Ritaliens », dans un four en briques réfractaires. Car ce mode de cuisson, semble-t-il, permet une cuisson uniforme de la pizza.
Dans l’idéal, pendant 2 minutes à 330 °C.
Dans un four électrique, la donne change bien sûr : La conductivité thermique de nos plats en métal est en effet bien supérieure à celle des briques.
Lois de la thermodynamique à l’appui, les chercheurs montrent toutefois qu’une pizza de qualité tout à fait satisfaisante peut être obtenue après une cuisson de 170 secondes à 230 °C…
Impressionnant : Les miennes restent au four un bon quart d’heure.
 
Quant au contenu de la garniture, les miennes excluent la tomate (c’est un parti pris : Elles regorgent de flotte et retiennent la chaleur trop longtemps pour ne pas vous cramer les papilles) et les poivrons (j’ai horreur du goût que ça donne), mais j’y mets des lardons, des oignons (parfois avec quelques échalotes voire une gousse d’ail émiettée) et des œufs battus dans de la crème-fraîche en plus que d’épandre généreusement du fromage râpé (en général de l’emmenthal).
Vous me direz que ça ressemble plus à une flammekuche ou à une quiche lorraine qu’à une pizza.
Peut-être…
Mais je rajoute de l’huile pimentée et parfois une grosse touche de moutarde forte.
Des goûts et des couleurs…
D’autant que je ne mange pas la pâte (bouillon de glucides à haute densité, un poison : Je peux même m’en passer si le moule est bien beurré), mais, on va y venir, ça aurait une autre explication « scientifique »…
 
Vous le savez probablement, il existe un championnat du monde de pizza qui se tient chaque année… en « Ritalie », bien sûr!
Des centaines pizzaiolos d’une quarantaine de pays s’y affrontent pour décrocher le titre suprême et ce, dans différentes catégories. Et ce ne sont pas toujours des « Ritaliens » qui gagnent.
Ainsi, en 2016, c’est un « Gauloisien méridional » qui a été sacré dans la catégorie «classique» avec une pizza façon bouillabaisse…
Audacieux, hein, les « goûts et les couleurs », mais ce n’est pas mieux que « mes recettes » personnelles au thon et aux crevettes-roses!
En 2018, un autre « Gauloisien » s’est distingué au palmarès, en catégorie «in teglia», comprenez « pizza rectangulaire », préparée dans un moule.
Pour lui, le secret de la pizza parfaite, c’est la simplicité. Et beaucoup d’amour. Rien que ça…
 
Pour d’autres, le secret de la pizza parfaite repose dans la pâte. Il semblerait, par exemple, que la qualité de l’eau utilisée pour la confectionner ait toute son importance : Une eau trop dure entraverait le processus de fermentation qui permet à la pâte de lever. Une eau plus douce donnerait une pâte molle et collante.
En cas de doute, des chefs conseillent même d’employer plutôt du lait.
Mais ce n’est pas le plus important, puisqu’au bout du bout, il faut que je vous rapporte cette autre étude « scientifique » très sérieuse (j’y reviens).
Comme tout le monde assis dans une pizzeria, des scientifiques ont observé le comportement de clients pour constater que les hommes mangeaient beaucoup plus en présence des femmes qu’en leur absence.
 
C’est une étude qui date de 2015 qui a ainsi montré que les hommes mangent 93 % de pizza en plus, mais aussi 86 % de salade en plus (berk ! De l’herbe, moi qui ne mange que les bêtes qui mangent de l’herbe…) en présence d’une femme à leur table !
Ce serait, paraît-il, un moyen de montrer à ces dames qu’ils sont en bonne santé
Je me demande, parce que les dames n’ont pas ce comportement de bâfreurs (de pizza) impénitents en présence de… qui que ce soit, mais surtout de « mâles à séduire » !
 
Il faut dire que le lien entre trouble alimentaire et sélection sexuelle a souvent été évoqué pour expliquer l’anorexie chez nos dames.
Dans nos sociétés contemporaines où la minceur est valorisée, il y aurait une pression sur les femmes pour garder la ligne et se donner plus de chances de séduire (quitte à ce que je passe à travers sans même sans m’en rendre compte…).
Ceci expliquerait certaines observations indiquant que les femmes mangent moins en présence des hommes. Cette pression qui pèse sur les femmes pourrait devenir pathologique chez certaines, s’étendre à tous les repas, au point qu’elles ne se nourrissent pas assez et deviennent anorexiques.
Notez que pour ma part, je considère (et je ne suis pas le seul) que l’anorexie est une maladie qui va jusqu’à se faire vomir le dernier repas (quand il ne s’agit pas seulement d’un léger en-cas).
Mais c’est au moins aussi « maladif » que l’obésité : Dans tous les cas un rapport « pathologique » avec la nourriture.
 
Pour savoir tout ça de nos habitudes alimentaires si différentes selon que les hommes mangent avec des hommes ou des femmes, des chercheurs de l’université Cornell ont mené une étude dans un restaurant « Ritalien » des États-Unis.
105 adultes âgés de 18 à 81 ans y ont participé. Ces clients du restaurant pouvaient manger pizzas et salades à volonté, sans payer de supplément.
Il est alors apparu que les individus de sexe masculin mangeaient plus en présence des femmes qu’en présence des hommes, et même beaucoup plus (93 % de pizza en plus et 86 % de salade en plus vient-on de dire).
Les femmes mangeaient la même quantité en compagnie des hommes ou des femmes, mais lorsqu’elles mangeaient avec des hommes elles avaient plus l’impression d’avoir trop mangé !
Ces résultats sont parus dans le « Evolutionary Psychological Science », pour vous dire que c’est du « sérieux ».
 
Du point de vue de l’évolution, les chercheurs suggèrent que le fait de trop manger serait un moyen pour les hommes d’impressionner les femmes.
(Qu’est-ce que j’ai dû en impressionner sans le savoir, avec mes recettes de pizza sans tomate !).
Mister Kevin Kniffin, principal auteur de l’étude, rapproche ses résultats d’autres, obtenus par ailleurs, qui ont déjà suggéré que certains mangent des plats très épicés pour « crâner ».
Je m’inscris en faux : C’est seulement pour « arracher la gueule » !
Ou cacher le goût faisandé de la bidoche servie.
(J’ai une recette impitoyable pour manger un morceau de porc en état de décomposition avancée, mise au point dans l’improvisation de quand je faisais « chef de bord » sur un voilier : Le frigo était resté ouvert durant le coup de vent à affronter de la journée et avait rendu l’âme. L’équipage avait les crocs et une fois installé au mouillage forain dans une anse un peu abritée avec rien que la côte du désert des Agriates en vue – pas une habitation valide – j’ai pu mélanger le porc avec un plein pot de moutarde et deux bouteilles de vin blanc, plus quelques épices restés disponibles et des pommes-de-terre. Tout ce qui restait à bord…
Un coup de cocotte-minute et tout le monde s’est régalé sans pour autant avoir été malade le lendemain !)
 
Dans cette nouvelle recherche, l’excès alimentaire du rapport à la nourriture jouerait le même rôle. Ce serait une sorte de signal disant : « Je suis en bonne santé, donc je peux faire un excès alimentaire et bien m’en sortir! ».
L’idée serait donc d’attirer quelqu’un en lui montrant qu’on est suffisamment en bonne santé pour faire quelque chose qui ne serait pas spécialement bon pour la santé…
Ce nouvel article met donc en lumière un risque de trouble alimentaire chez les hommes même si, ici, les hommes mangeaient aussi plus de salade en compagnie des femmes.
J’en sais quelque chose : Vous imaginez le boulot pour passer du stade « double-quintal » à celui de « sub-quintal » ?
Et m’y maintenir depuis plus de trois ans…
Avec parfois quelques aléas quand je me mets à cuisiner moi-même !
 
Les femmes, quant à elles, ne mangeaient pas spécialement moins en présence des hommes selon cette même étude. Mais d’après les auteurs cela pourrait être dû à la configuration de l’expérience, car il ne s’agissait pas spécialement d’un contexte « romantique ».
Certes et assez clairement, non : Quand on « romantisme », on ne pense pas à manger, même plus que de raison, puisque c’est le « nerf-honteux » qui investit le cerveau-reptilien, bien au contraire !
Ça « ballonne » et peut même provoquer des flatulences inappropriées pendant « les sensuels émois » qui pourraient suivre, soyons logiques.
 
Bonne fin de journée à toutes et à tous : Désormais, vous êtes plus savants après avoir lu ce post et je suis certain que vous ne regarderez plus votre pizza dominicale de la même façon !
 
I3

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