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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 18 janvier 2019

De Jean-Marc !

Que se disent deux nombrils qui se rencontrent?
 
« Y’a une partie en bas ! »
 
C’est une jeune fille de seize ans qui va sortir en boite avec un garçon pour la première fois. Ne voulant pas paraître trop bête, elle demande des conseils à sa grand-mère…
« Assieds-toi ici : Je vais te donner quelques trucs sur les garçons. Ce soir, en discothèque, vous allez danser, puis vous allez boire, puis vous allez re-danser…
Puis il va chercher à t’embrasser et certainement que tu en auras très envie. Alors si c’est le cas, tu pourras le laisser faire.
Ensuite, il va aussi essayer de te caresser les seins, et certainement que de ça aussi, tu auras très envie… Alors, si c’est le cas, tu pourras le laisser faire.
Mais ensuite, il essaiera de placer sa main entre tes jambes, et peut-être que de ça aussi, tu auras très envie… Là tu feras comme tu veux, par contre, il y a quelque chose de vraiment très important qu’il ne faut pas oublier.
Si après ça il cherche à monter sur toi et à faire son affaire avec toi, ne le laisse surtout pas faire, car à ce moment-là, il mettrait la honte sur toi et toute notre famille. »
Munie de ces précieux conseils, l’adolescente part en boite avec le gars.
Dès le lendemain, elle retourne chez la grand-mère pour se confier…
« Tout s’est passé comme tu me l’avais dit mamie, sauf que, quand on en est arrivé au moment où il cherche à monter sur moi pour me faire mon affaire, là, c’est moi qui suis montée sur lui. Comme ça, je me suis dit, la honte va tomber sur toute sa famille. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Sais-tu qu’il y a des fausses pilules de Viagra !
– Oui, certainement. Celles de contrebande… »
 
« – Qu’est-ce qu’une mouche-à-feu qui a pris du viagra ?
– Un néon, Jean-Marc, un néon ! »
 
« – Tu te rends compte que 40 % des accidents sur la route sont provoqués par l’alcool.
– Mais c’est énorme !
– Non, ce qui est énorme, c’est que ça veut dire que 60 % des accidents sont provoqués par des buveurs d’eau. »
 
Le viagra arrive enfin en poudre pour votre thé sur les bords de la Tamise.
« Il n’augmente pas votre performance sexuelle, mais…
Il empêche vos biscuits de devenir tout mous… »
 
Jean-Paul à son ami Jean-Marc :
« Chaque année, à la même période, j’ai un petit pincement au cœur.
Cette année cela va faire dix ans que j’ai perdu ma femme.
Je n’oublierai jamais cette partie de poker… »
 
« Tu as déjà remarqué…
…que lorsque les gens te disent : « Je veux partager ça avec toi », il ne s’agit jamais d’argent ? »
 
Jean-Marc, Jean-Paul, Jean-Charles et Jean-Pierre, quatre amis passent des semaines à planifier une parfaite sortie en forêt pour chasser et pêcher.
Deux jours avant leur départ la femme de Jean-Marc lui interdit d’y aller, scène à l’appui.
Ses copains sont très agacés mais que peuvent-ils y faire ?
Deux jours après les trois arrivent sur le site où ils voulaient camper, trouvent Jean-Marc assis là, près de sa tente, ayant empilé du bois faisant cuire du poisson sur le feu.
« – Mais depuis quand es-tu là et surtout comment as-tu donc fait pour convaincre ta femme de te laisser venir ?
– Eh bien, je suis là depuis hier soir.
Hier après-midi j’étais assis dans mon fauteuil et ma femme est venue derrière moi et m’a demandé « Devine qui c’est? » en posant ses mains sur mes yeux.
Quand je me suis dégagé je l’ai vue dans une nuisette sexy.
Elle me prit par la main et m’emmena dans la chambre, où brûlaient au moins douze bougies et des pétales de roses semées à la volée.
Elle avait préparé sur le lit des menottes et des cordes !
Puis elle me demanda de la menotter et de l’attacher au lit, ce que j’ai fait.
Alors elle m’a dit « Et maintenant fais ce que tu veux ! ».
Et me voici ! »
 
Petit cours de « francilien-québécois »  de la « Belle-Province » :
 
Le Québécois ne se trompe pas : Y se fourre.
 
Le Québécois n’est pas infidèle : Y saute la clôture.
 
Le Québécois n’est pas menteur : C’t’un bullshitter.
 
Le Québécois n’est pas un expert : C’t’une bolle.
 
Le Québécois ne s’enivre pas : Y prend une brosse.
 
Le Québécois ne s’étend pas : Y s’évache.
 
Le Québécois ne se sert pas d’un ordinateur : Y pitonne.
 
Le Québécois n’essaie pas de convaincre : Y vend sa salade.
 
Le Québécois n’embrasse pas : Y frenche.
 
Le Québécois ne complimente pas son patron : Y liche le cul.
 
Le Québécois ne dérange pas : Y fâ chier.
 
Le Québécois ne te dit pas non : Y t’envoye chier.
 
Le Québécois ne mange pas : Y se bourre la face.
 
Le Québécois ne se fâche pas : Y se met en crissss.
 
Le Québécois ne te bat pas : Y t’en calissss une.
 
Le Québécois ne manque pas son coup : Y se casse la yeule.
 
Le Québécois ne congédie pas : Y crisssss dewors.
 
Le Québécois n’a pas oublié son déodorant : Y sent le swing.
 
Le Québécois ne se repose pas : Y s’effoire.
 
Le Québécois ne descend pas de l’auto : Y débarque.
 
Franchement, noter tout ça (j’en ai oublié) à l’arrache à Londres, les onomatopées d’un canadien qui voulait éblouir ses invités anglophones, il y avait un côté surréaliste indéniable…
 
Deux gamines dans la cour de récréation…
« – Hé, j’ai trouvé une capote sous la véranda !
– Ah ! C’est quoi une véranda ? »
 
Jean-Jacques chez son médecin de famille…
« – Je ne peux plus travailler depuis mon accident.
– Pourtant vous avez un emploi ?
– Ah, ça c’est pas pareil, je suis fonctionnaire. »
 
Jean-Pierre est décédé.
Son testament prévoyait 40.000 € pour un service élaboré.
Au départ des derniers invités, son épouse Marie-Madeleine, se tourne vers sa vieille amie…
« – Je suis sûre que Pierre aurait été fier.
– Tu as raison », répond son amie Marie-Lucie, qui baisse le ton en s’approchant de Marie-Madeleine :
« – Combien est-ce que cela t’a vraiment coûté ?
– En tout et pour tout, 40.000 €.
– Hé, c’était pas bien terrible pour 40.000 €…
– Le service a coûté 6.500 €, j’ai fait un don de 500 € à l’église. La boisson, le vin et les bouchées, un autre 500 €. Le reste est allé pour la pierre commémorative.
– Yéééé, 32.500 € pour une pierre commémorative ? Ça doit être très belle pierre ! De quelle grosseur est-elle ?
– Tiens, regarde… » et elle lui montre son diamant !
 
Une gentille vieille dame va voir son docteur.
« – Docteur, j’ai un petit problème avec mes gaz… je dois pourtant dire que ça ne me dérange pas tant que ça.
Ils ne sentent jamais et ils sont toujours silencieux.
Rien que pour dire, j’ai pété au moins dix fois depuis que je suis dans votre bureau, je suis certaine que vous vous en êtes jamais aperçu parce qu’ils sont silencieux et qu’ils ne sentent pas.
– Je vois. Prenez ces pilules et revenez me voir la semaine prochaine. »
La semaine suivante, la vieille revient.
« – Je ne sais pas trop ce que vous m’avez donné, mes gaz restent silencieux, mais ils puent terriblement.
– Très bien », dit le docteur. « Maintenant que nous avons réglé le problème des sinus, travaillons sur votre ouïe. »
 
Madame demande à son mari qui est à la retraite depuis quelques mois :
« – Et alors, quel est ton programme pour la journée ?
– Rien.
– Rien ? Mais c’est tout ce que tu fais de tes journées. Rien. Tu ne fais rien !
– Oui, mais je n’ai pas fini. »
 
Jean-Marc à sa Germaine :
« – Il y a deux hommes en moi…
– J’aimerais tellement connaître l’autre. »
 
La station de radio locale (Radio Calvi Citadelle, 91,7) envoie un journaliste rencontrer un homme qui célèbre ses 90 ans.
Interrogé sur le secret de sa longévité, le vieillard répond qu’il ne s’est jamais obstiné avec personne.
« – Mais enfin, cela tient sûrement à d’autres choses encore », insiste le journaliste, sceptique.
« – Vous avez certainement raison ».
 
Dans une animalerie, Jean-Marc regarde deux oiseaux.
L’un aux couleurs chatoyantes, chante merveilleusement tandis que le second, au plumage terne, reste silencieux dans un coin de la cage.
« – Combien pour ce bel oiseau chanteur ?
– 150 € la paire », répond le marchand.
« – Mais seul le chanteur m’intéresse. Vous ne pouvez pas me le vendre seul ?
– Impossible, monsieur. L’autre, c’est le compositeur. »
 
À sa mort, Bill Gates, le patron de Microsoft, se retrouve au ciel.
« Compte tenu de votre contribution importante au monde de l’informatique », lui dit Saint Pierre, « je vous laisse choisir entre l’enfer et le paradis. »
Sur ce, il l’entraîne dans une pièce où deux immenses écrans plats proposent les options fondamentales : L’enfer est illustré par des plages sablonneuses, de charmantes jeunes femmes et une multitude de divertissements ; le paradis est peuplé d’angelots qui jouent de la harpe.
Bill Gates hésite, puis opte pour l’enfer, où il est immédiatement précipité.
Deux semaines plus tard, Saint Pierre va voir comment se porte le milliardaire.
Il le trouve en piteux état, enchaîné dans une caverne, le corps torturé par des démons.
« – Saint Pierre, où sont les plages, les femmes et tout ce que j’ai vu sur le moniteur ?
– Ça, Bill, ce n’était que l’économiseur d’écran ! »
 
Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du matin, quand tout à coup le curé dit :
« Que tous ceux qui ont commis le péché d’adultère cette semaine s’avancent. »
La petite vieille, un tantinet dure d’oreille, demande à son voisin :
« – Qu’est-ce que vient de dire Monsieur le curé ?
– Il a dit que tous ceux qui désirent une pastille à la menthe s’avancent. »
La petite vieille, chancelante, se lève alors avec peine.
Le curé lui lance, offusqué :
« – Vous ? Madame ?!!! À votre âge !
– Ce n’est pas parce que je n’ai plus de dents que je ne suis pas capable d’en sucer une de temps en temps, vous savez. »
 
Germaine fait remarquer à Jean-Marc, son mari :
« – Le voisin a l'air très amoureux de sa femme : Il l’embrasse souvent, la prend dans ses bras. Pourquoi ne fais-tu pas la même chose ?
– Parce que je ne la connais pas, la voisine ! »
 
Un monsieur âgé a un sérieux problème.
Il est complètement sourd depuis plusieurs années.
Il va voir son médecin qui lui prescrit un nouvel appareil auditif haut de gamme.
Au bout d'un mois, il retourne voir son  médecin qui lui dit :
« Votre famille doit être contente de voir que vous entendez très bien ! »
Le vieillard répond :
« Oh, je n’ai pas encore dit à ma famille que j’avais un appareil. Je ne fais que m’asseoir et écouter les conversations. J’ai déjà changé trois fois mon testament…
J’adore ! »
 
Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui poussait les chiens à se renifler le derrière à chaque fois qu’ils rencontrent un de leurs congénères?
Jean-Marc vous donne l’explication:
« Il y a très, très longtemps, bien avant que les humains n’apparaissent, c’étaient les chiens qui régnaient en maîtres sur la planète. Ils étaient comme le sont les humains actuellement : Ils marchaient sur leurs pattes de derrière, ils parlaient entre eux, bref, ils avaient ce que l’on peut appeler une vraie société…
La seule différence est qu’ils vivaient avec un Dieu vivant, le dieu « NONOSS ».
Un jour, en pleine célébration du dieu NONOSS, un des chiens de l’assemblée laissa échapper une flatulence d’une odeur pestilentielle et cette odeur infecte se propagea jusqu’aux narines du dieu NONOSS.
Le dieu fut extrêmement fâché, et demanda au chien coupable de se dénoncer pour qu’il subisse sa punition.
Or, aucun chien n’avança.
Le Dieu NONOSS, après de multiples menaces, décida de transformer tous les chiens en ce qu’ils sont aujourd’hui.
Et depuis ce jour-là, les chiens cherchent le coupable… »
Une « revenue », vous vous en doutez : Dans l’originale, les chiens déposaient leur trou du cul à l’entrée du temple dédié à NONOSS.
Et un coup de vent les mélangea.
Depuis, les chiens essayent de retrouver leur trou du cul…
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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