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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 14 octobre 2018

La sexualité spatiale

Voilà une question qu’elle est d’importance !
 
Surtout pour un obsédé comme moi !
Ce n’est pas que je compte m’offrir un voyage aller-retour autour de la Lune comme il a été récemment vendu à un milliardaire. Même si je peux encore m’endetter, je ne pourrais probablement pas rembourser avec mes très faibles revenus pour le temps qu’il me reste à vivre…
C’est surtout que d’aller en apesanteur pour « tirer un coup », c’est valable pour mes romans, mais vraiment, ça n’a aucun intérêt quand on peut faire aussi bien sur notre bonne vieille planète.
 
Ceci dit, la question se pose : Les missions spatiales habitées vers Mars devraient avoir lieu dans les années 2030 et le vol aller-retour devrait durer plus d’un an. Dans ces conditions, outre la question des « poubelles » qui débordent (on y reviendra), reste que le sexe dans l’espace devient plus qu’une probabilité.
Ce sujet est pour le moment mis de côté par les agences spatiales, mais de nombreux amateurs et spécialistes se sont intéressés au problème.
Et jusque-là, même la filmograpghie-pornographique n’a pas encore abordé le sujet, me semble-t-il.
Alors des ébats torrides, je ne vous raconte même pas…
 
Effectivement, le voyage vers Mars, c’est pour demain, ou presque. Les scientifiques estiment que la première navette partira en 2030 mais sans se poser au sol, car la manœuvre est trop délicate. Les astronautes devraient donc poser le pied sur Mars autour de 2040.
Quelle que soit la forme du voyage, l’équipage mettra entre six et huit mois pour faire le voyage, et passera un mois sur place. Une mission longue, qui requiert beaucoup d’organisation, puisque c’est toute la vie quotidienne qui doit s’organiser dans un vaisseau de quelques mètres carrés : La nourriture, l’hygiène, le travail et… et le sexe !
On n’est pas hyper-buildé et testostéroné à mort pour rien dans les milieux hyper-sélectif des astronautes…
 
Le sexe dans l’espace ? Ce serait une première : « Il y a eu des missions spatiales longues, mais je pense que l’on peut dire qu’aucune relation sexuelle n’a jamais eu lieu dans l’espace », m’assure-t-on.
Je ne suis pas si sûr, mais on en dit que « c’est un petit milieu ».
« Si c’était arrivé, ça se saurait. Au moins une personne n’aurait pas pu s’empêcher de le dire. »
Euh, qui donc, là ?
 
La réalité est toute autre : La « pompe manuelle de sécurité », reste tout simplement très populaire dans l’espace !
Par conséquent et jusqu’à ce jour, la sexualité en mission se serait plutôt pratiquée en solitaire.
Il y en a au moins un qui en parle : C’est Romain Charles qui en a fait l’expérience lors de la mission Mars-500. En Russie, il a vécu confiné avec 5 autres volontaires pendant 500 jours dans un espace de 180 mètres carrés. Pour gérer la sexualité dans ces conditions, il dit avoir utilisé « la PMS » (la Pompe manuelle de sécurité).
Une manière imagée de parler de masturbation.
La formule est très répandue chez les astronautes, confirme-t-on à l’Esa.
 
Du coup, le sexe dans l’espace à deux (ou plus) reste un territoire inexploré et sans précédent. Si dans votre imagination, vous vous imaginez léger comme l’air, en apesanteur avec votre partenaire, avec des possibilités infinies, la suite devrait vous ramener à la réalité : Si les ébats en apesanteur sont un fantasme récurrent, le sexe dans l’espace fait partie des sujets les moins étudiés par les agences spatiales.
Dommage…
 
« Il n’y a pas d’étude financée à ce jour sur le sujet », confirme-t-on.
Les agences spatiales seraient-elles trop prudes ?
L’explication est ailleurs, pour le docteur Thu Jennifer Ngo-Anh, chargée de l’étude des risques pour la santé humaine dans l’espace à l’Esa.
La coquine estime qu’il y a des problèmes plus importants à régler : « L’espace n’est pas vraiment un environnement fait pour les êtres humains. Il y a beaucoup de risques. »
Pour les médecins, qui doivent anticiper ces risques, l’urgence est ailleurs : Les dangers des radiations, de l’approvisionnement en eau potable ou des problèmes musculaires des astronautes.
 
Autre explication possible, c’est le financement des agences par l’argent public. « La Nasa est financée par l’argent des contribuables. Comme les sénateurs et les présidents, les astronautes sont des représentants de l’État très exposés. Un rapport sexuel ou une entorse à la morale ne serait pas facilement pardonnée. Cela ferait les gros titres. Il y aurait des coupures dans le budget. »
Et surtout, conséquence directe pour les astronautes : « Les personnes impliquées ne repartiraient plus jamais dans l’espace », écrit une autre « coquine », Mary Roach, dans son livre Packing for Mars.
 
Toutefois, sans l’aide des agences spatiales, des scientifiques, journalistes et amateurs se sont heureusement penchés sur le sujet. Ce qui nous permet de dessiner les contours d’un rapport sexuel dans l’espace.
Du point de vue masculin, l’érection fonctionne plutôt bien dans l’espace. « Sur le plan pratique aucun problème. Ça n’empêche pas la fonction érectile matinale » nous dit-on (Je ne sais pas, je n’ai pas encore essayé).
Mary Roach est allée jusqu’à décrire dans son livre le comportement du sperme en apesanteur, grâce à un rapport sur les propriétés des liquides en « 0-G » (pour zéro gravité). « Un flux de lait forme rapidement une sphère parfaite », écrit-elle de manière imagée.
Rigolo comme tout, finalement…
« Ce n’est pas le sexe qui est important, mais ses conséquences », nuance un autre : « Une grossesse par exemple, pose un problème éthique. Imaginez si on doit réaliser une IVG dans l’espace. C’est un risque médical énorme. »
C’est pourquoi « on remarque une tendance à un vieillissement des astronautes dans les missions de l’ISS. Le sexe est moins présent, ils ont une vie de couple plus stable », avance-t-il.
L’étude du risque de grossesse n’est donc pas à l’ordre du jour pour les équipes médicales des agences l’Esa.
Et pourquoi envisager un IVG ? Personne ne sort « couvert » dans l’espace ?
Pour moi, une grossesse et une naissance sur une trajectoire Terre/Mars pose évidemment un autre problème, bien plus grave : Quelle sera le signe astrologique du nouveau-né ?
 
« On est conscient que quand on sera à 5-6 ans d’un voyage, il faudra faire des études là-dessus. Et sans doute embarquer des sextoys, des films pornos et des préservatifs. Cette question sera forcément l’objet d’étude pour savoir quel est le problème et quelles sont les solutions », conclut un astronaute.
Et heureusement, pour éclairer le sujet, en 2015, le site PornHub a cherché à réunir 3,4 millions de dollars pour tourner le premier porno de l’espace, mais sans succès.
Or, « on » admet avoir été approché par des sociétés de production pour tourner un film X lors des vols en « O-G » de l’entreprise « Novespace ».
Une demande qui a toujours été refusée… jusqu’au jour où il faudra bien faire avancer la recherche sur la sexualité en apesanteur ?
 
Trois millions et demi de dollars pour refaire le Kâma-Sûtra-spatial, je trouve l’idée intéressante, finalement…
Déjà le même sur un étroit voilier pris dans une forte houle et une tempête, c’est joyeux à souhait (et ça ne coûte pas ce prix-là), alors que dans un jet en altitude, ça reste beaucoup plus calme : Je peux vous dire…
D’ailleurs y’en un club spécialisé sur le sujet et d’autres vous donnent quelques conseils à appliquer en avion, en avion seulement !
Bref, que des questions scientifiques de première importance, naturellement.
On se tient au courant !
 
Bonne fin de journée à toutes et à tous !
 
I3

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