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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 18 octobre 2018

Je ne sais pas lesquels sont les plus fabuleux

Mardi 16 octobre, à marquer d’une pierre blanche !
 
Rendez-vous compte, au moment même où on annonce la composition d’un nouveau gouvernement (pas si nouveau que ça, mais 4 sortants, 6 changeant de fonction et 8 entrants quand même pour un total de 40 membres : Un tiers ! C’est du « dosage-millimétré »…), la presse faisait état de perquisitions chez « Mes-Luches » et d’autres insoumis !
Erreur de minutage ou au contraire opération de désamorçage ?
Pour l’heure, je ne saurai dire : Ce qui reste étonnant à mon neurone, c’est que « Mes-Luches » n’ait pas été averti par quelques « compagnons de combat » (et ses propres loges-maçonniques : Lâché lui aussi ?).
D’habitude, ce sont des choses qui se font, jusque même chez « Benne-Allah » il y a encore peu, et ça permet de « faire le ménage », passer l’aspirateur, planquer la coke et les préservatifs usagés, voire l’armurerie…
Et le fat, de filmer l’intervention de la brigade anti-corruption à l’œuvre, nous montrant un vaste appartement cosy : C’est pas mal de faire carrière-politique, finalement…
 
Et puis on a eu droit au quart-d’heure de révolte devant les caméras, sur le trottoir. « Nous sommes perquisitionnés chez tout le monde. La secrétaire générale du groupe à l’Assemblée, mes anciens assistants qui ont aussi vu débouler les flics à 7 heures du matin », explique-t-il.
« On leur prend leurs téléphones, on leur prend leurs ordinateurs. Au siège du Parti de gauche dont je suis membre, au siège du mouvement la France insoumise », parti dont il est le président.
Des perquisitions menées par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions dans le cadre de deux enquêtes préliminaires ouvertes par le parquet de Paris. La première concerne de présumés emplois fictifs d’assistants parlementaires européens. La seconde porte sur les comptes de campagne de « Mes-Luches » pendant la présidentielle, suite au signalement du président de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques.
Rien de plus légal.
Mais lui y voit un « acharnement »…
 
« Voilà le début du nouveau ministre de l’Intérieur et du ministre de la Justice, voilà ce qu’ils sont en train de faire dans tout le pays, pour intimider et faire peur. Je vous demande de ne pas avoir peur, et de protester, parce que ce n’est pas de la justice, ça n’est pas de la police ».
Dans un communiqué, la France insoumise dénonce une « attaque sur la base d’éléments fantaisistes ».
Euh… un signalement de l’autorité comptétente, ce n’est pas vraiment « fantaisiste » en pense-je.
« Nous ne méritons pas un déploiement pareil. On croirait l’arrestation d’un gang. Voilà à quoi sont occupés ces gens », s’emporte « Mes-Luches ».
C’est peut-être le cas, finalement…
« Ne laissez pas une seule seconde croire qu’on puisse nous intimider », conclut-il.
Et de condamner à l’avance les fruits de la démarche : On fouille dans sa lingerie, ses petites-culottes, ses chaussettes-crottées et ils trouvent ça insultant pour sa qualité d’élu, sûr et certain d’être maltraité pour ses seules convictions politiques.
Au passage il oublie les déboires de sa cousine-adultérine (« Marinella-tchi-tchi ») à qui on a d’ailleurs saisi en plus un million d’euros pour des faits similaires (lui n’est pas si riche…), ceux d’un ex-premier-ministre candidat comme lui à la Présidentielle où les juges n’ont même pas attendu les perquisitions pour prononcer des mises en examen, sans même oublier « Bling-Bling » qui n’a pas encore connu la prison mais a été gardé à vue – chez lui et non pas au ballon – pour des histoires équivalentes.
Et « Juppette » condamné pour avoir couvert les mêmes exactions d’emplois-fictifs du temps du « Chi » à la mairie parigote-sur-la-Seine.
C’est dire si « Mes-Luches » à la mémoire sélective ou nous joue parfaitement la comédie : Il finira comme « Michou-Noir », ex-maire de Lyon, sur les planches d’un théâtre !
Déjà que « Bibi » joue son propre rôle à la télé…
Imagine-t-on Yvonne (De Gaulle) se donner en spectacle de la sorte ?
 
Reste – pour atténuer le coup ou simplement détourner l’attention –, « les réactions » minables et à chaud du petit-monde politique :
 
Pour le secrétaire général délégué du parti « Les républicains-Démocrates » : Le remaniement ne lui inspire pas « grand-chose » !
Ça tombe bien, on ne lui demande rien…
« Ce qui m’inquiète, c’est la précision de l’Élysée qui consiste à dire que le cap politique ne changera pas »
Et pourquoi se gêner ?
« Je ne veux pas avoir de préjugés sur les hommes (…) ce que je déplore au-delà du choix, c’est la politique qui est menée et l’absence de lucidité et de réalisme sur une situation qui est particulièrement préoccupante. »
Hors sujet en somme…
 
Stéphane Le Folle (P.Soce) : Après le départ de Stéphane Travert, remplacé par Didier Guillaume au ministère de l’Agriculture, « Stéph-Le-Folle », ancien ministre « soce » de l’Agriculture pendant le quinquennat de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » se désole d’une « instabilité ».
Plus généralement, il se dit « un peu pantois » face à un « petit remaniement ». « Tout ça c’est beaucoup de bruit, beaucoup de temps de perdu à un moment où il faut toujours être présent, la preuve avec l’actualité dans l’Aude », oubliant au passage le désastre alors en cours du côté de Bastia et de Corti. Mais la « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » est loin reconnais-je, à se demander si c’est encore un département de « Gauloisie-impériale » ou seulement une vague colonie sous statut de TOM ?
Trois ministres des « agri-culs » en 18 mois, moi je trouve au contraire que « ça bouge » dans les campagnes …
 
« Séb.-Che-nu » (Air-Haine) : Le porte-la-parole de « Marinella-tchi-tchi » affirme de son côté que « c’est la fin du nouveau monde et le retour du copinage version XXL ».
Pas « co-pine-âge », mais « népotisme »
Et il ajoute que « c’est à la fois un gouvernement de copains et de tambouille politicienne comme on n’en avait pas vu depuis longtemps ».
Lui, il a encore du cambouis devant les prunelles : Ça n’a pas changé d’un iota…
Dans son viseur, le nouveau ministre de l’Intérieur « le copain n°1, dont nous demandons la démission immédiate de la présidence de La République en marche. On ne peut pas être ministre de l’Intérieur et délégué général du principal parti de la majorité ».
Pas faux…
Toujours selon lui ce ministre-là « est récompensé pour sa discipline, son copinage, il est, en quelque sorte, un nouveau Benalla ».
Rhôôôôôô, le cochon !
 
Ian Brossat (PCF) : « Je suis choqué de voir qu’Emmanuelle Wargon, ancienne lobbyiste de Danone chargée des affaires publiques, termine au gouvernement, de surcroît comme secrétaire d’État à l’Écologie ! », s’inquiète-t-il. « Quand on se souvient des propos de Nicolas Hulot, qui avait dénoncé l’influence des lobbies dans ce gouvernement, il y a de quoi s’inquiéter ».
Et puis lui aussi s’en prend au ministre de l’Intérieur : L’élu communiste dénonce « l’homme fort de ce nouveau gouvernement, qui nous a expliqué pendant des jours qu’Alexandre Benalla n’était rien d’autre qu’un bagagiste… Je ne suis pas sûr que ce soit très rassurant pour la démocratie ».
Non, c’était le biographe officieux, tout le monde sait ça.
Notez que j’ai une nouvelle version : Il s’occupait des « menus-plaisirs » du quotidien de « Jupiter » et de sa moitié-à-lui.
Mais bon les ragots, moi, vous savez…
Sauf que nous y reviendrons, parce que finalement, c’est bien le retour du « Monde d’avant »…
 
Hervé Morin (Nouveau Centre/Les Centristes) : Le président de la région Normandie a réagi quant à lui à la nomination de « Jacques-Lyne-Goure-Haut » dans un grand ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. « On demandait au gouvernement un interlocuteur, car c’était la première fois que l’on n’avait pas de ministre en charge des collectivités territoriales. Au moins, maintenant, on a un interlocuteur ».
« Au-delà du symbole, qui est positif, il faut des actes désormais ».
Marrant pour un type qui reste coincé au barycentre des centres à en inventer « un nouveau » alors qu’il y en a plein tout autour de lui.
Ces gars et leur nombril…
 
Pour « Gilles Le Gendre-parfait » (LREM-même-pas-en-rêve) « Nous sommes équipés pour écrire l’acte II de ce quinquennat »
Ah oui ? L’acte premier est terminé, alors ?
Quand donc au juste, je n’ai rien vu !
Il assure que ce gouvernement est « dans le rassemblement » avec notamment trois entrants issus de trois partis différents (un « centriste constructif », un « Menuet-Valseur » et un « MacMoDem »). « Cela fait mentir tous les esprits chagrins qui pensaient depuis 15 jours qu’on était incapable de poursuivre la logique politique qui nous anime depuis deux ans. À savoir rassembler le plus largement autour d’un projet clair, qui ne changera pas, pour lequel nous avons reçu un mandat de la part de nos concitoyens il y a 18 mois ».
Moi je veux bien, mais le projet, ça reste un catalogue de promesses, dont certaines ont été piétinées et d’autres reportées aux calendes-Grecques…
Alors bon, un peu de modestie, STP.
 
En fait, ce qui ressort assez bien, finalement c’est que ce remaniement est un petit chef d’œuvre d’orfèvrerie. De l’architecture au cordeau, de la mécanique de haute précision.
Et c’est révélateur des objectifs de « Jupiter » !
Je vous explique : D’abord il s’agissait pour lui d’endiguer la dynamique de son premier des « sinsistres » qui apparaissait au fil des jours comme un vice-président.
« Éd-le-Placide », qui aura eu la peau de « Colombe » et de « Hurle-haut » plus quelques autres sans tirer un seul coup de feu, était sur tous les fronts, dans les commissariats, à l’Assemblée, auprès des sinistrés des inondations de l’Aude. Il occupait le terrain avec empathie, détermination, élégance, comme si la double casquette de Premier ministre et de patron de Beauvau lui allait comme un gant.
Et voilà qu’il réclamait à bas bruit, en coulisses, l’air de ne pas y toucher, la nomination de son ami « Dard-à-la-main » au poste de grand Sachem de la police, en remplacement du « le fugitif » ?
En choisissant finalement, en toute logique, le fidèle d’entre ses fidèles, le Grand-Vizir des « Marcheurs-même-pas-en-rêve », « Jupiter » a clairement fait passer le message « C’est qui le patron ? » à ceux qui le croyaient fragilisé par l’effondrement de sa popularité (et la désertion des « pressentis »).
Le pilote est toujours dans l’avion élyséen. Il l’est tellement qu’il a concocté un gouvernement de combat pour les échéances électorales à venir. Il l’a fait en consultant beaucoup, et surtout « Bébé-roux », me semble-t-il, le vieux briscard de la carte électorale, qui n’est décidément pas un ami du « premier-des-sinistres ».
Ce rapprochement ostensible avec le patron en réserve de la République (pour avoir déjà été viré pour cause de grande-gueule) mais toujours influent est aussi une manière de dire à ceux qui font les yeux de Chimène au locataire-précaire de Matignon, qu’il est « sans troupe ».
Une façon seulement : Le jour où les « Juppétistes » mobiliseront, j’en serai et par un prompt-renfort nous… « en arrivant au port ».
 
Les jours de tempêtes électorales approche, européennes et municipales, et « Jupiter » devra s’appuyer sur la « Gauloisie-des-territoires », des élus, trop négligés durant sa première partie du quinquennat. Il le sait, il ne gagnera pas sans eux : C’est lui l’isolé !
Seul, vous dis-je, face aux hordes populistes, il aura besoin de cet électorat silencieux et inquiet.
« Il faut qu’il mette les pieds dans le crottin, mais sans en rajouter lui-même. Sans se mettre à chausser des bottes et à patauger les cours de ferme » en disait depuis quelques temps son entourage : D’où la promotion de « Goure-Haut », sénatrice, femme de terrain respectée, proche de « Bébé-Roux », à la tête du tout-nouveau tout-beau grand ministère des Collectivités Territoriales.
Mais aussi de l’ancien patron des sénateurs socialistes, au ministère de l’Agriculture. Ce dernier, réputé proche de « Menuet-Valse » le Catalan, fut aussi  conseiller de « Calva-ni » sous le gouvernement de « Tonton-Yoyo », et président du Conseil Général de la Drôme durant de longues années.
Donc un bonhomme ayant une grande connaissance du monde rural et des élus locaux.
En d’autres termes, « Jupiter » conforte sa majorité en grignotant çà et là un nouvel arrivant extirpé des maisons « LRD » et « P.Soce », à la marge certes, mais il poursuit finalement sa stratégie d’érosion des partis traditionnels : C’est ce qu’il vient d’expliquer à la télé en direct du JT hier soir (on y reviendra), mais entre les lignes de son propos.
Bien obligé : Il est tout seul à la tête de son Olympe, on l’a déjà dit.
 
Les échéances électorales qui l’attendent sont chargées de nuages noirs. Après les démissions ubuesques de deux de ses ministres les plus emblématiques, il lui fallait resserrer les rangs. Remettre un peu de discipline dans les couloirs et allées du pouvoir.
Est-ce qu’il en sera fait ainsi ou est-ce que ça va partir en vrille comme pour le premier gouvernement de son quinquennat ?
C’est à suivre, naturellement, mais c’est bien essayé et les « fats » à qui ça ne plaît « pas bien », cités ci-avant, peuvent toujours gueuler : C’est comme ça et pas autrement !

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