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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 7 octobre 2018

Grosse surprise…

La théorie de l’évolution mise à mal ?

C’est un peu passé inaperçu dans la communauté scientifique, car elle (et nous) a été biberonnée(s) depuis « l’âge-tendre » à la théorie de l’évolution lancée par Darwin : L’homme descend du singe (et parfois remonte à ses origines)…
Point-barre, tiret, à la ligne.

D’abord, il ne s’agit que d’une hypothèse construite à travers une synthèse de diverses théories biologiques du XIXème siècle et du début du XXème siècle, dont les lois de Mendel, la génétique des populations et la sélection naturelle. Elle fut menée au cours des années 1930 et 1940 par, notamment, R. A. Fisher, J. B. S. Haldane, Sewall Wright, Theodosius Dobzhansky, Julian Huxley, Ernst Mayr, Bernhard Rensch, George Gaylord Simpson, George Ledyard Stebbins et quelques autres.
D’ailleurs, le nom même de « théorie synthétique » lui fut donné par Julian Huxley en 1942, mais cette théorie est aussi appelée « synthèse néodarwinienne », « théorie néodarwinienne de l’évolution » ou simplement « néodarwinisme » pour souligner le fait qu’elle constitue une extension de la théorie originale de Charles Darwin, laquelle ignorait encore les mécanismes de l’hérédité sur lesquels travaillait Mendel.
C’est devenu « le paradigme qui a dominé la théorie de l’évolution dans la seconde moitié du XXème siècle » utilisé comme une connaissance acquise dans les études scientifiques en biologie. L’idée de mécanismes cellulaires associés à la sélection de gènes est rejetée dans cette théorie synthétique, même si certaines théories issues de la biologie moléculaire et de l’épigénétique remontent à la création de ces disciplines dans les années 1940 à 1960. Excluant désormais la possibilité de transmission des caractères acquis (sur laquelle Darwin ne se prononçait pas), cette synthèse ne retient donc comme mécanismes acceptables de l’évolution que des mutations aléatoires du patrimoine génétique et une sélection naturelle de différences dues au hasard.

Globalement, il convient de reconnaître que la « théorie de l'évolution » permet d’expliquer assez simplement l’immense diversité des formes de vie rencontrées dans la nature, en partant du principe que chaque espèce vivante se transforme progressivement au cours des générations, tant sur un plan morphologique que génétique. Toutefois, l’évolution, un terme pour la première fois employé par Charles Darwin en 1859, peut amener à l’apparition de nouvelles espèces.
Mais on a du mal à en préciser les limites, même si on peut accepter l’affirmation.

Seulement voilà : Récemment, une étude génétique d’envergure révèle que 90 % des espèces animales sont apparues en même temps !
Pour les tenants de la théorie de l’évolution, c’est une énigme.
L’étude de l’ADN mitochondrial dans le cadre d’une recherche génétique de grande envergure affirme que 9 espèces animales sur 10 sont apparues sur Terre à peu près en même temps que l’homme, il y a 100.000 ou 200.000 ans.
L’un des principaux auteurs, David Thaler, généticien à l’université de Bâle, reconnaît que la conclusion de sa recherche est « très surprenante ».
« Je l’ai combattue autant que je l’ai pu », avoue-t-il.
Pourquoi ? Parce qu’elle ne « colle » pas avec les faux dogmes obligatoires de ce qui demeure une théorie et à laquelle nous avons toutes et tous été biberonnés (lui aussi !).
Avec son collègue Mark Stoeckle de la Rockefeller Université, il a exprimé son étonnement devant plusieurs faits constatés à travers ses analyses de cinq millions de « codes barres » d’ADN mitochondrial de 100.000 espèces actuellement présentes dans différentes régions du globe terrestre. D’une part, ils ont constaté que les variations « neutres » – les petites variations d’ADN qui se succèdent au fil des générations – sont beaucoup moins fréquentes que « prévu » par les évolutionnistes.
Et ce, quel que soit le nombre d’individus que comptent aujourd’hui les dites espèces.
Le patrimoine génétique reste donc d’une remarquable stabilité dans le temps, générations après générations…

Par ailleurs, ces variations qui permettent d’évaluer l’âge d’une espèce, un peu comme les anneaux d’un arbre, indiquent que 90 % des espèces existant aujourd’hui sont apparues, aux termes des datations retenues par les scientifiques, il y a « 100 à 200.000 ans » (précis, n’est-ce pas, du simple au double) : C’est leur « âge génétique ».
La méthode employée par les chercheurs a consisté à utiliser l’ADN mitochondrial qui est plus facile à décoder que l’ADN nucléaire propre à chaque individu avec ses 3 milliards de paires de molécules organisées en milliers de gènes.
Les mitochondries sont les usines énergétiques des cellules. Elles comportent un ADN particulier avec 37 gènes, dont le gène COI qui permet de relever un « code barre ADN » particulier à chaque espèce. Facile d’accès, peu onéreux à étudier, il permet par exemple de vérifier si une viande vendue comme du bœuf est en réalité du cheval, ou si un bonbon gomme « halal » contient de la gélatine de porc. Similaires mais bien distincts selon les espèces, ces « codes-barres » permettent de les identifier efficacement.
Ce fameux gène COI a même l’élégance de correspondre « presque à la perfection avec les désignations des espèces déterminées par des experts spécialisés dans chaque domaine animal », souligne Thaler.

Pour l’étude en question qui a été menée sur une dizaine d’années, on ne s’attendait certainement pas à trouver une aussi grande « uniformité » à l’intérieur des espèces, ni une telle absence de passerelles entre elles.
Et cette étude révèle que les mutations ne sont pas proportionnelles au nombre d’individus des espèces.
En effet, il a ainsi été constaté que, contrairement à ce que voudrait l’« évolution » enseignée dans les manuels de biologie, les espèces ne sont pas d’autant plus génétiquement diverses qu’elles se sont beaucoup répandues et multipliées à travers le temps.
Qu’il s’agisse des 7,6 milliards d’êtres humains qui peuplent la planète, ou des 500 millions de moineaux domestiques, ou des 100.000 bécasseaux, la diversité génétique « est à peu près la même ».
En outre, comme l’explique Thaler, les espèces ont des frontières génétiques très nettes, et il n’y a pas grand-chose qui permette de les relier entre elles. « Si les individus sont des étoiles, alors les espèces sont des galaxies. Ce sont des amas compacts dans l’immensité de l’espace vide de séquences », s’est-il étonné dans un entretien avec l’AFP. Et de rappeler que le grand Darwin lui-même restait « perplexe » devant l’absence d’espèces « intermédiaires ».

Évidemment, ces résultats suscitent de nouvelles hypothèses : Y’a-t-il eu une catastrophe majeure qui a réduit le nombre des espèces pour ne laisser que celles que nous connaissons aujourd’hui ?
Ou au contraire une catastrophe qui a permis l’éclosion de tant d’espèces neuves à peu près en même temps ?
Stoeckle, qui ne veut pas lâcher l’idée de l’évolution, affirme : « L’interprétation la plus simple est que la vie est en constante évolution »… ce qui n’explique rien du tout. « Il est plus probable que – à toutes les époques de l’évolution – les animaux vivant à un moment donné sont apparus relativement récemment », avec une durée de vie limitée avant de se transformer en quelque chose de neuf ou de disparaître.
Toutes ces interprétations restent du domaine de l’hypothèse que rien ne permet de vérifier. La perplexité de Stoeckle et Thaler, et Darwin avant eux, est bien plus intéressante. Et la réponse a toutes les chances de relever d’un autre domaine, non accessible à la science : Quelque chose qui s’appellerait la création… ?

Ne vous emballez pas pour autant : Le créationnisme désigne au sens large une doctrine plutôt d’ordre religieux selon laquelle un ou plusieurs êtres divins sont les créateurs de la vie, ce qui s’oppose généralement au principe d’évolution du vivant fondé sur la sélection naturelle.
Depuis que sont décrits des phénomènes évolutifs en astronomie, en géologie et en biologie, les créationnistes entretiennent la polémique à cet égard, car l’explication scientifique de ces phénomènes n’est pas compatible avec leur interprétation des textes religieux.
Les courants créationnistes montrent en effet une grande diversité, depuis ceux qui soutiennent le fixisme en élaborant une théorie de la nature théiste à ceux aux positions plus déistes qui embrassent la théorie transformiste.
Le « créationnisme Jeune-Terre » lit la Bible ou le Coran comme s’ils étaient des livres de sciences naturelles et d’histoire, véhiculant la croyance selon laquelle le récit de la création de l’univers tel que fourni par les textes religieux, donne une description littéralement exacte de l’origine de l’Univers.
Cette interprétation littérale de textes comme la Genèse s’appuie sur la conviction que ces textes ont été « dictés par Dieu » comme vérités absolues, définitives et indiscutables. Un courant de pensée est généralement associé au refus de toute idée d’évolution biologique et géologique.
Par malchance, l’Histoire de l’Univers est bien plus longue (et riche) que dans les textes bibliques.
Quant à l’Histoire de l’humanité…
Notez que la plupart des traditions religieuses monothéistes (judaïsme, christianisme et islam) postulent la création du monde par Dieu. La lecture fondamentaliste est refusée par la majorité des Églises chrétiennes actuelles, qui privilégient une lecture herméneutique.
Pour les « papistes » (dont je suis), la création de l’univers par Dieu ne s’oppose pas en soi à l’évolution : La création est avant tout la relation entre les créatures et un Créateur, leur premier principe.

Le créationnisme ne se restreint néanmoins pas aux seuls courants interprétant des textes religieux de façon littérale, mais inclut également divers créationnismes dits « Vieille Terre » qui admettent que l’univers a plus de 6.000 ans, les partisans du dessein intelligent, des courants qui admettent des aspects de la théorie de l’évolution mais en excluent l’Homme, l’évolution théiste qui admet que l’évolution des espèces a lieu mais qu’elle est dirigée ou influencée par des divinités ou un Créateur qui donnerait naissance à l’univers, au vivant et aux mécanismes leur permettant ensuite d’évoluer par eux-mêmes.
Bref, c’est assez passionnant, notamment lu à travers les résultats de l’étude de l’ADN dont il est fait mention dans ce post.

6.000 ans, ce n’est pas assez par rapport aux 100.000 ans repérés par ladite étude – qui ne règle pas le cas des 10 % d’espèce qui n’entrent pas « dans le cadre ».
Et puis alors, vis-à-vis de l’Histoire de la planète et de son étoile, qui date de près de 4,5 milliards d’année et de celle de l’univers qui remonte à 13,6 milliards d’année… je ne vous raconte même pas.
Sans compter que ledit univers – post ère de Planck et « inflation » – a probablement une dimension de l’ordre de 45 à plus de 100 milliards d’année : C’est dire que dans notre petite-bulle de temporalité, nous resterons à jamais de grands ignorants « du tout ».
Alors, « Dieu-créateur », dans tout ça, personne n’en a encore réellement détecté la trace.
Mais ça avance, ça avance… puisqu’au fil du temps on découvre l’intimité des mécanismes de la « grande horloge » !

Bonne fin de journée à toutes et à tous quand même !

I3

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