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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 18 juillet 2018

Volée de bois vert pour « Trompe » !

Il est décidément magnifique !


Une « tournée-européenne » qui aura été un véritable tournant…
Après avoir mis le « boxon » à l’occasion du dernier G7, être allé se faire enfler par « Kim-tout-fou », il sera passé par Brussels, au sommet de l’Otan pour y « mettre le feu » chez ses alliés de ce côté-ci de l’océan. Tempête dans un verre d’eau !
Un « twist » plus tard, il se sera présenté comme LE grand vainqueur d’un accord arraché qui ne redit jamais que des engagements déjà acquis…
Gag !


Il passe faire un tour du côté de London accumulant les impairs (et « passe »), allant jusqu’à conseiller à « Théière-Mais » de faire un procès à l’UE et la menaçant de ne jamais conclure d’accord commercial avec la perfide Albion si par hasard elle n’opte pas pour un « Brexit-hard » (option « no-deal »)…
Notez qu’il avait suggéré la même chose à « Jupiter »…
Justement, à Londres, ils ne savent plus comment ils s’appellent et causent même de refaire un référendum pour sortir de la crise, laissant au peuple la liberté de choisir entre le « no-deal » ou l’annulation du « Brexit ».
Inutile de vous dire que je me marre, posé là où je suis…
On aurait dû leur refiler « Marinella-tchi-tchi » pour qui tout était d’une simplicité biblique jusqu’à il y a peu…
D’ici à ce que les britanniques en reviennent à abandonner l’usage de la Livre-Sterling et se mettent à conduire à droâte sur les chaussées, ce serait la « pas impossible » surprise totale du millénaire…


Et puis voilà le fantastique « Trompe » qui en rajoute une couche dans son n’avion avec une interview télé de CBS News dans laquelle il déclare « tout de go » : « Je pense que l’Union européenne est notre adversaire, compte tenu de comment elle agit à notre égard dans le domaine commercial » !
Et de préciser : « La Russie est un adversaire dans certains aspects (pas tous donc…). La Chine est un adversaire économique. Sans aucun doute, ils (les Européens) sont des adversaires » tout court.
Réplique « twistée » de « Tusk », le « boss » de l’UE démocratiquement élu : Mais non « l’Amérique et l’UE sont les meilleures amies. Celui qui dit que nous sommes des ennemis diffuse de fausses nouvelles ».
Ah les « fakes-news », décidément…


Bon, c’est vrai, « Mythe-errant » l’avait déjà affirmé : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »
Je vais vous dire : Les USA sont en train de la perdre. Tout le monde reste ligué contre leur président. Européens certes (arrêt du TAFTA, rejet du CETA son petit-frère canadien), américains eux-mêmes (dénonciation de l’Alena, Canada, Mexique), Chinois et places asiatiques, mais pas encore ni le Japon ni les continents africain et sud-américain.
Ça va venir, ne vous en faites pas…
S’il n’est pas « destitué » avant.


En revanche, les russes, ce seraient de « grands-amis ». Vraiment encore plus drôle : La justice USA vient d’inculper officiellement 12 membres de la mouvance du GRU russe (le renseignement militaire : Quelle aubaine pour un éventuel roman d’été à suivre !) pour interférence électorale et pour avoir piraté les ordinateurs du parti démocrate en rappelant qu’en février dernier, treize ressortissants et trois sociétés russes avaient déjà été inculpés par le procureur Robert Mueller, accusés d’avoir mené une « guerre de l’information » sur les réseaux sociaux pour déstabiliser le système politique américain pendant la campagne.
Je vais vous dire, hors le vote référendaire irlandais sur l’avortement, il me semble que toutes les élections depuis 2016 – peut-être même un peu avant – sont « truquées » : C’est la nouveauté de la « démocrature » ambiante !


Donc voilà le président américain qui en « touche 5 » à « Poux-Tine » tout à sa satisfaction d’avoir réalisé un « mondial-parfait » (hors quatre « Pussy Riot » qui auront écopé de 15 jours d’embastillement, la peine maximale) à Helsinki.
Deux heures de tête-à-tête et les deux hommes ont affiché leur volonté de coopérer et d’écrire un nouveau chapitre des relations entre Washington et Moscou…
Parfait : Tant qu’il y a de l’entente entre « puissants », le monde peut prospérer en paix ! Et c’est bon pour le business : On va pouvoir leur revendre des Mistral…
Mais c’est l’attitude du 45ème président des États-Unis sur la question brûlante de l’ingérence russe dans la campagne 2016 qui a suscité la stupéfaction et une vague d’indignation d’une rare intensité même au sein même du Parti républicain.
« J’ai le président Poutine qui vient de dire que ce n’était pas la Russie. (…) Et je ne vois pas pourquoi cela le serait », a-t-il lancé, laissant entendre qu’il était plus sensible aux dénégations du président russe qu’aux conclusions unanimes des agences américaines du renseignement.
« Le président (« Poux-Tine ») conteste avec force ».
Oui, lui il conteste tout, même le shoot du MH17 au-dessus de l’Ukraine : Il n’est même pas au courant que la Russie envoie des troupes et du matériel au Donbass !
D’ailleurs, il ne comprend pas bien non plus les sanctions de l’UE (dans le sillage des USA) qui ont fait suite à l’annexion de la Crimée : Il y a eu « référendum populaire », n’est-ce pas ?
Qu’est qu’on vient lui chercher des poux dans la tonsure alors qu’il n’avait rien sollicité ?


Volée de bois vert : Le président doit réaliser que « la Russie n’est pas notre alliée », a lancé le chef de file des républicains au Congrès américain Paul Ryan.
Estimant que le sommet d’Helsinki avait été « une erreur tragique », le sénateur John McCain a vu dans cette conférence de presse l’« un des pires moments de l’histoire de la présidence américaine » et de l’accuser « d’avoir été non seulement incapable, mais de n’avoir pas voulu se dresser contre Poutine » et d’avoir fait « le choix conscient de défendre un tyran. »
Remonté, n’est-ce pas !
Le chef de l’opposition démocrate au Sénat, Chuck Schumer, pas mieux, a, lui, accusé le président de la première puissance mondiale de s’être montré « irréfléchi, dangereux et faible » face à son homologue russe.
Nancy Pelosi, chef de l’opposition démocrate à la Chambre des représentants, a évoqué « un triste jour pour l’Amérique » quand Jonathan Lemire de l’Associated Press aura posé la question. Réponse « percutée » : « Où sont les serveurs (informatiques du Parti démocrate, NDLR) ? Le président Poutine dit que ce n’est pas la Russie. Je ne vois pas de raison pour que ce soit elle. »
Résultat, un déluge : « Lamentable », « surréaliste », « répugnant », « horrible », « antipatriotique », « une honte nationale »…


Mais « Vlad-Poux-Tine » souhaitait-il voir « Trompe » l’emporter face à la démocrate « Il-a-ri-Pine-Tonne » ? « Oui », aura-t-il répondu ce dernier sans détour.
Raison avancée ? « Il parlait de normalisation des relations russo-américaines. » « Cette enquête est un désastre (…) qui a eu des conséquences négatives sur les relations des deux premières puissances nucléaires du monde », aura lancé le « ricain » en appui du dire.
« Nous avons mené une campagne remarquable et c’est la (seule) raison pour laquelle je suis président », a-t-il ajouté.
Peu avant la première poignée de main, il avait donné le ton dans un « twist » attribuant les mauvaises relations entre Washington et Moscou à… « des années de stupidité de la part des États-Unis » et à la « chasse aux sorcières » menée, selon lui, par le FBI qui enquête sur l’interférence russe dans la présidentielle de 2016.
« Le président russe nie avoir interféré dans l’élection de 2016, toutes les agences de renseignement américaines concluent l’inverse : qui croyez-vous ? »
« J’espère que nous avons commencé à mieux nous comprendre », a déclaré le russe, évoquant des pourparlers « très réussis et très utiles », tandis que le « ricain », debout à ses côtés dans un salon du palais présidentiel, louait un dialogue « direct, ouvert et très productif ».


Interrogé sur les rumeurs faisant état de dossiers compromettants détenus par Moscou sur son homologue, « Poux-Tine » les a écartées d’un revers de main : « Il serait difficile d’imaginer une plus grande absurdité ! Sortez-vous ces idioties de la tête », aura-t-il lancé.
Arrivé à Helsinki en milieu de journée après avoir assisté à Moscou à la victoire de la « Gauloisie-bleue » en Coupe du monde, « Vlad » a offert un ballon de foot au magnat de l’immobilier, visiblement ravi. « Maintenant, la balle est dans votre camp », s’est amusé le russe.
Même Fox News en a eu des états d’âme, c’est dire.


Le directeur du renseignement national, Dan Coats, nommé par « Trompe », a jugé bon de publier une mise au point immédiate, apparemment sans l’avoir fait valider par la Maison-Blanche : « Nous avons été clairs dans notre évaluation des interférences russes dans l’élection de 2016 et de leurs efforts persistants, généralisés, de saper notre démocratie. Nous continuerons à fournir du renseignement objectif et sans fard en appui de notre sécurité nationale. »
« Extraordinaire », s’est exclamé le New York Times.
Cette fois, « il a jeté aux orties toute notion conventionnelle sur la façon dont un président doit se comporter à l’étranger. Au lieu de défendre l’Amérique contre ceux qui la menacent, il attaque ses propres concitoyens et institutions tout en applaudissant le chef d’une puissance hostile. »
Le site du Washington Post affichait lundi soir une pleine page de chroniques aux titres incendiaires : « Trump remplace la fierté nationale par la vanité personnelle ». « C’est un fan de Poutine, un jour nous saurons pourquoi »…
Même le Wall Street Journal, habituellement mesuré dans ses critiques, se sera fendu d’un éditorial titré : « La doctrine ‘‘Trump d'abord’’ », estimant que son « empressement » au côté du président russe fut « un embarras national », et l’accuse « d’avoir projeté de la faiblesse. »
Les meks balançaient entre deux infamies : Est-il un faible ou un traître ?
Durant le vol du retour, l’américain aura  « twisté » à bord d’Air Force One : « J’ai une grande confiance dans mes responsables du renseignement. Toutefois, pour construire un meilleur avenir, nous ne pouvons pas nous focaliser sur le passé. Les deux plus grandes puissances nucléaires doivent s’entendre ! »
Pas bien sûr que ça les calme…


Alors qu’en dire ?
Bé là encore que c’était prévisible… Que croyez-vous donc qu’il y ait encore une place pour le hasard-hasardeux dans les « affaires du monde » ?
Même les attentats terroristes ne sont plus le fruit du hasard. Pas plus que les guerres qui foudroient l’été (et autres saisons).
Les deux présidents ne sont en réalité que des marionnettes aux mains de leurs « États-profonds » respectifs.
« Poux-Tine » ne peut que soutenir ses troupes (la Syrie, la Crimée, la Géorgie, le Donbass, le MH17, etc.). Même prit la main dans le pot de confiture, il niera avec la dernière énergie.
Le GRU manipulant les fichiers informatiques des démocrates, ce n’est pas lui.
Le Novichok qui empoisonne au hasard-hasardeux des britanniques, ce n’est pas lui.
Lui, il couvre les initiatives  de « ses troupes », c’est son rôle, le seul. Il ne peut pas faire autrement. En échange, il a une paix royale en interne… et se fait réélire impérialement.
« McDo-Trompe », pareil. Il a été porté là par d’autres qui ne sont pas lui. Mais eux ne veulent qu’une chose pour être de vrais « faux-kons » : Bien lui faire comprendre, à lui et à tous les autres, que s’il est destitué, il sera remplacé dans la seconde par plus « kon-servateur » que lui qui augmentera encore les budgets alloués au complexe « militaro-industriel ».
Ceux-là ne veulent pas nécessairement la guerre, mais des guerres : C’est bon pour leurs affaires que de faire régner la terreur sur le globe. Ça procure des budgets, du boulot et des dividendes…
Notez que quand on fabrique des armes (et les exportent à tour de bras), ça maintient les budgets de Recherche et développement et c’est fait pour s’en servir à un moment ou à un autre…


Alors deux présidents « en main » de leurs « États-profonds », forcément, ça ne peut que « se comprendre » et s’admirer mutuellement.
Et justifie de mettre le « boxon » partout où c’est possible (Otan, G7, UE, etc.). Les faiseurs de chaos déjà évoqués (http://flibustier20260.blogspot.com/2018/06/lutter-contre-le-chaos.html)
La guerre, nous y sommes : Elle est commerciale depuis deux ans, elle est politique depuis peu. Elle va débouler sur « les marchés » durant la fin de l’année, moment où l’argent va se faire rare : C’est déjà « minuté » dans les banques centrales.
Pour recomposer, in fine, la « géopolitique ».
Mettre à terre ses adversaires sans même tirer un coup de feu, c’est le pied !
Et ils viennent peu à peu…
Chaud, l’été : C’est prévu comme ça.

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