Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 13 juillet 2018

La semaine de Jean-Marc…

Celle-là me fait penser à la macagna


La « Macagna », c’est une spécialité de « Corsica-Belle-Tchi-Tchi », un peu comme les fromages-bombes-biologiques ou les liqueurs « allongées d’explosifs » prohibés.
Il s’agit d’humour, naturellement.


« – Tu es au volant d’une voiture et tu roules à vitesse constante.
À ta droite, un ravin à perte de vue.
À ta gauche, un camion de pompiers qui roule à la même vitesse et dans la même direction que toi (il est en train d’essayer de te doubler).
Devant toi, un cochon qui est plus gros que ta voiture.
Derrière toi, un hélicoptère qui te suit en rase motte.
Le cochon et l’hélicoptère vont à la même vitesse que toi.
Comment fais-tu pour t’arrêter ?
– Descends du Manège ! C’est plus de ton âge ! »
Dans l’originale bastiaise, c’était Dumè qui arrive tout enturbanné de pansements, claudiquant et qui se fait moquer par ses « collègues du bar des alcooliques anonymes ».
« – Eh, mi Dumè : Qu’est-ce qui t’es arrivé ?
– Ayo ! Tu ne croiras pas Angelo. Hier, je suis tombé de cheval. Ce faisant, une voiture m’a roulé dessus. Quand je me suis relevé, j’ai été renversé par un hélicoptère pour finir cabossé par le camion des pompiers !
– Aho ? Tu nous macagnes, là ?
– Tu ne me crois pas ? Tu m’offenses, là Angelo. Demande donc au gardien du manège, là-bas au bout de la place (San Nicolao) »


Une jeune rebelle très libérée entre dans un bar toute nue, va vers le bar et demande au garçon une bière bien froide.
Le barman reste là à la regarder sans bouger.
« – Qu’est-ce qu’il y a ? Vous n’avez jamais vu une femme nue ?
– Oh si, souvent !
– Et alors qu’est-ce que vous regardez ?
– Je voudrais simplement voir d’où vous allez sortir l’argent pour me payer ! »


Une mère à sa fille :
« – Les voisines disent que tu couches avec ton fiancé !
– Les gens sont des mauvaises langues. Il suffit de coucher avec quelqu’un pour qu’aussitôt on dise que c’est ton fiancé ! »


Un Français, un Anglais et un Américain sont capturés par une tribu d’indiens.
Le chef indien :
« J’ai une mauvaise nouvelle pour vous autres : Nous allons vous tuer tous les trois et utiliser votre peau pour se faire un canoë. Consolation, vous pouvez choisir comment vous voulez mourir. »
L’américain dit : « Je choisis le poison… »
Le chef lui donne. L’américain le boit d’un trait et tombe raide mort en disant : « Vive l’Amérique ».
L’Anglais dit : « Le pistolet pour moi… »
Il prend le pistolet, se tire dans la tête en disant « God Save the Queen ».
Le français dit : « Donnez-moi une fourchette… »
Le chef indien est très intrigué, mais il lui donne une fourchette.
Et alors commence alors à se donner des coups de fourchette partout sur le corps jusqu’à saigner abondamment.
Le chef :
« – Mais, qu’est-ce que vous faites là ?
– Aaarggh… Ça…Aaargghhh… Ça… C’est pour ton canoë, du con ! »


Jean-Marc entre dans un bar et se dirige justement vers le bar, où il s’assit.
Le barmaid, voyant son air plutôt masculin, lui lance :
« C’est un bar gay, ici, monsieur. »
Jean-Marc : « C’est pas grave, je veux juste une bière ! »
Le Barmaid : «  Si tu veux rester ici, il faut que tu donnes un nom à ton pénis. Par exemple, lui là-bas, avec la petite jupette, il s’appelle Maxwell House : « Bon jusqu’à la dernière goutte ». Le gros en face, c’est Colonel Sanders : « Bon à s’en lécher les doigts ». L’autre un peu plus loin, c’est Monsieur Juteux… Euh… Enfin… L’autre juste à côte, qui lui tapote les fesses, c’est Nabob : « Celui qui a la graine la plus recherchée en ville »…
Jean-Marc réfléchit quelques minutes, puis dit :
« Dans ces condition, Moi je vais l’appeler Secret : « Assez fort pour un homme mais conçu pour une femme ». »


« – Germaine es-tu malade ? Je te le demande car j’ai vu sortir un docteur de chez toi ce matin.
– Écoute, hier matin j’ai vu sortir un militaire de chez toi et ce n’est pas pour autant que tu es en guerre, pas vrai ? »


Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes.
En passant devant la chambre de sa grande sœur, il entend du bruit. Il colle son oreille à la porte et entend sa sœur qui dit :
« Ho ! C’est bon. C’est Bon…! »
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille, il demande au copain de sa sœur :
« – Dis Pierre, c’est quoi que tu donnais à manger à Germaine pendant la nuit, elle disait que c’était bon ?
– C’était du chocolat.
– Menteur va ! Ce n’est pas vrai, c’était du saucisson ! J’ai retrouvé la peau sous le lit… »


Jean-Marc et Germaine entrent dans un restaurant et s’assoient près d’un autre couple.
L’homme de l’autre couple dit à sa femme :
« S’il te plaît, passe-moi le sucre, sugar. »
Sa femme lui passe le sucre, heureuse de se faire appeler « sugar ».
Un peu plus tard, il lui dit :
« Passe-moi le miel, s’il te plait, honey. »
La femme lui passe tout de suite le miel, ravie.
Alors Germaine dit à son Jean-Marc :
« – J’aimerais que tu m’appelles par de jolis noms comme le fait le mari de cette femme.
– OK, passe-moi la crème, épaisse. »


Exposé de Jean-Marc : « Prenez note Messieurs. Une mouche vient se poser sur la croupe d’un taureau. Celui-ci lui balance un coup de queue… et la rate.
Quelques secondes plus tard, l’effrontée se pose sur son dos, re-grand coup de queue, re-ratée !
La mouche vient alors se poser sur son museau. Le taureau exaspéré lui donne un coup de langue qui laisse la mouche raide morte.
Moralité : Ce que tu n’arrives pas … à faire avec la queue finis-le avec la langue ! »


Deux amis d’enfance, l’un Écossais, l’autre Juif de New-York, fêtent leurs retrouvailles un soir dans les pubs de Glasgow.
Après quelques bières, l’appel de la nature se fait sentir et nos compères doivent visiter les toilettes.
L’Écossais vide sa vessie dans le premier urinoir venu, mais son copain a besoin de faire la grosse commission… Au bout de quelques minutes, le Juif s’écrie :
« – Nom de D… de B… de M… !
– Qu’est-ce qui se passe ? » demande l’Écossais.
« Eh bien, en me relevant, il y a une pièce vingt pence qui est tombée de la poche de mon pantalon et qui s’est retrouvée dans la cuvette ! »
L’Écossais rejoint alors son pote dans la cabine et regarde le fond de la cuvette d’un air préoccupé.
Les deux gars secouent la tête de tristesse, révoltés contre tant d’injustice.
Puis, l’Écossais fouille le fond sa poche et il laisse tomber une pièce de deux pounds dans les toilettes.
« Eh, mais t’es cave, toi ! Pourquoi t’as fait ça ? » demande le Juif.
« Oh, je n’allais quand même pas plonger ma main dans ta merde pour 20 pence ! »


Un couple de malades mentaux se promène, main dans la main, au bord de l’eau.
Soudain, la jeune malade glisse et tombe dans l’eau profonde jusqu’à disparaître.
Le jeune fou qui l’accompagnait, a le réflexe d’enlever sa veste puis ses souliers et fait un plongeon digne d’un champion.
Il réussit non sans peine à sauver sa partenaire d’une mort certaine.
Le directeur de l’hôpital psychiatrique, très admiratif de cette réaction et du courage du jeune malade, décide de le féliciter en réunissant l’ensemble du personnel.
« Le geste, la réaction lors de l’incident que vous avez vécu, est un acte de bravoure. Je voudrai vous informer de deux choses : Je commence par la première celle de vous annoncer que vous n’êtes plus considéré comme malade et que vous êtes libre de regagner vos parents à partir de cet instant à condition de prendre régulièrement vos médicaments. »
(Applaudissements).
« La seconde est une triste nouvelle. Après ce que vous avez vécu, le jour de l’accident, nous avons rendu visite à la demoiselle que vous avez sauvée. Nous avons été dans sa chambre et, malheureusement, elle s’était pendue…elle s’est suicidée. »
À ces mots, le malade interrompt le directeur pour lui dire :
« Mais non Monsieur le Directeur, elle ne s’est pas suicidée. C’est moi qui l’avait accrochée pour mieux la sécher ! »

Et on finit avec une « revenue » qui s’est superbement enrichie à l’occasion de son tour du monde.
On se souviendra avec émotion que quand elle a été lancée dans notre rubrique (il y a plus de 10 ans de ça par « VCRM » (mon Vénérable Correspondant des Rives de Méditerranée) elle s’arrêtait au « capitalisme » :


Définitions politiques :


Le SOCIALISME : Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous vous partagez le lait.


Le COMMUNISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.


Le FASCISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.


Le NAZISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.


La DICTATURE : Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.


Le FEODALISME : Vous avez deux vaches. Le seigneur s’arroge la moitié du lait.


La DEMOCRATIE : Vous avez deux vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.


La DEMOCRATIE REPRESENTATIVE : Vous avez deux vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.


La DEMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez deux vaches. Vous écopez d’une amende pour détention de bétail en appartement.


L’ANARCHIE : Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.


Le CAPITALISME : Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.


Le CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez deux vaches. Vous en vendez Trois par votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un « échange de dettes contre participation », assorti d’une offre publique, et vous récupérez quatre vaches dans l’opération tout en bénéficiant d’un abattement fiscal pour entretien de cinq vaches. Les droits sur le lait de six vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d’une société des îles Caïman, détenue clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de sept vaches. Au rapport de ladite société figurent huit ruminants, avec option d’achat sur une bête supplémentaire. Entre temps vous abattez les deux vaches parce que leur horoscope est défavorable.


Le CAPITALISME SAUVAGE : Vous avez deux vaches. Vous équarrissez l’une, vous forcez l’autre à produire autant que quatre, et vous licenciez finalement l’ouvrier qui s’en occupait en l’accusant d’avoir laissé la vache mourir d’épuisement.


La BUREAUCRATIE : Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles d’hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l’autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.


L’ÉCOLOGIE : Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.


Le FEMINISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.


Le SURREALISME : Vous avez deux girafes. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d’harmonica.


Le CAPITALISME EUROPEEN : Vous avez deux vaches. On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache. On fixe des quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la 3ème année pour abattre la 3ème vache.


La MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE : Vous avez deux vaches. Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l’autre. La vache vivante devient folle. L’Europe vous subventionne pour l’abattre. Vous la donnez à manger à vos deux moutons.


Le CAPITALISME A LA FRANCAISE : Vous avez deux vaches. Pour financer la retraite de vos deux vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : La CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amis les bêtes).
Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production du lait : Le RAB (Remboursement de l’Ardoise Bovine).
Les vaches se mettent en grève. Il n’y a plus de lait. Les français sont dans la rue: « DU LAIT, ON VEUT DU LAIT ».
La France construit un laitoduc sous la manche pour s’approvisionner auprès des Anglais. L’Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. Le laitoduc ne servira jamais. On lève un nouvel impôt pour l’entretien du laitoduc.


Bonne fin de semaine à toutes et à tous !


I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire