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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 3 juin 2018

Rapide comme l’éclair, l’information a fait le tour de la planète…

Une véritable traînée de poudre !
 
Le « Warp Drive » : Le ministère de la défense US a rendu public un rapport sur le voyage supra-luminique !
Je rigole lourdement.
Avec « MacDo-Trompe », avec « Poux-Tine », avec « l’empereur XI », on est en plein retour de guerre-froide et sa course aux armements.
Le dernier envoie un engin pour explorer la face cachée de la Lune et le fait savoir, le second expose à qui veut l’entendre que ses « indurtiels » vont mettre en place un missile anti-aérien (le S 500) capable de « démonter les boulons » de n’importe quel drone (et autre avion. Au passage, je ne te vous raconte pas le coût du missile tiré pour abattre une cible de trois-francs-six-sous…), même furtif, même hypersonique, à 500 km de distance, le premier ne pouvait pas faire moins que de montrer ses muscles.
Une stratégie qui parfois fonctionne (la guerre commerciale qui n’aura probablement pas lieu) parfois ne fonctionne pas (la Corée ?).

De quoi s’agit-il ? D’une série d’études concernant des technologies aérospatiales avancées, et notamment une étude rendue publique concernant la distorsion spatio-temporelle (« Warp Drive ») afin d’effectuer des voyages supra-luminiques.
Le « Faucon millénium » de Han Solo, ça vous rappelle quoi ?
Vous ne le savez peut-être pas, mais il s’agit seulement d’une « hypothèse-mathématique » émise il y a plus de deux décennies.
Mais qui désormais est prise au sérieux.
Car la possibilité d’utiliser l’énergie noire et les dimensions supplémentaires pour distordre l’espace est évoquée, même si selon le physicien Sean Carroll, ces technologies ne pourraient être effectives avant au moins un millier d’années.
En fait, du temps où je régatais, c’est un peu comme l’histoire des coques dégoulinantes de flotte ou des coques-sèches : Comment aller plus vite à la voile dans des conditions données ? En réduisant la résistance aux frottements de la coque dans l’écoulement de l’eau le long d’elle-même (qu’on souhaitait « laminaire » le plus loin possible vers la poupe, d’où l’optimisation des profils des voiliers, voire la solution de l’hydrofoil) en emportant avec elle une « couche adhérente » de flotte (frottement eau/eau, insensible, on ne sait pas la calculer) ou non ?
Dans le premier cas, le voilier emporte « son eau avec lui », dans le second (les coques sèches), il évacue la couche laminaire le plus vite possible…
Comme rien n’est jamais parfait en mécanique des fluides, aucune des deux solutions n’a eu le dessus et les surfeurs continuent de « farter » leurs planches.
Sur un 40 pieds, ça n’a rien d’évident : On a laissé pisser au fil du temps.

Ceci dit, on a ainsi appris qu’à la fin du mois d’août 2008, l’US Department of Defense a embauché plusieurs dizaines de chercheurs afin d’explorer des pistes technologiques ultra-avancées pour l’aérospatiale, incluant des méthodes de propulsion et de camouflage inédites.
Deux chercheurs, le physicien Richard K. Obousy (Icarus Interstellar) et l’astrophysicien Eric W. Davis (consultant à la NASA) ont rendu un rapport de 34 pages le 2 avril 2010, intitulé « Warp drive, énergie sombre et manipulation des dimensions supplémentaires ».
Et c’est celui-ci qui vient d’être rendu public par la Defense Intelligence Agency (DIA qui n’a rien à voir avec la drogue).
Ce n’est pas la première fois qu’Obousy travaille sur le voyage par distorsion spatiale. Depuis les années 2000, il a publié un certain nombre d’études concernant la faisabilité d’un tel moyen de déplacement. Les auteurs du rapport suggèrent que les scientifiques ne seraient pas si loin d’appréhender les dimensions supplémentaires et la nature de l’énergie noire (suspectée être à l’origine de l’accélération de l’expansion de l’univers).
Ils ne le savent pas encore : Elle existe, mais n’est pas là où on la cherche…
« Le contrôle de ces dimensions spatiales supplémentaires pourrait permettre de manipuler technologiquement la densité de l’énergie noire et pourrait aboutir au développement de technologies de propulsion exotiques ; notamment le ‘‘Warp drive’’. Des voyages entre les planètes de notre système solaire ne prendraient alors que quelques heures plutôt que des années, et des voyages vers les systèmes stellaires locaux ne prendraient que quelques semaines plutôt que des centaines de milliers d’années ».
On peut toujours faire de jolis rêves…


Cependant, Sean Carroll, physicien théoricien spécialiste de l’énergie noire et de la relativité générale au Caltech, se montre moins optimiste et plus nuancé. « Ce sont des morceaux et des pièces de physique théorique habillés comme s’ils étaient vraiment reliés à de potentielles applications dans le monde réel, alors que ce n’est pas le cas. Ce n’est pas pour autant quelque chose de fou ou un discours de Maharishi affirmant que nous allons utiliser l’énergie spirituelle pour voler, c’est de la vraie physique. Mais ce n’est pas quelque chose qui pourra être utilisé en ingénierie à court terme, et peut-être même probablement jamais ».
Ah bon ? Ô déception, Ô rage, Ô désespoir !
Il nous faut revenir aux origines pour comprendre : Les études concernant la distorsion spatiale proviennent d’un document militaire concernant l’évaluation technologique des menaces extérieures, c’est-à-dire un document aidant l’armée américaine à évaluer et prédire les nouvelles technologies développées par les pays/organisations « ennemis », y compris celles de nature tout à fait théorique. Et cette étude-là s’inscrit également dans une série de rapports sur les technologies avancées destinés au Programme d’Application de l’Aérospatiale Avancée et des Systèmes d’Armement.

Ce programme incluait notamment le Programme sur l’Identification des Menaces de l’Aviation Avancée (destiné notamment à évaluer les événements d’objets volants non-identifiés [les OVNIs], rapportés par le personnel militaire).
C’est que ça met toujours en ébullition le neurone des Ufologues (et autres « (f)Ummistes ») ces choses-là…
Les Ovnis, il y en a tellement dans notre ciel, qu’on en arrive à ne même plus les distinguer d’avec de vraies machines humaines – c’est pour ça qu’on les observe et on les guette – et que de toute façon personne ne comprend comment ils peuvent venir de si loin (car c’est forcément plus loin que la gare Saint-Charles), provoquant une peur panique (c’est un des effets recherchés) des technologies extra-terrestres « plus avancées ».
En fait, ces observations existent depuis une demi-dizaine de milliers d’années, et ça fait des décennies qu’on « écoute » les improbables signaux venus de l’espace, alors que des milliers d’appareils détectent « tout ce qui bouge » dans notre système solaire, sans que la civilisation des humains n’ait pu encore être détruite…
J’ai bien une autre solution pour expliquer ce paradoxe, mais ça ne convient à personne…

Revenons à notre sujet : Les auteurs de l’étude font appel à diverses notions physiques bien établies dans la communauté scientifique, parmi lesquelles l’énergie noire, la relativité générale et la déformation géométrique de l’espace-temps, l’énergie quantique du vide et l’effet Casimir, ainsi que la théorie M, la théorie unifiant les 5 théories des super-cordes et prédisant l’existence de 7 dimensions supplémentaires qu’une technologie comme le « Warp drive » pourrait exploiter.
La combinaison de ces différentes notions permet d’aboutir, selon eux, à une propulsion supra-luminique. « Si l’on souhaite maintenir l’idée réaliste de l’exploration interstellaire dans le délai d’une vie humaine, alors un véritable changement de paradigme concernant la propulsion spatiale est nécessaire », expliquent les auteurs.
Oui, là, pas de doute.
Jusque-là, les meilleurs auteurs de science-fiction (et autres futurologues) utilisent la cryogénisation pour garder une « unité d’action » de leur récit, mais c’est du flanc : L’eau contenue dans notre corps l’exploserait irrémédiablement comme d’une bouteille d’eau en verre mise dans un congélateur…

Pour faire « plus-vrai », l’étude inclut un tableau comportant différentes destinations et les temps de voyage théorique vers celles-ci en utilisant la distorsion spatiale, afin de voyager à 100 fois la vitesse de la lumière dans le vide. Selon les auteurs, le « Warp drive » pourrait fonctionner en manipulant l’énergie noire de manière à dilater une dimension supplémentaire, qui formerait alors une grosse bulle dans laquelle évoluerait un gros engin spatial dans lequel seraient enfermés un équipage et ses passagers, tout aussi naturellement que dans un avion.
Une telle bulle pourrait contenir un vaisseau ou un volume de 100 m3.
Une contraction de l’espace-temps en avant du vaisseau et une dilatation à l’arrière, pourraient ainsi permettre de propulser l’ensemble bulle-vaisseau dans une sorte de « tube d’espace-temps », sans techniquement dépasser la vitesse de la lumière.
Idée assez géniale en soi : C’est l’histoire du voilier « mouillé » qui se promène sur son parcours olympique entre trois bouées avec « sa bulle d’eau » collée à sa coque…
Grâce à la métrique d’Alcubierre, en contractant l’espace-temps à l’avant d’un vaisseau et en le dilatant à l’arrière, le voyage supra-luminique deviendrait alors possible.

Sean Carroll rappelle heureusement qu’il ne s’agit pas là d’une idée démente mais bien d’un véritable concept physique développé par le physicien mexicain Miguel Alcubierre en 1994 : La métrique d’Alcubierre. Cette dernière implique une déformation ondulatoire de l’espace-temps, qui se contracte dans une direction et se dilate dans une autre, à l’opposé.
« Vous ne pouvez pas aller plus vite que la lumière, mais vous pouvez imaginer distordre l’espace-temps et donner l’impression que vous voyagez à une vitesse supra-luminique » explique Carroll. « Si vous souhaitez rejoindre Alpha Centauri par exemple, vous pouvez vous demander : puis-je distordre l’espace-temps et me retrouver à côté d’Alpha Centauri afin que cela me prenne des jours plutôt que des dizaines de milliers d’années ? La réponse est oui, vous pouvez théoriquement le faire ».
Mais selon Carroll, les auteurs exagèrent leur analyse. « Il y a quelque chose appelé « Warp drive », il y a des dimensions supplémentaires, l’effet Casimir (dans le vide absolu, deux objets se repoussent avec une puissance supérieure à celle de la gravitation) et, l’énergie sombre tous sont de véritables concepts physiques. Mais il n’y a aucune chance pour que quelqu’un de notre époque ou des 1.000 prochaines années construisent quelque chose en rapport direct avec ces concepts, que ce soit pour des questions de défense ou pour d’autres raisons ».
À force de le dire et de le redire, on finira par en être convaincu…
Sauf que je serai moins pessimiste que lui, si on remettait les points sur le « i » et résonnait sur ce que l’on sait.

Carroll indique que le « Warp drive » est actuellement déconnecté de la réalité physique, car personne ne connaît la nature de l’énergie noire, ne sait la créer ou encore la stocker. En outre, la quantité d’énergie noire requise pour faire voyager un volume de 100 m3 vers Alpha Centauri en seulement quelques années est phénoménale.
« Si vous annihiliez la Terre pour la transformer en pure énergie, cela correspondrait à la quantité d’énergie qu’il vous faudrait, tout en sachant qu’en réalité, c’est de l’énergie à pression négative qu’il vous faut, et que personne n’a d’indice sur comment en produire » explique Carroll.
« C’est vraiment un discours démesuré, ce n’est pas comme s’il suffisait de dire « Oh, nous avons besoins de meilleurs transistors ! » ; c’est quelque chose de complètement en dehors du domaine de la faisabilité ».
Point-barre.


Effectivement, le « Warp drive » nécessite une importante quantité d’énergie noire (énergie à pression négative) pour fonctionner. Or, les physiciens ne connaissent pas encore la nature de l’énergie noire, ni comment la produire ou la stocker. Notez que ce n’est jamais que de l’énergie positive avec un signe négatif devant acquise aux termes de la super-symétrie dont on vérifie les effets tous les jours dans les labos de recherche, mais sans encore être complet.
Et les auteurs sont conscients de l’aspect spéculatif de leur hypothèse et reconnaissent que la quantité d’énergie négative requise est effectivement incroyable. Ils ajoutent, conscients de leurs lacunes, qu’une « compréhension complète de l’énergie noire pourrait prendre encore plusieurs années ».
Pour sûr !
L’étude suggère tout de même qu’une « découverte expérimentale majeure au LHC ou que des développements concrets de la théorie M, pourraient conduire à un véritable bond quantique dans la compréhension de l’énergie noire, et peut-être aider au développement d’innovations technologiques ».
Admettons.
Outre ces lacunes scientifiques actuelles concernant l’énergie noire et la théorie M, le « Warp drive » comprend en lui-même des risques : En effet, la distorsion spatio-temporelle pourrait créer une instabilité à l’allumage du vaisseau et entraîner une perte de contrôle totale. À l’arrêt du vaisseau et de la distorsion, le rayonnement de Hawking pourrait incinérer le vaisseau tout entier.
Enfin, la décélération pourrait transformer les poussières et gaz alentours en particules de haute énergie, à l’origine d’une onde de choc disloquant le vaisseau.
Candidat au suicide « haute-technologique » ?
« C’est possible dans le sens où je ne peux pas exclure l’idée, mais je ne pense pas que ce soit vraiment faisable. Je pense que si nous connaissions mieux la physique, nous dirions simplement « Non, nous ne pouvons pas faire ça » » conclut Carroll à propos du « Warp drive » et des voyages supra-luminiques.
Bref, un rapport pour expliquer aux contribuables « ricains » où passe son pognon, éventuellement pour les rassurer et accessoirement pour faire peur aux soviétiques à « Poux-Tine » et ses missiles « indestructibles ».


Ceci dit, j’ai à vous proposer d’autres explications, d’autant mieux, c’est que ce n’est pas moi qui les ai inventées.
Voyage interstellaire dans la durée d’une vie d’homme ? Simple et elles sont déjà dans les équations de la relativité générale et de la physique quantique : Prendre le temps comme d’une « vraie dimension ». Je veux dire au moins comme l’espace en a trois, pourquoi le temps n’en aurait qu’une (du passé vers futur) ?
Et pourquoi donc ? Seulement parce qu’on ne sait pas ce que c’est que du temps « négatif ». On n’a jamais vu…
Sauf que peut-être, je dis bien « peut-être », le phénomène OVNI : Une technologie humaine qui revient faire des « études » et passer quelques messages, sur son passé.
Quelques indices peuvent le laisser présumer, mais ce ne sont pas des preuves.
Je n’y connais strictement rien, mais « inverser » le sens des équations n’en changent pas pour autant la signification. Si « a » = « b », chez moi, ça veut dire que « b » = « a » (ou alors il s’est passé quelque chose et qu’on ne m’en a rien dit).
Quant à la « technologie qui va avec », elle serait une conséquence logique du  « neutron-spiné », aggloméré en « neutronium » dont les spins seraient alignés, une débauche d’énergie plus facile à maîtriser et on retombe sur nos 7 dimensions, trois pour l’espace, autant pour le temps et une énième pour la coordination (les effets d’intrication et tout le reste des mystères contemporains).
Ce n’est pas moâ qui le raconte, mais « mes pirates ».

Moâ, je n’y connais rien, mais j’en ai compris assez pour rendre la monnaie de leur pièce et « compléter » ces posts venus de nulle part, avec trois chapitres du dernier opus-estival (Ultime récit).

Et du coup, « trouver » l’origine de l’énergie noire en usant des outils de la métrique d’Alcubierre…
Bon, ce n’est jamais qu’un roman, mais j’ai bien mis dix ans à l’élaborer, sans savoir que je pouvais « m’y accrocher » (ni deviner que j’en aurai la faculté pour devoir survivre jusque-là). C’est que c’est assez stupéfiant comme ça, de rentrer sur mon ancien blog sans en avoir les codes pour jeter mes « belles photos de vacances » (alors que sur ce blog, je ne sais pas mettre de photo en ligne) et les remplacer par un texte absurde qui n’a rien à voir avec mes attraits-habituels du moment.
Et d’ailleurs, dans l’opus de l’été prochain, je confirme : Pourquoi moâ ?
Il y a des gens beaucoup intelligents que moi que ça aurait pu intéresser pour en extraire le meilleur. Il me fallait vous donner une explication logique.
C’est fait, je peux désormais disparaître…


Bonne fin de journée à toutes et à tous !



I3


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