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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 22 juin 2018

C’est l’été depuis hier…


Alors, ça chauffe et ça ramollit le neurone.


Tout ça pour vous prévenir que le niveau de notre RDV du vendredi aurait tendance à baisser : Mais on va se reprendre.


« Quand j’avais 10 ans à l’école, j'apprenais dans l’ordre les conjonctions de coordination : Mais, ou, et, donc, or, ni, car.
Avec l’âge j’ai plus de 60 ans et je m'en souviens encore mais… dans le désordre :
Mais, ou, est, donc, mon, ri, car. »


« – Dis donc, à quoi reconnaît-on le slip de Dark Vador ?
– À son côté obscur. »


Et tout de suite, quelques « revenues » :


« – Pour les chasseurs, quelle est la ressemblance entre un chien et un renard ?
– Environ 10 bières. »


« – Quelle est la définition de la confiance absolue ?
 – C’est quand 2 cannibales font un 69. »


« – Papa, quand je suis né qui m’a donné mon intelligence ?
– Sans doute ta mère parce que, moi, j’ai encore la mienne ! »


« – Quelle est la différence entre des brocolis et des crottes de nez ?
– Essayez donc de faire manger des brocolis à un enfant pour voir… »

Un jeune marié stipule ses « règlements » à sa nouvelle épouse :
« 1°) Je me lève quand je veux et je vais dormir quand je veux.
2°) Quand je reviens du boulot, la maison doit être impeccablement propre et mon dîner prêt.
3°) Les week-ends je sors avec mes copains et je décide de l’heure à laquelle je rentre à la maison, des questions ? »
Sa nouvelle épouse lui répond que non et lui dit très calmement :
« Moi, je n’ai qu’une seule règle… Ici on baise tous les soirs à sept heures, que tu sois là ou pas ! »


Au cours d’un jugement pour divorce, le couple se dispute la garde du fils unique.
La mère, très émue, se défend :
« Monsieur le Président … Cet enfant a été conçu en moi… Cet enfant est sorti de mon ventre… Donc je mérite de le garder ! »
C’est mon fils, ma bataille, il ne fallait pas qu’il s’en aille et tout ça…
Le juge, tout aussi ému et presque convaincu, laisse la parole au futur ex-mari.
Celui-ci utilise son côté pragmatique :
« Monsieur le Président je n’aurai qu’une question : Quand j’introduis une pièce dans un distributeur de boissons, la canette qui en sort est à moi ou à la machine ? »

Et quelques « nouveautés » :

Un bar avait été construit devant un cimetière.
Le propriétaire avait installé une enseigne qui disait :
« Quoi qu’on dise, quoi qu’on y fasse, on est mieux ici qu’en face !  »
Lorsque celui qui entretenait le cimetière a vu l’enseigne, il en a également fait poser une devant le cimetière qui disait :
« Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, tous ceux qui sont ici viennent d’en face !  »

« Maman, maman, j’ai vu un airplane ! J’ai vu un airplane ! »
La maman répond :
« – Mon fils, on dit avion…
– Ok maman, j’avions vu un airplane. »

Germaine rentre chez elle après avoir fait du shopping et elle entend des bruits bizarres venant de la chambre à coucher.
Elle se précipite en haut et trouve son mari, Jean-Marc, tout nu, allongé sur le lit, en sueur et tout essoufflé.
« – Mais qu’est-ce qui se passe ici ?
– Je suis en pleine crise cardiaque. »
Germaine se précipite en bas pour appeler le SAMU, mais au moment de faire le numéro, son fils de 4 ans arrive et dit :
« Maman, Maman ! Tante Marie-Jeanne se cache dans ton armoire et elle est toute nue. »
La dame raccroche brutalement et monte en vitesse dans la chambre, ouvre la porte de l’armoire violemment et, pour sûr, y trouve sa sœur, complètement nue et recroquevillée par terre.
« Salope ! Mon mari est en train de crever avec une crise cardiaque et tu joues à cache-cache avec les enfants ! »

Une petite expérience valant mieux qu’un long discours, un curé décide qu’une démonstration donnerait plus de poids à son sermon du dimanche.
Pour cela, il met quatre vers de terre dans quatre flacons :
Le premier ver dans un flacon d’alcool.
Le second dans un flacon plein de fumée de cigarette.
Le troisième dans un flacon de sperme.
Enfin le dernier, dans un flacon d’eau bien propre.
À la fin de son sermon, le curé donna les résultats de l’expérience :
« Le ver dans le flacon d’alcool est mort.
Le second, dans le flacon plein de fumée de cigarette, est mort.
Le troisième, dans le flacon de sperme, est mort.
Le dernier, dans le flacon d’eau bien propre, a survécu. »
Le curé demande alors à l’assemblée :
« Quels enseignements pouvons-nous retirer de cette démonstration ? »
On entend alors la voix de Jean-Marc, du fond de l’église :
« Tant qu’on boit, qu’on fume et qu’on baise, on n’aura pas de vers ! »

Le lendemain de leur mariage, un dimanche, le nouveau marié dit à sa jeune épouse :
« Ma mère m’a toujours dit qu’avant d’aller à la messe, on a le devoir de faire l’amour. »
Et ils le font.
En revenant du service religieux, le mari dit :
« D’après mon père, on a le devoir de faire l’amour avant le déjeuner. »
Et ils le font à nouveau.
Le soir avant de préparer le dîner :
« D’après mon oncle, on a le devoir de faire l’amour avant le dîner. »
Et ils le font à nouveau.
Au moment de se coucher pour dormir, il dit :
« Mon grand-père disait qu’on avait le devoir de faire l’amour le soir. »
Et ils le font une fois de plus.
Ils finissent par s’endormir et le lendemain matin, au réveil, le mari dit :
« Ma tante dit qu’on doit toujours commencer la semaine en faisant l’amour. »
Et ils le font encore une fois.
Dans le courant de la matinée, l’épouse croise une collègue au travail qui lui dit :
« – Comment ça se passe avec ton nouveau mari ?
– Et bien écoute…Comment dire… Ce n’est pas vraiment un intellectuel... Mais il est issu d’une excellente famille ! »

Un prêtre catholique, un prédicateur baptiste et un rabbin qui sont amis dans le civil, se retrouvent chaque semaine pour prendre un café.
Un jour, ils se lancent un défi et décident que chacun ira dans les bois pour tenter de convaincre un ours de se convertir à leur religion.
Sept jours plus tard, ils se réunissent au domicile du rabbin pour discuter de leurs expériences.
Le prêtre, qui avait un bras en écharpe, portait des béquilles et des bandages sur le torse et les bras, commença :
« Je suis allé dans les bois et quand j’ai trouvé un ours, j’ai commencé à lui lire de mon catéchisme. L’ours ne voulait pas m’écouter et m’a agressé sauvagement. Alors j’ai pris ma bouteille d’eau bénite et je l’ai arrosé et… il est devenu aussi doux qu’un agneau. L’évêque va venir la semaine prochaine pour lui donner la première communion et la confirmation. »
Puis ce fut le tour du révérend protestant qui arriva sur une chaise roulante avec un bras et une jambe dans le plâtre :
« J’ai trouvé un ours et j’ai commencé à lui lire les Saintes paroles de Dieu. Alors il a m’a frappé et nous nous sommes battus. Nous avons lutté jusqu’au bas de la colline où se trouvait un ruisseau. Alors je l’ai baptisé dans l’eau et il est devenu doux comme un agneau. Nous avons passé le reste de la journée à faire l’éloge de Jésus. Alléluia ! »
Enfin le rabbin qui était couché dans son lit, le corps recouvert de bandages et sous perfusion prend la parole avec difficulté :
« En y repensant, je me demande si je n’ai pas eu tort de commencer par la circoncision… »

Un clochard arrive devant le palais de l’Élysée et gare son vélo.
Aussitôt un policier de service arrive et lui dit :
« Vous ne pouvez pas laisser votre vélo ici. Vous êtes devant le palais présidentiel. Ici passent, le président, les ministres, les députés, les sénateurs et de nombreuses personnalités ! »
L’ivrogne le toise de la tête aux pieds et lui répond :
« T’inquiète pas, mon gars : Je vais mettre un cadenas ! »

Jean-Marc rentre à la maison avec sa petite fille qu’il vient tout juste de prendre à l’école.
La petite fille lui dit :
« Dis papa, je t’ai vu au bureau avec ta secrétaire. Pourquoi est-ce que tu l’appelles « poupée » ? »
Sentant l’œil noir de sa femme planer au-dessus de lui, Jean-Marc s’explique :
« – Heu, tu sais ma chérie, ma secrétaire est quelqu’un qui travaille énormément et qui gère mon emploi du temps mieux que personne. Tu ne peux pas savoir comment elle tape bien le courrier et comment elle maîtrise bien l’ordinateur aussi. C’est quelqu’un de très efficace. C’est pour cela que je l’appelle « Poupée » c’est une façon de lui montrer ma reconnaissance…
 – Oh… Je pensais que c’était comme ma Barbie car quand on la couche, elle aussi ferme les yeux. »

Jean-Marc commande un petit déjeuner :
« – Deux œufs, svp…
– Et comment vous les voulez vos œufs ?
– Un à côté de l’autre… Et deux toasts, mais grillées juste d’un côté. »
La serveuse lui apporte ses toasts, mais Jean-Marc lui dit :
« – Mademoiselle, elles ne sont pas toastées du bon bord.
– Ha bien, ce n’est pas grave, je vais vous en faire préparer deux autres.
– Ha », dit-il. « Laissez donc faire, je vais les manger à l’envers. »

Le directeur de l’hôpital psychiatrique fait son tour hebdomadaire.
Soudain, il aperçoit un malade lavant son canari (brosse dure, savonnette, etc.).
« Mais, tu vas le faire mourir ! » lui dit-il.
« – Non, non, monsieur le directeur, je ferai attention !
– Tant pis, je t’aurais prévenu ! »
Un quart d’heure plus tard le directeur repasse et vois son patient pleurer.
« – Sniff, il est mort !
– Ah, mais ne t’avais-je pas prévenu de ne pas le laver ?
– Sniff, c’est pas quand je l’ai lavé, c’est quand je l’ai essoré en le tordant ! »

Bonne nouvelle : Les laboratoires Pfizer annoncent l’arrivée en pharmacie de deux nouveaux médicaments qui atténuent les conflits de couple… !
De plus, ils occasionnent très peu d’effets secondaires.
Le « DICOMEL » (Dis comme elle…) et le « LIPUIDOR » (Lis, puis, dors…)

« – Quel est le comble pour un fantôme ?
– C’est d’être dans de beau drap ! »

Coluche et la mode vestimentaire :
« Dans les années 30, il fallait écarter la culotte pour voir les fesses ; aujourd’hui il faut écarter les fesses pour voir la culotte… »

Et puis comme c’est l’été et que vous aurez à cœur de ne pas laissez aller votre neurone, une petite énigme (juste pour le plaisir) :

Un automobiliste roule sur une portion de route entre deux villes distantes de 100 kilomètres.
À l’aller, il met pile une heure : 100 km/h de moyenne.
Au retour, gêné par les poids lourds sur son chemin et quelques embouteillages, il met deux heures : 50 km/h.
À quelle allure moyenne a-t-il roulé ?
Simple, non ?
Votre réponse en commentaire, svp.

Bon week-end à toutes et tous !

I3

2 commentaires:

  1. Bien le bonjoir,
    Bêtement j'aurais presque pensé 66,6, un peu trop " bête" cet automobiliste.
    Plus simplement zéro, il est toujours à son point de départ 3 après :D
    Bien considerablement.
    Kama

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    1. Bonjour Kama !

      Zéro, sûrement pas puisqu'il a fait 200 bornes entre deux !
      Il est certes revenu à son point de départ, mais il aurait pu aller encore ailleurs.

      Ceci dit, c'est la bonne réponse et "infiniment BRAVO !"
      Le "piège" est là : 100 + 50 = 150.
      150 divisé par 2 = 75.
      Or, il a mis 3 heures pour faire 200 km : 200 / 3 = 66,66 effectivement !

      Bon j'arrête de vous embêter tous avec mes "énigmes-débiles" : Vous êtes tous trop forts pour moâ !

      Bon week-end à toutes et tous tout de même !

      I-Cube

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