Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 24 mai 2018

Y’en a des qui pétochent…

Prochain remaniement ministériel


De toute façon, il avait été annoncé dès avant la composition de l’actuel gouvernement, juste après l’éviction des berniques-MacMoDem devenues inutiles à la constitution d’une majorité parlementaire « solide ».
Solide, bon… ça reste à voir, mais « ça bosse-fort », faut-il reconnaître : Jamais ils ne vont tenir 5 ans à ce rythme-là.
Il avait donc été annoncé qu’un bilan serait fait autour de « comptes-rendus » de l’action de chacun des membres du gouvernement pris individuellement pour décider d’éventuellement les garder.
Et c’est devenue une hypothèse que nombre de ministres redoutent alors que certains sont déjà en difficulté.


C’est une petite musique, une rumeur, un « poison lent » même, selon l’expression d’un ministre, qui circule avec insistance depuis des semaines déjà. Et si « Jupiter » décidait de remanier en profondeur son gouvernement, qui souffla jeudi dernier sa première bougie ? Le président n’a d’ailleurs jamais caché qu’au bout d’un an il évaluerait ses ministres (dossiers réalisés, lois votées, rapports avec leur administration, présence dans les médias, etc.).
Une promesse – ou une menace ? – que les principaux intéressés n’ont pas oubliée.
« C’est vrai qu’il y a un bruit et que le bruit amène le bruit. Il y a toujours une barre d’angoisse chez les ministres », concédait un intime du chef de l’État. Encore plus au moment où la majorité essuie sa première tempête (réforme de la SNCF, grogne sociale, loi asile immigration…) et que le président s’agace de devoir monter, souvent seul, au front.
Notez qu’on ne l’a pas trop vu à propos du dernier attentat parigot, celui au couteau qui a couté la vie à un passant qui passait.
Mort pour la gloire et passé par « pertes-&-profits » : On en aura fait moins pour ce gamin que pour « Belle-trame » et quelques autres…
Dommage, une vie reste une vie, éphémère certes, un « tout-petit-bout » d’humanité, et un attentat un acte abjecte fondé sur des « délires »… exclusivement hors-humanité.


Mais là (le remaniement), ça enfle. Au point que jusque dans les couloirs de l’Élysée, où paraît-il, l’hypothèse est évoquée entre deux portes : « L’idée de rebattre les cartes se précise », assurait un proche « Jupiter ». Et d’évoquer un possible chamboule-tout avant l’été. « Le président l’a dit et répété. Il considère que la fin du quinquennat aura lieu le 31 décembre. Donc tout ce qui n’est pas lancé d’ici la fin de l’année n’existera pas. Or dans les matchs, il y a des périodes de mi-temps et il faut savoir changer les joueurs fatigués. »
Savent-ils vraiment compter ?
Quinquennat, c’est étymologiquement cinq ans.
Pas 19 mois mais 60…
Et puis on ne change pas une équipe à la mi-temps, mais à la soixantième minute d’un match.
Sauf blessure…


Y’a-t-il des blessés ?
Oui : Dans le viseur, cinq ou six ministres particulièrement secoués par l’actualité ces dernières semaines. « Il y en a certains qui seraient humainement soulagés de ne plus en être », confiait l’un des ténors du gouvernement.
C’est notamment le cas du plus emblématique d’entre eux, le sinistre de « l’Écolologie ». Certains le disent déprimé, malheureux dans ses fonctions et parfois absent dans ses dossiers : « Son rêve ce n’était pas de devenir ministre », résume un homologue. On savait.
Lui en dit qu’il prendra sa décision en juillet : Voilà qui fixe les échéances.
Encore faut-il que personne ne prenne sa décision à sa place avant !
Il faut dire qu’il a tellement avalé de couleuvres qu’on ne le voit même plus sourire aux caméras, lui « l’homme de télé »…
Mais « avec le dossier sur les centrales nucléaires qui approche, faut-il risquer une crise avec lui ou l’exfiltrer avant ? ».
Sûr que « in », il va faire la tronche – peut-être même jusqu’au « clash » –  et « out », il pourrait mettre le feu aux poudres.
Cornélien…


La sinistre de la Culture, qui a multiplié les impairs médiatiques donne, elle aussi, des signes de faiblesse.
Quant à celui de la « Cohésion des territoires », il ne fait plus depuis longtemps l’unanimité : « C’est Julien Denormandie (son secrétaire d’État) qui fait tout ! On se demande si les deux ne sont pas pressés que ça se termine », glissait encore en coulisse et avec perfidie, un membre du gouvernement la semaine dépassée.
D’autres « chevaux légers » ont également perdu des points comme la secrétaire d’État à l’Écolologie, « Prune-Poison ».
« Brune, ça prend pas. Le Premier ministre a même dû venir à son secours lorsqu’elle a présenté son projet sur l’économie circulaire », rit sous cape un conseiller ministériel.
Il faut dire que je n’y ai rien compris : Je pensais qu’on devait parler d’économie sans création de valeur-ajoutée (avec fiscalité adaptée), pas de perdant, pas de gagnant, pas de spéculation, juste des « échanges », et on ne nous causait que des poubelles…
Ils me font doucement rire à vouloir légiférer sur l’obsolescence et les gâchis alimentaires, mais qui donc oblige à détruire des produits une fois une date de péremption dépassée ?
Les décrets gouvernementaux !
Si c’est important pour un produit à ingérer qui reste encore biologiquement « vivant », quel intérêt pour du lait UHT, après seulement 6 mois, qui est produit chimiquement mort ?


Et que dire de la sinistre des Transports, mise dernièrement sur la touche lors des négociations avec les syndicats. « Mais tant que la réforme de la SNCF ne sera pas terminée, elle ne peut pas bouger : on ne va pas offrir son scalp aux syndicats », jure un proche du « premier des sinistres ».
Évidemment, sauf si c’est une façon d’enfoncer le clou et de relancer la réforme en cours…
À suivre…
À l’Élysée comme à Matignon, on démine vertement. « C’est complètement infondé. Le gouvernement est au travail avec une grande confiance du Premier ministre envers ses ministres », balayait-on, invoquant alors un calendrier chargé pour les semaines à venir : Délocalisation de tous les ministres avec leurs cabinets aux quatre coins du pays jeudi dernier, séminaire gouvernemental à l’Élysée fin mai, ouverture de la séquence budgétaire…
Le point clé : Le pognon…


« On a un paquet de réformes à faire avancer, le train est bien lancé. Il n’est pas encore arrivé en gare », appuyait-on rue de Varenne. « Nyssen ? Elle est souvent en difficulté, mais c’est surtout des problèmes d’expression médiatique. Hulot ? Il menace de partir, mais il sait très bien que s’il veut peser, c’est encore mieux de rester à l’intérieur. Et que ferait-il après ? Du kitesurf ? » rassure un « marcheur » (même-pas-en-rêve) de la première heure.
« Et puis, l’inconvénient d’un remaniement, c’est que c’est une arme compliquée. Ce n’est pas un outil de communication positive », lâche un ministre. « On ne peut pas l’utiliser dix-huit fois dans un quinquennat. Il faut le faire au bon moment », renchérit l’entourage du président de la République.
Ah bon, alors la mi-temps, ce n’est plus au bout de 19 mois ?
Allez donc comprendre la logique des « sachants » atteints de trisomie-autistique.


Moi, ce que je vois, c’est qu’il y a des échéances électorales dans un peu plus d’un an. Un test « grandeur nature » de l’état de l’opinion.
Alors soit on forme un gouvernement de « combat » pour les gagner – et c’est important pour la suite, notamment après la révision constitutionnelle qui risque de déraper – soit on courbe l’échine et on laisse faire.
Enfin, laisser faire… ce n’est pas tout-à-fait ce qui va se passer.
J’entends que désormais, on a quelques précisions (confirmées, croisées, recoupées mais pas encore étalées sur la place publique) sur cet étonnant résultat de mai 2017 : Quand sur 47.582.183 électeurs inscrits on ne compte plus que 27.295.879 bulletins « utiles » (57,3 %), c’est qu’il s’est passé quelque chose à l’occasion d’un scrutin « majeur »…
Le résultat d’une « action de fond » (et restée « discrète ») de « micro-markéting » à base de « dégagisme » (un mot nouveau récemment apparu dans le dictionnaire de « francilien-natif & évolué ») à travers les réseaux sociaux.
On sait que la technique existe depuis le scandale de « Cambridge-Analytica » (qui s’est « auto-dissoute » pour échapper aux poursuites), qui a fonctionné aux USA, mais aussi et en amont avec le « Brexit » (et probablement encore ailleurs, comme en « Ritalie » qui accouche enfin d’un éphémère gouvernement « antisystème » alliant la carpe et le lapin).
On y reviendra d’ailleurs dans le courant de l’été, à l’occasion du prochain roman que je mets en ligne actuellement : « Ultime récit – suite » (comme si j’avais pu deviner de devoir faire une suite au dernier de mes opus de l’été passé… Passons !)
En bref, on peut rejouer sur le même registre…
Seulement si les outils ont été récupérés.


En bref, pour revenir sur notre sujet du jour, on nous fait savoir « par la bande » que le moment n’est sans doute pas le plus opportun.
L’été le serait plus probablement (en plein arbitrage budgétaire : Une façon comme une autre de « garder la main » avec des « nouveaux-venus » pas trop expérimentés en la matière…)
Mais comme d’un autre côté, avec « Jupiter » tout est toujours possible, on ne sait plus : « C’est un transgressif. Il aime surprendre », résume un député de la majorité. Pas de quoi calmer les angoisses des ministres « pressentis ».
Et, seconde question : Les remplacer par qui ?
Un retour des « soces » ? Avec ou sans une pincée d’ex-frondeurs ?
Des « Mac-MoDem » revenus en grâce ?
Ou l’accélération vers les « Républicains-démocrates » plus ou moins « reconvertis », transgressifs, refondateurs, constructifs ?
Y’en a plein qui attendent leur tour en piaffant d’impatience…
Ou une fois de plus quelques « marionnettes » de la « société civile » ?
Ça m’amuse très fort : Aucun, notamment parmi les députacrouilles, n’a vraiment émergé malgré les efforts de la « presse-aux-ordres ».
Même « ma pote » élue par hasard avec les « marcheurs-même-pas-en-rêve » ne rêve que d’une chose : Présider une commission d’enquête parlementaire.
Elle est vraiment marrante à décrire le « train-train » de sa vie trépidante de parlementaire.
Si un jour je me reconvertis dans l’édition (un projet qui me taraude, mais il faut que je convaincs « mon gardien » à le transformer en « Régisseur » : Je ne veux pas m’en occuper en première ligne), j’irai bien publier ses « mémoires », une fois battue par un retour de bâton, ex-ante JO de 2024…


Conséquences immédiates : On reste dans l’expectative d’un « nouveau-départ », réel ou avorté.
Et j’adore les surprises, comme tous les gamins…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire