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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 11 mai 2018

Une « recyclée » pour commencer

Elles sont de plus en plus courantes…

C’est une enseignante dans la ville de Tulle qui demande à ses élèves combien d’entre eux sont des fans de François Hollande.
Ne sachant pas vraiment ce qu’est un fan de Hollande, mais voulant être interrogé par le professeur, tous les élèves lèvent la main, sauf le petit de Jean-Marc.
L’enseignante lui demande :
« – Mais pourquoi ne lèves-tu pas le bras, comme tous tes petits camarades ?
– Je ne suis pas un fan de Hollande.
– Mais pourquoi ?
– Parce que je suis fan de Sarkozy », répond Jean-Marc.
L’enseignante lui demande des explications.
« Ben ma maman est une fan de Sarkozy, mon papa est un fan de Sarkozy, donc je suis fan de Sarkozy. »
L’enseignante est un peu énervée, parce qu’elle est dans la ville de Tulle, celle de Hollande.
« Et, si ta mère était stupide et ton père un idiot, qu’est-ce que tu serais » demande la prof ?
« Ben cela me rendrait forcément fan de hollande ! »

Et encore une « revenue » :

Une femme publia une petite annonce :
« Je cherche un homme »
Le lendemain, elle reçut plus de 1.000 lettres.
Toutes disaient la même chose :
« Viens chercher le mien ! »

L’avion du « Capitaine Haddock » s’apprête à atterrir.
Il demande l’autorisation au contrôleur.
Celui-ci lui répond :
« – Donner-moi votre hauteur et votre position, s.v.p.
– Je mesure 1,75 m et je suis assis ! »

Le fils de Jean-Marc et son père prennent leur petit-déjeuner.
« – Dis papa, est-ce que tu continues de grandir ?
– Non ! Pourquoi ?
– Parce que ton crâne dépasse de tes cheveux ! »

« Nous venions d’acquérir la télé couleur, et ma fille s’émerveillait de la différence par rapport à l’ancienne en noir et blanc.
Un jour que nous circulions en voiture en campagne, nous sommes passés devant un terrain de jeu où se déroulait un match.
Ma fille : ‘‘ Papa, regarde le match est en couleur ! ’’ »

Jean-Marc qui embrasse sa blonde-conquête du moment :
« – Chérie, sens-tu l’appel de mon amour.
– Non chéri, je ne sens que la pelle et terriblement le manche. »

Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Quel est le chiffre chanceux des femmes ?
– C’est le 7…
– Et pourquoi donc ?
– Parce que quand la femme part, elle part avec le 7 de salon, le 7 de chambre, le 7 de cuisine, etc. »

« – Quelle est la différence entre un pet et Jupiter ?
– Aucune, ils sont tous les deux constitués de gaz ! »

C’est une maîtresse d’école qui demande à ses élèves de faire une phrase dans laquelle il y a l’expression ‘‘ je présume ’’.
Une petite fille dit alors : « Hier, maman lavait la vaisselle à la main; je présume que le lave-vaisselle était en panne. »
« Très bien » dit la maîtresse.
Un autre dit : « Ce matin, papa est sorti du garage avec la Volkswagen. Je présume que la BMW ne voulait pas démarrer. »
« Très bien » dit la maîtresse.
Le petit Jean-Marc, assis au dernier rang de la classe lève la main et dit ensuite : « Hier, j’ai vu grand-papa sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras. Je présume que… »
« – Je t’arrête » dit la maitresse « parce qu’ici tu ne peux rien présumer.
– Maitresse, laissez-moi finir ma phrase » proteste Jean-Marc.
« OK » répond la maitresse.
« Hier, comme je viens de vous le dire, j’ai vu grand-papa sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras. Je présume qu’il allait ‘‘ chier ’’ parce qu’il ne sait pas lire ».

Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Tu sais, vers 50 ans, chez la femme, il y a la ménopause…
Et chez l’homme, il y a le syndrome de l’oignon !
– Et c’est quoi ?
– Ils prennent de la bedaine, ils s’arrondissent, ils ont la queue qui sèche, et quand ils se déshabillent, leurs femmes se mettent à pleurer ! »

Germaine dit à son mari :
« Quand un homme perd ses cheveux sur le devant, ça veut dire qu’il est un grand penseur. Et quand un homme perd ses cheveux à l’arrière, ça veut dire qu’il est un amant extraordinaire. »
Jean-Marc la questionne :
« – Oui, mais moi… Je perds mes cheveux sur le devant et en arrière… Qu’est-ce que ça veut dire ?
– Ca veut dire que tu penses être un amant extraordinaire. »

Mademoiselle Jeanne, l’institutrice du CP, décide, pour son dernier examen de l’année, de poser des questions très simples à ses élèves :
« – Xavier, quel son produit une vache ?
– Meuuuuu », répond Xavier !
« – Joël, quel son produit un chat ?
– Miaouuuu », répond Joël.
« – Très bien ! Jean-Paul, quel son produit un chien ?
– Woof », répond Jean-Paul.
« Jean-Marc, quel son produit la souris ?
– Click, click… »

Cours d’Histoire des mathématiques (extrait) :
Encore aujourd’hui, de nombreuses personnes, en écrivant le chiffre sept, utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l’ont fait disparaître aujourd’hui, comme vous pouvez le constater ici : 7
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques.
Lorsque Moise eut gravi le mont Sinaï et que les 10 commandements lui furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut, à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième, il annonça :
« Tu ne désireras pas la femme de ton prochain. »
Et là, de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant :
« Barre le sept, barre le sept ! »

Un vétérinaire tombe malade.
Sa femme appelle le médecin. Celui-ci l’ausculte et lui pose des questions pour éclaircir son diagnostic :
« Où avez-vous mal ? Quelle douleur ressentez-vous ? Depuis combien de temps ? »
Le vétérinaire reste de marbre.
« Eh bien répondez », s’énerve le médecin.
Alors le vétérinaire s’exclame :
« Oh dites, quand les animaux sont malades, personne ne m’aide, moi. Alors débrouillez-vous ! »
Le médecin établit la prescription médicale, la tend à sa femme et lui dit :
« Vous lui donnerez ça pendant sept jours et si ça ne va pas mieux vous le faites piquer ! »

« Un groupe d’hommes armés occupe les locaux d’une usine de whisky.
Cela fait 5 jours que les terroristes n’arrivent pas à formuler leurs exigences. »

La maîtresse demande :
« Par quelle lettre commence ‘‘ hier ’’ ? » Jean-Marc lève la main :
« – Par un ‘‘ d ’’, madame.
– Tu fais commencer « hier » par un ‘‘ d ’’ ? » s’étonne la maîtresse.
« Ben, hier, on était bien dimanche. »

Au cours d’une leçon consacrée au sens de l’observation, un instituteur s’aperçoit qu’il a mis deux chaussures différentes.
Il retourne discrètement derrière son bureau et termine son cours sans bouger de place, soulagé que ses élèves n’aient apparemment rien remarqué.
Le lendemain, l’enseignant fut bien surpris d’avoir en face de lui une classe d’enfants, tout sourire, qui portaient tous des chaussures dépareillées…

Pendant leur nuit de noces, Germaine, la jeune mariée se réveille, soupire et secoue son mari, Jean-Marc qui lui demande :
« – Qu’est-ce que tu as ? Tu n’arrives pas à dormir ?
– Non, je ne peux pas. Tu sais lorsque j’étais petite et que je n’arrivais pas à dormir, ma mère m’embrassait, me câlinait et je m’endormais…
– Non… Et puis quoi encore ! Tu ne veux tout de même pas que j’aille chercher ta mère en pleine nuit ! »

Le policier :
« Vous êtes un chasseur dangereux. Comment avez-vous pu confondre la dame d’en face avec un sanglier ? »
Le chasseur :
« Avouez qu’il y a matière à confusion. »
Le policier :
« Peut-être mais elle portait un chapeau ! »
Le chasseur :
« Oui, certes mais j’ai cru que c’était une ruse… »

Pour la rassurez, Jean-Marc, nouveau locataire rencontre son bailleur, une dame âgée.
« – Quand j’ai quitté mon dernier logement, ma propriétaire était en pleurs.
– Eh bien cette fois ça n’arrivera pas, jeune homme car voyez-vous, je fais toujours payer le loyer d’avance ! »

Cette comédienne plus très jeune fête son anniversaire.
Elle est entourée de personnages très en vue dans les médias.
L’une d’elle s’approche pour la féliciter :
« – Chère amie, merci d’être venue », dit la comédienne, « je te débarrasse de ton manteau ?
– J’ai un peu froid, répond l’arrivante, mais rassure-toi chérie cela ira beaucoup mieux quand on aura allumé toutes les bougies de ton gâteau… »

Dans un asile, un nouveau pensionnaire arrive.
Alors que deux infirmiers essayent de le ceinturer, il hurle :
« Mais lâchez-moi ! Je suis l’envoyé de Dieu ! »
Un autre fou qui passe à côté lance :
« Ne le lâchez surtout pas, je n’ai envoyé personne… »

Après quinze ans de mariage et de fréquentes disputes, Jean-Marc et Germaine se décident à consulter un conseiller conjugal.
Germaine se lance immédiatement dans une longue tirade passionnée où elle détaille chaque petit problème de couple survenu pendant ces 15 années.
Et encore, et encore, et encore : « Il ne m’aime plus, il me néglige, il me laisse seule, il ne me donne pas d’affection », etc. etc.
Finalement, après l’avoir patiemment écoutée, le thérapeute se lève, fait le tour de son bureau, demande à Germaine de se lever et il l’embrasse longuement, avec fougue et passion.
Germaine, enfin silencieuse, se rassoit calmement, l’air béat, comme sur un nuage.
« Voilà », dit le thérapeute à Jean-Marc, « ce dont votre épouse a besoin, chaque jour Et jinsiste : Chaque jour de la semaine ! Sommes-nous bien daccord ? »
Jean-Marc, après quelques instants de réflexion finit par expliquer : « Du lundi au vendredi, pas de problème, je peux vous l’amener ici chaque matin, mais le week-end je joue au golf. »

Bon week-end à toutes et à tous !

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