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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 14 mai 2018

Les échos de las Ramblas

Maquereau-mania Jupitérienne

L’autre jour, j’étais avec mes « potes Barcelonais » à picoler de la Sangria avec quelques tapas. On causait « des filles », de souveraineté et d’indépendance, de croissance économique (officiellement, « l’Ibérie » dépasse désormais la « Ritalie » et la « Gauloisie-sempiternelle », comme prévu, accuse d’un ralentissement de sa croissance… inférieure à l’inflation autochtone), de « Brexit » (j’arrivais de London) et de « Menuet-Valse », futur maire local (ce qui les fait bien rire), bref de choses sans importance.

Et puis « Gaspacho » me fait : « Mais il bosse ton président, ou quoi ? »

Vous connaissez mon point de vue : Un boss, c’est « tous devant et lui derrière », son principal boulot étant de faire bosser les autres… pour lui, tiens donc. C’est partout pareil.

Mais ce n’était pas son propos.



« Il ne se passe pas une journée sans qu’on le voit à la télé »… espagnole.

« Bé il n’a rien à dire, alors il fait de la com’ ».

Je vous l’avais déjà fait remarquer : Pas une journée sans une annonce, un « scoop », une réforme à venir, un coup de bistouri à tel ou tel, le tout millimétré. Et quand ce n’est pas lui, ce sont ses « valets » qui s’y collent.

Et effectivement, ce jour-là j’avais « Le Parisien » sous le bras (curieux, n’est-ce pas, jusqu’à Barcelone…) et on y causait de quoi donc ?

Bé de lui qui paye ses factures !

Fabuleux : Aucun des z’autres depuis le Général De Gaulle ne payait leurs dépenses personnelles qu’on doit s’en étonner et le féliciter de nous le faire savoir ?

Et culoté comme pas un, le gamin de faire savoir son point de vue : « Qui imagine le Général de Gaulle faire payer ses déplacements personnels par le contribuable ? »

Si les tenues de « Bibi » (son épouse) pour les diners officiels lui sont gracieusement prêtées par des créateurs, les « petites dépenses » personnelles du couple, du dentifrice aux croquettes de leur clébard Némo, sont, elles, payées par le Président ou son épouse.

Bon, il a les moyens, ne vous faites pas pour le chien…

Mais notez que « Bling-Bling », lui s’était augmenté en arrivant et ne payait rien que ses impôts…



Quand « Jupiter » se déplace avec sa « poupée à galipettes » sa chère « Bibi » en avion ou hélicoptère d’État, pour des questions de sécurité, il va jusqu’à rembourser au ministère de la Défense, l’équivalent du prix qu’aurait coûté un vol commercial sur le même trajet.

Et puis cerise sur le gâteau, on nous fait même savoir qu’il paye une taxe d’habitation à l’Élysée.

Voilà pourquoi elle sera supprimée, tiens donc : C’est coûtatif dans ce quartier-là !

Jusqu’où ça va, là-dites-donc !



Hein, quand on n’a rien à dire, on dit quoi pour exister ?

Bé on cause aussi de sa femme. Ma « môman-à-moâ » me rappelait qu’invitée à l’Élysée (avec aboyeur : Ça l’a impressionnée) par le Général, tante Yvonne le surveillait de près, mais qu’elle en a rougi quand le Général l’a fait demander en aparté par un appariteur, juste pour qu’il lui dise qu’il la trouvait ravissante avec son diadème sur le crâne : Elle ne savait plus où se cacher…

Un dragueur, le Général.

« Pompon-Pie-doux » qui lui succédait avait été sali par l’affaire Marcantoni (encore un « cousin », pas plus fréquentable que d’autres). « Giskard-A-la-Barre » rentrait tard et pochetronné. « Mythe-errant » avait une double-vie et une gamine adultérine. « Le Chi » est resté insatiable de « chair-fraîche » ; « Bling-Bling » s’est marié trois fois et a fait des gosses à toutes les trois ; « Tagada-à-la-fraise-des-bois » prenait son scooter pour de secrètes parties de « jambes-en-l’air » pas très loin de son palais.

Et « Jupiter » alors ?

Il assume avec sa grande-tata… !

Tant pis pour la presse : C’est moins glamour qu’avec un mannequin.



Et alors dans un numéro suivant – ou le même, je ne me souviens plus – on te nous vous a fait dans le même canard, toute une page complète sur « Bibi »…

Une femme, une épouse, merveilleuse : Ses bios et interviews dans la presse « picole », ça n’a pas vraiment emballé, sauf les midinettes…

Donc, scoop, révélation et « papier » sur l’utilité du rôle de la dame en « première-dame ».

Vachement important – pour l’avenir du pays et des jeunes générations – de savoir que…



Elle ne vivrait pas dans la hantise de « perdre son homme ».

Vous comprenez, « la grande différence d’âge »… une génération. Alors on vous te rassure en te faisan savoir que « c’est tout l’inverse ». Manu est très amoureux. Et elle pas vraiment jalouse même s’il fait attention à qui elle fréquente et elle à qui la regarde.

« Il la trouve tellement extraordinaire, il a peur qu’on la lui vole ! ».
Voui, bien sûr… Le mek pas rassuré du tout.



« Elle, maternante ? C’est lui qui la protège ! » se pâme une élue, repartie d’un dîner avec les « Jupiter » avec des yeux de midinette. « Dès qu’elle n’est pas là, il la cherche. Il lui prend la main, il ne la laisse jamais en retrait, la valorise. Exactement l’attitude dont tu rêves venant de ton mec… »

« Bibi, son ancre, sa moitié, sa meilleure amie, sa confidente… »

« Fusionnels », tous le disent. « Bibi c’est sa famille, lui qui entretient une relation complexe à ses parents ».

Passionnant : Le peuple ne sait plus comment joindre les deux bouts, toutes les fin de mois successives, dès le 5 du mois, ne partent plus en vacances, évitant de se déplacer pour rajouter des coûts aux coûts mais il faut que vous sachiez, telle une première urgence qu’« elle est la part non négociable de sa vie. Son principal soutien. C’est non seulement un couple, mais aussi une équipe ».

« Elle est son tout. La phrase que j’ai le plus entendue du président pendant la campagne, c’est : Où est Brigitte ? » sourit même « Marre-Laine-Chia-pas ».

« Elle est forte de ce grand amour qui s’est construit envers et contre tout », encense « Line-Penaud ». Du coup les « Gauloisiens-adeptes-de-la-gaudriole » de leurs princes et roitelets « sont préservés des atermoiements de la vie de couple du président », se félicite un conseiller Jupitérien…

Souvent, « Jupiter » écourterait même ses déjeuners de travail pour prendre le café avec son épouse dans l’aile où Madame s’est installée, dans le salon des Fougères, en rez-de-jardin. De là, elle peut l’apercevoir quand il travaille dans le salon d’Angle où il a pris ses quartiers, un étage plus haut : « Ils se font un signe de temps en temps », raconte même un intime.

(Celui qui tient la bougie ?)



« Bibi c’est la sparring-partner de Manu » : Gardienne du temps, « la maîtresse des horloges, c’est elle », rigole un proche, qui l’a déjà vue se mettre en colère sur le mode « il faut qu’il se couche, il se lève à 4 h 45 » !

« Elle fait attention à ce qu’il ne casse pas son corps et son mental ».

En fait, on nous glisse aussi qu’elle est bien plus « politique » qu’on ne croit.

« On ne devient pas président si on n’a pas tous les jours quelqu’un avec qui on échange, qui est de votre niveau. Il teste ses idées avec elle. »

« Il voit les éléphants, elle parle aux petites souris », plaisante un familier du Château. « Elle est la vigie, la dernière personne qui lui parle le soir », résume joliment « Stéph-en-Berne ».

Moi je croyais qu’ils baisaient aussi…

Non, il cause puisque c’est un « communiquant »…



Et quand il traverse un vilain trou d’air sondagier, c’est elle qu’on sort. À Rouen, par exemple, début avril, auprès d’enfants autistes que ça fasse pleurer d’émotion les chaumières. Comme si elle était son hémisphère gauche, quand l’étiquette de grand méchant loup libéral lui colle trop à la peau.

Mais on nous affirme que jamais elle ne se mêle des réformes, ni des querelles de courtisans. Ce qui ne l’empêche pas de traiter avec des ministres.

Le favori de l’ex-prof de français ? Le « sinistre de les-ducs-à-Sion », bien sûr. Deux fous de littérature. « Pour elle, c’est la Rolls du gouvernement, elle est fan ». Ensemble, ils parlent de La Fontaine, Maupassant, Marivaux.

Sade, San Antonio, Gérard de Villiers, non, pas du tout.

Ah oui : Et des victimes de harcèlement scolaire, qui leur déchirent le cœur.

« Elle reçoit comme moi des courriers de parents catastrophés », confie ledit ministre. Si elle partage « Madame Bovary » avec « Marre-Laine-Chie-à-pas » elle a peu d’affect pour le conseiller spécial « Ismaël-Aime-lien », si froid.

Vous savez ? Fascinant de mièvrerie.



« Leur vie est une histoire de liberté, et ce n’est pas près de s’arrêter ! » en dit le patron des députés « LREM-même-pas-en-rêve », dont elle est très proche.

Peut-être pas jusqu’à coucher toucher : C’est une icône…

Son rôle, parfois, est lourd à porter. « Dans quoi il m’a foutue ? »

« La fonction lui a donné une gravité supplémentaire, qui contraste avec sa joie de vivre », témoigne un autre. Un jour, le patron de l’Organisation mondiale de la santé lui a lancé : « Il n’y a pas eu de femme comme vous depuis Lady Di. »

Vertigineux, dites-donc, là !

Les « historiques » de la campagne se souviennent d’avoir vu « Jupiter » s’énerver une fois seulement : Sur les rumeurs sur son homosexualité. « Il trouvait ça détestable. Pas pour lui. Pour elle. C’est pour elle qu’il les avait démenties ».

Parce que bon, lui, il assume.

Ah bon, alors il est ou n’est pas « momo » ?

Il fréquentait pourtant le Queen, sur les Champs-Élysées, quand il n’était que « secrétaire-général-adjoint » de la boutique.

Vous vous souvenez peut-être de ce cinglé qui, le 20 avril 2017 au soir, a tiré à la kalachnikov sur un car de CRS stationné devant le 102. Juste sous le nez de la boîte qui aura déménagé plus loin au 22 rue Quentin-Bauchart (79 avenue des Champs-Élysées) en avril 2018…

Un hasard hasardeux, naturellement : La fermeture de l’endroit avait été décidée en 2015.



Bon, tout cela pour dire que quand on n’a rien à dire, on sort du papier pour ne rien dire : Un classique révélateur.

« Jupiter » (est-ce un bien ou un mal ?) n’a rien d’un coureur de jupon comme bien de ses prédécesseurs et ça met en transe la « presse-picole ». Alors on vous sert le modèle des épouses-modèles.

Et elle ce n’est pas une pin-up même si elle s’en donne les airs, mais ça doit les flatter (tous les deux).

Et Madame « Beau-ravi » doit bicher.



Le tout c’est qu’on parle de « Jupiter ». Même quand il n’y a rien à dire.

Vous vous souvenez de Jacques Borel, l’empereur des restoroutes, fondateur de la première enseigne de restauration rapide de hamburgers (Wimpy), les premiers restoroutes en 1968, et le « Ticket-restaurant »…

On en aura même fait un film : « L’aile ou la cuisse » avec De Funès et Coluche.

Le gars voulait qu’on parle de lui tous les jours, « peu importe que ce soit en bien ou en mal ». Comme il a fini par se faire débarquer « Jupiter » ne montre que les « bons côtés » : C’est qu’il tient absolument à faire au moins deux mandats.

Et avec un peu de bol, il sera encore là, comme « Poux-tine », un quart de siècle plus tard…

À propos, elle aura quel âge dans un quart de siècle, « Bibi » ?



Ce qui me fait conclure que décidément, ce quinquennat sera épouvantable, si on en est déjà à « fabriquer » de toutes pièces ces subterfuges-là, pour mieux cacher le reste…

« Gaspacho » en était d’accord, convaincu, comme celui de son sort de « catalan-contrarié » : Rien de bon à en attendre pour l’avenir.

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