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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 3 mai 2018

Le 1er mai 2018 ? « Agité » !

Fêter « le travail », une ânerie !

Ça, en « bon corsu », je n’ai jamais bien compris. Surtout quand ladite fête consiste à « ne rien faire » ce jour-là. Et payé, en plus… Le « Club-Med » sur boulevards.
Ils devraient bosser pour rien (on te vous parlait déjà d’une seconde journée « de solidarité » pour compenser la CSG sur la retraite des « petits-vieux » qui ne font plus rien…), ne serait-ce que pour « gratifier » les employeurs, pourvoyeurs d’ouvrage.

Néanmoins, je comprends parfaitement qu’on commémore en cortèges serrés les trois décédés du 3 mai 1886 (sauf que ce n’est pas la bonne date) lors d’une manifestation états-unienne. Souvenez-vous, le lendemain d’une grève « maltraitée » par les forces de l’ordre, a lieu une marche de protestation et dans la soirée, et tandis que la manifestation se disperse à Haymarket Square, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers.
C’est alors qu’une bombe explose devant les forces de l’ordre. Elle fait un mort dans les rangs de la police. Sept autres policiers sont tués dans la bagarre qui s’ensuit.
À la suite de cet attentat, cinq syndicalistes anarchistes sont condamnés à mort (Albert Parsons, Adolph Fischer, George Engel, August Spies et Louis Lingg). Quatre seront pendus le vendredi 11 novembre 1887 (connu depuis comme Black Friday ou « vendredi noir ») malgré l’inexistence de preuves, le dernier (Louis Lingg) s’étant suicidé dans sa cellule.
Trois autres sont condamnés à perpétuité.
Mais au-delà de « se compter » (entre 140 et 200.000 sur tout le pays), franchement…
Enfin, passons.


Sauf qu’avant-hier, 1.200 membres de la mouvance « Black Bloc » cagoulés ont perturbé le cortège syndical et causé des dégradations : Une première pour cette fête du muguet (avant, c’était l’églantine… mœurs et usages…)
Deux cent personnes étaient en garde à vue mardi soir après des dégradations commises en marge du défilé syndical émaillé de violents incidents avec des militants d’ultra-gôche, aura annoncé la préfecture de police de Paris.
« Ultra-Gôche » ou « Ultra-droâte » ?
« Mes-Luches » a accusé « des bandes d’extrême droite » d’être l’auteur des dégradations et heurts de mardi.
Il sait tout cet homme-là.


En réalité, un « black bloc » désigne une tactique de manifestation, une forme « d’action directe » collective, avec un ou des groupes d’affinité : Avant et après une action, un black bloc n’existe pas formellement.
Sans organigramme, ni figures centralisées, il est constitué d’individus et de groupes d’individus organisés ou non, sans appartenance formelle ni hiérarchie, tout de noir vêtus et masqués pour l’anonymat. Et il est en principe formé principalement d’activistes issus des mouvances libertaires et anarchistes.
On en a déjà vu lors des manifestations contre la Première guerre du Golfe en 1991, puis en 1999 à Seattle lors du contre-sommet de l’OMC, des manifestations contre les G8 à Gênes en juillet 2001, à Évian en 2003, à Heiligendamm en 2007, contre-sommet de l’OTAN à Strasbourg en avril 2009 ou encore à Hambourg pendant le G20 en 2017, etc.
Sûr que le « pingouin-Mes-Luches », il a vraiment du cambouis dans les yeux…


« 276 personnes ont été interpellées, 31 commerces ont été dégradés dont deux incendiés, 6 véhicules ont été incendiés et 10 autres ont été dégradés ; du mobilier urbain a également été dégradé », en dit la préfecture. Quatre personnes ont été blessées légèrement, dont un CRS qui a reçu un pavé dans le dos.
Des fachos ?
Bé voyons…
Parti de la place de la Bastille, le cortège syndical a été ralenti au niveau du pont d’Austerlitz, bloqué par des centaines d’individus cagoulés, ont constaté des journalistes sur place.
Rassemblés autour de banderoles comme « Premiers de cordée, premiers guillotinés » ou « Cette fois, on s’est organisé », ces individus masqués criaient « Tout le monde déteste la police », « Paris, debout, soulève-toi » ou encore « Zyed, Bouna, Theo et Adama, on n’oublie pas, on pardonne pas ».
C’est qui ceux-là ?


J’ai entendu dire (en « francilien-natif » à la télé anglaise) de la bouche d’un éminent syndicaliste que les forces de l’ordre « ont laissé faire », n’ayant pas reçu d’ordres. Une  « Fake-news » (un « hoax ») : Avant même le début de la manifestation, deux personnes ont été interpellées en possession de burins et de marteaux. Au cours de la manifestation, un groupe d’environ 200 « Blacks Blocs » a été maîtrisé par les forces de l’ordre…
Peu avant 17 heures, le préfet de police de Paris a demandé au cortège d’emprunter un autre itinéraire que celui prévu initialement. Au lieu de se rendre place d’Italie, les manifestants rejoignent la gare de Lyon.
Lundi, la préfecture de police avait déjà évoqué un risque de débordement par « des groupes extrémistes » voulant faire de cette journée « un grand rendez-vous révolutionnaire », et prévoyant de « s’en prendre violemment aux forces de l’ordre ainsi qu’aux symboles du capitalisme ».
Les « RG », tout de même…
En tout cas, ils savent « mieux » que « Mes-Luches » et celui-ci ne reçoit donc plus les « notes-blanches » du service.


Alors quand on vient me dire qu’ils « ont pu détruire des magasins sans la moindre intervention policière », je me marre. Les commentaires sur les chaînes d’information reprenaient en boucle trois phrases : La première, insistante, répétait que le message de la CGT allait être « brouillé » (ce qui est vrai) ; la seconde rappelait le slogan des vandales promettant l’enfer pour Macron et son monde (ce qui reste hypothétique) ; la troisième évoquait les craintes de la préfecture, qui manifestement était bien informée de ce qui allait se passer (ce qui reste vrai également).
Ce que personne n’a évoqué c’est que ça fait les affaire de « Jupiter » qui va pouvoir descendre de son Olympe pour remettre de l’ordre, façon le Général De Gaulle rentrant de Baden-Baden il y a déjà un demi-siècle.

Bé oui, ils ont été détournés du boulevard de l’hôpital vers la gare de Lyon…
Les « forces de l’ordre » ne seraient intervenues avec des moyens proportionnés qu’après les « débordements » et dans la fumée spectaculaire des incendies.
Le McDo auraient été nécessaire (pour certains) pour les images du JT du soir, afin de montrer que les mouvements sociaux génèrent la chienlit, et qu’il faut qu’ils cessent.
Le slogan qui cible « Jupiter » et son monde permet de globaliser le désordre et la manifestation, les « Black Blocs » et la CGT en un même tout.
Il est donc temps que « Jupiter » revienne du Pacifique pour rétablir le calme, n’est-ce pas…
Lui, il n’en a rien à foutre, il a des larbins de sinistre pour faire le sale boulot de terrain…
Notamment la tête de croquemort qui occupe le ministère de l’ordre intérieur (et des cultes).


Parce qu’on sait que ces « black blocs » sont des militants, souvent jeunes, souvent sans travail, qui vivent dans des squats. Ils appartiennent à des groupuscules radicaux de l’ultra-gôche, à des mouvements anarchistes, à des mouvements anarcho-autonomes…
Ils profitent du désordre qui peut exister dans une manifestation pour commettre des dégradations de biens qu’ils considèrent comme symboliques. Le restaurant McDonald’s d’Austerlitz était en fait une cible parfaite pour dire tout le mal qu’ils pensent du capitalisme. Mais cela peut aussi être des distributeurs de billets, des agences immobilières…
Pour eux, la violence est la seule réponse possible face à ce qu’ils considèrent comme de la violence d’État. En clair, puisque l’État est violent, ils n’ont pas d’autre choix que d’être violent, c’est leur dogme.
Ce qu’ils veulent, c’est simplement de créer de la tension, du chaos.
Et ce qui reste impressionnant pour une fois (même si c’est tout relatif), c’est qu’en 2016, on parlait de 200 ou 300 individus, pas plus. Cette fois, la préfecture de police de « Paris-sur-la-plage » évoque 1.200 personnes.
Du jamais-vu…
Il y a encore quelque temps, dans leurs rangs on comptait des Allemands, des Hollandais, des Britanniques notamment…
J’attends de savoir qui est qui parmi les mis en garde-à-vue.


Le moins kon cette fois-ci (il faut le noter, tellement c’est rarissime), c’est « Deux-noix-Âme-Mont » qui aura déploré sur « Twister », « le fracas des violences » qui « contraint au silence les milliers de manifestants démocrates et pacifiques qui avaient tant à dire, tant à revendiquer et à défendre légitimement ».
Notez que ce n’était pas difficile à trouver d’autant qu’il n’est pas allé au bout de sa pensée.
Ah bé dites donc, ne serait-il pas là, « le complot » ?
Museler les discours et mécontentements, pour ne pas dire la rage des « combattants-salariés », noyant les « convergences » dans un « melting-pot » de violences aveugles ?
1.200 konnards font plus de bruit « médiatique » que les 20.000 personnes (comptées par ma préfecture, plus 14.500 personnes hors du cortège déclaré) !
Fabuleux…


Moâ, j’adore ces « paradoxes » qui devraient nous interpeler. Est-ce qu’on va voir les mêmes saboter la fête « Bleu-Blanc-Rouge » de Jeanne-d’Arc, ou seulement les commémorations de la fin de la seconde guerre mondiale (en Europe seulement parce que sur le pacifique, il faudra attendre le 2 septembre…).
Peut-être que ce sera les mêmes « Black Blocs » d’extrême-droâte qui viendront perturber « Marinella-tchi-tchi »…
Ils viendront peut-être rappeler les 45.000 morts à Sétif, Guelma, Kherrata et dans tout le Constantinois…

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