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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 20 avril 2018

On commence par une « revenue » archi-connue

Parce qu’elle reste irrésistible !

Je ne sais même pas combien de fois elle a fait le tour de la planète avant de « me revenir », mais elle n’a pas pris une ride (=> pas la moindre modification ou la trace d’un quelconque « enrichissement »)

À cause de la stérilité du mari, les Dupont ne pouvaient pas avoir d’enfants et ils décidèrent un jour de faire appel à un père de substitution pour agrandir la famille.
Le jour où le père de substitution devait arriver, Monsieur Dupont (Jean-Gabriel) embrassa sa femme et dit : « Je m’en vais. Le type sera bientôt là et je préfère ne pas voir ça. »
Une demi-heure plus tard, par hasard, un photographe de bébés faisant du porte-à-porte sonne à la porte en espérant pouvoir vendre ses services.
« – Bonjour Madame, je viens pour …
– Oh non, pas besoin d’explication. Je vous attendais.
– Vraiment ? », demande le photographe.
« – Très bien. Vous savez donc que je suis un spécialiste des bébés ?
– C’est ce que mon mari et moi avons espéré. Entrez donc et prenez un siège. »
Après un moment, rougissante, elle demande :
« – Eh bien, où commençons-nous ?
– Remettez-vous en à moi. Habituellement, j’essaye deux fois dans la baignoire, une sur le canapé et éventuellement deux sur le lit. Parfois, le sol du salon c’est sympa aussi.
– Vous pouvez vraiment faire ça où : baignoire, sol du salon ? Pas étonnant que ça n’ait pas marché pour Jean-Gabriel et moi…
– Madame, aucun de nous ne peut garantir un bon résultat à chaque fois. Mais si nous essayons plusieurs positions et que je prenne six ou sept angles, je suis certain que vous serez satisfaite des résultats.
– Mais ça fait beaucoup de … », s’étrangla Madame.
« – Madame, selon ma méthode, un homme doit prendre son temps. Je pourrais entrer et sortir en 5 minutes mais vous seriez déçue, j’en suis sûr.
– Je ne savais pas », dit-elle tranquillement.
Le photographe ouvrit sa sacoche et sortit un album de photos de bébés.
« – Celui-ci a été fait sur le toit d’un bus à Berlin.
– Oh, mon Dieu ! », s’exclama-t-elle, triturant son mouchoir.
« – Et pour ces jumeaux, ça s’est passé exceptionnellement bien quand vous considérez combien ça pu être difficile pour la mère.
– Elle a eu des difficultés ? », demanda l’épouse.
« – J’en ai bien peur. J’ai finalement dû l’emmener au jardin du Luxembourg pour faire correctement le boulot. Les gens se sont agglutinés sur 4 ou 5 rangs, se poussant pour avoir la meilleure vue.
– 4 ou 5 rangs ? », demanda-t-elle, les yeux écarquillés d’étonnement.
– Oui », répondit le photographe, « et pendant plus de 3 heures. La mère criait et hurlait sans arrêt. J’avais du mal à me concentrer. Quand il a commencé à faire sombre, j’ai pu enfin commencer. Et puis, quand les écureuils ont commencé à mordiller mon équipement, j’ai juste eu le temps de le remballer. »
Madame Jean-Gabriel se penche en avant :
« – Vous voulez dire que les écureuils mâchèrent votre… hum… équipement ?
– Exact. Bon, madame, si vous êtes prête, je vais installer mon trépied et nous pourrons commencer.
– Votre trépied ?
– Oh oui, j’ai besoin d’utiliser un trépied pour maintenir mon CANON. Il est vraiment trop gros pour que je puisse le tenir longtemps… Madame ? Madame ? Oh mon Dieu, elle s’est évanouie ! »
Pas mal, n’est-ce pas… ?

Un jeune garçon pose la question suivante à son père :
« – Dis-moi papa. Pour qu’elle raison as-tu épousé maman ?
– Ah, toi aussi tu te le demandes », de répondre Jean-Marc.

Une petite prière pour la Fête des Pères (à retenir) :
« Seigneur,
Faites en sorte que cette année nous ayons des vêtements pour habiller les pauvres dames qui sont dans l’ordinateur de papa.
Ainsi soit-il ! »

Un curé se réveille un matin et trouve un énorme verrat mort dans son jardin.
Ne sachant comment l’animal s’est retrouvé là, ni comment s’en débarrasser, il téléphone au maire de la commune, un laïc reconnu pour son anticléricalisme.
Le maire décroche, et après que le curé lui ait expliqué son problème, s’exclame :
« Mais monsieur le curé, pourquoi m’embêtez-vous avec cette histoire de cochon ? Après tout, c’est votre métier d’enterrer les morts. »
Le curé se fâche tout rouge :
« Peut-être avez-vous raison Monsieur le maire, mais je vous appelais surtout parce que je trouvais normal et de mon devoir d’avertir les proches du défunt. »

Une dame est avec sa fille au cinéma.
La projection est commencée depuis quelques minutes lorsque la jeune fille se penche vers sa mère et lui murmure à l’oreille :
« – Maman, il y a le type à côté de moi qui me tripote…
– Le salaud ! Change de place avec moi. »
Elles échangent leurs fauteuils. Et un quart d’heure plus tard, la mère se tourne vers son voisin en lui disant :
« Allons, monsieur ! Vous n’allez quand même pas bouder pendant tout le film. »

Le PDG d’une startup internet va enfin prendre ses premières vacances depuis plus de deux ans.
Il n’emmène ni son ordinateur portable, ni son PDA, ni son téléphone mobile.
C’est l’heure du dernier briefing à ses collaborateurs :
« Bon les gars, il va falloir vous débrouiller sans moi. Je compte sur vous pour ne pas me pourrir mes vacances. Si quelque chose de vraiment grave arrivait, vous pourrez toujours m’envoyer un message sur le fax de l’hôtel, et surtout, vous m’en dites le moins possible ! »
L’équipe promet de tout faire pour ne pas gâcher les vacances du boss et ils se disent au revoir.
Après douze heures d’avion, le jeune patron arrive enfin à l’hôtel vêtu de sa chemise hawaiienne et de son bermuda.
Dans le hall de l’hôtel, le concierge lui transmet aussitôt un fax qui dit ceci :
« Problème grave survenu une heure après votre départ. Comptez sur nous pour tout faire pour éviter la faillite de la société. Bonnes vacances !  »
Les belles vacances…

Encore une revenue mais « délocalisée »…
Moïse et Sarah, propriétaires d’une PME s’envolent pour des vacances au Mexique.
Malheur, leur avion s’écrase dans l’Atlantique.
Ils réussissent à s’agripper à un radeau de sauvetage et, seuls survivants, commencent à ramer au milieu des flots quand Sarah demande à Moïse :
« – Dis, Moïse, avant de partir, tu as payé la TPS et la TVQ ?
– Mais enfin Sarah mais tu es complètement folle. On s’en fout de la TPS et la TVQ ! On est au milieu de l’océan, garde ton énergie pour ramer… »
Sarah hausse les épaules, se tait, et continue de ramer.
Un peu plus loin, ils s’échouent sur une île. Moïse fait le tour de l’île. Personne. Il revient, désespéré.
Sarah lui redemande :
« – Dis, Moïse, avant de partir, tu as payé la TPS et la TVQ ?
– Mais enfin Sarah tu as une insolation, lâche-moi avec tes taxes ! On est sur une île déserte, essaye plutôt de faire du feu pour attirer les navires. »
Là-dessus un navire croise l’île au loin, Moïse se met à hurler pour attirer l’attention mais rien à faire, le navire passe bien trop loin, Moïse se met à pleurer et Sarah lui demande encore une fois :
« Dis-moi, Moïse, la vérité, tu as payé la TPS et la TVQ ? »
Il explose !
« Mais je m’en fous de tes taxes. NON je ne les ai pas payés avant de partir, si tu veux savoir ! »
Et Sarah, toute souriante et ravie…
« Aaaah, mais alors t’inquiète pas, ils finiront bien par nous retrouver, va… »
L’originale date d’il y a une vingtaine d’année, sise en Normandie (Calvados), de la part des gars de la CGPME-locale que je fréquentais alors. Et il s’agissait de « petits-patrons » tombés au milieu du pacifique et de l’Urssaf départementale à la mauvaise réputation… locale !

« Mon pote me délaisse. Aurais-tu un parfum qui sente l’ordinateur, Infree ? »

À l’occasion de son passage à Paris pour sa visite traditionnelle du Salon de l’Agriculture, un paysan plutôt rustaud décide de se payer un bon gueuleton dans un restau chic de la capitale.
Le serveur vient ensuite prendre la commande et un peu plus tard, il lui amène les plats commandés.
Fidèle à ses habitudes, notre campagnard mange avec les doigts, baffre comme un porc et renverse une bonne partie des aliments qu’on lui apporte sur la nappe, par terre et aussi sur lui-même…
Vient le moment de l’addition.
Le serveur pensant le culpabiliser sur ses manières lui dit :
« Ah monsieur, quel plaisir de servir un client comme vous. On peut dire que vous aidez les serveurs à bien travailler. Par exemple, pas besoin de regarder mes papiers pour vous récapituler l’addition ; le petit morceau de feuille de salade qui vous reste coincé sur les dents et le reste de vinaigrette dans votre barbe atteste de votre choix de hors-d’œuvre, les taches de sauce sur votre cravate sont la signature du Coq au vin que vous avez pris en plat principal, la forte odeur qui se dégage de vos mains atteste que vous avez pris du Maroilles en fromage et le chocolat sur vos manches de chemise montre que vous avez terminé par une Dame Blanche. »
À ce moment-là, le paysan qui avait écouté le serveur avec un sourire goguenard acquiesce :
« Ouais, t’as raison mon gars. C’est exactement ce que j’ai pris… »
Et il ponctue sa phrase d’un gros pet bien gras.
Alors le serveur lui dit :
« Ah merci monsieur, j’avais oublié votre bière ! »

Une femme et son amant sont dans un petit hôtel tranquillement installés dans le lit après une petite partie de jambes en l’air.
La femme prise de remords se tourne son amant et lui dit :
« Tu sais, chéri, c’est pas bien ce que l’on vient de faire là. »
Et Jean-Marc lui répond :
« Tu as raison. Allez, on recommence et on s’applique cette fois-ci… »

Jean-Marc et Jean-Paul, deux amis, discutent :
« – Tu devrais rencontrer ma femme. Elle est médium et elle peut me dire l’avenir.
– Ben t’as de la chance, la mienne elle est extra-large et elle ne me dit plus rien… »

C’est une femme qui est enceinte de son premier enfant.
Elle a rendez-vous chez le gynécologue.
L’examen se passe bien et le bébé semble être, ma foi, d’un fort beau gabarit.
À la fin de l’examen, la jeune femme demande à son médecin, tout timidement :
« Docteur, mon mari voulait que je vous pose une question… rapport à mon état… »
Le toubib la coupe :
« – Je sais, je sais. On me pose la question tout le temps. Eh bien vous lui répondrez qu’il n’y a aucun inconvénient pour que vous ayez des rapports sexuels jusque tard dans votre gestation.
– Non, non… Ce n’est pas ça du tout docteur. Il voulait savoir si je pouvais continuer à tondre la pelouse. »

Jean-Paul qui est marié depuis 4 ans avec une ravissante jeune femme, n’arrive pas à avoir d’enfants.
Il visite son voisin du dessus qui est médecin et qui lui a 4 enfants…
« – Bonjour Docteur, j’ai besoin d’aide.
– Que puis-je faire pour vous ?
– Voilà, j’aimerais savoir comment vous faites pour avoir des enfants, car je n’y arrive pas depuis 4 ans.
– Ben, je fais comme tout le monde.
– Oui, mais moi cela ne marche pas. S’il vous plaît, donnez-moi un truc pour avoir des bébés.
– Bon, je vais vous aider. Il vous faut 3 choses pour y arriver ; 1 – un savon, 2 – du parfum, 3 – un balai. »
Jean-Paul prend note.
« – Bon, alors, le savon c’est pour quoi faire ?
– Quand vous voudrez faire un bébé, vous donnez un bon bain à votre épouse avec le savon.
– Et avec le parfum ?
– Quand elle est bien lavée et séchée, vous la portez sur votre lit et vous la parfumez…
– Et avec le balai, je fais quoi avec le balai ?
– Bon, quand elle est bien lavée, parfumée et prête sur le lit, vous tapez 3 fois au plafond avec le balai, et j’arrive de suite. »

Une maîtresse d’école téléphone chez un petit garçon et lui demande :
« – Veux-tu me passer ta maman ?
– Maman est dans la salle de bain.
– Alors, ne la dérange pas et passe-moi ton papa.
– Lui aussi il est dans la salle de bain.
– Ah bon ? Est-ce que tu penses que ça va être long ?
– Oh oui, madame, parce que tout à l’heure, ils m’ont demandé le tube de vaseline et je leur ai donné le tube de colle ! »
J’adore…

Allez, bon week-end à toutes et à tous, vous l’avez bien mérité !

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