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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 mars 2018

Quelques nouveautés ?

Toutes ne le sont pas…

« – Quelle est la différence entre une maîtresse et une épouse ?
– 20 kilos ? »

« – Différence entre un amant et un mari ?
– 45 minutes ! »

« – Qu’est-ce que ça donne quand un homme parle cochon à une femme ?
– Un harcèlement sexuel ! »

« – Qu’est-ce que ça donne quand une femme parle cochon à un homme ?
– 3,99 € la minute… »

« – Pourquoi les hommes veulent marier des vierges ?
– Ils ne supportent pas la critique ! »

« – Pourquoi est-ce si dur pour les femmes de trouver un homme sensible, doux, attentionné et beau ?
– Parce qu’ils ont tous déjà une copine. »

« – Pourquoi les femmes simulent-elles l’orgasme ?
– Parce que les hommes sautent les préliminaires. »

« – Quelle est la différence entre un nouveau mari et un nouveau chien ?
– Après un an, le chien est encore excité de vous voir… »

« – Quel est le gars le plus populaire dans un camp de nudistes ?
– Celui qui peut transporter une tasse de café dans chaque main et une douzaine de beignets en même temps ! »

« – La fille la plus populaire dans ce camp de nudistes ?
– Celle qui peut manger le dernier beignet ! »

« – Quelle est la sanction pour la bigamie ?
– Deux belles-mères, voyons ! »
Le pôvre…

Gabrielle observe sa grande sœur qui senduit le visage dune bonne couche de crème.
« – À quoi ça sert ?
– À me rendre plus belle. »
La cadette continue à regarder sa sœur en silence pendant que celle-ci ôte la crème à laide dune petite éponge.
« Ça ne marche pas, hein ? »

Deux copines discutent de leurs loisirs de fin de semaine…
Germaine :
« – Je ne sais pas quel plaisir vous éprouvez à vous saouler dans un bar, toi et ton mari, tous les week-ends…
– C’est bien simple, dès qu’il est un peu éméché, il s’imagine que je suis la femme d’un autre et il me fait monter en douce par l’escalier de service. »

Vers deux heures du matin, le téléphone sonne. Jean-Marc se réveille, décroche, écoute, soupire et raccroche.
« Qui c’était ? » interroge sa femme également réveillée en sursaut.
« Le docteur ! Tu te souviens qu’on l’avait fait venir, il y a trois mois, en pleine nuit parce que tu avais mal au ventre. Maintenant il nous appelle à la même heure pour nous réclamer ses honoraires… »

« C’est inouï ! » s’écrie Jean-Marc devant un cercle d’amis. « Figurez-vous que l’autre jour, au restaurant, le garçon était d’une lenteur, il ne marchait pas, il se traînait ! Si bien qu’à un moment je lui fais comme ça : « Dites donc mon ami, vous avez des varices ? » Et vous ne savez pas ce qu’il me répond ? « Une minute, monsieur, je vais voir à la cuisine ». »
Tout le monde s’esclaffe sauf Jean-Gérard qui reste très sérieux.
« – Eh bien moi, un truc comme ça ne me serait jamais arrivé !
– Pourquoi donc ?
– Parce que je regarde toujours la carte avant de demander au garçon ! »

Vous savez que chez les Baptistes, on pratique le baptême sur des adultes en les immergeant totalement dans l’eau d’une rivière… ?
C’est l’histoire d’un clochard rond comme une queue de pelle qui arrive en pleine cérémonie de baptême baptiste.
Voyant le pasteur au beau milieu de la rivière, le clochard le rejoint tant bien que mal. L’homme d’église qui n’a pas remarqué l’état d’ébriété de son ouaille lui dit :
« Mon frère, es-tu prêt à trouver Jésus ? »
Le clochard regarde derrière lui, constate que c’est bien à lui que s’adresse le pasteur et répond alors :
« Oui révérend… Un peu que je le veux. »
À ce moment-là, le pasteur l’attrape par le col, lui plonge la tête sous l’eau, puis il le ramène à l’air libre.
« Est-ce que tu as trouvé Jésus ? » interroge le révérend.
« Nooon, je l’ai pas trouvé ! » répond le poivrot.
Le révérend le replonge alors un peu plus longtemps dans l’eau de la rivière et lui demande :
«  Et maintenant mon frère, as-tu trouvé Jésus ?
– Noooon, toujours pas révérend. »
Énervé, le pasteur laisse l’ivrogne pendant une bonne trentaine de secondes la tête sous l’eau, puis il le récupère enfin et lui demande d’un ton rude :
« Alors bon sang, as-tu enfin trouvé Jésus maintenant ? »
Le clochard se frotte les yeux et murmure à l’oreille du pasteur :
« Vous êtes sûr que c’est ici qu’il est tombé ? »

Une petite « revenue » ?
« – Dis maman, un citron, ça a des pattes ?
– ???
– Dis maman, un citron, ça a des pattes ?
– Hein… Ben non, un citron ça n’a pas de pattes.
– Mince !!! Je crois que c’est un poussin que j’ai pressé… »
Variante (enrichie) :
« – Dis papa, une olive, ça a des pattes ?
– ???
– Dis papa, une olive, ça a des pattes ?
– Ben non, pourquoi ?
– Mince !!! Je crois que je viens de manger un cafard… »

« Au départ, nous sommes créés d’une « étincelle » d’amour.
La première année, nous sommes la « flamme » de nos parents.
On se fait « chauffer » les fesses jusqu’à notre adolescence.
Suit la période où un rien nous « allume ».
Et dans la vingtaine, on pète le « feu ».
Ensuite, on « bûche » jusqu’à 65 ans. À 75 ans, on est « brûlé ».
À 80 ans, on se ramasse dans un « foyer ».
Pis à 90 ans, on « s’éteint ».
Alors, pourquoi demander à être incinéré ?
On est déjà « cuit » de toute façon. »

C’est l’été. Jean-Marc et Jean-Paul discutent sur le bord de leur clôture commune :
« – J’aimerais bien savoir comment tu fais pour avoir des tomates aussi rouge, car les miennes sont toujours vertes.
– C’est pas compliqué. Chaque matin, demande à ta femme de se sortir, nue sous sa robe de chambre, et devant les tomates, d’ouvrir les pans de sa robe de chambre. Dans un mois, tes tomates seront d’un rouge flamboyant !
– Hein !?! Bof, au fond… J’ai rien à perdre ! »
Jean-Paul  explique le tout à sa femme qui, pour faire plaisir à son mari, relève le défi.
Tous les matins, nue sous sa robe de chambre, elle répète le même rituel.
Pendant un mois.
À la fin du mois nos deux voisins se rencontrent :
« – Alors, tes tomates ?
– M’en parle pas, pas une seule de rouge…
– Pas possible ? Pourtant moi ça fonctionne. Viens voir la longueur de mes concombres ! »

Jean-Marc se fait bronzer nu, à la plage, lorsqu’une fillette s’approche.
Il se couvre rapidement avec le journal qu’il lisait et la petite fille lui demande :
« Qu’est-ce que tu as de caché sous ton journal ? »
Jean-Marc réfléchit rapidement et répond :
« Un oiseau. »
La fillette s’éloigne et Jean-Marc continuant sa lecture s’endort.
Il se réveille en douleur avec les secouristes à son chevet et une ambulance stationnée tout près…
La police lui demande ce qui s’est passé.
Jean-Marc n’en sait rien et répond :
« J’étais étendu sur la plage et une fillette m’a posé une question et je me suis endormi en lisant mon journal.
Et maintenant, je me retrouve en ambulance en direction vers l’hôpital… »
La police retourne à la plage et demande à la fillette si elle a fait quelque chose à l’homme nu.
« À lui, je ne lui ai rien fait. J’ai tout simplement joué avec son oiseau, qui m’a craché dessus. Alors, je lui ai cassé le cou, j’ai craqué ses œufs et j’ai mis le feu à son nid ! »
La morale de cette histoire :
« Ne jamais mentir aux enfants. »

Dans un petit bled paumé du Larzac, en plein hiver, Jean-Marc dérape sur une plaque de verglas avec sa voiture et tombe dans le fossé.
Heureusement pour lui, le père Mathieu passe par là avec son percheron Basile et la carriole.
Gentiment, le père Mathieu propose à Jean-Marc de le sortir de ce traquenard. Il attache la voiture au moyen d’une corde à la carriole et commence à crier :
« Hue Bébert, Hue ! »
Mais Basile le percheron ne bouge pas.
Alors le père Mathieu crie :
« Hue Mado, Hue ! »
Mais Basile ne bouge toujours pas.
Le père Mathieu relance :
« Hue Nestor, Hue ! »
Aucune réaction de Basile.
Enfin Mathieu dit :
« Hue Basile, Hue ! »
Et enfin, tout tranquillement, Basile le percheron tire la voiture hors du fossé.
Jean-Marc, tout content s’enquiert auprès du père Mathieu :
« – Dites-moi un peu, comment cela se fait-il que vous ayez appelé votre cheval trois fois de suite avec un mauvais nom ?
– Ah, ça, c’est parce que Basile est non seulement aveugle, mais il est aussi fainéant comme pas possible : Si il se pensait être le seul à tirer, il aurait même pas essayé ! »

La maîtresse d’école raconte le conte célèbre pour initier ses élèves de six ans à la littérature classique.
Au programme du jour, Les « trois petits cochons ».
Elle commence :
« Il était une fois trois petits cochons qui voulaient construire leur maison. Le premier petit cochon avait décidé de bâtir une maison en paille. »
Les enfants sont fascinés, et la maîtresse poursuit :
« Se promenant sur la route, le premier petit cochon croise un brave paysan qui pousse une brouette. Dans cette brouette, il y a plusieurs bottes de paille. Le petit cochon n’hésite pas et lui demande s’il peut les acheter. »
La maîtresse s’arrête et, question de vérifier si les enfants suivent bien, elle leur demande :
« D’après vous, que va répondre le paysan ? »
Le petit Jean-Marc lève la main et dit :
« Moé j’pense qui va dire : « Cré-vingt-diou ! Un cochon qui parle ! » »

Jean-Marc fait visiter sa nouvelle garçonnière à un Jean-Paul.
Ils sont dans la salle de bains et Jean-Paul demande :
« – À quoi sert cette grosse conduite en cuivre ?
– Ça ? C’est une horloge parlante. Regarde… »
Là-dessus, Jean-Marc prend un marteau, donne quelques coups sur la conduite et quelques secondes plus tard on entend une voix qui vient de l’autre côté du mur qui dit :
« C’est pas bientôt finit de faire du bruit à une heure du matin ? »

Jean-Marc et Germaine regardent à la télévision une émission sur la psychologie.
Jean-Marc se tourne soudainement vers sa femme et lui dit :
« – Saurais-tu, en une seule affirmation, me dire quelque chose qui puisse me rendre heureux et triste à la fois ?
– Mais oui… : Tu as une quéquette plus grosse que toutes celles de tes copains ! »
Essayez donc si l’occasion se présente : Effet garanti !

Ah oui, la réponse à la devinette de la semaine dernière…
Souvenez-vous : Dans une ville comme Calvi (Balagne-Corsica-Bella-Tchi-Tchi) il y a quelques 3.000 habitants (en comptant les légionnaires du 2ème REP) et 15.000 l’été (en comptant tous les campeurs).
Toutefois, il n’y a pas plus de 1.000 abonnés téléphoniques (en comptant seulement les lignes « fixes ») et la moitié environ sont sur liste-rouge.
Si vous appelez 100 de « ces » numéros au hasard, combien de personne aurez-vous en ligne ?

La question est ambigüe à souhait :
Comment peut-on appeler « au hasard » 100 numéros sur liste-rouge ?
Réponse logique : Zéro puisque vous n’avez pas cette liste !
En revanche si vous appelez « au hasard » 100 numéros du bottin, vous n’aurez aucun correspondant sur liste-rouge.
Réponse logique : En principe, tous !

Bon week-end à toutes et tous quand même !

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