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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 27 mars 2018

Paris, capitale du « non-droit »

Comme je vous le disais jeudi dernier, j’y reviens.



On te vous causait de l’utopie du « Groβ-Paris » qui se dessine sous vos yeux, en remplacement des utopies « socialo-coco » moribondes. Pour se faire élire, il faut avoir une « soupe-à-vendre », parfois à puiser dans la démagogie (comme par exemple les transport publics gratuits pour tous et pas seulement les seniors).
Vous me direz, « MacRond » n’avait rien à vendre (pas de parti et pas de fonds à claquer), pas plus qu’aucun militant (juste 200.000 « sympathisants », devenus depuis 400.000 mais sans aucun cador, pour l'heure) mais qu’il a réussi à placer plus de 300 député.e.s-à-la-botte simplement en claquant dans les doigts et en exhibant ses dents du bonheur, ses bagues aux deux mains et « Bibi », sa cougar.
Avec un avantage de poids : Pas de bilan à défendre (ou alors si peu…)
Ce qui n’est pas le cas de « Sœur-Âne », la maire.sse parigot.e, première dans son genre (sexué) à cette fonction élective (elle qui n’a jamais réussi à prendre la mairie du XVème où elle se présente systématiquement).


Je vous l’ai toujours affirmé : J’adorai quand elle se jetait sur moâ toute fougue retenue non-retenue, comme sur du bon-pain à pétrir, me faisant humer les délices de son parfum subtil.
Mais comme dit l’autre (« Deux-longs »), « ça, c’était avant ».
Au fil du temps et de plus en plus qu’il passe, je n’en reviens pas : Vous savez comment on reconnaît les kons (au moins depuis Audiard)… Ils osent tout !
J’ai donc suivi (de loin) les histoires de rats qui déboulent sur les chaussées chassés par les crues et attirés par les détritus laissés par une armée d’incivils sur les « fans-zones » et autres ; les affaires incompréhensibles (quand on n’est pas sur place) de Grande roue et du marché de Noël ; j’ai ouïe dire les errements du « Vélib’ » où manifestement les torts sont partagés (mais qui paye quand même 3 M€ d’indemnités) ; les histoires de soupçons d’emplois fictifs ; la commande d’un rapport superfétatoire sur la propreté à 224.580 euros ; j’ai pu constater les dégâts circulatoires des piétonisations de quartiers entiers, les embarras des services de la RATP, toujours en travaux (comme le RER A qui va une nouvelle fois fermer cet été « pour le confort des usagers ») ou à gérer les urgences des pannes et autres incidents.
J’ai compris que la sous-traitance des « nouveaux financements » de l’usage de l’espace public en mode « stationnement » avait eu quelques problèmes (escroquerie aux PV, tarifs aberrants, agents-privés avinés, etc.), avec un détail « astronomique » : Le « Canard-déchaîné » m’aura révélé qu’une des deux sociétés privées chargées de verbaliser les voitures mal garées truandait allègrement. « La moitié des 50.000 contrôles quotidiens » auxquels il s’était engagé serait totalement bidons. La Mairie a même annoncé avoir « rappelé à ses obligations » son prestataire : La sanction sublime pour des escrocs !


Je suis d’encore plus loin les errements autour des « projets-phares » d’urbanisme (la tour-Triangle, les lotissements du 13ème le long du périphérique, avec les travaux conséquents de « déplacement-provisoire » des chaussées), etc.
Pour ma part, je me suis cassé à peu près au moment où le tramway faisait son retour fracassant sur les boulevards (d’abord maréchaux, puis encore ailleurs, et sans compter le déplacement des voies de bus au milieu des boulevards, créant des risques imbéciles pour les utilisateurs), rajoutant aux embarras, créant ces « barrages naturels » entre les « îlots-de-HLM » et la ville, tout autant devenus des « no-go-zone » encore acceptables, alors que les « anciens » avaient tant fait pour les démonter…
Quand je pense aux années d’encombrement, porte d’Italie par exemple, qu’on a dû subir pour atteindre la Nationale 7 (celle des vacances vers le sud d’avant l’autoroute) pour créer un tunnel routier fluidifiant la circulation et les mêmes pour le reboucher… je me dis que « les élus » ont du raffinement extrême dans l’art de jeter l’argent par les fenêtres… du moment que ce n’est pas le leur.
Ce qui au passage confirme l’en-tête de ce blog qui n’a pas changé d’un iota depuis l’origine : Qu’elle est « la place de l’État (…) son rôle ultime ? (Tout) le reste n’est alors (plus) que dérives quotidiennes pour soi-disant, le « bonheur des autres » avec « le pognon des autres ». »


Mais là, on vient de franchir une nouvelle étape assez extraordinaire pour être soulignée avec un certain délice.
Je te vous le raconte (même si vous le savez déjà) : Le tribunal administratif de Paris a annulé la décision de piétonnisation des voies sur berges…
Ah oui ? Mais ah-que-quoi que je me mêle ?
Il faut dire que comme ânerie, elle se pose-là : Tous ces millions de (francs à l’époque) investis pour faciliter les transferts ouest/est (rive-droâte) et est/ouest (le reliquat rive-gôche) qui permettait d’aller de Brest à Berlin avec un seul feu rouge (celui du quai Saint-Exupéry) en évitant les embouteillages des divers « périphériques » qui tournent autour du cœur de Paris-sur-la-Seine et par le chemin le plus court, donc le moins polluant (j’en compte huit au total, mais bourrés d’obstacles), pour finir en « piste cyclable », il y avait peut-être mieux à faire avec vos impôts (et ceux de vos parents et de vos grands-parents)…
Enfin, comme c’est votre pognon et pas celui « des élus », ils n’en ont rien à cirer, finalement.


Ceci dit, la trisomie-publique reste le sida de l’action politique contemporaine et ce n’est pas nouveau : Il faudra vous y faire.
Notez qu’ils ne le sont pas tous : À Lyon, Angers, Valence, Budapest, Londres, Reykjavik (pour les villes que j’ai fréquentées), mais également à Nice et sa promenade des britishs (à 2 x 3 voies), voire Toulon ou Marseille, je n’ai pas le souvenir qu’ils envisageraient de fermer leurs « autoroutes-urbaines » sur berges.
Même au mauvais motif d’une pollution exacerbée : De toute façon elle se reporte mécaniquement ailleurs en aggravant le problème (durée et distance accrues des parcours).
Et sur ce point-là, « Valy-Paic-Fesse » que j’ai du mal à assumer, elle a raison de râler, d’autant que les « plans de circulation » sont de sa compétence légale et régionale.
Mais passons…


Ce qui reste absolument étonnant, c’est la réaction de « sœur-Âne » : Au lieu de geler la remise aux normes exigée par « l’autorité-judiciaire » administrative en attendant des jours meilleurs même si une décision administrative est immédiatement applicable (c’est la même loi pour tous, me semble-t-il, à moins que ça ait pu changer sans qu’on ne m’en informe), quitte à faire appel d’une décision « inique » (comme la loi pour tous le prévoit également), ce que la maire.sse fait par ailleurs (validant ainsi le principe), elle, elle prend un arrêté municipal réitérant sa décision et organise des rassemblements de « soutien » à sa politique…
On appelle ça une « voie de fait par l’autorité » constituée…
Autrement dit, un délit caractérisé par et du premier magistrat de la ville (avec en plus pouvoir – et devoirs – de police et tout le bastringue).


Article L.432-1 du code pénal : « Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende. »
Sidéré que j’en suis.
Vous connaissez également l’existence de l’article 40 du Code de Procédure Pénale (modifié par Loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 - art. 74 JORF 10 mars 2004) : « Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l’article 40-1.
Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs. »
Bon, au boulot, « M’ssieur-le-proc’ »…
Des textes qui ont force de loi partout sur le territoire gauloisien, sauf… à « Paris-sur-la-plage », la capitale de la « Gauloisie-magnifique » !
Éberlué…
La Maire.sse délinquante, prise en flagrant-délit : Ça fait « exemple » à la fois pour le CIO et pour les « primo-délinquants » qu’on trainerait devant les tribunaux pour vol à l’étalage des « oranges du marchand », y’a pas à dire.


Miss est une véritable catastrophe : Une ville endettée comme jamais (3 milliards d’euros de plus depuis les mandats de « De-La-Nuée » qui faisait lui aussi procès à tout le monde pour n’importe quoi jusqu’au toit des halles – que je ne suis pas encore allé voir – pour un budget annuel de à 9,5 milliards), des rats, des ordures collectées de façon chaotique, une voirie souvent dans un état pitoyable, c’est devenue la capitale la plus chère et la plus sale d’Europe. Le changement de prestataire des Vélib’ s’avère être une catastrophe que discrètement les services lui donnent même un coup de main sans rien en dire, plus le marché public d’affichage qui constitue une ressource importante pour la collectivité et que le tribunal administratif a dû retoquer pour des irrégularités grossières, les gamelles s’accumulent.
Habituellement, lorsqu’une collectivité locale voit un de ses marchés publics annulés, elle adopte en général la solution la plus rapide, celle qui consiste à recommencer la procédure. Pas elle : Elle fait systématiquement appel de ces décisions pour se faire logiquement ratatiner devant la Cour.
Et le problème en l’occurrence, c’est que pendant la procédure, qui peut durer plus de deux ans, il n’y a plus de marché exécutoire, ce qui représente une perte de recettes de plusieurs dizaines de millions d’euros.


Pour ce dernier point – parce que c’est révélateur jusqu’à la caricature – ledit marché de l’affichage public a été annulé parce que contraire au règlement d’affichage adopté deux ans avant par … la ville elle-même !
C’est-à-dire que la mairie de Paris ne respecte même pas les règles qu’elle a elle-même fait adopter…
Mais avec l’annulation par le tribunal administratif de Paris de la décision de piétonnisation des voies sur berges, il semble qu’elle ait adopté une nouvelle technique vis-à-vis des juridictions : Celle du bras d’honneur !
Sublime de crânerie…
Alors qu’il faut savoir que cette mesure de fermeture de ces voies sur berges s’inscrit dans une mesure d’aménagement plus globale. Ces procédures sont minutieusement organisées par le code de l’urbanisme et font l’objet de rapports préalables, d’études d’impact, d’enquêtes et de concertations qui doivent permettre d’en apprécier la portée et l’utilité publique. Si celle-ci qui a été annulée par la juridiction administrative, c’est en raison de l’insuffisance de ces procédures, ce qui n’est pas un mince reproche.
Compte tenu des embouteillages monstres (hors quand j’y passe encore, la nuit), la moindre des choses était donc que le tribunal administratif soit exigeant sur la qualité des procédures menées en amont.
L’État de droit, finalement, dans tout ça ? Elle ne connaît pas !


Évidemment, elle sait très bien qu’il ne se passera rien, que personne ne va bouger. La seule question qui vaille, pour le personnel politique c’est de savoir qui va s’asseoir dans son fauteuil en 2020. L’État de droit, c’est juste pour la galerie. Et tant pis si ce qui devrait être la capitale de tous les Gauloisiens voit sa gestion confisquée par une petite caste d’amateurs incompétents, au profit exclusif de « sa clientèle », celle qui a les moyens d’y vivre, les « bobos & hypsters », les ceux-ce qui sont 30 % à avoir 70 % du pouvoir d’achat, dont on parlait encore la semaine dernière et dépassée.
Les 70 % qui ne représentent que 30 % du « pouvoir d’achat », ils n’ont qu’à s’exiler sans discutailler : Vive la démocratie-soce !
Une « démocrature » de plus… Locale celle-là.


Elle aura annoncé sa candidature en 2020 dimanche également dépassé et on sait que les « Marcheurs-même-pas-en-rêve » sont  en pleine organisation des municipales via notamment l’application cryptée Telegram et ne lui feront pas de cadeau : Z’ont des « trucs » à cacher.
L’édile indique qu’elle veut porter une « candidature de coalition » mais qu’elle n’adhèrera pas à la « République en marche-même-pas-en-rêve ». Elle estime être avec le gouvernement « dans une démarche de co-construction ». Pas sûr…
« Ma responsabilité n’est pas d’être une opposante politique mais d’être la maire de Paris ».
Que c’est probablement mal barré : Pour le moment chez les « LREM-même-pas-en-rêve » ils en sont au stade de l’organisation. Prochainement, quinze groupes de travail vont se former autour de quatre grandes thématiques parisiennes : Emploi, vivre-ensemble, jeunesse-culture, « smart-city » (eux aussi !). Et pour l’heure : « Pas d’opération démolition en direction d’Hidalgo ».
Évidemment, le nom de « Ben-Jasmin-Gris-veaux », député de la 5ème circonscription et porte-la-parole du gouvernement, circule régulièrement mais rien n’est arrêté à ce stade.
Dans le camp de la maire.sse, on observe à distance. « Quand on regarde les résultats parisiens (de MacRond) lors de l’élection présidentielle, ça ne peut que faire peur. Anne Hidalgo est consciente que ça va être difficile ».
Pour sûr…
Parce qu’il y a eu aussi les législatives, et là, il faut bien dire que « Paris-la-Groβ » a déjà basculé massivement…


« Floflo-Perd-tout », la sucesseuse du « cousin-Jean » dans le Vème, présidente du groupe LRD au Conseil de Paris depuis la retraite en rase-campagne de « Haine-qu’a-Aime », souhaite surtout que ce soit un candidat LRD qui la vire, ou un candidat qui appartient à sa famille élargie, « y compris du côté des constructifs ».
À surveiller également la montée en puissance des « Mes-Lu-chiens » dans l’est parisien, un parti arrivé en tête dans les XIXème et XXème arrondissements à la présidentielle, et dont « Danièle Eau-Bono-Bono » a été élue députée dans la 17ème circonscription. Les candidats « Insoumis » étaient au second tour lors des législatives. « Il n’y a pas de victoire à Paris en 2020 sans les arrondissements du Nord-Est », estiment mes potes PCF (que j’en ai été obligé de leur rappeler que le « Chi » et le « cousin Tiberi » s’en étaient bien passés).
Pour moâ, c’est le XIIème qui est le point de bascule.
Quant aux sondages, ils sont en berne.


En fait, on va rentrer dans le vif du sujet cet été.
D’autant que courent des rumeurs  sur « Hugh-Rançon », député de Paris et sur « Stan-Gai-Rit-Nie », lui aussi député parisien passé par l’Élysée sous le « Chi » qui ambitionnent tous les deux d’être candidats « REM-même-pas-en-rêve ».
Mais d’après d’autres, le nom du Premier-sinistre est évoqué pour mener une candidature commune « LREM-même-pas-en-rêve/LRD » face à « Sœur-Âne ».
Ce sont eux qui pourraient bien faire l’union désirée par « Sœur-Âne »…
Quoique RTL assure que l’hypothèse a été avancée par « Cloclo-Go-as-Gaine », ancien maire du XVIème arrondissement, partisan d’une candidature commune en 2020 et qui ne reste qu’un missile essentiellement destiné « à semer la zizanie ».
Il faut dire que pour l’heure, « Ed. Phil-Lippe » reste bien accroché à Matignon, et son destin pourrait aussi être européen pour être tête de liste aux élections européennes de 2019, avec comme possible prise de guerre la présidence de la Commission européenne ou celle du Parlement.
« Si j'étais Macron, je n’hésiterais pas une seconde », assure un proche du premier-sinistre : « Il est plus facile de trouver un Premier ministre qu’un leader européen. » Le ministre de l’Éducation « ferait très bien l’affaire à Matignon. Et pour l’Europe, un ex-Premier ministre français, de la jeune génération, poussé par Macron, ça aurait de la gueule. »
Eh bien moâ, je le vois bien faire l’union nécessaire à « Paris-sur-la-plage » pour virer la catastrophique « Sœur-Âne », figurez-vous.

Sauf que ça reste « à suivre », parce que je m’attends aussi à un « coup du charme » auprès de « MacRond » dont elle a le secret : Elle a bien réussi à tournebouler « De-la-Nuée », avec à la clé une promotion expresse de l’urbanisme à « première-adjointe », puis à « dauphine-officielle », un sieur qui pourtant, tout affable qu’il pouvait être, n’a toujours absolument aucune appétence ni pour son parfum ni pour ses « charmes-incendiaires », c’est le moins qu’on puisse avancer…

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