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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 28 mars 2018

Panique à bâbord, à tribord et… à bord

Les poupées sexuelles débarquent à Paris…

… Après un court séjour à Barcelone et ça les tous met en transe !
Vous vous rendez-compte, le tout-Paris « coquin » en ébullition pour des bouts de silicone ! Et qui mettent en émoi et pamoison différentes associations puritaines ainsi que quelques bourgeois effarouchés siégeant au Conseil de la municipalité parigote.
Laissez-moi rire : Ils n’ont décidément rien vu de la vie !

L’affaire est maintenant connue de tous tant elle a été relatée par maints articles de presse : Depuis le premier février dernier, l’entreprise Xdolls, propose trois chambres à ses clients afin d’avoir des relations sexuelles avec… des poupées en silicone haut de gamme !
Autrement dit, les clients peuvent louer des jouets sexuels pendant une ou deux heures dans un cadre discret…
Ils n’ont donc jamais été dans le moindre sex-shop « avec ou non cabine » ?

Volée de bois vert sous la colère des élus communistes et Front de gôche au Conseil de Paris-sur-le-Seine, dont la morale si puritaine semble toute tourneboulée pour l’occasion en oubliant les dizaines de millions de morts des « dogmes-du-progrès » !
Et en plus, ils sont même rejoints par des associations-féministes, de celles qui accompagnent quelques toutes les victimes d’exploitation sexuelle, qui souhaitent comme nos cocos pudibonds et amnésiques faire fermer le lieu au prétexte que « Xdolls (…) est un endroit qui génère de l’argent et où on simule le viol d’une femme. »
Je veux : Des fleuves de pognons soumis à TVA et impôt sur les sociétés, plus un chouia de cotisation sociale sur les salaires du gérant et de la femme de ménage-lingère…
Ah oui… de la « simulation de viol », voilà donc le crime…

Notez que dans leur esprit, si le « choix du crime » est le même que pour de « vrais-viols » (celui qui fait de vraies-victimes), c’est aussi un « pousse-au-crime » que de vouloir interdire de violer des « choses inanimées ».

Les vraies victimes, en « chair et en os » vont pouvoir vivre tranquille avec ça…
La préfecture a donc été prévenue, la police alertée, les instances judiciaires sont toutes au taquet… Mais comme ici, on parle bien d’objets inanimés, et que toute la démarche commerciale du gérant est déjà entièrement encadrée, tout ceci apparaît parfaitement légal.

Mais pour tous ceux-là, peu importe ici que nous soyons en présence d’objet et que ceci soit légal : Elles vous disent qu’il s’agit « d’une dégradation de l’image de la femme », voire (et c’est encore pire) que certaines de ces femmes auraient des caractéristiques si proches des enfants que les actes seraient alors assimilables à des actes pédophiles…
Franchement : Si tel était le cas, au moins ça ferait autant de « vrais-enfants » mis indirectement à l’abri de « vrai-prédateur ».

On devrait s’en féliciter.

Mais justement non : J’avais indiqué à notre « Comtesse au pied-dénudé » à l’occasion d’un commentaire avoir été consulté indirectement et par la bande, il y a longtemps de ça, sur la validité juridique du procédé et bien évidemment, c’est un écueil à éviter impérativement. J’espère que j’ai été entendu…
Vues les photos qu’on m’a montré, on est heureusement et effectivement assez loin des profils d’enfant imberbe… Et alors, très loin, jusqu’à la caricature.
Mais ne sait-on jamais…

Après quelques pétitions visant à faire fermer l’établissement, on s’imagine donc que la démarche de nos schizophrènes vise tout simplement à relancer la concurrence faite à leurs vénérées prostituées « travailleuses du sexe ». Imaginez donc qu’elles soient remplacées par un commerce de poupées ou que des détraqués assouvissent leurs pulsions sur des objets plutôt que sur de « vraies-femmes » comprenez-vous…
Car comme chacun le sait la prostitution légale diminue les délits ainsi que les crimes sexuels et les MST, bien naturellement…

Vives les putes !

Ou alors (débat éthique insurmontable) si cet établissement n’est qu’une maison-close, même déguisée, ne faudra-t-il pas, au passage, requalifier de la même façon toutes les boutiques qui vendent des godemichets et des poupées gonflables en succursales de l’esclavagisme sexuel, et leurs patrons en proxénètes ?
C’est absolument limpide et juridiquement solide : Si je vends des kleenex et du lubrifiant, comme Amazon, suis-je un odieux complice de diverses saloperies prohibées ?
Je connais quelques pharmaciens et gérants de supermarchés qui vont avoir du souci à se faire…

Sans compter qu’en toute logique féministe, les vibromasseurs de formes suggestives à vocation du « plaisir de nos dames » reviennent à instrumentaliser « l’image de l’homme », ce qui est très, très mâle mal, vous en conviendrez aisément, et il doit donc forcément être interdit.
Bon Dieu de misère : Nos pôvres dames qui n’ont pas de partenaire à la hauteur sous la main pour assouvir pleinement leurs fantasmes…
Le drame !

À mon sens, mais je peux me tromper, la justice n’aura pas son mot à dire. Ici, des adultes s’amusent avec des objets et il n’y a aucune victime notamment parce que techniquement l’image de la femme n’en est pas vraiment une et les « poupées » n’ont jamais pu ester en justice.
En revanche, ce faisant, les élus communistes puritains et ces féministes auto-proclamées autosaisis ne renvoient-ils pas par la même occasion la femme à son image si « machiste » « d’être si faible » qu’il faut absolument les protéger à coup de lois et d’interdictions morales (ou légale) ?
Laissez-moi en rire : On a vu plus porteur et plus juste, comme combat politique (et moral).

Justement, la morale, qu’il sera difficile de défendre ici puisqu’en contrepartie des associations féministes qui évoquent « l’image de la femme dégradée », d’autres pourront arguer à bon droit que cela retire autant de prostituées du trottoir.
Et pour cause : Chaque nouvelle poupée introduite sur le marché entraîne l’élimination d’un nombre d’actes pour lesquels les clients se satisferont très bien de la substitution synthétique, sans plus avoir recours à la prostitution.
Autrement dit, il devient de plus en plus évident que des associations qui luttent contre la prostitution devraient plutôt y trouver leur compte !

Et on peut aussi parler du soutien des professions de santé et ce d’autant plus qu’actuellement le port du préservatif est en chute libre chez les professionnelles suite à la pénalisation des clients demandée à grands cris par… les mêmes associations féministes !
Au-delà de ces aspects, cette affaire permet d’aborder une autre réflexion : À l’évidence, il existe probablement bien un marché pour ces poupées, et ce quand bien même cet ersatz reste très éloigné d’une vraie relation charnelle, puisque quelques-uns s’en contentent.
Or, sur le plan technologique, il n’y a guère d’effort d’imagination pour comprendre que ces poupées s’amélioreront et que l’écart sera progressivement comblé avec des « vraies-femmes ».
D’une façon ou d’une autre, dans ce pays ou ailleurs et dans le cadre légal ou sur le marché noir, tout indique que ces robots sexuels seront amenés à se développer…
J’en reste persuadé pour l’avoir déjà anticipé dans le prochain « roman d’été »… (pas encore achevé).

Et à mon sens, l’extension de ces pratiques (sex-toys pour dames, poupées pour kouillus) promet d’avoir des effets profonds sur la société : La prostitution traditionnelle perd du terrain tous les jours sur le terrain (et c’est tant mieux) face à la pornographie accessible de plus en plus facilement sur internet, et qu’elle perd aussi face au développement du « casual sex » (les coups sans lendemain, les rencontres d’un soir) rendu très aisé grâce aux applications web dédiées (les sites de rencontres).
Le « sexe récréatif » perdra lui-même du terrain dès lors que l’investissement en temps et en argent est bien mieux rentabilisé avec des robots qui ne présentent déjà plus aucun risque de MST, ni bien sûr le risque de s’incruster, de s’attacher, ou d’imposer un engagement plus profond (avec l’apparition d’un polichinelle né d’ébats-féconds, non protégés, par exemple).

En outre, l’arrivée de ces robots coïncide avec l’actuelle criminalisation, plus ou moins larvée, de l’acte sexuel lui-même et de tout ce qui l’entoure, depuis « la drague » jusqu’à l’acte final, pour lequel ne pas obtenir un consentement préalable signé, rédigé en trois exemplaires constituera un risque juridique incontournable.
D’autant mieux que le délai de la prescription va être rallongée subrepticement au profit des victimes (tant mieux encore) : Quelle épée de Damoclès démoniaque sur la tête de tout à chacun !
Même le passage par la prostitution constitue maintenant un risque, tant pour le client que pour son entourage qui se verra de plus en plus accusé de laisser faire un « esclavagiste sexuel ».

Enfin, à cette criminalisation de l’acte, on doit ajouter l’asymétrie de traitement judiciaire et financier fort défavorable aux hommes (qui feraient mieux de se castrer directement), depuis les gardes d’enfants jusqu’aux pensions alimentaires en passant par de lourdes peines de prison promises par les « autorités » : Même un mot « graveleux » vous coûtera jusqu’à 3.000 euros en cas de récidive, peine forfaitaire et automatique…
Par conséquent, cette tendance lourde du « sens de l’Histoire » (dans nos frontières, parce qu’ailleurs, l’esclavage et pas seulement le « sexuel », résiste à toutes les incantations internationales et au bruit des armes) et tous ces éléments déjà en place incitent à penser que l’utilisation de robots de plus en plus sophistiqués destinés à des pratiques sexuelles va bien prospérer dans les années à venir !
Un véritable appel du pied.

Il n’est pas non plus interdit de penser que, les technologies aidant, la robotisation et l’IA progressant également tous les jours à pas de géant, à un moment donné, l’homme « moderne » aura un intérêt (économique, judiciaire, moral) bien compris à choisir ce genre de récréation sexuelle plutôt que prendre le risque d’une relation (tarifée ou non) avec une dame. Et une des conséquences logiques, outre un délitement du concept de famille que les kouillus ne seront plus du tout enclins à fonder, sera une baisse marquée de la natalité (au moins par moyens naturels) et une faillite (future) du régime de retraite de nos gamins.
Déjà que le nôtre n’est pas très brillant…
Mais bon, ce sera l’occasion de développer aussi les PMA, soyons clairs.
Et devant l’attrition du stock d’hommes disponibles et volontaires pour l’expérience de couple (avec les risques attachés), nos « dames » vont devoir faire assaut de compétition entre elles.
Ou se convertir à l’homosexualité…
Le véritable avenir de l’humanité, en réalité (car il règle tous les problèmes de pollution et de surpopulation).

Des perspectives étonnantes sinon inquiétantes, finalement. Dans ce contexte, on ne peut s’empêcher de noter que certains des combats féministes par ailleurs parfaitement justifiés de mon point de vue (on se demande encore pourquoi ils n’ont pas été enclenchés plus tôt…) risquent d’être particulièrement contre-productifs voire dangereux en cherchant, plutôt que comprendre et s’adapter, à stigmatiser et punir, comme le démontre les phalanges activiste d’élus parigots.
L’interdiction, ils n’ont que ça en besace depuis Staline…
Dommage.

Ceci dit, c’est l’occasion de vous livrer un 6ème EXTRAIT du prochain « Roman d’été » (Ultime récit – suite) toujours en préparation, tout-à-fait rigolo et pas du tout prémédité, au moment où Paul revenant d’Islande pour aller à Londres, débarque chez sa vieille copine « Lady Margareth » en Ecosse.
Celle qui n’a plus de jambe depuis une mauvaise chute de cheval et qui désormais marche avec un exosquelette de sa conception d’informaticienne de génie :

N’importe quoi ! Quel intérêt ? « Et puis un cyborg complet et autonome, c’est plus de 570 muscles à caser… » Soit deux fois plus de moteurs électriques si on veut se passer de ressorts.
Mais comme c’est creux à l’intérieur, « ça doit être faisable » insiste Paul.
« Non mais, hors la programmation de l’IA elle-même, tu n’imagines même pas la complexité du bidule ! »
C’est pour ça qu’il s’adresse à la spécialiste-méconnue…
« Tu exagères Paul. Je ne suis pas « spécialiste ». Entre un membre ou deux et un corps complet, c’est le jour et la nuit. »
D’autant que pour compliquer le problème, Paul a des exigences : « D’abord la taille. Trois ajustables à plus ou moins 10 % chacun. Pareil pour les poitrines, les yeux, les lèvres. Trois types de peau : indo-européen, métis-black, type hispanique et jaune-pâle aux yeux bridés avec quatre types de cheveux. Brun, blond, roux, noir et châtain. »
Oh, ça, avec des perruques naturelles, on peut même varier la longueur, les faire friser ou les rendre raides. « Tu peux même imaginer des cheveux rouges, bleus, mauves ou verts ! » fait-elle en rigolant.
Mais déjà, rien qu’avec des ossatures qui varient d’un prototype à un autre, même à seulement plus ou moins 10 %, sans même parler des masses et rondeurs, c’est déjà kafkaïen !
Et pour en faire quoi ? Un bordel flottant ? « Ce n’est pas un peu dégradant pour les femmes, tout ça, réduites à l’état d’objet-sexuel ? »
« Euh… that nay, of course. C’est même tout le contraire. Si j’embarquais de vraies prostituées en chair et en os, je deviendrai un proxénète. Là, c’est l’inverse, le contraire. J’embarque des machines. Des poupées pas vraiment gonflables, ni même en latex mais plutôt en silicone qui n’auront pas à se déguiser comme toutes les femmes !
Non mais regarde un peu autour de toi : elles passent combien de temps par jour à s’épiler, se maquiller, se grimer, se décorer, se coiffer, se brosser, se laquer, gommer leurs « imperfections » qu’elles ont du mal à supporter, trouver la tenue qui les mettront en valeur, les sous-vêtements irrésistibles qu’elles ne montreront qu’à quelques happy-few pour les rendre encore plus dingues d’elles, pour finir par quoi au juste ?
Toujours la même chose et rien d’autre !
Alors, hein, à mon bord, ce sera autant de moins d’esclaves sexuelles. En revanche, ce sera autant de pervers qui débourseront quelques dollars pour donner libre court à leur perversion en toute tranquillité ! »
Justement, c’est faire beau jeu des instincts les plus vils de l’espèce humaine : odieux !
« Peut-être, mais je n’en suis pas responsable. D’abord, ce n’est pas moi qui irais payer une femme pour obtenir ses faveurs et avoir l’autorisation de la faire jouir : je trouve ça déplorable !
(…)
Avec ce « business », je m’adresse aux 10 % de détraqués (…), soit parce que ce sont de vrais pervers qu’il serait dangereux de mettre entre les pattes d’une femme et tout autant dangereux de les laisser se guider par leurs pulsions inassouvies. Ils finissent par s’attaquer à plus faible, voire à des gamines même pas pubères, alors, hein, c’est de l’ouvrage de salubrité publique ! »

Comme quoi, non seulement la femme, la vraie, l’authentique, celle qui sent bon, ne peut décidément pas être réduite à un objet. C’est un sujet à part entière, moitié de l’humanité, avec ses propres pulsions, envies, désastres et fantasmes.
Mais surtout, la réalité rattrape même mes fictions plus vite que je n’ai le temps de les mettre en ligne : Pour une surprise, c’en est une, figurez-vous !

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