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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 4 mars 2018

La « Maladie d’Amour »…

Les chercheurs britanniques m’étonneront toujours !

Non pas parce que quand ils cherchent, ils trouvent (pas plus, pas mieux que d’autres), mais parce qu’ils ont des sujets et thèmes de recherche étonnants. Comme par exemple : Que se passe-t-il dans le cerveau quand on « tombe amoureux » ?
Déjà, tomber… moi ça aurait tendance à me relever pour me mettre en érection, mais passons…
Pas besoin de chercher en ce qui me concerne : J’ai toujours prétendu que ça part du bout du nerf-honteux pour aller jusqu’au fond du cerveau primaire, ou inversement.
Je n’ai jamais bien su quant au sens du parcours.
Mais dans tous les cas, tu n’es plus toi-même…

Sueurs froides, chaudes, trémolos, tremblements, gorge nouée, nœud dans les tripes, corps qui se dérobe, cerveau aux abonnés absents, membres tétanisés, tu ne vois plus rien, tu n’entends plus rien, tu en oublies de respirer et en plus tu en restes figé comme un kon.
D’autant – en ce qui me concerne en tout cas – qu’il m’est alors très difficile de me déplacer, un double décimètre rigide engoncé dans des vêtements qui empêchent de marcher normalement…
Là, j’envie mes potes mahométans et leurs amples djellabas.
Par malchance – et convenance – je suis né « papiste »…
Bref, phénomène irraisonné par excellence, le sentiment amoureux semble à la fois universel et insaisissable.
Mais pas aussi insaisissable que cela pour la science britannique.

Yves Agid, professeur de neurologie, chercheur en neurosciences et directeur scientifique de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM), expliquait il y a encore peu dans une revue de vulgarisation scientifique ce que l’on sait du cerveau amoureux. Et notamment de ces déflagrations internes qui nous échappent totalement quand nous sommes « touchés en plein cœur » (ou en plein cerveau, en l’occurrence), que la science s’emploie à identifier et à qualifier.
Personnellement, je ne situais pas le cerveau à cet endroit-là, mais peu importe.

« Tomber amoureux », c’est d’abord éprouver de fortes émotions, d’un coup et de façon parfaitement incontrôlable. Forte accélération du cœur, pâleur, coup de chaud… en dit « le scientifique ».
Autant de symptômes physiques qui manifestent cet afflux d’émotions que provoque la présence de « l’autre », de « l’objet » amoureux.
Là encore, ou je traduis mal, ou je n’aurai pas employé ce mot-là, mais plutôt celui de « sujet » des « émois ».
Passons…
Ce qui reste important, c’est que c’est un phénomène subit et transitoire. Mais à ce moment-là, si l’on fait un arrêt sur images, que se passe-t-il dans le cerveau, telle était jusque-là la question ?

Et il découvre qu’en admettant que vous voyez soudainement quelqu’un pour qui vous avez une soudaine empathie et qui vous plaît beaucoup, ces informations sont véhiculées dans votre cerveau par le biais des perceptions, qu’elles soient visuelles, sonores, tactiles, olfactives, etc. Ces perceptions sont traitées dans des régions du cerveau qui gèrent plus spécifiquement les émotions.
Dans votre cerveau, il y a en effet des circuits spécifiques : Les uns sont en charge de la motricité, les autres de l’intellect… et il y a aussi les circuits affectés aux émotions.
Ce qui est intéressant avec le sentiment amoureux, c’est qu’il survient d’un coup. Vous ne vous dites pas « cet homme ou cette femme a un beau blazer, son visage me plaît… » (comme cette personne est « attractive » avec [son kul de rêve qui attirent les doigts], ses ridelles discrètes autour des yeux qu’elle a clairs et qui sont mis en valeur par un maquillage juste ce qu’il faut de « charbonneux » tels qu’ils étincellent, sa silhouette-magique, son déhanché provocateur, ses fossettes diaboliques qui encadrent des commissures de lèvres de rêve, ses « masses molles-&-rondes » au galbe parfait, ses seins qui virevoltent si harmonieusement, etc.). En fait, vous ne décidez de rien, l’analyse rationnelle n’a rien à voir avec votre réaction : Cela relève d’un comportement automatique.
Pour les neuroscientifiques, il convient de comprendre précisément quelles zones du cerveau sont activées, chez les humains, lorsqu’ils tombent amoureux.

Pour schématiser, le cerveau, cette masse de gélatine (qui pèse un peu moins de 1,5 kg… un peu plus chez moâ pour baigner en permanence dans un liquide céphalorachidien à haute densité d’alcool éthylique) est composée d’une énorme couche périphérique : C’est le cortex cérébral, qui gère nos comportements non-automatiques.
Mais il y a aussi, et surtout, des comportements automatiques comme marcher, faire du vélo, conduire une voiture, boire un coup, toutes ces choses que nous faisons sans y penser, qui elles, sont essentiellement gérées par de toutes petites structures à la base du cerveau, les noyaux gris centraux (qui représentent seulement 1/50ème de la masse cérébrale).
Ce qui est étonnant, c’est que le sentiment amoureux semble justement géré par de si petites, si anciennes, si archaïques, structures cérébrales. De façon intuitive, on pourrait se dire : Le sentiment amoureux est si complexe et subtil, qu’il sollicite essentiellement le cortex cérébral – un territoire plus récent qui contrôle les activités mentales les plus subtiles de l’homme – soit les comportements non-automatiques, comme la conscience.
En réalité, pas du tout : Tomber amoureux relève plutôt de la subconscience (domaine qui fait la fortune des psychanalystes), c’est-à-dire de la faculté cérébrale qui nous permet d’agir, de penser et de ressentir des émotions de façon non-consciente, donc automatique.

On a déjà tous observé des pigeons amoureux qui se bécotent. Comme nous !
Or et justement, les pigeons n’ont pratiquement pas de cortex, mais des noyaux gris centraux proportionnellement très développés. Tout se passe donc chez ces animaux comme chez les êtres humains : On « tombe amoureux » de manière brutale et inattendue, automatiquement, de manière subconsciente… probablement avec la contribution des structures cérébrales les plus primitives du cerveau.
Là-dessus, pas de doute : Les neurobiologistes confirment mon vécu personnel !
Et réciproquement : D’une certaine façon, nous nous comportons donc comme des animaux… que nous sommes tous.
Chez les humains, il convient cependant de nuancer : On peut opposer l’amour-passion, qui se déclare sans crier gare, et l’amour qui s’installe avec le temps, quand les partenaires ont appris à se ()connaître et s’apprécier…
Mais quoi qu’il en soit, vous ne décidez pas de tomber amoureux, c’est la clé d’ogive de cette étude.

Toutefois, dans tous les cas, il faut rester prudents et ne pas en tirer de conclusions hâtives : On a d’un côté l’amour, qui se traduit par les comportements les plus complexes qui soient d’un point de vue émotionnel, et de l’autre ce qui relève du fonctionnement du cerveau, qui est extrêmement compliqué aussi. Établir des relations entre les deux, forcément, n’est pas une chose aisée, et il y a encore énormément à découvrir sur ces interactions.
Mais la recherche scientifique fournit plusieurs preuves expérimentales du rôle des noyaux gris centraux dans le sentiment amoureux : Andreas Bartels et Semir Zeki, de Londres, ont ainsi reçu un certain nombre de couples profondément amoureux. Ils ont demandé à l’un des deux partenaires de rentrer dans un IRM.
Supposons que ce soit un homme : On observe alors ce qui se passe dans son cerveau quand on lui montre une série de photos de femmes. Pour la plupart, ce sont des inconnues, et de temps en temps, il y a un cliché de sa bien-aimée.
Et ce qui s’allume dans son cerveau, à la vue de celle qu’il aime, ce sont les noyaux gris centraux !
Fabuleuse révélation…

Ces noyaux gris centraux, liés aux régions correspondantes dans le cortex cérébral, constituent donc une sorte de « nœud » ferroviaire qui jouent un rôle préférentiel dans les actions automatiques, tandis que le cortex joue un rôle essentiel dans la conscience des actions non-automatiques : Quand tu mets une main-aux-fesses, en principe, tout harcèlement et comportement provocateur bu, tu sais ce que tu fais, même si l’origine de l’acte pourrait n’être qu’instinctif…
Ainsi, avant l’intellectualisation, et parfois les regrets associés au sentiment amoureux ou à la passion, il y a l’arrivée brutale et incontrôlable de l’amour, sous forme d’émotions fortes.
À ne pas en douter, comme on vient de le dire.
Dans le premier cas, c’est le cortex cérébral qui contribue essentiellement, dans le deuxième, ce sont les noyaux gris centraux.
Dans tous les cas, c’est le cerveau qui déclenche l’amour…
Effectivement : Je serai curieux de savoir si un acéphale pourrait tomber amoureux, mais l’étude ne le précise pas.
Pas plus d’ailleurs que pour les autistes…

En revanche, pour ce qui est des trisomiques, là je peux vous dire qu’ils en sont capables, la preuve, cette « cousine » (corsa), trisomique avérée et de naissance, qui « tombait amoureuse » du premier pantalon venu.
Il suffisait de sortir de son champ de vision pour ne plus être poursuivi de ses assiduités baveuses…
Bref, les britishs, même quand ils « cherchent », ils n’éclairent pas vraiment ma lanterne : Je ne sais toujours pas d’où part le sentiment « amoureux ».
Du bout du sexe ou du tréfonds du cerveau primaire ?
Les deux sont liés par le nerf-honteux, pas de doute là-dessus, mais l’origine de l’influx nerveux qui va vous mettre en transe le reste de l’encéphale jusqu’à transformer votre « vous-même », quelle origine a-t-il ?

J’aurai bien une explication : Le cheminement part en fait des yeux (ou d’un autre sens « excité » de façon impromptue) qui « surprend » le reste de « l’animal-bestial ». Il chemine vers le cortex et est dérivé, via le « nœud » primaire et viscéral vers le bout du sexe (gland ou clitoris, cet organe uniquement dédié aux orgasmes des femmes, alors que chez les meks, ça sert aussi à pisser…).
Là, c’est comme une loterie : Ça réagit ou non.
Si la réaction reste unilatérale (un seul des sujets), on parle de « harcèlement » (même si je n’ai toujours pas compris qui est le « harceleur », celle qui se fait un profil « avantageux » sinon « ravageur » devant son miroir pendant des plombes, ou le « pigeon » qui tombe dans ses filets…)
Et alors quand les deux êtres fonctionnent à ce moment-là en « résonance », c’est le « coup de foudre » et on en perd toute raison…
Facétieux Cupidon !
Mais bon admettons que du pigeon aux homo-sapiens-sapiens, s’il n’était pas actif, les espèces seraient depuis longtemps plus qu’« en voie de disparition » accélérée.

Hommage donc aux chercheurs britanniques pour leur éclairage (à compléter) sur cette « maladie » qui unit dans son lit les cheveux blonds et les cheveux gris (et bien d’autres encore)…
Je vous souhaite à toutes et tous une excellente fin de journée et, pourquoi pas, une bonne soirée après mures réflexions sur leurs dires…

I3

6 commentaires:

  1. Très intéressant.
    L'objectif c'est sûrement ça :
    https://www.juliedesk.com/fr/blog/tomber-amoureux-intelligence-artificielle/

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Aaaaah, Chère Comtesse au pied dénudé !
      Vous aviez disparu et j'étais "mal"...

      Ceci dit, le sujet que vous abordez par la bande est nettement plus vaste.
      Deux choses : J'étudie le phénomène que vous évoquez depuis l'été dernier pour le prochain opus des "Enquêtes de Charlotte"... (Ultime récit - Suite, pour être la suite du précédent opus... http://flibustier20260.blogspot.fr/2017/09/ultime-recit-chapitre-zero.html)

      D'autant que j'ai un "pote" Barcelonais-Catalan-pure-souche qui m'avait déjà signalé les "immenses" progrès en matière d'IA appliquée aux sexdolls.

      Deux, je vais vous avouer que j'ai été consulté par la bande par un ersatz qui s'abrite derrière un "d'jeun" comme d'un "fau-nez" qui a ouvert une "boutique spécialisée" à Paris-sur-la-plage tout récemment : https://xdolls.fr/

      La question juridique tournait autour de la qualification de ladite activité de location de robots (sexuels en l'occurrence) : Est-ce interdit pour tomber dans une activité répréhensible par le Code pénal, voire seulement pour "trouble à l'ordre public et aux bonnes mœurs" ?

      Le droit pénal s'interprétant "restrictivement" et comme rien n'interdit ce type de "service à la personne humaine", j'en ai conclu qu'elle pouvait même peut-être prétendre à quelques subventions publiques, soit de la CNAM (pour soins intensifs aux troubles de l'érection ou encore lutter contre la dépression), soit de la CAF (pour limitation des naissances) voire même du "planning-familial" à la seule condition de s'adresser à des adultes et de ne pas présenter de modèle "favorisant la pédophilie".
      Mais bon, ils n'en sont pas encore là...
      Pour l'heure, c'est un "ballon d'essai".

      On attend naturellement le même projet "industriel" à l'adresse des femmes : Egalité et parité oblige...

      Comme quoi, votre "causeuse" est "un peu" en retard. D'autant qu'il n'est pas encore question de "tomber amoureux" d'un robot : Ne pas confondre attirance sexuelle avec sentiment de "fusion-affective" : Ce relèverait de la psychiatrie...

      Bien à vous, charmante "Comtesse au pied dénudé" !

      I-Cube

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    2. Ah mais non, je ne disparais pas, je viens chaque jour vous lire.
      C'est une parenthèse enrichissante; en plus votre vie est passionnante mais ça vous ne pouvez pas le savoir puisque c'est la vôtre...
      ComtesseÔPiedNU

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    3. Passionnante, passionnante, je ne sais pas.
      Pour l'heure je m'em... plutôt trop souvent et je broie du noir (pas du black, naturellement, ni aucun "pak-pak", vous l'avez compris).
      Je me demande bien ce que je fous sur cette foutue planète.
      J'ai fait "mon temps" après tout.

      Bonne soirée tout de même à vous, charmante Comtesse-au-pied-dénudé.

      I-Cube

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    4. Je ne veux pas être indiscrète alors que je ne suis même pas qualifiée, mais il me semble qu'il vous faut Une "Ignoble", infreequentable de surcroît.
      La question du sens perdra et prendra tout son sens "en même temps®".
      Bonne soirée.
      ComtesseÔPiedNu

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    5. Bonjour, Ô vous !

      Vous vous proposez pour l'exercice, si je comprends bien ?
      C'est gentil, ça...

      Au fait, pourquoi seulement "Une" ?
      Y'a-t-il un droit de préemption attaché à l'épisode proposé ?
      D'autant que des "ignobl.e.s", j'en connais pas mal déjà...

      Bonne journée à vous !

      I-Cube

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