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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 mars 2018

À l’approche de Pâques…

Les enfants sont alignés…

… dans la cafétéria d’une école primaire catholique, pour le déjeuner.
Au bout de la table, il y a un grand plateau de pommes.
La religieuse aura fait une note qu’elle a affichée sur le plateau de pomme :
« Prenez une seule pomme. Dieu nous regarde. »
Un peu plus loin, à l’autre bout de la table, il y a un grand plateau de biscuits aux pépites de chocolat.
Un enfant écrit une note :
« Prenez tout ce que vous voulez. Dieu regarde les pommes. »
Oui, je sais, elle n’est même pas drôle…

La vieille baronne Dure de Lafeuille est d’un snobisme exécrable.
Un soir, pendant le dîner, elle appelle sa cuisinière :
« – Dites-moi Marguerite, qu’est-ce que c’est que ce plat que vous nous servez ?
– C’est de la langue de bœuf, madame la baronne.
– Comment ? De la langue ! Mais vous n’y pensez pas. Comment osez-vous me servir quelque chose qui provient de la bouche d’une vache ?
– Très bien, madame la baronne. Préférez-vous des œufs ? »

Pensée du philosophe chinois Chang Ying Yue :
« Quellu chì, in u ghjornu…
hè attivu cum’è abella,
forti com’è un toru,
travagliu cum’è un cavallu,
E quale, in a sera, hè mortu cum’è un cane,
bisognu di cunsultà u veterariu…
hè assai prubabile chì hè un sceccu. »
C’est rapporté par Dùmé...
Et ça veut dire :
« Celui qui, tout au long de la journée…
est actif comme une abeille,
fort comme un taureau,
travaille comme un cheval,
et qui le soir venu, est crevé comme un chien,
devrait consulter un vétérinaire…
il est fort probable que ce soit un âne. »

Un vieux fermier se rend à pied au village voisin, afin d’acheter quelques fournitures.
Il s’arrête d’abord chez le quincailler et achète un seau et une enclume.
Puis il s’arrête chez un marchand de volailles et prend deux poulets et une oie.
Comme il se demande comment il va transporter tout cela, le marchand de volailles le conseille :
« Mettez l’enclume dans le seau, que vous porterez d’une main. Mettez un poulet sous chaque bras, et portez l’oie de l’autre main. »
Reprenant son chemin, le fermier rencontre une jeune fille plantureuse, à la poitrine opulente.
Visiblement perdue, celle-ci lui demande son chemin.
Comme l’endroit où elle doit se rendre n’est pas loin de chez lui, le vieux fermier lui fait une proposition :
« Si vous voulez, je vous accompagne. Nous allons prendre cette petite allée. C’est un raccourci qui nous fera gagner une demi-heure. »
La jeune fille s’inquiète alors :
« – Comment être sûre qu’une fois dans l’allée, vous n’allez pas me sauter dessus, me déshabiller et me violer ?
– Mais comment voulez-vous que je fasse ? Vous avez vu comme je suis chargé ?
– C’est pourtant simple », lui dit la jeune fille. « Posez l’oie par terre, recouvrez la avec le seau, posez l’enclume sur le seau et moi, pendant ce temps, je tiendrai les poulets… »

C’est le club du troisième âge du Trifouilly-les-bains-de-pieds qui a proposé un petit voyage organisé à ses membres.
Après quelques heures de trajet, le chauffeur du bus fait descendre tout le monde pour la visite de l’abbaye de Saint-Cucufa.
Alors que tout le monde est descendu, une mamie vient faire une confidence à l’oreille du chauffeur :
« Monsieur, je pense avoir été victime d’une agression sexuelle tout à l’heure dans ce bus… »
Le chauffeur, sans vouloir mettre en doute ses dires, reste tout de même dubitatif. Il lui promet néanmoins de la surveiller afin que cela ne se reproduise pas.
À midi, alors que le bus s’était arrêté pour le déjeuner, une deuxième vieille dame va trouver le chauffeur et lui confie :
« Je viens d’être victime d’une agression sexuelle ! »
Cette fois, le chauffeur commence à considérer avec plus d’attention les propos des deux vieilles.
Il inspecte les travées à la recherche du pervers.
Et il tombe sur un petit-vieux qui est là, à quatre pattes entre les sièges.
Il l’empoigne par la veste et lui demande :
« Bonjour monsieur, est-ce que je peux vous aider ? »
Le vieux le regarde et il lui répond :
« Pour sûr que tu peux m’aider fiston ! J’ai perdu ma moumoute et j’essaie de la retrouver. Par deux fois, je pensais avoir mis la main dessus, mais les 2 avaient la raie au milieu, alors que la mienne a la raie sur le côté… »

Dans son bain le petit Jean-Marc, trois ans, examine ses testicules.
« – Maman » demande-t-il, « c’est mon cerveau ?
– Pas encore », répond-elle.

Le petit Jean-Marc – même âge – est juchée en équilibre sur la tête de sa copine, tous les deux tout nus :
« – Bon, j’ai grimpé sur toi. Mais dis-moi quand on arrive au 7ème ciel ?
– Aucune idée, » répond la gamine… « Mais je commence à comprendre pourquoi maman a si souvent mal à la tête »

Excédée par les parents d’élève d’une école publique qui voulaient que les notes de passage de leurs enfants (qui n’avaient pas réussi leur session) soient changées même si les enfants absents 15-30 fois pendant le semestre n’avaient pas complété assez de travail scolaire pour passer, la concierge a changé la bande son du répondeur.
Désormais, on peut entendre le message suivant :
« Bonjour, vous êtes en relation avec le service de messagerie téléphonique de l’école élémentaire de la commune de « Trifouillis-les-Oies ».
Pour mieux vous aider à joindre le membre du personnel que vous désirez contacter, choisissez une des options suivantes :
Pour mentir sur la raison de l’absence de votre enfant – Appuyez sur 1 ;
Pour expliquer pourquoi votre enfant n’a pas fait ses devoirs – Appuyez sur 2 ;
Pour vous plaindre de notre travail – Appuyez sur 3 ;
Pour injurier les professeurs – Appuyez sur 4 ;
Pour nous demander pourquoi vous n’avez pas reçu l’information qui était incluse dans nos lettres d’invitation ainsi que dans les multiples dépliants que nous vous avons envoyées – Appuyez sur 5 ;
Si vous désirez que nous élevions votre enfant – Appuyez sur 6 ;
Si vous désirez joindre, toucher ou frapper quelqu’un – Appuyez sur 7 ;
Pour demander qu’on change le professeur de votre enfant pour la troisième fois cette année – Appuyez sur 8 ;
Pour vous plaindre sur le transport en autobus scolaire – Appuyez sur 9 ;
Pour vous plaindre au sujet des repas offerts à l’école – Appuyez sur 0.
Si vous avez réalisé que nous vivons dans un monde réel et que votre enfant doit être tenu responsable de son comportement, travail en classe et devoirs et que ce n’est pas la faute du professeur si votre enfant ne fait pas d’efforts, raccrochez et passez une belle journée. »
Plébiscite du personnel de l’école…

L’instituteur : « Nous venons d’étudier les homonymes et pour voir si vous avez bien compris la leçon, vous allez m’inventer chacun une phrase avec le mot « somme » au féminin, et une autre phrase avec le mot « somme », mais cette fois-ci au masculin. »
Réponses de Nathalie :
« – Dans le problème, nous calculons la somme des dépenses. Après le déjeuner, mon grand-papa fait tous les jours un petit somme.
– C’est très bien ! À toi, Jean-Marc, quelles sont tes phrases ?
– Phrase au féminin : Nous sommes des filles, et phrase au masculin : Nous sommes des garçons. »

La directrice de l’école primaire, aperçoit Jean-Marc et d’autres enfants qui se font des grimaces pendant la récréation.
Elle s’approche d’eux, et sur son ton habituel très autoritaire, elle leur dit :
« Tu vois Jean-Marc, quand j’étais petite, on me disait toujours que si continuais à faire des grimaces, je resterais comme ça ! »
Alors Jean-Marc lui répond, très poliment :
« Eh bien vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenue, Madame… »

Dans le bus qui mène à l’école, Jean-Marc ne cesse de renifler.
Une dame, agacée, lui demande :
« – Dis-moi, mon petit, tu n’as pas un mouchoir ?
– Si, mais maman m’a recommandé de bien le garder dans ma poche et de ne pas le prêter ! »

Jean-Marc, devenu enfin adulte (enfin…) vient tout juste de terminer la lecture du CORAN et le rôle de la femme selon la loi coranique.
Il arrive en toute hâte dans la cuisine, marche vers Germaine, sa femme et, tout en lui pointant le doigt à la figure, lui dit :
« – À partir de maintenant, je veux que tu saches que JE suis l’homme de la maison et ma parole est LOI.
Je veux que tu me prépares un repas gourmet et quand j’aurai terminé de manger mon repas, je m’attends à un somptueux dessert.
Ensuite, après le souper, tu vas me faire couler un bon bain afin que je puisse relaxer et quand j’en aurai terminé avec mon bain, devine qui va me peigner et m’habiller ?
– L’EMBAUMEUR ! »

Ce matin-là, Jean-Marc est opéré pour un acte de chirurgie mineure.
L’après-midi, il reçoit la visite Jean-Paul, son meilleur copain.
Ce dernier est étourdi par le nombre d’infirmières qui entrent et sortent sans cesse pour remettre l’oreiller en forme, refaire le lit, prendre la température, apporter un verre d’eau, faire un massage ou une friction.
« – C’est incroyable tout ce remue-ménage autour de ta petite personne ?
– Ah ça… Ben, les filles ont créé une sorte de fan club quand elles ont appris qu’il avait fallu 36 points de suture pour me faire une circoncision ! »

Jean-Gérard a eu un accident terrible et son «membre viril », bien qu’encore à peu près fonctionnel, a été mutilé et déchiré.
Son médecin lui assure qu’un bon chirurgien pourrait lui redonner une apparence à peu près normale.
Cependant, comme il s’agit d’une intervention esthétique, l’assurance-santé ne couvrira pas les frais de la chirurgie : Tout sera à sa charge.
Le chirurgien consulté, après avoir examiné la « petite-chose » meurtrie lui annonce le tarif envisageable :
« 3.500 € pour le « petit format », 6.500 € pour le «format moyen » et 14.000 € pour le « grand format ». »
Jean-Gérard penche naturellement pour un « grand format » mais décide d’en parler avec son épouse avant de prendre une décision.
Il lui parle donc au téléphone et lui explique les options.
Le médecin revient dans la salle d’examen et trouve son patient bien déprimé.
« Alors, vous avez téléphoné à votre épouse ? De quel format avez-vous décidé ? » demande le chirurgien.
« Aucun, elle préfère rénover la cuisine ».

Ça se passe dans un jet. L’avion a des problèmes de moteur et il est clair qu’il va falloir procéder à un atterrissage d’urgence.
Après avoir trouvé un aéroport de dégagement et manœuvré pour s’aligner sur l’axe de la piste, le commandant de bord prévient les passagers en leur demandant de rester bien calés sur leur siège, ceintures attachées et la tête calée entre les genoux.
Deux minutes après ce message, le pilote demande à l’hôtesse si ses consignes sont respectées, et elle lui répond :
« Oui tout le monde est prêt pour l’atterrissage… Il y a juste cet avocat qui est en train de passer dans les rangs en distribuant des cartes de visite. »

Le fils de Jean-Marc garçon pose la question suivante à son père :
« – Dis-moi papa. Pour qu’elle raison as-tu épousé maman ?
– Ah, toi aussi tu te le demandes ! »

Le même gamin, à la messe du Vendredi-saint, où il accompagne Germaine, sa mère, une petite prière marmonnée entre ses dents :
« Seigneur,
Faites en sorte que cette année nous ayons des vêtements pour habiller les pauvres dames qui sont dans l’ordinateur de papa.
Ainsi soit-il ! »

Une petite dernière, un peu « vacharde » :
Jean-Marc et Jean-Paul sont assis sur la Promenade des Anglais (Nice – Alpes-Maritimes) au soleil du printemps, pendant que leurs épouses sont à la messe des rameaux…
Ils matent les touristes en connaisseurs-experts, tout en vidant consciencieusement leurs canettes de bière à petites-lampées.
« – Tiens ! Tu vois cette femme là-bas ?
– Oui, oui, elle est pas mal !
– Oh ! Attention ! Elle s’habille comme si elle avait 16 ans. Elle parle comme si elle avait 17 ans et elle se maquille comme si elle avait 20 ans.
– Et alors ?
– Alors ? Il faut faire le total ! »

Bon week-end Pascal à toutes et à tous…

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