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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 28 février 2018

Un rapport peut en cacher un autre

Clavreul, préfet « engagé » à la manœuvre.

Là, c’est franchement trop drôle : Alors que le premier sinistre (« Ed. Fil-Lip ») présentait son plan de lutte contre la radicalisation vendredi dernier, un rapport administratif commandé par le sinistre de l’intérieur (et sa tronche caricaturale du fossoyeur de Luky-Luke) a été remis.
L’auteur, ce n’est pas n’importe qui. Ex-conseiller à l’Élysée de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » où il suivait les dossiers de politique intérieure, il est devenu au fil des mois un proche de « Menuet-Valse », dont il partage aujourd’hui les combats. C’est d’ailleurs ce dernier qui l’avait nommé à la tête de la « Dil-crash », la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (tout moâ, ça), où il est resté en poste jusqu’au changement de majorité de mai/juin dernier.
Sortant volontiers de son devoir de neutralité, il s’est rapidement attiré les foudres sur les réseaux sociaux de nombreuses associations comme le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), mais aussi du journaliste « Ed-vie-Plein-Aile » ou du chercheur Pascal Boniface, mais là, rien.
C’est par ailleurs l’un des membres fondateurs du mouvement « Printemps républicain », avec le politologue Laurent Bouvet, qui bataille pour une vision stricte de la laïcité.
Ses prises de position s’inscrivent dans une ligne plus dure que celle portée par l’Observatoire de la laïcité, de « Gens-luit-Bord-L’Eau ». Ce dernier a d’ailleurs vivement réagi dès jeudi après-midi, dans un communiqué au vitriol publié sur Twistter : « Je regrette le manque de rigueur méthodologique de ce rapport (…) et la méconnaissance d’actions déjà mises en œuvre par les pouvoirs publics », assène-t-il notamment, estimant que le travail de « Clave-Reul » « ne répond pas directement à la demande » de la place Beauvau.

Il faut toutefois lui reconnaître que pour élaborer son rapport, il s’est déplacé entre le 22 octobre et le 15 janvier dans des départements à « dominante urbaine », à savoir les Bouches-du-Rhône, l’Ille-et-Vilaine, la Loire-Atlantique, le Nord, le Bas-Rhin, le Rhône, les Yvelines, et un département rural, la Meuse, au contact des acteurs associatifs et des agents de l’État.
Son constat est clair : Les « manifestations d’affirmation identitaire se multiplient et se diversifient », avec, sur certains territoires des « contestations de la laïcité ».
Marrant, les valeurs de la République, il n’est pas allé voir en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »…

Ces troubles sont majoritairement le fait d'un « islam rigoriste voire radical » et concernent également des mouvements de « catholiques intégristes », et « évangéliques et juifs orthodoxes » : Il y en a pour tout le monde !
Ils ont été identifiés dans le cadre d’activités scolaires, culturelles et sportives.
Mais pas dans les théâtres de « Dieu-a-donné »…
Ce sont, par exemple, des assistantes maternelles exerçant à domicile qui portent le voile (je ne vous dis pas les bonnes-sœurs à cornette…) et refusent parfois de remettre l’enfant au père (eh, quand il y a motif impérieux, même les grands-parents ne peuvent pas sans une autorisation de la mère), le cas d’auxiliaires en milieu scolaire « faisant acte de prosélytisme » (c’est quoi ? On fait un « repas de Noël » à la cantine ?), des célébrations « spectaculaires » de certaines communautés juives, l’organisation de prières collectives chrétiennes et musulmanes (« spectaculaire » pour faire un « spectacle-thématique » ?).

En ce qui concerne la restauration collective et le débat autour des fameux « repas de substitution », il note l’existence de cantines à Strasbourg qui proposent des menus halal et casher, ce qui peut porter atteinte au principe de laïcité.
Mais nourrit les gamins même en hiver…
« Dans les lieux où la population de confession musulmane est présente, parfois de façon très majoritaire, le rapport à la République se tend sous l’effet d’une foi de plus en plus ouvertement revendiquée », est-il expliqué, entraînant la « différenciation et séparation croissante entre les hommes et les femmes » (oui, là, ce n’est pas normal : Ils sont congénitalement faits pour « zouker »), « le développement d’une offre éducative alternative », « la remise en cause des principes républicains et plus particulièrement de la laïcité, perçue comme une ‘‘arme contre les musulmans’’ ».
Oui, forcément : Ce n’est pas du tout téléguidé…
Le phénomène de radicalisation est notamment présent dans les structures sportives avec des tentatives de prosélytisme mais aussi des « parents qui exigent le voilement de leur fille ».
C’est sûr qu’apprendre à nager avec un voile, ce n’est pas très catholique…
Ni même très orthodoxe.
« L’adhésion aux principes républicains recule par endroits », constate-t-il ce qui génère « le désarroi et l’inquiétude parmi de nombreux agents publics et responsables associatifs ». Ou comment « instrumentaliser » quelques râleurs…
Autre enseignement notable : La sensibilisation à la laïcité et à la citoyenneté, qui a progressé après les attentats de 2015, « menace de retomber ».
« Ce fléchissement de la mobilisation doit être corrigé ».
Ah oui, c’est bin vrai, ça.

C’est effectivement un document explosif d’une quarantaine de pages qui met en lumière les failles du respect du principe de laïcité dans certains territoires. Cet état des lieux intitulé « Laïcité, valeurs de la République et exigences minimales de la vie en société », esquisse plusieurs mesures choc. Et là encore, personne ne vous en cause : Imaginez combien cela m’amuse dans ce beau pays (qui est aussi le mien et qui me le rend si mal) de la Patrie des Libertés…
Lui voudrait :

1 – Conditionner le soutien de l’État (subventions, emplois aidés) au respect de la laïcité. Estimant qu’il revient aux pouvoirs publics de « promouvoir les valeurs de la République », le préfet propose de « conditionner le soutien de l’État (attribution de subvention, agrément, soutien à un événement) à l’engagement de respecter et promouvoir » ces valeurs.
Ainsi, en dépit des « réserves ou des commentaires » de l’Observatoire de la laïcité, il suggère par exemple de « faire signer une charte », comme le font certaines CAF et préfectures, de « conditionner l’examen de subvention ou d’un emploi aidé à l’engagement de suivre une formation sur les valeurs de la République et la laïcité », comme le fait la préfecture des Bouches-du-Rhône ou encore d’« inciter le soumissionnaire ou le partenaire à conduire certaines actions, à contribuer à un évènement, ou à faire figurer la thématique ‘‘laïcité et valeurs de la République’’ dans un document partenarial ».
Tu sais, là, le mek, il m’amuse très fort !

Je te vous explique : Je ne suis plus « benêt-vol » dans le mouvement associatif depuis « mon exil » pour avoir démissionné de tous mes mandats « participatifs », y compris dans les crèches. Mais bon, j’ai gardé des contacts « actifs » car on me considère encore comme d’une « référence » même dans les centres-sociaux…
Bon, il faut dire que j’ai participé à en redresser une série, même si je ne sais toujours pas à quoi ça sert : Passons.
Et eux, ils sont « vent-debout » quand les CAF ce sont mises à vouloir conditionner leurs subventions (c’est légalement dans leurs missions) à ce type d’engagement qui n’a strictement aucune valeur (légale ou réglementaire).
Non pas que les centres-sociaux soient des ramassis de salafistes en herbe (ce sont plus probablement des ramassis de trotskistes qui ne comprennent rien à rien), mais plus « laïcards » qu’eux, on a du mal à trouver…
Or, une des missions qu’ils se donnent tous (alors qu’elle n’est même pas subventionnée, ou alors juste l’abonnement EDF pour les salles) c’est de recevoir des « apprenants » où quelques « instits’ » et autres « profs’ » des ékoles tentent d’inculquer quelques notions de franciliens-natifs à des migrants.

C’est histoire-double : D’abord, le « migrant », ce n’est pas que du bon-musulman, loin de là et au contraire. On y trouve pas loin de 92 nationalités, pour la plupart réfugiés « religieux » car massacrés au fil du temps pour être nés chrétiens.
Et ceux-là s’arrêtent (avec beaucoup de femme) en « Gauloisie-chrétienne »… sans pour autant être capables, avec un visa ou une autorisation de séjourner et de travailler sur le territoire en poche, d’aligner deux mots cohérents, faire une lettre de candidature, comprendre une facture, etc. (quant à faire un chèque…).
L’apprentissage de la langue, de l’Histoire et des valeurs fondamentales du pays d’accueil reste leur priorité…
Ensuite, il s’agit parfois de sortir de leur milieu éducatif et culturel toute une frange de la population que vous ne voyez même pas pour œuvrer dans les arrière-boutiques ou arrière-cuisines des caboulots que vous fréquentez sans y penser.
C’est que parfois, leurs gamins, laissés-pour-compte dans les ékoles de la République, n’ont pas d’autres solutions que d’apprendre à lire et à compter en lisant le … Coran !
Mais si, figurez-vous : Vachement utile, mais c’est comme ça.
Alors, hein, si on parvient à leur faire lire autre-chose que du « vermicelle », ce n’est pas plus mal, finalement.

Mais voilà, un « trotskard », ça n’aime pas du tout qu’on lui dise ce qu’il a à faire, à signer, à « s’engager » : C’est consubstantiel à son essence…
Alors il ne signe pas, fait une « manif’ » et part sur un ZAD quand il n’a plus le rond pour payer la lumière de sa salle de classe…
Le préfet, il a tout « pas bien compris », à mon sens : Au lieu d’éviter à emmerder ceux qui s’emmerdent à se rendre utile, il ferait mieux de carrément monter « une police » de la pensée unique, au moins, ça pourra servir à quelle que chose.
Passons.

2 – Former tous les agents de l’État à la laïcité « d’ici à 2020 » : Deux ans pour faire repasser le concours au trois millions de fonctionnaires (et contractuels, et pourquoi pas aux « assimilés ») avec un juste un thème « sélectif », la laïcité.
Moâ (qui ai déjà dépanné à donner des cours « d’instruction civique » ici et là-bas à l’occasion), j’aimerai bien apprendre de quoi qu’il s’agit…
Lui entend seulement renforcer le plan de formation déjà déployé par le Commissariat général à l’égalité des territoires. Il envisage donc d’« élargir encore l’assiette des publics formés pour l’année en cours », en « réévaluant » à la hausse l’objectif 2018 qui table sur 13.000 personnes et en ciblant davantage les publics à former en priorité, à savoir « les adultes-relais, les membres des conseils citoyens, les agents des collectivités locales, les éducateurs sportifs, les intervenants dans le secteur périscolaire, les professionnels de la petite enfance, les acteurs de la prévention spécialisée, les agents du service public de l’emploi, ou encore les personnels de la fonction publique hospitalière ».

Attend : Il se moque de qui, là, lui ? 13.000 sur 3 millions ? Et pourquoi les « sportifs », la « petite-enfance » et vos « infirmières » ?
Complètement azimuté, le gusse…
Je ne sais pas ce qu’il a bu (ou fumé), mais c’est clair, il a dû avoir une illumination !

3 – Autre secteur ciblé par le rapport : La jeunesse, qui constitue l’un des principaux enjeux en termes de laïcité. Ainsi, pour assurer une meilleure « transmission des valeurs de la République », il propose de « renforcer les exigences de formation à la laïcité et aux valeurs de la République du brevet d’aptitude à la fonction d’animateur (Bafa) et au brevet d’aptitude à la fonction de directeur (BAFD) ». Il suggère également de « conditionner l’agrément des centres de formation au respect de cette exigence ».

Je vois bien qu’il s’agit seulement de donner un « blanc-seing » à des vieux kons qui encadrent des « d’jeuns » afin de mieux éliminer les mahométans suspectés de pouvoir faire du prosélytisme religieux.

Mais ce n’est pas dit comme ça, comme pour mieux se foutre de votre tronche.
Curieuse démarche « laïque & républicaine ».
Au lieu de contrôler et de réprimer les déviances, on met des barrages avec des « licences », des autorisations : Ou l’avènement d’une société « administrée » jusque dans sa conscience religieuse.
Heu, les « paroissiens » de M’ssieur-le-Curé sauront-ils être assez « laïcs » pour être « diplômés » « colonie-de-vacances » ?

4 – Plus intéressant le rapport stipule la mise en place, « au niveau national, des diagnostics fiabilisés des incidents relatifs à la laïcité, à la contestation des valeurs républicaines, et au non-respect des exigences minimales de la vie en société ».
Il s’agit d’établir une cartographie précise des « situations problématiques » rencontrées « dans le secteur sanitaire et social d’une part, et dans le milieu sportif d’autre part », pour réduire les « zones d’ombre » en matière de connaissance des dérives.
Les « no-go-zones » quoi, mais des plus précises que celles que nous avons déjà.
Ça peut aider les « tour-operators », effectivement…

5 – Et tout ça pour « mieux établir un “corps de doctrine” s’agissant des atteintes à la laïcité », car il dit vouloir « transformer » (mot « fétiche » avec « en même temps ») les Comités opérationnels de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Cora) en « comités départementaux pour la laïcité pour la promotion de la laïcité et des valeurs de la République ».
C’est beau comme un camion-neuf !

Pour ce faire, il entend « constituer, au niveau régional, une instance auprès de laquelle toutes les administrations pourraient évoquer des situations conflictuelles ou problématiques et solliciter un avis de sa part ». Si elle voit le jour, cette structure nouvelle serait alors « présidée par un magistrat de l’ordre administratif ».
Ah tiens donc…
Et pourquoi donc ? Des postes en plus pour les désœuvrés « de l’ordre » ?

C’est quand même assez curieux : La laïcité n’a pourtant jamais voulu dire « anti-religieux », ou alors je deviens plus kon que nature.
Je pensais jusque-là que la Constitution (et son préambule) garantissait la Liberté religieuse, de pensée et d’opinion (même politique et syndicale…), enfin encore un peu.
Or, on n’est plus du tout dans cet aspect où la « chose religieuse » où, après concordat et loi de 1905, elle trouvait sa place sur la place publique de la « chose politique » et publique…
Bé, il me semble que ça va changer, pardon se « transformer » d’ici sous peu…
Les « anti », sectaires et dogmatiques, c’est décidément la plaie de la démocratie, avec leurs remèdes pires que les maux à soigner, et ce n’est pas fini : Un cancer, une grosse tumeur qui finira par tout bouffer.
Merci pour ces lendemains qui pourraient ne chanter que des cantiques à la gloire de nos dictateurs : Et vous serez priés de dire « MERCI » en sortant.

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