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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 février 2018

Suite des blagues d’hiver…

Jean-Marc !


Mais d’abord la petite énigme du vendredi :
Dans un nouvel édifice, les propriétaires ont décidé de nommer les étages comme suit :
Janvier pour le rez-de-chaussée, février pour le premier, mars pour le second et ainsi de suite jusqu’à décembre.
Curieusement l’édifice de 12 étages compte 365 employés, dont 52 directeurs, assistés de 7 chefs de division.
Sachant tout cela, comment appellent-ils l’ascenseur ?
Réfléchissez bien avant de répondre…


Jean-Marc a déménagé le 1er février dans son nouvel appartement. L’autre soir, il est sorti sur le palier pour fumer une cigarette : Germaine lui interdit de fumer à l’intérieur.
Tout à coup, une porte s’ouvre, sa voisine avance sur le palier et lui fait son plus beau sourire. Elle a les pieds nus, et elle ne porte qu’une simple robe de chambre.
Et ça parle, parle et ça jase, jase.
Au bout d’un moment, il réalise qu’elle est nue sous sa robe de chambre. Elle lui laisse même entrevoir ses seins.
« Venez chez moi, j’entends quelqu’un qui vient. »
Il entre chez elle, elle se tourne vers lui, ouvre sa robe de chambre, se colle sur lui et l’embrasse passionnément.
Après ce fougueux baiser, elle s’écarte et laisse tomber sa robe de chambre.
« – Dis-moi, quelle partie de mon corps est la plus parfaite ?
– Tes oreilles.
– Mes oreilles ? Pourquoi mes oreilles. Regarde mes seins, mes hanches, mes fesses, mon ventre brûlant et tu me parles de mes oreilles ? Hé ! Ho !
– Oui, oui, tu m’as demandé quelle partie de ton corps est la plus parfaite et je suis convaincu que se sont tes oreilles.
– Comment ça ?
– Bien, quand tu as dit que tu entendais quelqu’un qui venait, c’était moi, effectivement ! »


Jean-Marc se présente au cinéma avec un poulet sur l’épaule, il demande 2 billets.
« C’est pour qui le deuxième billet ? » lui demande la caissière.
Et Jean-Marc de répondre : « Pour mon poulet bien sûr ! »
La caissière lui fait remarquer qu’il est interdit d’amener des animaux au cinéma.
Jean-Marc se dirige alors vers l’arrière du bâtiment et met le poulet dans son pantalon. Retourne au cinéma prend un seul billet et entre s’asseoir.
Le poulet est à l’étroit et commence à avoir chaud. Il s’agite dans le froc de Jean-Marc.
Alors, Jean-Marc ouvre sa braguette afin que le poulet puisse écouter le film en passant sa tête par l’ouverture.
Assise tout près une femme remarqua le geste de son voisin et dit à son amie :
« Hé… L’homme à côté vient d’ouvrir sa braguette. »
Son amie lui répond :
« – Bof… Quand on a vu une on les a toutes vues.
– C’est ce que je croyais… Mais celle-là, elle mange mon Pop-Corn. »


Alors que maman-Germaine passe l’aspirateur dans la chambre de son fils Jean-Alexis, âgé de 15 ans, elle tombe sur « S&M fashion Le magazine des SadoMaso », voué à la gloire du bondage et du latex.
Surprise et passablement en colère de voir son fils s’adonner à de telles turpitudes, elle met la revue sous le nez de Jean-Marc, son mari dès qu’il rentre en hurlant :
« Tiens ! Regarde ce que j’ai trouvé dans la chambre de ton fils ! »
Jean-Marc prend le magazine, parcourt silencieusement une minute, puis il le rend à sa femme.
Celle-ci le regarde étonné et lui demande :
« – Alors, c’est tout l’effet que ça te fait ? Qu’est-ce qu’on va faire ?
– Je ne sais pas, mais il y a une chose qui est sûre : Ce n’est pas la peine de lui donner une fessée. »


Jean-Marc à Germaine :
« Je sais que pour une femme, c’est difficile de rendre un homme heureux. Si ce travail te paraît trop dur toute seule, tu peux te faire aider par tes copines ! Moi, je vais comprendre. »


Jean-Marc et Germaine viennent de se marier.
Ils rentrent à l’hôtel après une longue journée de libation.
Ils passent une nuit torride…
Germaine était encore vierge, mais elle a vite appris.
Une nuit d’extase.
Lorsqu’elle ouvre l’œil le lendemain matin, Jean-Marc est sous la douche.
Il chante comme un grand ténor.
En sortant de la douche, il constate qu’il n’a pas de serviette.
Il va dans la chambre alors que Germaine est assise sur le bord du lit.
Il est nu.
Elle le regarde, lentement, attentivement, de haut et bas pour, enfin, fixe son regard sur son pénis.
« – Mais c’est quoi ça ?
– C’est la chose avec laquelle tu as eu tellement de plaisir cette nuit » répond-il en rougissant.
« Mon Dieu ! C’est tout ce qu’il reste ? »


C’est un accouchement très difficile, parce que le nouveau-né se tord de rire.
Un rire démoniaque comme il n’en existait pas avant celui-là.
Heureusement le médecin réussit à le sortir du ventre de sa mère.
Il lui donne, comme il se doit, deux petites claques sur les fesses, le secoue mais le bébé rit à hurler.
Le médecin remarque que le nourrisson garde le poing obstinément fermé.
Alors, il lui déplie la main et dedans il y a…
Une pilule…


Jean-Marc fréquente une jeune fille depuis quelque temps, et ça a l’air de bien fonctionner.
Ce jour-là, après un bon repas au resto, il se sent audacieux, et il lui demande si elle veut bien coucher avec lui.
« Mon cher, pour ça, il faudrait d’abord m’emmener à l’autel », dit-elle en rougissant.
« Bien sûr ! On va quand même pas faire ça dans la rue… »


« – Dis-moi, Jean-Marc, il y avait deux gâteaux dans le frigo. Tu peux me dire pourquoi il n’en reste qu’un ?
– Ben… J’avais pas vu le deuxième ! »


Après les inondations, deux clochards sont assis sous un pont :
« – Dis donc, c’est dégueu quand tu parles, tu as la bouche qui pue des pieds !
– C’est normal, j’ai toutes mes dents qui se déchaussent ! »


De Jean-Paul à Jean-Marc, au bar-tabac du coin :
« – Moi, les filles, je les rends toutes folles.
– Ah oui ?
– Tiens, la nuit passée, la grande salope à Nicole a cogné dans ma porte pendant plus d’une heure. Une vraie folle !
– Ouais, c’est fort.
– Yes man. Jamais je ne l’ai laissée sortir. Elle me prend pour qui ? Une tapette ? »


Jean-Marc, Jean-Michel, Jean-Paul et Jean-René sont accoudés au comptoir.
« – Dis-moi Jean-René, ça fait bien 20 ans qu’on se connaît, t’as eu des filles comme ça et tu ne t’es pas marié. Jamais. C’est quoi ton problème ?
– Ben je vais te dire… Moi je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Hé ! Raconte-nous une autre histoire, s’il te plaît…
– Je te dis, je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Viens pas nous dire que tu n’as jamais rien trouvé !
– Qui font la cuisine comme ma mère ?
– Ouais…
 – Oui, des tas, sauf que chaque fois que j’en ai trouvé une, elles voulaient faire chambre à part. Comme ma mère ! »


Deux nains originaires de Paris se rencontrent sur la Place St-Pierre à Rome.
« – Henri !
– Paul !
– Ça fait une éternité qu’on s’est vu !
– Ben oui, au moins 15 ans.
– Oui, c’est à peu près ça. Qu’est-ce que tu fais ici ?
– Les vacances…
– Moi aussi. Tout de même, c’est incroyable comme le monde est petit ! »


Germaine dit un jour à Jean-Alexis, son gamin :
« – Tu sais Alex, j’aimerais quand on visite Mamy, tu ne hurles pas à chaque fois que tu dois aller aux toilettes : « Maman j’ai envie de pisser ! »
– Ah bon ? » répond son fils. « Bien Maman, et que dois-je dire ?
– Eh bien, je ne sais pas moi tu dis doucement… J’ai envie de chanter, je comprendrai.
– Oui, Maman… »
Quelques jours plus tard, en visite chez sa Mamy pour quelques jours, voilà qu’à 2 h du matin, Jean-Alexis doit aller aux toilettes.
Il frappe donc doucement à la porte de la chambre de sa Mamy, qui lui ouvre et se souvenant des conseils de sa Maman, lui dit :
« – Mamy, j’ai envie de chanter…
– Comment ? » dit la Mamy. « À 2 h 00 du matin mais ça peut peut-être attendre demain ?
– Non, Mamy, je te jure que c’est urgent ! »
Alors la Mamy se baisse à la hauteur de Maxime et lui murmure :
« Bon, alors tiens, fais-le à l’oreille de Mamy pour ne pas réveiller Papy… »


Grandes découvertes scientifiques :


« C’est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d’avoir l’air con… dès qu’ils ouvrent la bouche ! »


Un professeur demande :
« – Jean-Philippe, parle-moi d’Archimède.
– C’est un savant », répond fièrement Jean-Philippe. « Un savant ! Un jour, il prenait son bain et il a crié « EUREKA ! EUREKA ! ».
– Et que veut dire EUREKA ?
– Euh… Ça veut dire : « J’ai trouvé ! ».
– Et qu’est-ce qu’il a trouvé ?
– Le savon, monsieur. »


Ah, la « petite énigme »…
Réponse logique : En appuyant sur le bouton, pardi !


Oui, je sais, vous les aviez bien méritées !
Bon week-end à toutes et tous !


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