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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 février 2018

Rigolades

Jean-Marc en consultation


La petite énigme de la semaine ?
Voilà, voilà :
Un automobiliste roule tous phares éteints sur une route déserte.
Les lampadaires le long de la route sont éteints et il n’y a pas de lune.
Tout à coup, une personne habillée tout en noir traverse la route juste devant la voiture qui freine et la laisse ainsi passer.
Comment l’automobiliste a-t-il su qu’une personne traversait ?
Je vous laisse cogiter (un peu…).


La minute « philosophique » de Jean-Marc :
« Un amour débordant, c’est un torrent qui sort de son lit pour rentrer dans un autre. »
J’espère que ça vous aura aidé à supporter les crues d’hiver…


Jean-Marc vieillit comme tout le monde. Et ça ne s’arrange pas avec l’âge. Il va voir son médecin :
« – DOCTEUR ! JE N’ENTENDS PLUS RIEN DE MON OREILLE DROITE !
– OK. OK ! Mais parlez moins fort parce que moi, j’entends parfaitement… Bon, asseyez-vous là et ne bougez pas pendant que j’inspecte votre oreille… »
Le médecin prend ses instruments et se rend immédiatement compte que quelque chose bouche le conduit auditif du gars.
Avec mille précautions, le toubib arrive à extraire le corps étranger, l’examine et finit par dire :
« – Mon cher monsieur, vous aviez un suppositoire dans l’oreille !
– QUOI ? UN SUPPOSITOIRE DANS MON OREILLE ? Mais… Mais… Alors… Où ai-je bien pu mettre mon écouteur ? »


Une autre fois, il retourne consulter son médecin :
« – Alors, Docteur, qu’est-ce que vous en pensez ?
– Hé bien cher monsieur, votre cas est grave… très grave même. Je ne vois pas d’autre solution que de vous opérer…
 – Mais docteur, vous croyez que je vais m’en sortir ?
– Écoutez… En toute franchise, je ne vous le conseille pas… »


À l’occasion d’une inspection ordonnée par le conseil de l’ordre dans une clinique, Jean-Marc à des sursauts cardiaques en prenant connaissance des rapports médicaux (couverts par le secret médical) émis par le service.
Notamment ceux-là :


« Au moment de son admission, son cœur rapide s’est arrêté et il s’est senti mieux. »
On n’en doute pas…


« Le patient a ressenti une douleur de poitrine en se trouvant sur son côté gauche pendant plus d’une année. »
Je te vous l’ai toujours affirmé : La gôche, ce côté  maudit !


« Le patient stipule qu’il a une douleur brûlante dans son pénis qui va jusqu’à ses pieds. »
Évidemment, s’il marche dessus…


« Le deuxième jour le genou allait mieux et le troisième jour il avait complètement disparu. »
Et la douleur, est-elle restée ?


« Elle n’a eu aucun frisson ni aucun tremblement, mais son mari dit qu’elle était très chaude dans le lit la nuit passée. »
Le veinard…


« Le patient a été renvoyé aux consultations externes sans ses habits. J’ai suggéré qu’il desserre son caleçon avant de se mettre debout et ensuite, une fois debout avec l’aide de sa femme, il est tombé sur le plancher. »
Salope, va…


« La patiente est triste et pleure constamment. Elle semble aussi être déprimée. »
Franchement, c’est pas de veine…


« Décharge : Vivant mais sans permission. Le patient aura besoin d’une déposition et donc nous inciterons le docteur X à le rejeter. »
Normal.


« Homme de 69 ans, décrépit apparaissant en bonne santé, mentalement alerte mais distrait. »
Et alors ?


« Le patient a refusé une autopsie. »
Vraiment incompréhensible de sa part !


« Le patient n’a aucun passé connu de suicides. »
On aurait pu s’en douter, mais c’est mieux de le préciser…


« Le patient a expiré sur le sol sans prévenir. »
Moâ, je laisse un « faire-part » au 31 décembre au soir de l’année qui suit sur ce blog : Vous êtes prévenus !


« Le patient a laissé ses leucocytes dans un autre hôpital. »
Du moment qu’il a gardé sur lui ses petites cellules-grises…


« Le patient devenait plus fou avec sa fréquence urinaire. »
Probablement d’avoir imaginé inonder ainsi le bassin de la Seine…


« Le patient avait des antécédents médicaux remarquablement non significatifs avec seulement un gain de poids de 20 kilos dans les trois derniers jours. »
Effectivement : RAS !
Et dire que mon toubib n’en revenait pas que j’eusse perdu un quart de tonne en trois mois…


« Elle a glissé sur la glace et apparemment ses jambes sont allées dans des directions séparées au début décembre. »
Les a-t-on retrouvées en février ?


« Le patient a quitté l’établissement en se sentant beaucoup mieux, si l’on excepte ses douleurs initiales. »
C’est vous dire la remarquable efficacité de la médecine moderne…


« Le patient a éprouvé une détresse respiratoire sévère avec une image d’œdème pulmonaire aigu à la maison pendant sa relation sexuelle qui s’est graduellement détériorée dans la salle des urgences. »
Notez qu’il a tenu le coup jusque-là : Je ne vous raconte pas l’ambiance dans la voiture des pompiers…


Cette dame travaille dans une pharmacie au rayon des cosmétiques.
Pendant qu’on rassemble mon traitement de diabétique, une jeune femme s’approche de son comptoir.
Elle cherche une crème hydratante.
L’une, très professionnelle demande à l’autre :
« – Quel type de peau ?
– Oh ! Un pot carré. »
Plié…


D’ailleurs, vous aimez la langue « francilienne-native » ?
Vous n’êtes pas les seul.e.s et vous aimerez peut-être ces titres de manchettes d’une subtilité démesurée relevées pour vous dans la presse-locale :


« Un pâtissier s’est fait une religieuse en un éclair. »


« Le facteur, légèrement timbré, prend tout à la lettre. »


« Un coiffeur se barbe à force de couper les cheveux en quatre. »


« Un cafetier a servi un demi à un jeune mousse. »


« Un poissonnier fait le maquereau avec une morue. »


« Un croque-mort a enterré sa vie de garçon en buvant une bière. »


« Un viticulteur prend de la bouteille et demande qu’on lui lâche la grappe. »


« Un plombier a pris la fuite en fumant un joint. »


« Un menuisier a attrapé la gueule de bois en abusant du buffet. »


« Un charcutier a épousé un boudin : La belle andouille ! »


« Un boucher s’est mordu la langue en taillant une bavette. »


« Un boulanger s’est fait rouler dans la farine et depuis, il est dans le pétrin. »


« Un épicier a pris une amende en passant à l’orange. »


« Un avocat s’est trouvé le bec dans l’eau en défendant une cruche. »


« Notre vétérinaire a un chat dans la gorge et une fièvre de cheval. »


« Un bûcheron est resté sous le charme en écoutant Dutronc. »


« Un couturier a choisi de monter un col plutôt que de traverser la Manche. »


« Un cordonnier s’est fendu le cuir chevelu sur une route en lacets. »


« Un pharmacien a passé ses vacances au lac Satif : Il s’est emmerdé. »


« Un électricien a été déclaré positif alors qu’il était neutre. »


« Un horloger n’a plus une minute à lui depuis qu’il a perdu la grande aiguille. »


« Un bijoutier a lâché une perle dans une rivière de diamants. »


« Un sculpteur a coulé un bronze dans un moule à plâtre… »


« Un cuisinier fait sa sauce tartare très tôt le matin. »


« Un volailler court après les poules et y laisse des plumes. »


« Un curé est à l’arrêt entre les messes. »


« Un relieur s’est retranché dans la marge du livre. »


Soyez « écololo-responsables » :


« Sauvez un arbre … Mangez donc un Castor ! »


« Chaque minute en Amazonie, on déboise l’équivalent de 60 terrains de football. C’est un peu idiot, il n’y aura jamais assez de joueurs ! »


« Les types qui justement déboisent la forêt amazonienne acceptent enfin de faire un geste pour l’environnement. Désormais, ils mettront de l’essence sans plomb dans leurs tronçonneuses. »


La revenue de la semaine (parmi d’innombrables) :


Le vieille Germaine dit à Jean-Marc, son mari :
« Chéri, j’ai lu dans un magazine qu’il existait maintenant une pilule appelée viagra pour revigorer ta zigounette depuis pas mal de temps inutilisable et j’aimerais bien retrouver mes sensations d’antan comme quand on était jeune. »
Jean-Marc en achète, en prend 2, et comme son engin monte aussi sec, appelle sa femme :
« Germaine viens vite ! »
Alors Germaine accourt, entrouvre la porte empressée, voit l’engin bien dressé et commence à être excitée.
Mais dès qu’elle entre dans la pièce, l’érection de Jean-Marc retombe et celui-ci dit alors à sa femme :
« Tu vois Germaine, même droguée, elle t’a reconnue… »


Un jour, il faudrait que je vous en fasse une compilation…
Ah oui, « l’énigme-de-la-semaine » :


Le gars roule en plein jour !
Si, si, relisez le libellé de l’énigme…


Bon week-end à toutes et à tous !


I3

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