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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 8 février 2018

La valeur des choses


Je reste sidéré par la konnerie humaine…

On sait désormais et depuis la semaine dernière combien va coûter le Brexit aux royaux sujets britanniques. On a assez critiqué « Théière-Mais » de ne pas avoir pu proposer un chiffre crédible en décembre dernier, qu’elle en a failli aller boire la tasse dans la Tamise, toute habillée.
Maintenant, à force d’en avoir lancé un, elle y va encore plus sûrement : Entre 2 et 8 % du PIB (jusqu’à 8,5 % en Écosse) !
Et la presse de s’enflammer…
Naturellement, du grand n’importe quoi et pour plusieurs raisons : Ça peut aller jusqu’à beaucoup plus, comme ça peut ne pas être ça du tout et même, devenir au bout du bout une « plus-value ».
Pour ça, il suffirait que les entreprises britanniques se tournent un peu plus vers le Commonwealth (l’outil de leur impérialisme économique) en perdition et les marchés anglophones (où elles restent avoir, sur tout autre européen, l’avantage de la langue usuelle).
Mais surtout, je reste sidéré par « l’abstention-manifeste » de la presse europhiles : Personne, absolument personne ne vous a dit que c’était une étude « à dix ans ».
Or, – 2 % à dix ans, c’est à peine un ralentissement de 0,2 point par an. Pas plus de 0,8 point par an dans l’hypothèse « à 8 % ».
Autrement dit, réel mais insensible année après année…

C’est une question de seuil : Il est archi-connu qu’un prix à 9,99 paraîtra infiniment moins cher au grand-public qu’un prix à 10,01. Or, l’écart est de 0,02, soit à peine de 2 pour 1.000 !
Insensible.
En revanche, quand on dépasse 8 % (l’équivalent d’un treizième mois : 1/12), là le chaland commence à s’interroger (ce qui explique le déchaînement britannique) : de 9,99 à 10,79, le lecteur moyen lira 1, soit dans son esprit « plus 20 % » (10,80 par rapport à 9 ; le plus « affûté » y verra + 15 % approché : 10/0,8 [en fait, mathématiquement + 12,5 %])…
Ainsi va la « vie des bêtes ».

Et je dois vous avouer que quand à chaque fois j’ai été en charge de mettre en place une politique de prix « agressive » dans n’importe quelle entreprise à redresser, je ne me suis jamais retenu « de sacrifier » 0,002 point de marge pour « booster » les ventes !
Avec une difficulté toutefois entre « prix public » TTC (TVA incluse) où il fallait se montrer agressif avec cette technique (à travers les prix « conseillés » aux revendeurs et Dieu sait que les taux de TVA avec 2 chiffres après la virgule faisaient caguer les meilleurs programmeurs…) et le « prix de cession » entre « pro », en hors-taxe (ils récupèrent la TVA-amont) où le « prix travaillé » pouvait être arrondis à l’unité, voire assortis de millièmes de centimes.
Eh oui, ça marche pareil : Un prix à 5,91 l’unité, vendu par carton de 12, c’est 70,92 HT. Le même carton à 5,918 l’unité, c’est toujours 9,6 centime de plus dans la poche soit 1,35 pour mille. Et quand vous en vendez des millions, ça paye plus l’apéro un jour de beuverie (1.353,6379 par million de cartons, pour être précis)…
Alors quand on compte « à milliards », si ça n’est pas suffisant pour faire les résultats de l’année, de toute façon, ça y contribue.
Dès lors, pas de raison de se gêner.

D’ailleurs, je ne sais pas chez vous, mais de par les lieux que je fréquente actuellement, de plus en plus souvent je remarque des prix unitaires (notamment dans les stations-services) affichés avec trois chiffres derrière la virgule.
Sachez que c’est parfaitement illégal : Il n’y a pas de tantième de la plus petite mesure d’une monnaie. Ça n’existe pas !
D’ailleurs, vous ne le paierez jamais… puisque c’est illégal. Mais le cumul, si, bien naturellement !

À force de parcourir le monde des entreprises, j’ai donc appris que les gens ne se rendent compte de rien jusqu’à 5 % d’écart (1/20ème). Au-dessus, les plus attentifs commencent à devenir malins. Pas tous, loin de là, mais par effet d’entraînement, ça peut se remuer collectivement.
À 8 % (1/12ème), ils deviennent plus nombreux à se remuer les fesses jusqu’à être majoritaires et emporter tous les autres.
À 10 %, là c’est clair, ils sont unanimes à se poser la question « du choix » et à envisager d’en faire leur beurre.
C’est d’ailleurs pour ça qu’on vous refile des soldes à 2 chiffres (30, 40, 50 %) que vous en concluez que vous seriez bien kon de ne pas saisir l’occasion : C’est fait pour ça avec le succès jamais démenti depuis des lustres. Ça booste les ventes et fait rentrer de la trésorerie (tout en faisant de la place pour les collections suivantes).
Et ça ne se cantonne pas seulement dans l’acte d’achat ou de la vente de sa « force de labeur », mais ça devient un « acte politique », « sensible » : D’ailleurs aussi un excellent « truc » pour « motiver » un salarié.
Un fait de société (pour parler « langue-de-bois »), un écart « sensible » en « novlangue ».
Tout ça pour vous dire que les 8 % sur 10 ans de perte de PIB en UK, ça va rester « insensible » et la polémique en cours à London n’est jamais que « politique-politicienne » : Je ne suis pas encore inquiet pour eux.

Autre conséquence : Les « sachants-énârquiens » savent peu ou prou ces prouesses du « marchandising ». Quand ils vous augmentent le prix du gaz, de l’électricité, des péages, d’une taxe (et je ne sais quoi d’autres) de « 1 virgule quelle que chose », ils savent par avance (on le leur a probablement dit en amont de leur décision) que ce sera « insensible » et que tout le monde paiera sans râler (principe de l’inélasticité des prix en terme pompeux de « théories économiques »).
Mais quand on passe l’amende pour stationnement irrégulier de 15 à 30 euros, inutile de vous dire que, soit le décisionnaire est un autiste, soit c’est un trisomique et que de toute façon, il est suicidaire parce que ça va râler jusqu’à compromettre une réélection.
Notez que le successeur lui dira peut-être merci, mais il ne reviendra pas pour autant sur la mesure.
Principe de la « mainmorte » bien assimilé (qui s’appliquait à des personnes physiques sous l’ancien-régime, les serfs du Seigneur [les « gens de mainmorte », sur leurs biens matériels dit « biens de mainmorte »], mais jamais aux autres, Seigneurs et ecclésiastes exemptés-permanents, un privilège jamais aboli depuis la nuit du 4 août 1789… Eh oui, un État ou une religion, ça ne meurt jamais, c’est éternel, donc ça ne restitue jamais rien pour cause de décès, pas comme les « simples-mortels » !) : Je prends, mais je ne rends jamais.

Autre exemple (quand on parle de « fake-news »), j’ai lu sur un blog (que je citerai pas par respect pour le « trisomique » qui l’anime) que la « Gauloisie-du-logement » manque toujours de 5 millions de « logements-décents » depuis des décennies.
Et ledit quidam de s’interroger (très honnêtement) ne comprenant pas que depuis 20 ans qu’on construit 400.000 logements par an (c’était en réalité un objectif de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » loin d’être atteint malgré une palanquée de « lois de soutien » incitatives depuis « Mais-haine-gnerie »), soit 8 millions durant la même période, on en manque toujours autant (consensus pour 5 millions de « mal-logés », à raison de 2,5 personnes par foyer, [en fait nettement plus, les familles « pôvres » n’ayant pas forcément la télé, elles de « reproduisent » plus vite], ça ne fait plus que 2 millions de logements « manquants-départ »).

Eh bé non : Les logements disponibles croissent de 1,1 % par an depuis 30 ans.
Seuil évidemment « insensible » comme je viens de vous l’affirmer.
D’où « l’assentiment-populaire » au discours « d’ADT-Quart-monde », de « Droit-au-logement » et d’autres comme « l’Abbé-Pierre » qui surfent de façon inconvenante et irrationnelle sur la prétendue « pénurie » jusqu’à en faire leur fonds de commerce permanent.
Avec ce raccourci incroyable : « En 30 ans la population n’a pas augmenté de 8 millions de personne », sous-entendu, ça se saurait.
Les nains, décidément, surtout ceux qui ne savent pas compter…

D’abord 1,1 %/an, sur 30 ans, ça fait 38 % (1,011 puissance 30 ; formule mathématique d’une progression géométrique : Le moindre financier connaît ça ou il retourne à l’ékole des buses-volantes).
Que justement, en 1986 (à en croire « Lyne-sait-tout »), il y avait 25,453 millions de logements disponibles (dont  2,566 millions de résidence dites « secondaires », 10,1 % du stock). Les mêmes vous racontent qu’en 2016 (dernière statistique connue) on comptait 35,425 millions de logement, presque « pile-poil » 10 millions de plus (dont 3,318 millions de résidences secondaires ou équivalent : 9,4 % du stock et + 0,9 % l’an sur la période).
Ah tiens…
Et que la population était en 1986 de 57,13 millions pour être passée en 2016 à 66,9 millions, soit un peu moins de 10 millions de plus (exactement + 9,77 millions).
Cherchez l’erreur : À toujours 2,5 personnes par logement, ça ne fait pas plus de 3,9 millions de logis nécessaires là où on en a construit 10…
On construirait donc plus de deux fois, presque trois fois trop de logements ?

Laissez-moi rire de tous ces fats et de leurs discours éhontés, d’autant que, ce que ne pouvait pas ignorer même « Sicile-du-flot-vert » qui voulait réquisitionner les églises, les logements vacants (répertoriés comme tels par EDF qui relève les compteurs) étaient au nombre de 1,925 million en 1986 et sont désormais (en 2016) décomptés pour 2,934 millions.
Pile-poil un million de plus ou 52 % de mieux restés inutilisés !
Étonnant, non ?

Non, car ça ne se voit pas à raison de 1,4 % par an sur 30 ans : « INSENSIBLE », invisible et pourtant là, on ne retient que ce qui arrange et pas les masses qui dérangent.
Du lobbying-bouillie-politique, rien de plus.
On vous ment et tout le monde s’en cogne et contre-cogne le coquillard et les roubignoles.
En fait, du moment que vous payez sans discutailler, pas de souci : Vos Maîtres décident de ce qui leur plait à eux, pas à vous, et vous l’emballent dans du papier médiatisé à souhait pour que vous ne puissiez pas faire autrement que de leur dire « MERCI ».

Ceci dit – et en fait c’est là que je voulais en venir – quand toute une flopée de « sinistres-en-Marche-même-pas-en-rêve », shootés à je ne sais pas quoi enroulé dans les rideaux vous annoncent, comme je vous le faisais savoir la semaine dernière, qu’ils remontent arbitrairement le seuil de la « revente-à-perte » de 10 % et vont interdire les « promos » à plus de 34 %, que là encore, « c’est pour votre bien » et vous éduquer au « juste-prix », c’est en réalité une catastrophe pour les dits-« agri-kuls » qu’ils veulent paraît-il ainsi aider.
En fait, je n’y croyais pas, parce qu’ils vont tous les tuer !
Et personne ne le leur dit, en plus.
La mauvaise foi de tous ces fats, de ces cuistres de « sachants », tout de même…

Réfléchissez deux secondes : Un commerçant qui vend à perte, ça n’existe pas. D’abord c’est interdit par les lois (Royer la première, je crois me souvenir, mais je me trompe peut-être), ensuite un mek qui se lève tôt le matin pour compter combien il va perdre d’argent dans la journée, c’est un fou, un suicidaire et s’il y a pu en avoir, ils ont tous disparu en faillites retentissantes depuis des lustres !
Oui, je veux bien de l’argutie de juriste – j’ai eu d’excellents professeurs – qui expliquait « l’îlot de perte dans un océan de profits » : Je connais.
Qu’on interdise à tout le monde de perdre de l’argent, même sur un seul produit, ça me paraît « pas kon ». À condition que ce soit « tout le monde » dans une économie de libre-concurrence.
Mais qu’on force par la loi à une « marge minimale » de 10 %, ça ne fera jamais le beurre que des commerçants (et autres distributeurs).
Nullement celui de leurs fournisseurs.

Je rappelle, le prix du médicament impose une marge de 18 à 25 % au pharmacien de quartier : Ça évite de fermer des pharmacies qui sont entrées depuis longtemps dans une « économie administrée » de numerus clausus payée par vos cotisations sociales (et depuis la fin début du mois dernier par une augmentation de votre CSG, parce que ça ne suffit plus).
Notez qu’ils ne sont pas les seuls : Les notaires, les taxis, les huissiers, les syndics de copropriété et autres agences et mandataires, voyagistes, les commissaires aux comptes, les géomètres, les fonctionnaires, les assureurs, demain les banquiers et tant d’autres, tellement ils sont innombrables sans que vous ne le sachiez, ont tous des « marges » ou des « forfaits » ou des « minima » recommandés par leurs ordres réciproques… Et ils s’y tiennent, (le tarif-minimum des taxis devenant la norme, le tarif minimum du commissaire aux comptes devenant obligatoire, sinon il se fait taper sur la gueule par ses contrôleurs à lui ; quant aux notaires, ils n’ont que le « secteur 4 » d’honoraires-libres [le conseil : Et comme ils sont nuls, ils n’en font pas beaucoup !]).
Que des « coûts obligés » et c’est vous qui payez sans pour autant être augmentés, puisque votre salaire est « indexé » sur l’évolution du salaire moyen, qui lui-même est plus ou moins indexé sur le SMIC, lui-même « bloqué », sans « coup de pouce ».
Le pouce, gardez-le donc pour le sucer les jours de disette, ça vous fera passer le temps…

J’enrage, figurez-vous, parce que la pomme Granny-Gauloisienne, à payer 10 % plus cher – là ça devient automatiquement « sensible » – sans possibilité d’en faire la promotion sur stand, bé elle ne résistera pas à la même arrivée d’Espagne vendue elle-même en promo de déstockage des surplus à la frontière.
Et comme il n’y a que les britanniques et « Marinella-tchi-tchi » (quoique…) qui veulent fermer les frontières, on n’est pas sorti du paradoxe !
Entre payer de la cagette ou de la vachette à 25 €/kg débitée en steak et la même venue d’Angleterre à 12 €/kg (et je ne cause même pas de l’américaine passée par la Canada et le CETI qui arrivera à 6 €/kg à l’étal, tellement ils ne savent plus quoi en faire, voire l’Argentine venue de cheptels de dingue), ce n’est pas évident que la notion de « juste-prix » ne fasse pas des morts jusque dans vos campagnes !
Politique de « sachants-trisomiques », car je ne comprends pas : Ils sont eux-mêmes des consommateurs « pas très riches » me semble-t-il et d’après ce qu’en disent leurs syndicats.
Ne savent-il plus faire que des additions et jamais des soustractions ?
C’est complètement débile, finalement : Ou l’art de tirer dans la foule, au hasard !

Dernier exemple pour illustrer mon propos (et après je vous lâche) : Vous vous souvenez de la « taxe-poisson » (pour les ceux-ce qui étaient nés sous le « Chi » et qu’aura aboli « Bling-bling ») : Plus personne n’achetait de poisson et l’augmentation de prix n’était pas de 10 %, mais seulement 0,20 à 0,27 % du prix-douane au kilo. Ils ont failli tuer la filière avec ça avant de la retirer.
Et pourtant, il s’agissait de financer la « modernisation » de l’outil de pêche.
Là, on met finalement la charrue devant les bœufs, car il n’y a même pas de subventions (il y en a encore pas mal autour des prêts-bonifiés et du régime fiscal du monde agricole) et aucune aide à la « transformation » n’est prévue.
Des fous, des fous…
Qui ne savent rien de la « valeur des choses » mais se permettent de décider de tout.
J’enrage, vous dis-je, j’enrage !

2 commentaires:

  1. Je viens de lire un entrefilet dans les Echos qui souligne en titre une baisse de la production industrielle en UK. Dans le texte, on s'aperçoit que c'est à cause de l'arrêt d'un oléoduc, que la production manufacturière augmente, ainsi que les exportations. En vérité, personne ne connaît les conséquences du brexit, qui dépendent de beaucoup de facteurs. Et l'Europe en subira aussi des conséquences. La France exporte beaucoup vers l'UK par exemple. Je lis l'actualité économique par habitude. Mais c'est souvent consternant.

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    1. Oui, c'est sûr et certain, personne ne sait vraiment quelles seront les conséquences du Brexit d'ici à 2 ans.
      Mais globalement, personne n'est vraiment optimiste non plus.

      Ceci dit, c'est bien de suivre la vie économique à travers la presse (exempte de fakes-news... en principe). Mais il faut aussi lire ce qui n'est pas dit dans ce type d'articles. Te dit-on que la vie reste difficile à Londres pour la middle-class ? Qu'il y a une sorte d'exode vers... la banlieue où les villes périphériques : C'est insensible encore, mais c'est sérieux, comme un peu partout y compris en "Gauloisie-parisienne", lyonnaise ou marseillaise.
      Les gens se découragent au fil du temps, y compris chez les "d'jeunes", ceux du millenium.
      Inquiétant : A leur âge, je savais que j'étais capable de changer le monde (kon que j'étais, bourré d'ambition pour mon pays que j'étais). Pas eux !

      Bien à toi, Vlad !

      I-Cube

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