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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 12 janvier 2018

Les plus récentes

Avec deux « vécues »

Voici quelques trucs qui vous aideront à conserver une bonne dose de folie pour 2018 : Douce folie souvent nécessaire pour surmonter une vie plate et ennuyeuse.

1. À l’heure du lunch, asseyez-vous dans votre voiture avec vos verres fumés et pointez un séchoir à cheveux vers les voitures qui viennent dans votre direction. Regardez-les ralentir.

2. Demandez-vous à l’Intercom. Ne déguisez pas votre voix.

3. Si quelqu’un vous demande de faire quelque chose, demandez-lui s’il aimerait des frites avec ça.

4. Encouragez vos collègues à se joindre à vous dans une danse de chaises synchronisées.

5. Développez une peur irrationnelle des brocheuses ou du photocopieur.

6. Mettez du café décaféiné dans le percolateur pendant trois semaines. Une fois que tout le monde a surmonté son besoin de caféine, changez pour de l’expresso.

7. Dans la partie « note personnelle » de tous vos chèques, inscrivez « pour faveurs sexuelles ».

8. Répliquez à tout ce qu’une personne dit par « c’est ce que tu penses ».

9. Terminez toutes vos phrases par « selon la prophétie ».

10. N’utilisez aucune ponctuation…

11. Aussi souvent que possible, bondissez plutôt que marcher.

12. Demandez aux gens de quel sexe ils sont. Riez de façon hystérique de leur réponse.

13. Spécifiez que votre commande au service au volant est « pour emporter ».

15. Chantez avec les interprètes à l’opéra.

16. Découvrez à quel endroit votre patron magasine et achetez exactement les mêmes vêtements. Portez-les une journée après votre patron. (C’est particulièrement efficace si votre patron est du sexe opposé.)

17. Envoyez un courriel à tous vos collègues de travail pour leur dire exactement ce que vous faites. Par exemple : « Si quelqu’un a besoin de moi, je serai à la toilette dans la cabine où on fume en cachette ».

18. Mettez un filet à moustiques autour de votre bureau. Jouez un enregistrement des sons de la jungle toute la journée.

19. Cinq jours à l’avance, dites à vos amis que vous ne pouvez assister à leur party parce que vous n’êtes pas dans l’ambiance.

20. Lorsque l’argent sort du distributeur automatique, criez : « J’ai gagné, j’ai gagné ! Cest la troisième fois cette semaine ! »

21. En quittant le zoo, courez vers le parking en criant aux nouveaux arrivants : « Au secours, ils se sont échappés ! »

À Londres, trois personnes sont convoquées pour un entretien d’embauche.
Arrivés au test d’anglais, le recruteur leur dit : « Faites une phrase avec les 3 mots suivants : green, pink, yellow. »
C’est d'abord le Belge qui se lance :
I wake up in the morning, I eat a yellow banana and a green apple and in the evening I watch the Pink Panther on TV”.
C’est ensuite au tour de l'Allemand :
I wake up in the morning, I see the yellow sun, the green grass and I think to myself: I hope it will be a pink day”.
Enfin, Jean-Marc, le « gauloisien » s’avance et dit :
I wake up in ze mornink, I hear ze phone : "green.....green...green...". I pink up ze phone and I say "Yellow ?"

Jean-Marc, un homme d’affaires monégasque envoie un fax à sa femme :
« Ma très chère épouse. Tu comprendras que maintenant que tu as 54 ans, j’ai certains besoins que toi tu ne peux plus satisfaire.
Je suis très heureux avec toi, je te considère comme une merveilleuse épouse et sincèrement j’espère que tu ne le prendras pas mal quand tu sauras que quand tu recevras ce fax, je serai à l’hôtel Confort Inn avec Vanessa, ma secrétaire, qui a 18 ans.
Mais ne t’inquiètes pas, je serai à la maison avant minuit ».
Quand ce type arrive à la maison, il trouve un papier sur la table de la salle à manger qui dit :
« Cher époux. J’ai reçu ton fax et je ne peux pas éviter de te remercier pour ta prévenance. Je profite de l’opportunité pour te rappeler que toi aussi tu as 54 ans. Et, je t’informe que quand tu liras ce message, je serai à l’hôtel Fiesta avec Michel, mon instructeur de tennis, qui comme ta secrétaire a aussi 18 ans.
Comme en plus d’être devenu un hommes d’affaires reconnu, tu as une licence de Maths, tu pourras facilement comprendre que nous sommes des semblables en cette circonstance mais… avec une légère différence ; 18 rentre plus de fois dans 54, que 54 dans 18…
Donc, en conséquence ne m’attends pas avant demain ! »

Jean-Marc rentre à l’imprévu chez lui et trouve sa femme au lit avec un autre homme :
« – Quoi, tu profites de ce que j’ai le dos tourné pour me tromper avec ce type !
– Mais, ta gueule !!! Et regarde plutôt comment il fait ! »

Jean-Paul est invité à dîner chez Jean-Marc :
« – Chez-moi, je grignote, mais chez les autres, je ne sais pas pourquoi, je mange comme un ogre !
– Ben, je t’en prie, ne te gêne pas, fais comme chez toi ! »

De Jean-Paul à Jean-Marc :

« – Qu’est ce qui peut faire le tour du monde en restant toujours dans son coin ?
– Un timbre, idiot ! »

« – Tu sais pourquoi on fait des va-et-vient pendant l’amour, toi ?
– Banane ! Parce qu’il n’y a pas de place pour faire demi-tour ! »

À Jean-Marc, d’une très jolie jeune-femme :
« – Je me demande bien comment vous autres, les hommes, vous pouvez pourchasser les femmes sans avoir la moindre intention de les épouser…
 – Vous savez, ma belle, beaucoup de chiens courent après les voitures dans la rue, sans pour autant vouloir s’installer au volant ! »

Jean-Marc sortant de hôpital après avoir passé des examens de routine, dit à son pote :
« – Hé Jean-Paul, sais-tu que ça va bien mal dans les hôpitaux  du pays ?
– Y parait, pourquoi tu dis ça ?
– Bé les gens sont tous malades ! »

Jean-Marc et Germaine s’envolent pour Las Vegas. Un voyage d’une semaine. Ils descendent dans un de ces spectaculaires hôtels-casinos. Pendant qu’ils attendent pour aller voir un spectacle, une jeune fille, une véritable bombe-sexuelle, s’approche de Jean-Marc et commence à lui parler. Il la repousse d’un geste sec.
« – Voyons Jean-Marc, pourquoi agir ainsi, elle est sympathique cette petite ?
– C’est une prostituée.
– Hein ? Je ne te crois pas ! C’est ton imagination. Elles ne veulent pas des types comme toi, mais des jeunes. Tu fantasmes là. Ça te monte à la tête.
– Je te dis. »
Le spectacle terminé, Jean-Marc aperçoit la fille à nouveau.
« – Germaine, tu veux que je te prouve que c’est une prostituée ?
– Oui, parce que je ne te crois pas.
– OK, on monte à la chambre, elle m’a glissé une carte avec son numéro de téléphone portable… »
Dans l’ascenseur, Jean-Marc annonce son plan :
« – Je l’invite à la chambre et tu te caches dans la garde-robe. Laisse la porte ouverte, un tout petit peu, pour que tu puisses voir et entendre.
– Tu ne vas pas…
– Non. Non. Fais ce que je te dis. »
Germaine, amusée, se glisse dans la garde-robe.
Jean-Marc téléphone à la fille et l’invite à la chambre.
On cogne à la porte.
« – Alors mon trésor, tu as changé d’idée. Tu ne le regretteras pas. Ta femme n’est pas là ? Tu sais, si tu veux partager, c’est 50 $ de plus.
– Non, elle est partie faire des achats. Bon, c’est combien ?
– 125 $ pour le service de base plus 50 $ pour chaque extra.
– Minute ! C’est bien cher ! Je ne voulais pas payer plus de 25 $.
– Désolé mon p’ti, mais c’est comme ça. Et puis je ne n’aime pas me déplacer pour rien. Dans le fond, t’es juste un pauvre couillon. »
Et elle sort en claquant la porte.
« – Tu vois, Germaine, je te l’avais dit. C’est une prostituée.
– Ben oui, je n’en reviens pas. Elle est si belle et si jeune. »
Le lendemain, alors que Germaine et Jean-Marc sont assis à une table de jeu, la fille s’approche et donne une petite tape sur l’épaule de Jean-Marc.
« Salut le pauvre-con ! Tu vois qu’on n’a pas grand-chose pour 25 $. »

Les deux « vécues » :

Un professeur black entre dans le bureau du directeur pour se plaindre :
« Monsieur le diwecteur, cela ne peut plus duwer! J’en ai assez de tous ces élèves et pwofesseurs malpolis ! J’en ai assez de me faiwe twaiter de singe ! »
Le directeur :
« Vous vous faites traiter de singe ? Oh, je comprends votre mécontentement. C’est en effet inadmissible…
Je vais aller m’assurer que ces élèves et ces professeurs ne recommencent plus.
Mais, dites-moi, dans quelle branche travaillez-vous ? »
Le professeur :
« Ah non ! Voilà que ça wecommence ! »
(Une vécue d’avec un de mes chargés de cours de droit, « Soénou » se plaignant au doyen de la fac « Steinenberg »…)

Il y a quelques jours, alors qu’un vol d’Air France à destination des USA venait d’être annulé pour satisfaire la paranoïa de « McDonald-Trompe », tous les passagers avaient dû patienter plusieurs heures dans l’attente du vol suivant.
Une employée de la compagnie s’occupait seule du re-enregistrement des passagers et chacun était bien conscient du fait qu’il n’y aurait pas assez de place pour tout le monde sur ce vol.
Soudain, Jean-Marc, particulièrement mal élevé se mit à remonter toute la queue pour finalement mettre son ticket juste sous le nez de l’agent de service.
Furieux de cette attente, il hurlait :
« Je dois absolument être sur ce vol et je n’accepterai de monter qu’en première classe, c’est bien clair ? »
La fille répondit aimablement :
« Excusez-moi, Monsieur. Je serais heureuse de vous aider mais je dois d’abord m’occuper des passagers qui sont là avant vous. »
Au sommet de sa colère, Jean-Marc n’en pouvant plus éructe :
« Quoi ??? Non mais vous savez qui je suis ? »
Avant que les agents de sécurité aient eu le temps d’intervenir, l’employée d’Air France fit alors une annonce au micro de l’aéroport :
« Votre attention s’il vous plait, nous avons ici un passager qui ne sait plus qui il est. Quelqu’un pourrait-il le renseigner? »
Tous les gens dans la file d’attente éclatèrent de rire, ce qui déclencha manifestement un profond sentiment de haine chez le malotru.
Ce dernier, regardant l’employée d’Air France avec dédain, lui dit alors :
« Je vous emmerde grosse conne ! »
Sans s’affoler le moins du monde, l’hôtesse lui répliqua avec un grand sourire :
« Oui Monsieur, mais pour ça aussi il faut faire la queue… »
Devant les clameurs amusées des autres passagers, Jean-Marc préféra s’éclipser…
(C’est aussi une vécue, à l’occasion de mon « apnée-profonde » de décembre…)

Bon week-end à toutes et tous !

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