Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 9 janvier 2018

La semaine prochaine Cash Investigation enquête !

Mais pas sur ce qu’on attendait…


La presse aux ordres, décidément… Mardi 16 janvier 2018 à 21 heures sur « Trans-deux », vous aurez droit à un nouvel épisode de « Cash Investigation » d’Élise Lucet.
Ma lettre (et ce n’est hélas pas celle de Ludwig van Beethoven)  sera restée – au moins un temps – lettre-morte : Les effets de la pensée-unique aux mains des « maîtres du monde »…
À part vous, personne ne saura les dessous de l’élection de « Jupiter » l’année dernière, pas plus que des détails-cachés de son patrimoine : Des « fakes-news », sans aucune espèce d’importance vous en dira-t-on !
Même pas un sujet à polémique.
D’ailleurs, je reste planqué derrière un pseudo caché au fin fond de London, surveillant mes arrières depuis mon dernier attentat vénitien, et je suis obligé de « romancer » mes dires & soupçons, les présentant comme d’une pure création artistique d’auteur (déjanté & subversif) pour ne pas être fusillé d’une balle perdue en gare-du-nord dans une rixe-impromptue, quand je viens rendre visite à ma « Môman ».

Bon, aux dernières nouvelles, « Miss » aurait (aurait…) quand même contacté Julien Courbet pour cette affaire, la seule de sa carrière qui aura été censurée et lui aura valu une mise à sac en règle de ses locaux par des « montes-en-l’air » bien informés qui n’auraient volé qu’un seul document…
Vous rendez-vous compte de l’étendue de « l’omerta » ? Cette vidéo (sous le lien ci-dessus) date de l’an 2000, n’a été mise en ligne qu’il y a déjà 7 ans et vous n’avez été que moins de 1.500 à l’avoir visionnée… !
Passons. Le cambouis dans les yeux, c’est décidément tenace…
Pour ma part, aujourd’hui je suis exceptionnellement en Belgique, histoire de brouiller encore un peu plus ma piste, et je me contre-cogne des éventuelles retombées : J’en ai déjà trop vues.

Donc, la semaine prochaine, « Miss » aura décidé de vous causer, à sa façon, de la filière laitière (et pas de ce qui nous intéresse). C’est vrai que la filière aura fait parler d’elle ces dernières semaines, non pas en Chine où ils empoisonnent par mégarde leurs nourrissons, tellement le produit est fragile, mais en « Gauloisie-laitière ».
Un truc « incontournable » dans vos supermarchés avec quelques 4.000 références lait, beurre, fromages et yaourts. Personnellement, quand je faisais « pisse-marre » dans une autre vie, j’en avais à peine 400 dans le cadencier et quand vous faites le tour de votre hyper-voisin, si vous en comptez plus d’une centaine, c’est que c’est « bien achalandé ». Mais il y en a réellement plus de 4.000 quand on compte le même yaourt mais par 4, par 6, 8, 12, 16 ou 24 !
Effectivement, un marché gigantesque évalué à 27 milliards d’euros par an rien qu’en « Gauloisie-lactée » avec de gigantesques paradoxes, notamment quant au nombre d’éleveurs laissés sur la paille depuis la disparition des quotas-laitiers européens : En 2016, 10.000 producteurs auraient mis la clé sous la porte. Les autres croulent sous les dettes.
Pas vraiment préparés à cette révolution copernicienne-là, tous shootés, drogués aux subventions de la PAC qu’ils étaient, déguisés en suceurs de vos impôts et contributions diverses.

Résultat, ils se sont ruinés à ne plus savoir comment vendre leurs hyperproductions inutiles, du coup, ils sont moins nombreux, du coup leur lait vaut plus cher, du coup les distributeurs (qui sauvegardent encore un peu vaille que vaille votre pouvoir d’achat de consommateur) s’approvisionnent ailleurs, du coup ils ont tendance à crever les uns derrière les autres.
Et ça continuera tant qu’ils ne parviendront pas à produire « à l’Allemande » ou « à la polonaise », qui ont exactement les mêmes contraintes, mais travaillent à beaucoup moins cher, eux.
Question d’adaptation des outils de travail et du coup de la taille des exploitations…
Ça va venir pour les survivants, ceux qui feront aussi de la vache à viande et pas seulement de la laitière…

Évidemment, pleins-phares sur le groupe Lactalis. Un géant, un empire familial « opaque » dirigé par le très secret Emmanuel Besnier (un ex-pilote de ligne qui aura renoncé à sa carrière de commandant de bord au décès de son père), 116ème fortune mondiale, 8ème  fortune de Gauloisie.
Je me marre : Ces journaleux-là n’ont rien pigé !
Emmanuel n’est pas si « secret » que ça, puisque dans le temps, j’ai pu l’approcher directement… Tour Montparnasse où il a ses bureaux (et ai même pu étudier dans le détail ses liasses fiscales). D’ailleurs, les passagers de première classe du TGV Paris/Laval (où il habite) peuvent le croiser deux fois par jour… Il en a même réussi à faire changer les horaires des trains du matin et du soir.
Lactalis, je vous en ai déjà causé : Donné pour 75.000 salariés répartis dans 230 sites industriels à travers 43 pays dans le monde, commercialise ses transformations laitières dans plus de 150 pays.
En 2017, elle est la 3ème plus grande entreprise de transformation de produits laitiers au niveau mondial, et la 2ème Gauloisienne, en termes de chiffre d’affaires, derrière le deal « Nestlé » dont elle exploite plusieurs franchises, comme celles des laits « scandaleux » pour bébé. Elle est présentée, à tort ou à raison, comme le leader mondial de son secteur. C’est peut-être vrai quand on agrège toutes les activités du groupe qui restent nombreuses.
« Nestlé », naturellement vous n’en entendrez d’ailleurs pas parler mardi soir prochain : D’abord ils sont cotés en bourse (ça serait mal vu par qui vous savez) ensuite ils arrosent à tous vents en pub tous médias confondus… de bons clients à ne pas fâcher.
En fait, Lactalis c’est à peine 3 % des volumes dans le monde : Un milieu particulièrement concurrentiel sur toute la planète.

On en dit que Besnier en est le Pédégé. Bé non, il est seulement président du « Conseil de surveillance » (histoire d’échapper à l’ISF, comme son frère et sa sœur : Un montage juridique des plus simples) d’une SA à directoire dirigée par Daniel Jaouen, un breton de Plonéour-Lanvern, si j’ai bien compris.
En interne, on cause de « l’actionnaire » pour désigner « Manu », qui n’a aucun rôle exécutif, sauf qu’il est au courant de tout et passe ses journées à viser le contenu d’une grosse valise qui sont les doubles des « affaires en cours » de toutes les boutiques mondiales.
Et personne ne le croise jamais…
C’est vrai que c’est un « discret » qui ne communique pas : Il n’aime pas du tout ça, c’est un « taiseux ». Et ses seuls « budgets-com’ », c’est « Top-Chef » pour faire plaisir à Éric Frechon, le pote normand de « Manu ». Même que M6 a fait la gueule quand ils ont appris que le contrat ne serait pas renouvelé pour 2018, la faute aux 50 ans de Lactalis qui monopolise tous les budgets de l’année…
Depuis Darroze (rue d’Assas à Paris) s’y colle.

Ceci étant précisé – pour vérifier que vous ne vous ferez pas enfler par les dires de « journaleux-restants-aux-ordres » de la TV-Pue-blique la semaine prochaine – ça tombe bien : Comme quoi il n’y a pas de hasard.
Il se trouve que l’on sait qu’au mois d’août dernier, les tests habituels montrent la présence de traces de salmonelles dans une tour de séchage de l’usine de Craon dans la Mayenne rénovée en février. Pas de panique : Ce jour-là, le directeur de l’usine jette quelques 300 tonnes de production, fait nettoyer les cuves de fond en comble : La cuve est contaminée par des eaux de lessivage pas totalement épurées à l’occasion de sa remise en route.
Les tests suivants sont négatifs et la production reprend.
L’erreur du directeur-qualité aura été de ne pas « pousser » les tests à faire, beaucoup plus élaborés, qui auraient détecté quelques traces résistantes.
Résultat, une usine totalement fermée (quoiqu’en en prétendent d’autres), 350 gusses au chômage technique et trente gamins intoxiqués : Rien de grave, mais c’est très emmerdant et « l’actionnaire », sans qu’on le lui demande, décide de retirer tous les lots suspects à ses frais, en deux vagues (la force de vente tournant en boutique pour racheter au prix-de-vente-publique tout ce qui traine dans les supers, hypers, maternités et pharmacies, ce qu’on ne vous dira peut-être pas), parce que quand on n’arrive pas à se débarrasser de cette pollution, il n’y a plus que deux solutions : Tu casses le bidule et tu en refais un neuf sur le site, ou tu vidanges du chlore (de l’eau de Javel) dans les tuyaux et tu rinces à grandes-eaux plusieurs fois de suite.

C’est d’ailleurs ce qu’a fait l’usine de Vienne (Isère) de chez SODIAAL en décembre dernier. Sauf que la production des yaourts a été lancée alors que la cuve n’avait pas été totalement rincée. Les tests, là… inexistants !
Il aura fallu un coup de bol et le « nez-fin » d’un employé pour donner l’alerte et, après avoir découvert des bidons vides de détergent là où ils ne devaient pas se trouver, et les 30 tonnes de yaourt ont été passées aux égouts : Tant pis pour la flore et la faune, un yaourt, c’est « fragile » et ça se dégrade très vite à température ambiante.
Et pour faire « bonne figure », voilà t’y pas que le directeur de l’usine te se vous met à déposer plainte auprès des gendarmes locaux.
Laisser-moi rire : C’est une façon de ne pas être en contravention avec la réglementation « écolologiste-environnementale », oui !
Je me souviens parfaitement d’avoir fait dépoter dans la cour plusieurs palettes de lait UHT (un produit mort, totalement inoffensif pour votre flore intestinale autant que pour les « petits-poissons ») dont la date de consommation était dépassée, le rendant invendable (autre réglementation « sanitaire » sans objet ni aucun intérêt, uniquement destinée à détruire de la marchandise surnuméraire) : J’avais fait passé les tracteurs des semi-remorques de la boutique dessus et tout était parti à l’égout.
Bé « les Services » étaient remontés jusqu’à moâ huit bons jours plus tard, la faute à avoir retrouvé des traces de lait dans la Seine.
« Qui moi ? Du lait ? Ah non, je n’en ai pas ça sur entrepôt, vous pouvez vérifier. Le mien vient de Rungis quand j’en livre… » (réglementation de protection des Marchés d’Intérêt National obligeant… qui ne concerne pas l’UHT, mais bon… c’est passé sans casse).

Justement, la « petite-fleur » de Yoplait (une marque de SODIAAL, boulevard Montparnasse, en haut de la même rue d’Assas qui vient mourir à Port-Royal sous la statue du Maréchal Ney, le « Diable-rouge »), une superbe coopérative, deuxième sujet du reportage de mardi prochain.
Que j’aurai bien aimé y travailler, mais ils n’ont pas voulu de moâ quand j’étais disponible, alors que ça allait mal pour eux. J’ai fait autre chose…
Vous savez qu’une coopérative de producteurs, ça marche selon le principe « un homme une voix » entre concurrents qui se regroupent pour devenir des « collègues-associés » et mettre en commun leur production et moyens.
Ça marche bien dans plein de domaine de l’agriculture – vin, fromage, céréale, éleveur, et même le lait… – sauf qu’une coopérative, un GAEC, ou n’importe quelle autre forme de structure « associative », ça a un défaut : Ça n’a pas de fonds propres et ça s’oblige envers ses seuls membres et adhérents.
Et je te vous jure qu’entre « égo-surdimensionnés » et contraintes « historiques », ce n’est pas tous les jours facile à gérer, surtout quand on vous prend pour un jeune-kon qui n’a jamais touché le kul d’une vache ou dépoté un carton.

SODIAAL, c’était encore 9.400 personnes, 5,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2014. Ses principales marques sont Yoplait, Candia et Entremont. En 2017, elle est la 16ème plus grande entreprise de ce secteur au niveau mondial, en termes de chiffre d’affaires, et la 3ème gauloisienne du secteur, derrière Nestlé, Danone et Lactalis.
En réalité, en 1964, ce sont six coopératives laitières régionales (CLCP, Orlac, Richemont, Sully, Ucalm, ULC) qui se regroupent dans « SODIMA » pour vendre leurs produits au niveau national. L’année suivante, elles abandonnent leurs marques régionales et créent la marque Yoplait. Il faut attendre 1971 pour que SODIMA crée Candia, la première marque nationale de lait et SODIMA se renomme SODIAAL en 1990 pour accélérer sa croissance en 2007, avec la reprise d’Entremont Alliance en 2011 à l’occasion de l’entrée au capital de General Mills et poursuivre son expansion avec la reprise de la coopérative toulousaine 3A Coop en 2013.
Bé oui, reprendre d’autres coopérateurs, ça demande du pognon, résultat, les banquiers se font tirer l’oreille à financer la reprise de « crevards » et du coup, tant qu’un « opérateur-capitaliste » ne vient pas remettre au pot, ce sont les adhérents qui y laissent leurs plumes.

L’équipe de Cash vous montrera que l’herbe n’est pas beaucoup plus verte chez les coopérateurs. Dixit « trans-2 » : «  (…) les étranges pratiques de ce groupe qui préfère amasser un énorme trésor de guerre plutôt que redistribuer l’argent à ses 20.000 éleveurs ».
Notez que dans la boutique où j’ai appris ce métier-là, les adhérents avaient mis jusqu’à un an de ristournes (trois ans de résultats nets) pour reprendre un de leur membre, garder son entrepôt de dégroupage et les volumes sur un même site générant les fameuses ristournes quantitatives venues des industriels.
Un monde de requins…

« Vous verrez aussi comment l’industrie du lait a fait miroiter aux éleveurs un avenir meilleur s’ils produisaient toujours plus de lait en Nouvelle-Zélande, le principal concurrent de l’Europe, qui dans sa course effrénée au gigantisme, met en péril l’environnement et l’économie du pays.
Au terme d’un an d'enquête, Élise Lucet vous plonge dans le monde très fermé de l’industrie laitière avec ses patrons mutiques, ses comptes introuvables et ses éleveurs à bout. Après le documentaire, Élise Lucet ouvre le débat sur le plateau de Cash avec invités, spécialistes et acteurs de la filière… » vous prévient la rédaction.
Laissez-moi rire une fois de plus : Les « nouveaux-zélandais », ils sont en pleine phase finale de restructuration et vont s’en sortir « tête-haute » là où les marchés n’ont pas commencé à le faire en « Gauloisie-Jupitérienne » telle que les leaders vont en perdre au niveau mondial (et chinois) pour cause d’une bactérie indésirable dans une cuve.
Et là, c’est la « presse-aux-ordres » qui fait passer l’addition à un « taiseux » sans même mesurer l’étendue des dégâts qu’elle génèrera au passage chez vos éleveurs.


Pensez donc : Des mois qu’on cause sur toutes les chaînes et dans tous les médias (jusqu’au « Canard-déchaîné ») des 30 gamins rentrés chez eux depuis, mais à peine deux ou trois jours pour la cuve à l’eau de Javel de la « petite-fleur ».
D’accord, ce n’est pas du tout la même chose.
Mais notez que c’est quand même plus facile de tirer sur une ambulance qui aurait pris feu que de faire un boulot utile et de compléter « l’enquête » avec un détour chez « Nestlé/Danone », a minima !
Mais non, ne rêvez pas.
On va donc voir de quoi il retourne chez Élise pour se faire une opinion censée.


En attendant, je regrette infiniment qu’elle n’ait même pas décroché son téléphone (elle ou un de ses sbires) pour prendre contact avec notre « Ami-Râle » (qui lui aurait précisé le statut passé de pilote de ligne de « l’actionnaire ») .
C’est vrai que là, c’est nettement plus gros et il ne s’agit pas d’une simple ambulance-cramée : Elle n’a pas la carrure.
Désolé : J’y avais cru.

8 commentaires:

  1. En 1987 ou 1988, j’étais copilote B747 à Air Transe et je me souviens très bien d’un aller/retour de CDG à New York JFK avec un commandant de bord qui s’appelait Besnier.

    Nous avions dîné au Gallagher's Steakhouse, un restaurant qui se trouve au pied du Sofitel, et, face à deux magnifiques T-Bone, en discutant de choses et d’autres, après avoir sympathisé, il me dit qu’il était dans l’agroalimentaire, qu’il gérait un très important groupe laitier, le « Groupe Besnier »…

    Il n’est pas exceptionnel que des pilotes de ligne gèrent des sociétés en plus de leur travail et si j’avais été surpris, j’avais pu découvrir que des camions « « Besnier » parcouraient la Haute-Normandie…

    En fait, ce devait être Michel Besnier (1928 – 2000), le père de l’actuel dirigeant de Besnier.
    Il avait 60 ans à l’époque, l’âge d’un Captain B747 expérimenté, et même l’âge de prendre sa retraite…

    Bien à vous !

    Haddock

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    1. Ah m... (étron) ! Je me suis planté dans les générations !
      Pas de bol.

      Notez que j'ai cherché le parcours de formation de "l'actionnaire" et je n'ai rien trouvé dans les annuaires d'anciens-élèves.
      J'ai probablement mal cherché, mais qui sait...

      Merci pour cette précision, "Ami-Râle" et

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. PS : Le Sofitel, c'est celui de "Déesse-Khâ" ?

      Mon T-Bone new-yorkais (un délice invraisemblable) je l'ai eu sur Madison square Garden...
      Encore un bon souvenir.

      Bien à vous !

      I-Cube

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    3. En 1960, il y avait un pilote à la Postale qui s’appelait Alexandre Besnier. C’est très vraisemblablement lui avec qui j’ai fait un New York en 1987/88. Et puis je me souviens maintenant du prénom.
      Source : http://chezpeps.free.fr/henri/html/postale_chronologie_1960_1966.htm
      Mais peut-être qu’Emmanuel Besnier était lui aussi pilote à l’origine…
      A vérifier.

      P.S. Déesse-Kha !...
      Comme le monde est petit…

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    4. Non et non !
      Désolé : Son père, c'est Michel et son grand-père (le fondateur) André.
      Alexandre est un "cousin" ou un homonyme...
      Par ailleurs, j'ai retrouvé sa trace à l'ISG (Institut Supérieur de gestion) avenue Victor Hugo (pas le top question MBA, mais dans la seconde fournée derrière le top 5).
      Je n'y ai pas enseigné (la fiscalité ou les charges sociales), c'est pour ça que je n'ai pas fait le lien...

      Confirmation et quelques détails (qui datent) : https://gw.geneanet.org/wikifrat?lang=fr&n=besnier&nz=de+riqueti+de+mirabeau&ocz=0&p=emmanuel&pz=honore+gabriel

      Ceci dit, il n'a pas eu le temps de décrocher ses licences de pilote (c'est chronophage, vous le savez) : Il a intégré le groupe de son père très rapidement, pour avoir fait ses stages à l'étranger avant de devenir patron de l'expansion de la "boutique à papa" à son retour...

      En fait, je le plains bien pour s'être retrouvé à la tête de la boutique au décès de son père : Pas facile de prendre le fauteuil de son paternel.
      Je sais : J'ai eu à en faire autant pour redresser la boutique que le mien dirigeait en qualité de salarié (une de mes premières missions de redressement, et réussie celle-là), parce que je pleurais tous les jours en arrivant.
      Et j'arrivais tôt pour que personne ne me voit en train de chialer comme une Madeleine.
      Vous comprenez donc peut-être que mon "Papa-à-moâ", il me prend toujours les tripes des décennies plus tard quand je l'évoque...

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Depuis toutes ces années que je vous lis, j’ai l’outrecuidance de penser vous connaître un peu.
    Vous I-Cube, grand sceptique devant l’Eternel ne pensez pas, ne voyez pas je pense les frémissements, les clapots venant d’en bas.
    Malgré la propagande, « la Fabrique des crétins » appelée aussi l’Education nationale, l’Omerta institutionnalisée, la « Ripoublique » et les médias aux ordres, « les petites gens » ou les élégants « sans dents » veulent d’autres modèles de consommation et trouver un sens de la vie qui dépassent leurs petites personnes.
    On ne les voit pas beaucoup, on ne les entend pas trop non plus et cependant peu à peu leurs rangs grossissent, leurs idées et leur conscience nouvelle se propagent comme un virus.
    Je souhaite entre autres innovations tout le succès du monde à https://hellobiz.fr/2017/07/26/lait-durable-ecologique-concu-meme-gout-vrai/
    La bataille sera longue, féroce et impitoyable mais sera perdue à terme par les Goliath d’aujourd’hui…

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    1. Vous outre-cuidez, Chère Comtesse au pied dénudé ?
      Pas du tout !
      Un sceptique (pas encore dans la fosse mais plus bien loin...), probablement.
      Et pourtant si vous saviez tout de mes rêves d'un monde meilleur, vous me prendriez pour un utopiste.

      Le lait sans vache, le vin sans vigne, les steaks saignant sans viande, des champignons sans lumière (logique, là, même pour les truffes), des agrumes sans terre, je sais que ça existe : J'en ai vu, bu, mangé, goûté. Parfois ce n'est pas fameux (je me rappelle encore des tomates hors-sol d'Islande (qui cultive aussi des bananes et des carottes dans les mêmes conditions parce que la terre est pôvre et volcanique), du vin californien fait de "poudre et d'eau" et naturellement du lait sans lait...
      Mais pas encore de Brocciu Corsu sans brebis, ni de bière sans orge-maltée.

      La marée est en marche, non pas pour des raisons "écololos", vous le savez bien. L'écololo-bobo, il veut de l'authentique, du terroir, du qui pue (pas trop tout de même).
      Mais tout simplement parce qu'on se demande encore comment on va pouvoir nourrir correctement plus de 12 milliards de bouches affamées dans 50 ans.
      12 milliards, ça va, on aura les ressources, mais 30 %, 50 % ou deux fois plus, ce n'est pas évident.
      Et je vous rappelle qu'il meurent encore des gamins de malnutrition dans toute cette abondance alimentaire (qu'on en jette parfois par bennes entières).

      Alors oui, il faut tâtonner, innover, trouver le bon filon pour habituer les masses futures à la normalité de ce qui nous paraît aujourd'hui être de la science-fiction.
      Et avec les contraintes réglementaires d'aujourd'hui, sachant que les suivantes seront encore plus draconiennes et drastiques.

      Soyez sûre que les industriels de l'agro-alimentaire (dont Lactalis) sont à la pointe de la recherche (même si ce n'est pas tous).
      Eux, ils ont mis 10 ans à sortir de la crème fraîche sans crème et ils n'ont pas encore pensé que ça se vendra comme des petit-pains quand ils la mettront dans le rayon frais, car c'est bluffant, pas dans les rayons en température ambiante.
      Idem pour leur crème-fouettée sans gaz sous pression.
      Pour l'heure, quand ils sortent une innovation, c'est soit un flop (le beurre aux pépites de chocolat, la crème Nutella sans Nutella ni huile de palme mais au lait et à la crème), soit ça passe inaperçu (comme les deux produits cités ci-avant)...

      La vie d'un produit, c'est assez aléatoire, finalement : Le client en veut ou n'en veut pas, c'est comme ça !
      La preuve qu'il reste encore "un peu", au moins un peu, libre de ses choix !

      Bien à vous jolie Comtesse au pied si désespérément dénudé !

      I-Cube

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    2. Euh...

      PS : Là où vous vous trompez probablement, c'est que ce sera les "Goliath d'aujourd'hui" qui gagneront cette "âpre bataille".
      Elle ne peut pas être financée autrement que par eux.
      De toute façon, ils regroupent déjà la plupart des moyens de recherche "non-étatiques" et savent attirer les compétences.

      Et finalement, heureusement qu'ils sont là (ces "maîtres du monde" futur).
      On peut même penser qu'ils rejoignent "mes" utopies d'un monde meilleur (pour "nos nichées").

      Re bien à vous !

      I-Cube

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