Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 17 janvier 2018

Décidément, le sexe… c’est « invasif ».

La parole déferle !

Et s’insinue partout : On entend et on lit tout et n’importe quoi depuis l’autre jour, ma « journée magique ».
Tant mieux, il y a vraiment de quoi se poiler. Et tout ça à cause d’un gros-cochon qui se croyait tout permis du fait de sa position « influente » dans son milieu qui aura abuser de nymphettes pendant des décennies sans pour autant être jamais inquiété…
Je te vous demande un peu : Autant que je sache, le viol – autrement dit l’intromission non consentie (quel que soit l’orifice : Souvenez-vous l’innocence de « Déesse-Khâ ») – est et reste un crime impardonnable.
Dès lors qu’il est consenti – voire voulu et souhaité, mais on n’est plus dans la nuance – il n’y a plus viol.
En revanche, s’il a été consenti contre un avantage, même de starlette, même en promesse, on est carrément dans de la prostitution, même déguisée. Et c’est également un délit.
Au même titre que l’agression (qu’elle soit sexuelle ou non d’ailleurs) ou de l’outrage à la pudeur (passé de mode, il faut bien le reconnaître…).
Maintenant, je ne savais pas, « on frotte », on « met une main » !
Des procédés pour le moins outrageants qui ne sont hélas pas poursuivis (quoique…) mais qui démontre la vulgarité infamante de son auteur.
Au même titre que quand un de mes collaborateurs siffle une fille depuis sa Jaguar, je te le vous l’engueule, je ne dis pas.

On fait bien de rappeler que la drague n’est pas encore un délit : Combien de fois me suis-je fais draguer ou seulement chambrer, moi et mon double-quintal, que j’en aurai mis des pelletés en taule si cela avait été le cas.
Remarquez, avec un peu de bol – parce que moâ aussi, je drague, ou plutôt je tente de séduire : Facile avec mon physique « hors-norme » – on aurait pu faire des prisons mixtes où on aurait enfermé les neuf-dixième de la population : Tu vois le phénomène de société pointer ? Que des dragueuses et dragueurs condamnés à « tenter leur coup » dans la même prison !
Je te vous le dis : De quoi vraiment se poiler un long moment…
Et tous les kuls-bénis et autres impuissants sans appétence sexuelle en charge de vous payer le toit, la bouffe, le linge et le chauffage avec leurs impôts !
Géniale comme idée… Pour une maison close, elle aurait été superbe.
Passons…

C’est « Castagneur » (le Dégé des « LRM-même-pas-en-marche » et néanmoins secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement) que je ne porte pas dans mon cœur pour cause de vestes-retournées et autres « avantages-acquis » de « benêt-vole » sur le dos du kontribuable, qui, à propos du « droit à importuner » invoqué par quelques cent femmes « qui comptent » en dit que : « Je n’aime pas l’expression, parce que, quelle est la limite que celle que je vais importuner considère comme juste un petit moment de drague ? »
Bonne question, pour une fois… Mais peut-être n’est-ce aussi qu’une question de « lourdeur », après tout, de savoir-faire, d’intuition de séduction…
C’est quand même merveilleux de pouvoir faire « briller » les yeux d’une femme, non ?
Mais il poursuit : « Par contre (la tribune) pose un vrai problème. Celui de savoir quelle est la limite d’une société qui devient de plus en plus standardisée, où des mots sont interdits, où l’humour est interdit, où la blague potache peut être interdite. À l’inverse la blague potache qui alimente toute forme d’inégalité entre les femmes et les hommes n’est pas acceptable. »
Ça tombe bien, je n’en fais pas. Même pas eu l’idée, jusque-là…
Mais s’il savait combien j’ai pu en entendre sur mon physique « rondelet » et avenant sans que je m’en sois offusqué pour autant.
Mais d’affirmer aussi avoir « peur de la ‘‘standardisation des comportements’’, du ‘‘modèle unique de comportement’’, une sorte d’‘‘américanisation’’, où ‘‘jamais un homme ne peut prendre un ascenseur avec une femme’’ »… seule.
Té, moâ, quand je reçois une dame, la porte du bureau reste ostensiblement ouverte et au moins un.e de mes secrétaires est présente (ou pas loin).
Mais de conclure intelligemment que « on a tellement banalisé toutes les violences faites aux femmes qu’il faut aujourd’hui être extrêmement ferme sur ce sujet. Ne pas accepter qu’on puisse frotter », insiste-t-il.
Euh, il n’y a pas que ça : Et la grille des salaires issue de la convention collective (ou d’entreprise) par exemple ?
Et « les primes à la gueule » ? Et le « choix des avancements » et autres promotions ?
Il est déconnecté, là…
Repassons (pas le linge, n’est-ce pas !)

À mon sens, il faut aussi aller au-delà (pas pour en mourir, dékonnez pas, SVP, ça va m’arriver plus tôt que prévu).
Le « féminisme » a changé, sans pour autant mettre fin aux « tournantes » dans les caves de banlieues, ni les excisions des petites-filles, ni encore moins aux « mariages-forcés » faut-il rappeler.
Il est devenu « féminisme victimaire » ! Du coup, il est devenu guerrier avec la guerre des sexes à la clé.
Notez que ça ne me gêne pas trop cette guerre-là, du moment qu’elle est sensuelle à souhait.
Il vise en fait à installer au premier plan un féminisme androphobe assumé et qui ne recule pas devant l’utilisation de la pensée magique.
Le « patriarcat » y est ainsi présenté comme une malédiction universelle, qui structure et organise toutes les sociétés humaines. L’heure n’est plus à la revendication d’une place égalitaire dans la société moderne, mais à une forme d’émancipation millénariste pour libérer non seulement les femmes mais, au-delà de l’espèce humaine, l’ensemble du règne vivant, de l’emprise du mâle humain.
Je rigole !
Pas vous ?
Et pourtant, si elles savaient que nous sommes nés pour faire leurs quatre volontés…
Elles ne doivent pas connaître, que je me dis.

Dans le dernier roman mis en ligne, j’ai beaucoup réfléchi à ce que pourrait être notre civilisation dans plusieurs siècles (ou millénaires) avant de tracer la première ligne. Pour vous inventer une espèce humaine « augmentée », « mutée », qui vit avec le clonage (pour les greffes d’organe à travers la culture des cellules-souches), des implants qui détectent les « déséquilibres » physiologiques et naturellement, l’utérus-artificiel, tel que la sexualité est devenue homosexuelle et le fait des femmes : C’est une des surprise de la mise en scène !
Même les légionnaires de la légion-spatiale sont toutes des femmes…
Pour terminer sur la Fondation « Milton Institute of Ocean Research » qui vise à créer un virus (et son antidote) qui rendrait stériles toutes les femmes par contamination aérienne.
En retour, j’ai eu droit à un petit clin d’œil à mes « potesses » féministes qui m’ont d’ailleurs envoyé, donc après les mises en ligne, « La servante écarlate » de Margaret Atwood… dont la traduction en fracilien-gauloisien date de 1987 !
Pas une idée neuve, finalement.

Je note également pour ma part que le statut de nos femmes dans nos sociétés occidentales n’est pas le plus mal loti. Ce qui n’empêche pas l’expression de savoureuses contradictions, depuis l’écriture inclusive jusque que celles qui font cohabiter avec la même furie, une exigence revendicative extrémiste et une complaisance surprenante dès qu’il s’agit d’inégalités liées à l’islam (qui se souviens de ce footballeur converti pour les beaux-yeux de sa princesse et qui va aux putes faire des sex-tapes ?) qu’on passe sous silence à cette occasion : C’est là que devrait être le vrai combat de nos combattantes-féministes, mais non, mais non…
Il y a aussi le caractère paradoxal que je trouve choquant quant à l’expression d’une volonté de pouvoir social et politique pour les femmes que l’on présente pourtant par ailleurs comme des victimes, des êtres fragiles, soumis, incapables de se défendre, voire dépourvus de libre arbitre : Raisons pour lesquelles on demande protection à l’État et à sa police.
Bizarre, non ?

Le « féminisme » outrecuidant, rappelons-le est assassin quand il a poussé au suicide, tout récemment, le photographe David Hamilton. Celui-ci âgé de 83 ans n’ayant pas supporté le lynchage médiatique dont il a alors été victime. Un drame terrible où l’honneur d’un homme a été jeté aux chiens sur la simple accusation d’une personne qui a prétendu, des années plus tard, s’être brusquement souvenue d’avoir été violée.
Le même « féminisme » qui pousse « Lolo-Rot-si-gnôle », alors sinistre a confier une mission d’étude sur la prescription en matière d’infractions sexuelles à l’accusatrice !
Cette soumission à la société du spectacle aurait-elle pour but de mettre à bas des principes fondamentaux qui gouvernent la procédure pénale, comme celui de la prescription, l’infraction sexuelle devenant à terme imprescriptible à l’égal de la Shoah ?
Je vous rappelle aussi ma « cousine » et son droit, pour une « faible-femme », d’assassiner dans le dos son « cochon-tortionnaire »…
Et vous trouvez ça drôle ?
Bé moâ, je suis comme « Al-Hun-Deux-longs », je n’en peux plus, mais à sa différence, je me bidonne encore…

Car c’est le triomphe de l’ignorance et de la pensée magique débouchant dès lors sur de graves confusions. C’est aussi et surtout le fruit d’un activisme de militants sectaires, le relais inconséquent des médias et la complaisance ignorante des politiques pour ces thèses folles qui présentent des risques considérables pour nos libertés. Les excès d’un certain féminisme néo-puritain réussissent subrepticement à intoxiquer les relations hommes-femmes.
Des femmes qui ont traversé les dernières décennies avec fougue et passion et se trouvent aujourd’hui éberluées par les récriminations puritaines qui ne cessent d’incriminer les hommes…
Sidérées qu’elles sont par ces dérives des combats féministes. Pourtant, il n’existe pas un féminisme d’aujourd’hui et un féminisme d’hier.
Des femmes majeures et vaccinées refusent d’être victimes de la bonne conscience féministe et militent pour être avant tout des personnes libres. Elles refusent simplement de vivre dans un monde « désexualisé », sous le joug d’un dogme déplacé et contre-nature. De quoi dénoncer l’aseptisation des rapports entre les hommes et les femmes, qui rejette jusqu’à la « galanterie-Gauloisienne » pourtant de réputation notoirement mondiale.
À vouloir trop judiciariser, codifier dans le marbre de la loi, les excès masculins nous validerons une lecture des relations homme/femme en termes de bourreau et de victime.
Et là, je ne ris plus…
D’autant que j’ai déjà eu à m’en expliquer et dans le détail.

Néanmoins, « la drague » a la vie dure. La drague de rue, de café, de bureau, celle qui s’expose au quotidien, celle qui se cache dans les applications de dating, la télé-réalité, ou les messageries instantanées. D’un côté on condamne l’audace, de l’autre on la célèbre par l’usage et la pratique d’une sérénade grossière. D’un côté on condamne l’homme qui drague avec insistance dans un bar, de l’autre on fantasme toujours sur les ébats aquatiques de Loana et Jean-Édouard.
Les princesses du XXIème siècle et les groupies du pianiste sont finalement de grandes malades bipolaires capables de rendre n’importe quel homme totalement schizophrène. Si les comportements abusifs et les agressions doivent être condamnés avec force, il est également temps de prendre nos responsabilités, de choisir la société que nous voulons.
D’un côté la parole se libère (et c’est très bien), les porcs sont enfin inquiétés, les différences sont montrées et célébrées pour le meilleur. De l’autre les expositions sont de plus en plus censurées, les films déprogrammés, les lycées renommés pour coller à l’air du temps.
« Cachez ce sein que je ne saurais voir », oubliez cette scène où les cuisses s’ouvrent avec trop d’enthousiasme. On est vraiment à des années-lumière des « suffragettes », des Louise Blanc, des Simone et autre Marguerite qui ont lutté avec passion hier pour qu’aujourd’hui soit possible et ont remporté des combats salutaires, se sont hissées sans passe-droit mais avec ingéniosité et talent à la même hauteur que ceux qui avaient hérité de tous les droits.
Elles, elles n’ont jamais voulu être reconnues comme des victimes, elles n’ont jamais voulu avoir davantage, elles ont tout fait pour être considérées simplement comme des individus normaux.

C’est tout l’écart, le fossé, le gouffre dogmatique qui sépare bien le déferlement, qui, contrairement à ce que je pensais d’abord, persiste à enfler et le simple « bon sens ».
Je vais vous dire : Je ne comprends toujours pas pourquoi nos « féministes » se maquillent le matin, passent des plombes à dénicher à l’occasion des soldes « le petit-ensemble » qui les mettent si bien en valeur, s’achètent des bas et de la dentelle, parfois perdent leur temps en « mise-en-pli » ou s’allongent sur mes tables de chirurgiens-plasticiens pour se faire ravaler la tronche.
Bon, y’en a, c’est « médical », c’est vrai…
Et puis de mon côté, j’aimerai bien qu’on arrête de nous vous faire des pubs avec des femmes aguichantes pour vous vendre un dentifrice, une voiture, un parfum, une assurance une carte de crédit, un peu d’essence ou seulement vous présenter la météo…
Marre, quoi : On ne peut pas tout vouloir et son contraire, non plus !
Et si ça ne se calme pas, on va finir par tous (et toutes) devenir complètement déjanté.e.s.

6 commentaires:

  1. Tiens ! Je me rappelle ce jour de boulot, où dans le local fax, je suis seule, une feuille tombe, je me penche pour la ramasser et sens une claque sonore sur les fesses, appelée trivialement une fritte. Outrée, je me retourne et vois un collègue au comportement discret et précieux d’habitude. Il était aussi abasourdi que moi de son geste. « Euh désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher».
    Je portais une jupe crayon des plus convenables, mes longs cheveux roux détachés : trop de féminitude affichée sans doute... « Bon, lui ai-je dit, mais ne recommence plus ».

    Mon directeur commercial lui, était très tactile ce que je ne supporte pas et rentrait dans un périmètre trop proche en s’adressant aux gens. De l’extérieur cela devait être marrant, il s’avançait et moi je reculais. Un jour j’ai laissé échapper : là, c’est la bonne distance.

    Sur le féminisme débridé (pas hystérique, ce serait phallocrate) voici un texte intéressant de Marc Halevy

    Le féminisme est devenu hypocondriaque. L'antiracisme aussi.
    C'est un état dépressif lié aux généralisations abusives et maladives.
    Le délinquant y est décrit comme le porteur, le révélateur et l'indicateur de la norme implicite.
    Tous les hommes seraient, donc, des violeurs et des briseurs de femmes (en suspicion, en tous cas). Tous les blancs seraient, ainsi, des racistes et des colonialistes (en présomption, à tout le moins).
    Comme la gauche s'est toujours autoproclamée "défenseur des opprimés" et que des opprimés prolétariens, il n'y en a plus guère, cette gauche en déconfiture et en déshérence s'en invente et fait feu de tout bois en fouillant, comme la merde, l'actualité sensationnaliste que l'on déverse à flot tous les jours.
    Un crétin ou un malfaisant, qu'ils soient noirs ou blancs, catholiques ou musulmans, masculins ou féminins, sont et restent un crétin et un malfaisant.
    Et si la plupart des gens sont bien des crétins, mais que bien peu sont réellement malfaisants, rien ne change à l'histoire.
    Le vrai danger, dans tout cela, c'est qu'à force de dire aux braves gens qu'ils sont - à leur insu - des misogynes crapuleux et des racistes haineux, ils finissent par le devenir réellement.
    Ce qui, en retour, permettra aux hyper-féministes (les anti-féminité) et aux hyper-antiracistes (les anti-blanc) hypocondriaques de pouvoir dire enfin : "Vous voyez, on avait bien raison, on vous l'avait bien dit".
    Plutôt que de militer pour le féminisme, militons pour la féminité ».

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah là, j'aime bien : Le portrait craché de Laureline (pas celle du film - Valérian - mais celle de la BD originelle.
      Post prévu lundi prochain).

      J'aime bien aussi vos "gougnafiers" : Je vois déjà le ballet avec votre Dir-Com'.
      Moâ, c'est ma "cousine" (celle qui fait "maigretiste" dans le civil et dont la fille est élue "F. Haine" au conseil régionale d'Île-de-Gauloisie) qui te me balance systématiquement son opulente poitrine sur mon ex-double quintal dès qu'elle me mire...
      Un attirance irrésistible, tel une puce qui aurait vu un chien.
      J'évite : On pourrait rouler tous les deux par mégarde sur les tapis !
      Que là, ça jaserait jusqu'à London...

      J'aime bien aussi votre "matheux" de philosophe. On marche sur la tête avec toutes ces histoires de sectarisme-dogmatique.
      J'ai toujours dit que les dogmes sont un danger mortel pour la Liberté (et l'Intelligence d'une façon générale).
      Je confirme.

      Pareillement, j'aime bien votre militantisme pour "la féminité".
      C'est le "B.A. BA" du vivre ensemble, dès lors qu'on évite toute vulgarité comme la peste.

      Mais bon, ce que j'en dit ou pense, n'est-ce pas, c'est comme de pisser dans un violon en espérant qu'il en sortira des croissants tout croustillants.

      Bien à vous chère Comtesse au pied dénudé.

      I-Cube

      Supprimer
  2. ah oui, je me souviens de vos "cours" de japonais dans "histoires d'en rire".

    Et bien, j'ai appris qu'en japonais, "mari" se dit Shujin, littéralement : "personne principale". "Femme" se dit Kanaï, littéralement : "dans la maison".

    De quoi attraper un malaise vagal; non ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Effectivement...

      Mais ce sont des japonais qui ont inventé le... japonais !
      On n'y peut pas grand-chose, d'autant qu'ils sont loin.

      Alors comme ça, vous apprenez aussi le Japonais ?
      Extraordinaire, non ?
      Va falloir nous enseigner la philosophie extrême-orientale, là.
      Ca va nous enrichir un peu...
      Peut-être !

      Bien à vous !

      I-Cube

      Supprimer
  3. Sommes nous fait l'un pour l'autre ?
    La majorité des comportements sont-ils abusifs ?
    La raison doit-elle gouverner tous nos actes ?
    Existe t'il une façon de faire ?
    Qu'est-ce qui nous pousse à vouloir plaire ?
    Tous égaux, tous prévisibles, tous sous contrôle ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bienvenu, l'Anonyme du moment !

      A toutes ces questions (parfaitement légitimes) je répondrai que c'est une question de choix personnel, dicté, c'est vrai, par les circonstances et plein d'autres "trucs" que l'analyse situationniste permet d'éclairer et de tenter de démêler.
      Mais bon, il faut faire un peu de maïeutique-philosophique-appliquée pour y parvenir.

      Ceci dit, il est une question (je fais mon "jésuite") que vous n'abordez pas : Qu'est-ce qui pousse les uns et les autres à "se mettre en couple" ?
      Amis, amants, associés, que sais-je encore...

      C'est assez extraordinaire, même pour un gusse comme moi qui a pris plaisir, encore "ado", à dessaler en solo à bord d'un dériveur.
      Et pourtant, je n'en menais pas large, mais j'en garde un souvenir fort : Tous mes "potes de bordée" trouvaient que le vent soufflait trop fort...
      Notez qu'ils avaient raison.

      Mais alors, sortez, promenez-vous dans la première rue qui passe et regardez donc passer les passants, tous "ces couples" -à quelques rares exception près) qui baguenaudent à des tâches diverses.
      Et puis ensuite reposez-vous les mêmes questions.

      Bien à vous !

      I-Cube

      Supprimer