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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 18 janvier 2018

D’Allemagne : Magnifique nouvelle !

Non pas la constitution d’un nouveau gouvernement


Là, ils ont réussi à se mettre d’accord sur une plateforme de gouvernement, mais restant à valider, et tout le monde s’en fout : Comme les Belges il y a quelques-temps, comme les espagnols il y a moins longtemps (comme les catalans, depuis récemment) les allemands « d’An-Gèle-là-Mère-Quelle » démontre parfaitement qu’un pays peut se passer d’un gouvernement : Ça ne change pas grand-chose au cours des choses et au quotidien des citoyens du pays concerné.
Et puis les allemands vont finir par y parvenir et se remettre en marche : « Manu-Jupiter » sera rentré de Chine (avec de nouveaux « potes-éclairés » et peut-être quelques contrats de plus, façon VRP/VIP, pour le consortium européen) qu’il va pouvoir redémarrer la prise de sa marche vers le leadership Européen.
Après tout, il a été « nommé » pour ça.

Souvenez-vous que la semaine dernière dépassée, à l’occasion des vœux à la presse gauloisienne (c’est passé un peu inaperçu), il a été capable de lancer ses scuds contre « McDonald-Trompe » : « On est en train de reproduire la stratégie délibérée de certains. Il est très important qu’on préserve les équilibres dans ce contexte (…) Il faut une stratégie régionale qui consiste à regarder comment limiter l’action iranienne. Mais si nous rompons toute discussion, le risque est d’aller jusqu’à des éléments de conflit d’une brutalité extrême ».
Une position en rupture avec les USA « Néo-kon » qui ranime le souvenir de l’opposition du « Chi » à « Boubouche » en 2003 visant cette fois-ci à dénoncer le nouvel « axe du bien » Washington-Tel-Aviv-Riyad. « On est en train de subrepticement reconstruire un ‘‘axe du mal’’. On voit bien le discours officiel qui est porté par les États-Unis, Israël, l’Arabie Saoudite, qui sont nos alliés à de nombreux égards : C’est quasiment un discours qui va nous conduire à la guerre en Iran ».
Confirmation qu’il est bien à la solde des « frangins-trois-points », de la « Trilatérale » de la « haute-finance » et du « Groupe Bilderberg » n’hésitant même plus à braver les sionistes et la CIA parmi l’inventaire des « 7 forces » qui sont « les Maîtres du Monde ».
Mais vous l’aviez compris sans avoir besoin de moâ…

Non, la bonne nouvelle ce n’est pas que pendant qu’il était en Chine, on ne rabatait pas les oreilles d’une énième « transformation », mais d’une chose passée à peu-près inaperçue en « Gauloisie-des-lumières ».
Le syndicalisme allemand, mené par la puissante fédération de la métallurgie, IG Metall, veut passer de 35 h à 28 h de travail hebdomadaire !

Magnifique, non ?
Les meks, en faire 7 heures par jour 5 jours par semaine, c’est trop : Ils veulent ne bosser plus que 4 jours !
C’est « La-Roue-Tout-Roux » qui va être content : Toute une vie pour tuer le travail des « hommes de labeur », leur seule richesse de « pôvre » !
Il faut dire que l’économie allemande est au beau fixe, les excédents (balance-commerciale et budgets-publics) s’accumulent sans sourciller, l’endettement public est réduit à « peau-de-chagrin » et que le sujet de dispute entre SPD et CDU pour former un gouvernement, c’est justement de savoir ce qu’on va faire de tout ce magot.
Pan : Coup d’envoi à des débrayages menaçant de déboucher sur une grève dure !
Et le mouvement va durer au moins une semaine.


Ça s’est passé le lundi 8 janvier pour le coup d’envoi d’un bras de fer social qui s’annonce comme l’un des plus durs de ces dernières années en Allemagne. Plusieurs dizaines de débrayages étaient prévus dans tout le pays, en particulier dans le secteur automobile, pour soutenir des revendications portant donc sur la réduction du temps de travail à 28 heures hebdomadaires.
Conformément à une stratégie bien huilée de montée progressive de la pression, les arrêts de travail affecteront des entreprises bien choisies, dans l’ouest en Rhénanie du Nord-Westphalie (avec 700.000 grévistes annoncés), dans le sud avec le Bade-Wurtemberg et dans l’est avec les régions du Brandebourg, de Saxe et Berlin.
Le mouvement aduré au moins toute la semaine. De premières grèves d’avertissement, très localisées, ont déjà été organisées la semaine dépassée, notamment chez Porsche.
Depuis octobre, le syndicat exige pour les 3,9 millions d’employés du secteur une augmentation salariale de 6 %. La fédération patronale Gesamtmetall propose 2 %. Rien d’inhabituel. En général, les parties se retrouvent à mi-chemin.
Mais pas cette fois-ci.


Car le conflit porte surtout cette fois sur un aménagement inédit du temps de travail demandé par IG Metall : Le passage de la semaine de travail de 35 à 28 heures pour ceux qui le souhaitent, avec compensation partielle du manque à gagner salarial par l’employeur. La formule serait valable deux ans au maximum et l’employeur devrait garantir un retour à un poste à plein temps.
Je ne te raconte pas le boxon sur les chaînes de montages…
Du pain béni pour la concurrence… étrangère !
D’autant que le patronat du secteur juge la revendication inadmissible et impraticable. Il estime que près des deux tiers des salariés seraient éligibles à cet aménagement du temps de travail et redoute un casse-tête administratif et des ateliers dépeuplés. Les employeurs soulignent également le risque de discrimination en cas de mise en place de ce régime pour les employés travaillant déjà à temps partiel pour un salaire réduit d’autant.


Cette question a déjà fait achopper des négociations de branche à l’automne. Si l’impasse se confirme, l’étape suivante pourrait être la grève dure, une rareté dans ce pays pétri de culture de la cogestion. Sans avancée du patronat, il sera « extrêmement difficile de mener cette négociation salariale à bien en se bornant à des grèves d’avertissement », a prévenu ce week-end un responsable d’IG Metall, Roman Zitzelsberger.
Moi je l’aime, ce gars-là : C’est un « coup de pouce » inespéré pour nos industrieux, finalement.
Et puis ça va manger des marges en Allemagne s’il y a compensation, même partielle, de salaire perdu, ce qui va mettre en difficulté la finance publique locale l’année suivante, la faute au rétrécissement des assiettes imposables…
On note toutefois qu’IG Metall n’a pas organisé de grève nationale et illimitée depuis 2003. Gesamtmetall menace, de son côté, de porter l’affaire devant les tribunaux. Le ton est déjà très âpre entre partenaires sociaux, dans un pays qui s’était habitué ces dernières années à des négociations sociales plutôt apaisées dans un contexte de bonne santé de l’économie.
Ça va l’être moins si leur futur gouvernement n’y remet pas un peu d’ordre…


Songez-y : La menace d’un conflit à durée indéterminée dans des industries florissantes et clés pour l’Allemagne, comme l’automobile ou les machines-outils, inquiète bien sûr les responsables du secteur : « Les grèves ne sont généralement pas un moyen approprié pour résoudre les conflits salariaux, elles nuisent à l’exportation, donc à l’entreprise et in fine aux employés », a prévenu Bertram Brossardt, le dirigeant du patronat bavarois de la métallurgie et de l’industrie électrique.
En fait, IG Metall arrive à la table des négociations en position de force, porté par une conjoncture au beau fixe. Tous les fondamentaux de l’économie allemande, emploi, exportations, inflation, sont dans le vert.
Alors, pourquoi ne pas accélérer l’effet « ruissellement » au profit des salariés ?
C’est le rôle d’un syndicat-prolétaire, non ?
Pas comme en « Gauloisie-dispendieuse », où, quand on « en redonne », c’est pour le reprendre d’une autre main. Et vos syndicats en restent totalement cois…


Du coup, après avoir exigé pendant des décennies la redistribution des fruits de la croissance sans avoir été entendu, IG Metall apporte cette fois une revendication neuve dans le paysage syndical mondial. Avec près de 2,3 millions d’adhérents, IG Metall, qui défend les salariés toutes catégories confondues dans l’industrie (Siemens, ThyssenKrupp), la sidérurgie, l’automobile (VW, Daimler, Porsche), l’électronique ou encore le textile, est le plus gros syndicat d’Europe.
Et quand ils toussent, c’est l’Allemagne toute entière qui s’enrhume.


Bref, une bonne nouvelle (même provisoire) : En mettant le boxon en Allemagne, c’est une mauvaise nouvelle pour l’économie du pays, mais une bonne pour les autres partenaires européens et, last but not least, un effet contagieux toujours possible, mais plus tard, justement chez les autres européens.
Ce qui me fait dire que soit, les allemands vont « robotiser » un peu plus, soit organiser les 2 fois 28 heures aux pays pour retrouver leurs marges et que pendant ce temps-là, faute de réflexion, chez vous en « Gauloisie-jupitérienne », ils vont « importer » de la main-d’œuvre pour faire face à l’accélération conjoncturelle (quelques mois après la mesure mise en place) de l’activité.
La deuxième mort de « Marinella-tchi-tchi »…
Trop drôle !

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