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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 novembre 2017

Diverses d’automne


Vous l’avez remarqué…

 

Depuis que j’ai embarqué à bord de la « perfide Albion », j’ai un mal fou « à régler » les paramètres de la mise en page de mes posts sur « blogspot.england.com ».

J’en suis revenu « aux origines », quand je découvrais cette plateforme-là.

Au fil du temps en « Ritalie », j’ai pu m’y faire et j’ai su rétablir un semblant de lisibilité à peu-près correcte.

Depuis Monaco jusqu’à Portoferraio et désormais un peu en passant par « Paris-sur-la plage », pas de soucis non plus.

Mais from London, une fois ça marche, une fois ça foire.

 

Alors, comme la mise en ligne d’un post ne doit pas excéder une heure de mon temps, rédaction incluse, 90 minutes dans le pire des cas, quand il faut faire des liens, j’abandonne l’idée d’une « remise-en-point » : Il faut reprendre ligne-à-ligne les paragraphes un-à-un, et quand vous en loupez un, il faudrait y revenir.

Soit au bas-mot 60 à 90 minutes de plus et il se trouve que je n’ai pas vraiment le temps.

Déjà que les journées sont si courtes et que le temps restant à vivre est si compté.

 

Comme je ne suis pas payé pour ça, je vous prie de bien vouloir m’excuser du plus profond de moi-même et jusqu’aux tréfonds de vous-mêmes, mais j’abandonne la lutte (de toute façon perdue d’avance).

 

Ci-après, quelques collectes de la semaine, pas très riche : Il y a beaucoup de « revenues » (ces « histoires d’en rire » parties de ce blog et du précédent parfois depuis des années et « qui me reviennent ») qui n’ont pas forcément d’intérêt pour ne pas avoir été « enrichies » ou modifiées depuis leur naissance et mises en ligne, que je vous épargne.

Sans doute « la rançon de la gloire » que je ne recherche pas – et depuis l’origine – particulièrement.

L’objectif, c’est juste de vous donner « matière à vous détendre » après avoir abordé des sujets parfois beaucoup plus graves durant toute la semaine.

 

Merci infiniment de votre compréhension à toutes et à tous.

 

Des revenues ? Comme par exemple la suivante :

 

C’est l’histoire d’une jeune et belle princesse, indépendante et sûre d’elle, qui rencontre un jour une grenouille sur le bord d’un étang.

La grenouille dit à la princesse :

« Au secours ! Au secours ! Une affreuse sorcière m’a jeté un sort. Avant, j’étais le fils aîné d’un roi très puissant. Un baiser de toi et je me transformerai en prince, et nous pourrons nous marier, car je suis très beau et un amant endurant et sensuel.

Nous irons dans mon château où je retrouverai ma mère et tu me prépareras de bons plats et tu élèveras nos enfants et tu feras la conversation à ma mère quand je partirai à la guerre etc… »

Vous connaissez la suite. Il y en a d’ailleurs plusieurs : La sorcière du lac, la princesse qui aura fait castrer son chat redevenu prince-charmant, etc.

Celle-là à une chute différente :

Le soir de ce même jour, en passant à table, la princesse se mit à rire et dit à haute voix :

« Non, vraiment non, c’est bidon, cette histoire de prince-charmant transformé en grenouille !

Qui croirait encore à ce genre de fadaises-là à notre époque ? »

Et elle dégusta une grande assiette de cuisses de grenouilles en sauce.

 

Pendant la messe, le curé rappelle aux gens qu’ils vont tous finir par mourir un jour.

« S’il ne vous restait que 4 semaines à vivre, que feriez-vous ? »

Une personne se lève et dit :

« Pour ces 4 semaines, j’irais voir ces personnes qui ne croient pas en Dieu pour tenter de leur faire comprendre qu’il est dans nos vies. »

Le curé, satisfait de son ouaille dit :

« C’est un acte très admirable ! Quelqu’un d’autre voudrait partager son opinion ? »

Une autre personne se lève et dit :

« Pour ces 4 semaines, je me donnerais entièrement à ma famille et à l’église avec plus de conviction ! »

Le curé admire encore ces paroles et demande un autre avis.

Jean-Marc se lève et dit :

« Moi, pour 4 semaines, je ferais le tour de l’Europe avec ma belle-mère dans ma vieille Golf-diesel et je dormirais dans les motels les moins chers, chaque soir. »

La salle reste silencieuse un long moment, quand le curé reprend :

« – Et pourquoi feriez-vous cela ?

– Eh bien tout simplement parce que ce serait les 4 plus longues semaines de toute ma vie ! »

(C’est une « recuite », celle dans laquelle le curé de la paroisse alignait le long d’un mur ses fidèles qui ne voulaient pas mourir sans être sûrs d’aller au paradis promis par le Seigneur. Jean-Marc avait refusé de s’aligner et de souscrire à cette promesse, persuadé qu’il s’agissait de partir sur le champ…)

 

Un pépé dans une maison de retraite s’adresse à une nouvelle pensionnaire :

« Hé qu’est-ce que vous faites, si belle et si jeune, dans un endroit comme ici.

Au fait on est où ici ? »

 

Lors d’un voyage en groupe, le guide distribue des mots croisés pour distraire les voyageurs.

« – Alors ça, je ne vois pas », dit Jean-Marc… « Un mot de 7 lettres, « se vide quand le coup est tiré », et ça finit par « ouille ».

– C’est « douille », monsieur ! » s’écrit une dame âgée.

« – Qui peut me prêter une gomme ? » demande alors une jeune fille avec les pommettes toutes rouges…

(Dans l’originale, c’était des curés dans un train en route vers Rome pour un consistoire)

 

Pendant une petite pause, entre deux prières au couvent, trois sœurs discutent assez sévèrement de la conduite douteuse du prêtre qui dit la messe dans la chapelle chaque jour.

La première explique :

« Il y a deux semaines, en nettoyant sa chambre, j’ai trouvé des revues pornographique dans le tiroir de sa table de nuit. »

Évidemment les deux autres sont scandalisées :

« – Et qu’en as-tu fait, ma sœur ?

– Je les ai immédiatement jetées aux ordures ! »

La seconde raconte :

« C’était mon tour de faire sa chambre la semaine passée. En rangeant son armoire, j’ai découvert des préservatifs… »

Offusquées, les deux autres :

« – Et qu’en as-tu fait, ma sœur ?

– Je lui ai joué un bon tour », raconte-t-elle. « J’ai percé tous les préservatifs avec une aiguille. »

C’est alors que la troisième religieuse s’évanouit.

(Dans l’originale, il s’agissait de mes trois secrétaires monégasques… C’est quand même plus drôle !)

 

Encore une dernière revenue (même pas à peine modifiée, juste « enrichie », mais elle me fait tellement rire en visualisant la scène) :

 

Jean-Marc entre chez lui à 7 h le matin.

Sa Germaine l’attend de pied ferme.

Quand il pousse la porte, elle lui lance un regard de feu et lui dit :

« – Ouin, belle heure pour arriver. Supermannnnnnnnnn !

D’où t’arrives comme ça, Supermannnnnnnnnn ?

– Laisse-moi t’expliquer mon amour, c’est que j’ai eu une réunion d’affaire.

– Une réunion d’affaire qui s’est terminée à 7 h. Supermannnnnnnnnnn !

– Voyons mon amour, laisse-moi t’expliquer, nous avons décroché un nouveau client et sommes allés au restaurant avec lui…

– Un souper ! Un souper qui s’est terminé à 7 h. Supermannnnnnnnnnn !

– Voyons mon amour, laisse-moi t’expliquer 2 minutes. Après le souper d’affaire, notre client voulait aller dans une discothèque.

– Une discothèque ! Une discothèque jusqu’à 7 h ? Supermannnnnnnnnnn !

– Voyons ma chérie, laisse-moi t’expliquer 2 minutes… Après il a voulu aller au club de danseuses, mais je te JURE que je n’ai pas regardé. J’ai passé le reste de la soirée à regarder ma montre, je te JURE que je n’ai rien vu. J’étais assez mal d’être là.

– Club de danseuses ? Club de danseuses pis tu n’as pas regardé. SUPERMANNNNNNNNNNNN !!!!!!

– Voyons mon cœur, laisse-moi t’expliquer. Et pourquoi m’appelles-tu Supermannnnn ?

– Y a juste SUPERMANNNNNNNNNNN qui met son slip par-dessus son pantalon… »

 

Et puis les « petites-toutes-neuves » du moment :

 

Jean-Marc pressé ce jour-là entre dans un hôtel et se dirige tout droit vers la réception, à toute vitesse, sans faire attention.

Il heurte une femme près de lui et son coude s’enfonce voluptueusement dans le sein de la dame.

Et les voilà tous deux très embarrassés.

C’est qu’on est en pleine affaire du hashtag #metoo et de sa marée de dégueulasseries qui dégoulinent de partout à agresser « nos bien-aimées femmes », sujets de toutes nos intentions premières de kouillus bien-nés pour leur seul bonheur.

Jean-Marc, poli et bien élevé par sa « môman », se tourne vers elle et lui dit sur un ton le plus aimable possible :

« – Madame, si votre cœur est aussi tendre que votre sein, je sais que vous me pardonnerez !

– Seulement si votre pénis est aussi dur que votre coude. Dans ce cas, je suis dans la chambre 112 ! »

 

Jean-Marc se présente au confessionnal.

« – Mon père, une chose terrible m’arrive et je dois en parler.

– Que ce passe-t-il mon fils ?

– Ma femme tente de m’empoisonner. »

Surpris, le prêtre lui demande s’il ne se trompe pas, mais Jean-Marc lui dit en être convaincu et lui demande ce qu’il doit faire.

Le curé lui dit alors qu’il parlera à sa femme en essayant de trouver une solution.

Une semaine plus tard le prêtre téléphone à Jean-Marc et lui dit :

« – J’ai parlé avec votre épouse. Nous avons eu une conversation de 3 heures au téléphone. Vous voulez mon avis ?

– Oui », répond anxieusement Jean-Marc.

« – Prenez le poison. »

 

Au moment où le train démarre, un homme se penche à la fenêtre et salue un copain resté sur le quai en criant :

« Salut, Georges ! Et merci pour ce superbe week-end. Ta femme est vraiment une sacrée baiseuse ! »

Jean-Marc reste étonné.

« – Excusez-moi », lui demande-t-il. « J’ai du mal à y croire. Vous avez réellement dit à cet homme que sa femme était une sacrée baiseuse ?

– Oui, j’ai dit ça, mais en fait, ce n’est pas vrai du tout. C’était juste pour ne pas lui faire de peine. »

 

Et on finit par un mot d’auteur, juste pour mieux en rire :

 

« Je prends du viagra seulement lorsque je suis avec deux femmes. »

Jack Nicholson, le comédien (Vol au-dessus d’un nid de coucous, Shining et tant d’autres somptuosités du 7ème art).

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 

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