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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 13 octobre 2017

Collecte de l’été 2017 (3)


Je n’ai pas chômé…
 
Dieu et l’informatique…
C’est Dieu au Paradis qui ouvre son ordinateur et puis son logiciel de messagerie.
Le logiciel dit :
« Vous avez 154 nouvelles prières. »
Dieu ouvre la première, ça dit :
« Seigneur pourquoi ne réponds-tu pas à mes appels et à mes prières ? Je t’ai prié avec tout mon désespoir s’il te plaît aide-moi.
Amen ! »
Dieu prend un air sévère, ferme le message et gueule :
« Tu parles d’une bande de caves, comment voulez-vous que je vous réponde si vous signez tous Amen ! »
 
Un jeune apprenti débute chez un pharmacien.
Il découvre, sur une étagère, un bocal dont on a noté sur l’étiquette : <>.
Il demande :
« – À quoi sert ce médicament ?
– Ah ça, c’est ce que l’on donne aux clients lorsqu’on n’arrive pas à lire l’ordonnance ! »
 
Un brocanteur se rend dans une ferme, dans l’espoir d’y trouver quelques meubles ou bibelots anciens.
Il entre et voit un petit chat qui est en train de boire son lait dans un bol chinois de l’époque Ming. Aucun doute possible, le bol est authentique.
Arrive le paysan :
« – Bonjour monsieur », dit le brocanteur. « Je vois que vous avez un bien joli petit chat. Voulez-vous me le vendre ? 
– Mais bien sûr c’est 50 euros. »
Le brocanteur donne un billet de 50 euros, puis rajoute :
« – Vous pouvez aussi me vendre son bol ? Comme il a l’habitude de boire son lait dans ce bol, autant que je l’emporte aussi.
– Ah non monsieur, le bol du chat n’est pas à vendre.
– Mais pourquoi ?
– Parce qu’avec ce bol de l’époque Ming, j’arrive à vendre 2 à 3 chatons par semaine… »
 
Un jour, chez le vétérinaire, un client rentre furibard :
« C’est incroyable ! Vous avez vu le prix que vous avez demandé pour cette opération ? »
La secrétaire tente de calmer le propriétaire du chien opéré, mais celui-ci ne veut rien savoir et le ton continue à monter.
Finalement, le vétérinaire sort de la salle de consultation et s’adressant au client irascible, il dit calmement :
« Monsieur, calmez-vous, vous savez ce que l’on fait aux mâles trop agressifs ici ? »
 
Un étudiant d’université se pensant assez génial engage la conversation avec un monsieur d’un certain âge.
Il essaie de lui expliquer pourquoi il est impossible aux vieux de comprendre la nouvelle génération.
« Vous avez grandi dans un monde différent que je qualifierais, aujourd’hui de primitif.
Les jeunes d’aujourd’hui ont grandi avec la télévision, les avions, les ordinateurs, les voyages dans l’espace, la marche sur la Lune, la pilule anticonceptionnelle. Nous avons l’énergie nucléaire, l’électricité, les autos à l’hydrogène, et l’internet. »
Le vieux lui répond :
« Tu as parfaitement raison jeune-homme ! Quand nous étions jeunes, nous n’avions pas toutes ces choses que tu as mentionnées.
C’est pourquoi nous avons dû les inventer.
Maintenant mon ptit’gars, qu’allez-vous bien pouvoir faire pour la prochaine génération ? »
 
Une fée dit à un couple marié :
« Pour avoir été un couple si exemplaire depuis 25 ans, je vous accorde à chacun un vœu… »
La femme dit alors :
« Je voudrais faire le tour du monde avec mon mari adoré. »
La fée agite sa baguette magique, et abracadabra, des billets d’avion apparaissent dans la main de la femme.
Maintenant c’est au tour du mari :
« Euh… C’est un instant très romantique, mais une opportunité comme celle-là n’arrive qu’une fois dans la vie. Alors je suis désolé ma chérie, mais j’aimerais avoir une femme 30 ans plus jeune que moi. »
La femme est terriblement déçue, mais un vœu est un vœu.
La fée fait un cercle avec sa baguette magique…
Abracadabra et soudain le mari a 90 ans !
 
Lors d’une expérience de Sociologie a été réalisée à l’université de la Sorbonne (Paris I), on a demandé aux étudiants et aux étudiantes qui suivaient le cursus, d’écrire une phrase de 100 mots maximum employant le mot « sexe » et le mot « amour » ou ses dérivés.
Après analyse des résultats, la phrase la plus communément citée par les étudiantes a été :
« Quand deux personnes sont passionnément amoureuses l’une de l’autre et qu’elles se respectent, il est tout naturel qu’elles s’engagent plus avant physiquement et que leurs sentiments les conduisent à prolonger leur communion dans le sexe. »
99 % des mecs ont simplement écrit :
« J’aime le sexe. »
 
C’est Jean-Marc qui visite régulièrement une péripatéticienne.
Après sa petite gâterie, il donne une petite tape sur les fesses de la fille en lui disant :
« – Allez ! Je reviendrai dans un mois.
– Petit vicieux, tu ne penses décidément qu’à ça ! »
 
« – Mon amie m’a référée à un hypnotiseur et il m’a dit de me tenir devant un miroir en répétant : « Je n’ai pas mal à la tête, je n’ai pas mal à la tête, je n’ai pas mal à la tête ».
Et ça marche ! Mes maux de tête sont disparus.
– Fantastique ! » répond Jean-Marc.
« Tu sais, tu n’es pas trop performant au lit, depuis quelques temps », enchaîne sa femme. « Peut-être devrais-tu le consulter toi aussi ? »
Après avoir consulté l’hypnotiseur, Jean-Marc revient à la maison, enlace sa femme, l’entraîne dans la chambre, la couche sur le lit et lui dit :
« Ne bouge pas, je reviens dans quelques minutes. »
Il s’enferme ensuite dans la salle de bain.
Quelques minutes plus tard, il honore sa femme avec une passion peu commune.
Sa femme est aux anges.
« – Tu es merveilleux mon amour.
– Ne bouge pas, je reviens dans quelques minutes. »
Il retourne dans la salle de bain, et revient quelques minutes plus tard pour la prendre à nouveau.
Sa femme est épuisée, mais ravie.
Jean-Marc dit alors :
« Ne bouge pas, je reviens dans quelques minutes »
Il retourne dans la salle de bain.
Cette fois, sa femme le suit intriguée.
Elle le découvre debout devant le miroir qui répète : « Elle n’est pas ma femme, ce n’est pas ma femme, elle n’est pas ma femme. »
 
La belle-mère de Jean-Marc vient de mourir et il doit s’occuper des arrangements funéraires :
« – Alors, qu’est-ce qu’on fait ? » demande le croque-mort. « On l’embaume ?  On l’enterre ou on l’incinère ?
– Mieux vaut ne pas prendre de risque. Faites-lui les trois. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se rencontrent :
« – Alors vieux, ça va ?
– Ouais plus ou moins… Ma belle-mère est morte la semaine passée.
– Oh, c’est terrible, ça. Qu’est-ce qu’elle avait ?
– Pfff, ne m’en parle pas… Seulement quelques vieux bijoux. »
 
Une belle-mère vient rendre visite à sa fille.
Jean-Marc ouvre la porte et s’exclame :
« Bonjour belle-maman ! Ça fait longtemps qu’on ne vous avait vue ! Alors combien de temps allez-vous rester parmi nous ? »
La belle-mère, voulant plaisanter :
« – Oh, eh bien jusqu’à ce que vous soyez fatigué de me voir.
– Mais oui, mais oui, c’est bien. Mais vous allez quand même prendre de le temps de boire un café… »
 
C’est Jean-Marc et Jean-Paul. L’un a une Ferrari et l’autre une vielle R5.
Le propriétaire de la R5 propose à son pote de monter dans la voiture.
Il frotte le volant et un génie apparaît :
« Génie, je veux un verre de thé pour moi et mon ami » et le génie s’exécute.
Stupéfait, Jean-Marc lui propose d’échanger sa Ferrari contre sa voiture.
Arrivé devant chez lui avec la R5, il klaxonne sa femme qui ne comprend pas de voir son mari dans une vielle voiture. Il lui dit :
« Monte, ne t’inquiète pas, tu vas voir la bonne affaire que j’ai faite ! »
Là, il frotte le volant et dit au génie :
« Je veux un sac de bijoux pour ma femme. »
Là, le génie lui répond :
« Désolé, je ne sais faire que le thé… »
 
Jean-Marc s’adresse à sa copine :
« – On va vraiment pouvoir se la couler douce ce soir, j’ai pris trois places pour le théâtre !
– Ben, on n’a pas besoin de 3 places, deux suffisent, non ?
– Mais non, une place pour ton père, une pour ta mère et une pour ta petite sœur ! »
 
Jean-Marc marche dans la rue et hèle un taxi.
Ce dernier s’arrête immédiatement. Jean-Marc monte dans la voiture, et le chauffeur lui dit  immédiatement :
« – Quel parfait timing. Vous êtes vraiment comme Roger vous.
– Qui ça ?
– Roger. C’est un type qui faisait tout bien. Comme vous à l’instant. Vous avez levé la main pour avoir un taxi, et hop, me voilà qui arrive. Vous n’avez pas eu à attendre une seconde. Avec Roger, ça se serait passé pareil !
– Oh… Il y a toujours quelques nuages dans le ciel. Personne n’est parfait.
– Ah mais non. Pas pour Roger. C’était un sportif formidable. Il aurait pu jouer dans le circuit pro au tennis. Il pouvait rivaliser avec Tiger Woods au golf. Il a aussi fait baryton à l’opéra, et a même failli faire danseur étoile à l’Opéra de Paris.
– Ce n’est pas possible, vous me charriez ?
– Il avait une mémoire d’éléphant. Il pouvait se rappeler l’anniversaire de n’importe qui. Il connaissait tout sur le vin, et il savait avec quelle fourchette on devait manger tel plat. Et ce n’est pas tout. C’était un excellent bricoleur. Il pouvait tout réparer.
– Ce n’est pas comme moi. Moi, je change un fusible et paf, tout le quartier est dans le noir ! Pas étonnant que vous ayez toujours ce Roger à l’esprit.
– Ouais, mais vous savez, je ne l’ai jamais rencontré ce Roger !
– Alors comment en savez-vous autant sur lui ?
– J’ai épousé sa veuve. »
 
Une histoire vraie ?
Un avocat de la ville de Charlotte (Caroline du Nord) aurait acheté une boîte de 24 cigares très rares et très chers et les a ensuite assurés contre le feu entre autres. Dans le mois qui suivit, ayant consommé son entière réserve de cigares et après avoir payé la prime d’assurance, l’avocat envoya une réclamation à sa compagnie d’assurance.
Dans sa réclamation, l’avocat indiqua que les cigares avaient été « perdus dans une série de petits incendies ». La compagnie d’assurance refusa de payer en citant la raison évidente : L’homme avait consommé les cigares de façon normale. L’avocat intenta une poursuite.
ET LA GAGNA !
En délivrant son verdict le juge fut d’accord avec la compagnie d’assurance que la réclamation était de nature tout à fait frivole.
Le juge indiqua cependant que l’avocat détenait une police de la compagnie qui garantissait que les cigares étaient assurés et que ces derniers étaient absolument protégés contre le feu sans définir ce qui constituait un incendie « acceptable ».
Le juge déclara donc la compagnie dans l’obligation de rembourser l’avocat.
Au lieu d’avoir à endurer des procédures d’appel longues et coûteuses, la compagnie d’assurance accepta le jugement et paya donc 15.000 dollars à l’avocat pour sa perte de ses précieux cigares dû aux regrettables incendies !
Mais une fois que l’avocat eut encaissé le chèque, la compagnie d’assurance le fit arrêter pour 24 chefs d’accusation d’INCENDIES CRIMINELS !
Avec sa propre réclamation d’assurance ainsi que son témoignage du procès utilisés contre lui, l’avocat fut accusé d’avoir volontairement incendié une propriété assurée afin de toucher le montant d’assurance.
Il fut condamné à 24 mois de prison ainsi qu’à une amende de 24.000 dollars.
Une histoire vraie qui mérita la première place aux « Criminal Lawyers Award ».
 
Une petite revenue (rapidement) :
L’institutrice explique la relativité des choses, et de la propriété.
Julie lève le doigt :
« Moi madame, mon papa il a tout : La télé, le magnétoscope, le DVD… »
La maîtresse :
« – Oui, mais est-ce qu’il a un bateau ?
– Euh…, non !
– Alors tu vois, c’est bien ce que je disais, on ne peut pas tout avoir.
– Moi », dit Jean-Marc, « mon papa il a tout : La télé, le magnétoscope, le DVD, un bateau.
– Oui, mais est-ce qu’il a un avion ?
– Euh… Non !
– Eh bien, tu vois, on ne peut pas tout avoir. »
Jean-Paul lève le doigt et dit :
« Moi, madame, mon papa il a tout. La preuve, quand samedi ma grande sœur lui a présenté son petit ami Mohamed, papa il a dit : « Il nous manquait juste ça ! ».
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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