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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 6 octobre 2017

Collecte de l’été 2017 (2)


Je n’ai pas chômé…
 
Un curé de campagne se fait voler sa bicyclette.
Alors il dit à son bedeau :
« Dimanche je vais réciter les 10 commandements de Dieu et pendant ce temps tu regarderas les visages des gens dans l’église et tu trouveras le voleur. »
Alors le dimanche suivant le curé commence à réciter les commandements et à un moment le curé arrête la récitation avant la fin.
Après la messe le bedeau va voir le curé et lui demande pourquoi il avait arrêté avant la fin ?
Et le curé de lui rétorquer un peu gêné :
« C’est que… Rendu au « l’œuvre de chair ne désirera qu’en mariage seulement », je me suis souvenu où j’avais laissé ma bicyclette. »
 
La petite Germaine déménage à la campagne et achète un âne à un vieux fermier pour 1.000 euros. Le fermier doit livrer l’âne le lendemain mais justement, le lendemain…
« – Désolé ma petite dame, mais j’ai une mauvaise nouvelle pour vous : L’âne est mort cette nuit.
– Bien alors, rendez-moi mon argent.
– Je ne peux pas faire ça. Je l’ai déjà tout dépensé…
– OK alors, vous n’avez qu’à m’apporter l’âne.
– Qu’est-ce que tu vas faire avec?
– Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola.
– Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
– Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu’il est mort. »
Dans sa situation, le fermier se dit qu’il ne peut pas vraiment refuser.
Il apporte le cadavre de l’âne à la petite Germaine.
Un mois plus tard, il revient la voir :
« – Qu’est devenu mon âne mort ?
– Comme je l’ai dit, je l’ai fait tirer au sort à la tombola du village. J’ai vendu 700 billets à 2 euros. Ça m’a fait une recette de 1.400 €.
– Et personne ne s’est plaint ?
– Si. Mais seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros. »
(Notez qu’à une époque reculée, j’avais un pote dans le Loiret qui avait gagné un cochon mort : On a été prié d’aller chez lui pour une rillette-saucisse-party gigantesque… !)
 
Un jeune novice arrive au monastère.
La tâche qui lui est assignée est d’aider les autres moines à recopier les anciens canons et règles de l’église.
Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et non des manuscrits originaux.
Il va voir le père-abbé, lui faisant remarquer que si quelqu’un a fait une petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les copies ultérieures.
Le père-abbé lui répond :
« Cela fait des siècles que nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta remarque est bonne, mon fils. »
Le lendemain matin, le père-abbé descend dans les profondeurs du sous-sol du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement conservés les manuscrits et parchemins originaux.
Cela fait des siècles que personne n’y a mis les pieds et que les scellés des coffres sont intacts.
Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans donner signe de vie.
Les heures passent et l’inquiétude grandit.
À tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe.
Il descend et trouve le père abbé complètement hagard, les vêtements déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur de pierres vénérables.
Le jeune moine se précipite et demande :
« – Père-abbé, que se passe-t-il donc ?
– C’est pas chasteté dans l’original, c’est charité ! »
 
C’est un psychiatre qui fait une tournée dans un asile, en passant devant une chambre, avec un confrère, il y avait un monsieur qui pleurait à en fendre l’âme et criait :
« Rose ! Rose ! « Ma » Rose ! »
Le Psy demande à son confrère :
« Qu’a-t-il ce pauvre homme ? »
Son confrère répond :
« Étant jeune, il a fréquenté une femme nommée Rose… Elle l’a quitté un jour pour épouser un autre homme et il est comme ça depuis ce temps… »
La visite continue… Plusieurs chambres plus loin, un autre monsieur criait et sacrait :
« – *#&!*#%*& ! de Rose ! Rose ! Espèce de *&#*?&#*&?% de Rose !
– Et celui ci, qu’a-t-il ?
– Oh ! Justement, c’est lui qui a épousé Rose ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul profitent de leurs vacances pour se rendre à Chamonix et tenter une ascension difficile.
Malheureusement, lorsqu’ils arrivent, la tempête est telle qu’ils sont contraints de se réfugier dans le premier chalet venu.
Coup de chance, la maison est splendide.
Mais la jolie femme qui les accueille leur précise aussitôt :
« Je suis veuve, vous comprenez que je ne peux pas me permettre de vous laisser passer la nuit chez moi. Les voisins jaseraient… »
Jean-Marc répond :
« Pas de problème, nous passerons la nuit dans la grange si vous nous y autorisez. »
Elle acquiesça et il en fut ainsi.
Neuf mois plus tard, Jean-Paul passe un coup de fil à son ami Jean-Marc :
« – Jean-Marc, tu te souviens de cette nuit à la montagne où nous avions du dormir dans la grange ?
– Ouais… Je me souviens.
– Tu te rappelles de la jolie maîtresse de maison qui nous avait accueillis…
– Ouais…
 – Par le plus grand des hasards, tu ne te serais pas levé pendant que je dormais pour aller rejoindre cette femme dans son lit ?
– J’ai bien peur que si….
– Et tu ne lui aurais pas dit que tu t’appelais Jean-Paul et non pas Jean-Marc ?
– J’ai bien peur que si… » répondit-il, rouge de confusion.
« Eh bien je te remercie car elle vient de mourir et de me léguer toute sa fortune ! »
 
Un aveugle entre par erreur dans un bar rempli de femmes.
Il réussit à se rendre au comptoir où il s’installe et commande une bière.
Après un moment, pour tenter de se faire des amis, il crie vers la serveuse :
« – Hé, tu aimerais entendre une blague sur les blondes ? »
D’un coup, le bar devient tout à fait silencieux. Puis, d’une grosse voix profonde, la femme assise près de l’aveugle s’adresse à lui et dit :
« – Petit monsieur, avant que tu t’y mettes, laisse-moi t’apprendre quelque chose :
1 – La serveuse est blonde ;
2 – La danseuse est blonde ;
3 – Je mesure 1,80 m, pèse 85 kg, je suis ceinture noire de karaté… et je suis blonde…
4 – La femme assise à côté de moi est blonde aussi et c’est une pro de la lutte ;
5 – La femme de l’autre côté du bar est une blonde championne de poids et haltères.
Maintenant, penses-y sérieusement, Monsieur. Veux-tu toujours raconter ta blague ? »
Alors, l’aveugle répond :
« Naaan… Pas si je dois l’expliquer cinq fois ! »
 
Une bande de gars travaille sur un chantier et mange ensemble avec le contremaître qui chaque midi leur raconte des histoires d’en rire.
Et toute l’équipe rigole comme des fous.
Un bon midi, il y en a un qui ne rit jamais, le contremaître lui demande alors pourquoi ?
Et le gars lui répond :
« Oh, dans mon cas ce n’est pas nécessaire… Je ne travaille pas pour toi, moi… »
 
Deux gars fauchés sont en manque de bière.
Le premier dit à l’autre :
« J’ai une idée. Puisque l’on a que 2 euros pour nous deux et que c’est trop peu pour aller dans les bars, on va aller acheter un hot-dog au coin de la rue… »
Le deuxième gars ne comprend pas bien la technique mais il laisse faire.
Une fois la saucisse achetée, le premier tire le second dans le bar le plus proche.
Là, ils commandent plusieurs verres qu’ils descendent promptement.
Lorsque le barman arrive dans leur direction avec l’addition, le premier prend la saucisse, la glisse dans la braguette du second et entreprend de simuler une fellation de la saucisse !
Le barman est furibond :
« Tirez-vous de mon bar, espèces de dégénérés ! » et il les jette hors du bar.
Voyant que la technique a fonctionné dans le premier bar, les deux compères pénètrent dans le deuxième bar le plus proche et répètent le scénario…
Toujours avec le même succès.
Quelques heures et une dizaine bars plus tard, ils ne peuvent plus faire un pas tellement ils sont pleins, et ils s’écroulent sur un banc.
À ce moment-là, le premier dit au second :
« – Tu as vu ce qu’on peut faire avec une saucisse ?
– Quelle saucisse ? On l’a perdue après le premier bar… »
 
À Bagdad, un journaliste français est pris d’une soudaine envie de faire pipi.
Il fausse compagnie à son équipe dans l’espoir de trouver un coin tranquille pour se soulager la vessie, mais aucune toilette publique à l’horizon.
Après avoir cherché et cherché encore, il se résout à uriner contre le mur d’un bâtiment.
Il vient à peine d’ouvrir sa braguette lorsqu’un policier irakien arrive en courant et l’interrompt :
« Qu’est-ce que vous alliez faire ? » demande le policier dans un anglais déformé…
« Il faut que je fasse pipi… », répond le journaliste le souffle court.
« C’est interdit d’uriner ici. Suivez-moi ! »
Le policier le prend par le bras et le conduit sur un parterre de fleurs qui fait face à une énorme bâtisse gardée par des militaires en tenue.
« Voilà, ici, vous pouvez faire pipi ! »
Le journaliste hausse les épaules et fait son affaire rapidement sur les fleurs.
« – Ahhhh, ça fait du bien. Merci. C’est très gentil de votre part de m’avoir amené jusqu’ici. Je suppose que c’est ça qu’on appelle l’amabilité irakienne ?
– Non. Ça c’est ce qu’on appelle l’ambassade américaine. »
 
Jean-Marc et sa femme sont sur le parcours de golf en train de disputer le septième trou.
Soudain, l’épouse s’écroule par terre, foudroyée par une attaque cardiaque.
« Chéri, chéri », implore-t-elle son mari, « va chercher un médecin, vite ! »
Jean-Marc part en courant et en criant :
« À l’aide, un médecin, vite ! »
Un bon quart d’heure plus tard, il est de retour.
Il ramasse son club et se met en position pour lancer la balle.
Sa femme, encore couchée sur le sol, lève la tête et lui dit :
« – Non mais, c’est pas vrai… Je suis en train de mourir et toi, tu vas jouer ?
– Ne t’en fais pas chérie. J’ai trouvé un docteur sur le deuxième trou qui m’a dit qu’il allait venir te secourir.
– Sur le deuxième trou ? Mais bon sang, quand va-t-il arriver ?
– Hé! Je t’ai dit de ne pas t’en faire », répond Jean-Marc tout en armant son swing…
« Là-bas, tout le monde était d’accord pour le laisser jouer d’abord. »
 
Les conséquences possibles de boire seul une bouteille de 3 litres :
– Peut-être la cause principale des danses qui nous ridiculisent.
– Peut nous laisser croire que nos ex se languissent d’entendre notre voix à 4 heures du matin.
– Peut nous faire répéter la même histoire encore et encore, jusqu’à ce que nos amis veuillent nous péter la gueule.
– Peut nous causer un défaut du langage qui nous fait ch’exchprimer comme cha.
– Peut nous faire dire à notre patron ce que l’on pense réellement de lui pendant qu’on se photocopie les fesses durant le party de noël.
– Peut nous faire perdre nos sous-vêtements sans s’en rendre compte.
– Peut nous faire se réveiller un bon matin avec quelque chose d’horrible à nos côtés sans en connaître ni le nom ni le prénom.
– Est la cause principale des éraflures et ecchymoses inconnues au visage.
– Peut nous donner l’illusion d’être plus fort, plus beau, plus intelligent devant un motard très musclé surnommé « Le Tueur ».
– Peut nous faire croire que les gens rient « avec » nous.
 
« – Quel est le poisson le plus stupide ?
– La sardine ! Elle s’enferme dans une boîte et laisse la clé dehors. »
 
« – La différence entre un caniche qui te pisse dessus et un pitbull qui te pisse dessus ?
– Le pitbull, tu le laisses finir. »
 
Les revenues :
 
C’est un « cad’sup » qui ouvre la porte de sa BMW lorsqu’un camion arrive brusquement et arrache la portière de sa voiture.
Le policier se rendant sur la scène de l’accident voit le BCBG affolé, se plaignant amèrement des dommages causés à sa dispendieuse voiture :
« Regardez ce qu’ils ont fait à ma Bé-êêême ! » gémit-il.
Le policier lui répond sèchement :
« – Vous les snobs, vous êtes tellement matérialistes que cela me rend malade ! Vous pensez tellement à votre « Béé-êêême » que vous ne vous rendez pas compte que votre bras gauche a été sectionné !
– NOOOOONNNNN ! » Hurle le bonhomme en voyant son bout de bras ensanglanté…
« Où est ma Rôôô-LEX ? »
 
Une petite fille demande à sa mère :
« – Maman, comment l’espèce humaine est-elle apparue ?
– Dieu fit Adam et Ève et ils eurent des enfants. C’est ainsi que l’espèce humaine est apparue. »
Deux jours plus tard, la petite fille pose la même question à son père.
« Bien, il y a très longtemps existaient les singes. Au fil des années ils se transformèrent pour devenir des hommes. C’est ainsi qu’est apparue l’espèce humaine. »
Confuse, la petite fille retourne voir sa mère :
« – Maman comment se fait-il que tu m’aies dit que l’espèce humaine a été créée par Dieu et que papa m’affirme qu’elle vient du singe ?
– C’est que moi je t’ai parlé de l’origine de ma famille et ton père de la sienne ! »
 
Une femme se rend au bureau du journal local pour faire publier l’annonce de son mari qui vient de décéder.
Le responsable dit :
« Pour placer une annonce, il y a des frais de 0,50 € par mot. »
La dame réfléchit un peu et dit :
« D’accord, dans ce cas, inscrivez ceci : « Décédé : Fred Leblanc. » »
Le responsable, amusé par la tentative d’économie de la dame, rajoute :
« – Chaque annonce doit avoir au minimum 8 mots !
– Oh ! Dans ce cas, inscrivez : « Décédé : Fred Leblanc. Clubs de golf à vendre. » »
 
Merci encore à toutes et à tous !
Bon week-end !
 
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