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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 septembre 2017

Collection d’automne


Relevées pour vous !

Jean-Marc s’attable dans une brasserie.
La serveuse s’approche. Le gars passe sa commande et lui demande :
« – Pourquoi la ligne rouge tracée à environ 20 cm du bord de la table ?
– Ça c’est passé hier alors que j’ai pris un pari avec un client qui affirmait avoir le pénis me plus long du monde… J’ai donc tracé une marque avec mon rouge à lèvres pour indiquer où terminait son pénis.
– Le mien est plus long. Tu veux voir ?
– Attention, lui il était de l’autre côté de la table ! »

Les gosses de Jean-Marc sont alors âgés de huit et dix ans. De vrais espiègles qui n’ont peur de rien. Ils ont fait à peu près tous les coups pendables imaginables de la région.
Les parents les ont puni autant comme autant, mais c’était peine perdue.
Ils demandent alors l’aide du curé.
Le plus jeune se présente au presbytère.
Le curé le fait s’asseoir et attaque immédiatement.
« Où est Dieu ? »
Aucune réponse.
« Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il ? »
Toujours le silence.
Le curé exaspéré, prend sa grosse voix.
« Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu ? Répond ! »
Le jeune se lève alors et part en courant.
Comme un fou.
Sans jamais se retourner.
Il file jusqu’à la maison.
Il pousse la porte, monte dans la chambre de son frère, le prend par le bras, le tire contre un mur, ferme la porte de la chambre et, à bout de souffle, lui dit :
« On est dans la merde. Ils ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c’est nous autres qui l’avons piqué ! »

Un nain rencontre un géant dans un ascenseur :
« – Wow t’es grand, toi !
– J’mesure 2,05 m, j’pèse 120 kg, j’ai un pénis de 23 cm, je suis catcheur et j’m’appelle Thunderbar. »
Le nain s’évanouit.
Le géant lui donne 2-3 claques pour le réanimer et dit :
« – Hé réveilles toi. C’est moi, Thunderbar, t’es tombé sans connaissance.
– Ahh ! Ouf ! J’avais compris « tourne de bord ». »

Jacqueline avait une passion folle pour le cassoulet au lard.
Elle en mangeait souvent, causant, malheureusement, toujours une réaction très gênante.
Elle rencontre Jean-Paul et en tombe amoureuse.
Ils vont se marier.
Elle se dit que c’est un homme tellement gentil et si bien élevé qu’il ne pourrait supporter bien longtemps ses flatulences.
Alors, elle fait un sacrifice suprême et abandonne le cassoulet au lard.
Quelques mois plus tard, son auto tombe en panne au retour du travail.
Elle appelle son mari pour lui raconter son histoire et le prévenir qu’elle sera en retard.
Sur le chemin du retour elle passe devant un petit restaurant.
L’odeur du cassoulet mitonné au lard est si forte qu’elle ne peut résister.
Elle entre et englouti assiette de cassoulet au lard.
Sur le chemin du retour, son arrière-train en avait long à dire, et, à l’arrivée, elle était certaine de pouvoir se contrôler.
En entrant à la maison, Jean-Paul l’embrasse et lui dit :
« Chérie, j’ai une surprise pour toi ! Je vais te mettre un bandeau sur les yeux et tu dois me promettre de ne pas y toucher. »
Il lui prend la main et la conduit à la table, dans la salle à manger.
Le téléphone sonne.
« Attends, je vais répondre, mais ne touche pas à ton bandeau ! »
Sauf que l’effet des fayots l’affecte toujours, et la pression devient insupportable.
Elle profite alors du fait Jean-Paul n’est pas là pour lever une jambe délicatement et laisse échapper un « pfouittt » sonore.
Malheur, c’est une vraie trompette et l’odeur fait penser à celle d’un camion de fumier.
Elle prend une serviette, l’utilise comme un éventail, et chasse vigoureusement l’air.
Ensuite, elle lève l’autre cuisse, et en échappe trois autres qui sentent l’étable.
La conversation de son mari est longue, et elle en échappe d’autres.
C’est horrible !
Son mari raccroche et, en entrant dans la salle à manger, lui demande si elle a triché.
« Non, non, juré ! » dit-elle en riant.
« Bien ! Maintenant, il est temps : Je vais enlever ton bandeau. »
Il s’approche, lui enlève le bandeau…
SURPRISE !!!!! Lancent les 12 invités.
« BONNE FÊTE ! »
(Ça vaut bien celle de l’anniversaire de Jean-Marc invité par sa secrétaire qui lui demande de se mettre à l’aise chez elle…)

Pendant une party à la campagne, une jeune veuve remarque un homme seul et tente de se renseigner sur son compte.
Elle apprend ainsi qu’il s’agit d’un riche fermier du cru resté vieux garçon.
Ses parents sont morts et il ne s’est jamais marié.
La voilà qui ne fait ni une ni deux et s’approche du bonhomme.
« Il y a un moment que je vous observe, et vous ressemblez à s’y méprendre à mon deuxième mari ! Deux gouttes d’eaux. »
L’homme sourit et lui demande :
« – Il est ici votre deuxième mari ?
– Non. Je ne suis pas encore remariée. »

Jean-Marc attend à un feu rouge au volant de sa décapotable.
Arrive un gros motard sur grosse Harley Davidson.
Jean-Marc regarde le motard qui est en train de se gratter le casque.
Il lui dit alors :
« – Hey, tu es en train de te gratter la tête sans enlever ton casque.
– Et alors ? T’enlèves-tu ton slip quand tu te grattes les fesses ? »

« Ma femme est une menteuse ! » s’exclame Jean-Paul en colère devant toute l’assemblée réunie dans le bar.
« Et qu’est-ce qui te fait dire ça ? » demande Jean-Marc.
« – Elle n’est pas rentrée à la maison hier soir et quand je lui ai demandé où elle était, elle m’a dit qu’elle avait passé la soirée chez sa sœur.
– Et alors ?
– Et alors, elle ment ! J’AI passé la nuit avec sa sœur. »

Jean-Marc entre dans une bibliothèque et demande à la préposée :
« – Madame, pouvez-vous m’aider à chercher un livre ?
– Certainement, monsieur, lequel ?
– « L’homme, le sexe fort », écrit par Gustave De St-Cyprière…
– Les livres de science-fiction sont au sous-sol, monsieur. »

Jean-Marc rencontre une femme dans une discothèque.
Il l’invite à danser.
Il commence à lui caresser les bras et la trouve douce.
Il lui demande alors :
« – Est-ce rasé ou épilé ?
– Épilé. »
Ils continuent de danser, et Jean-Marc faufile une main sous le bras de la femme et lui demande :
« – Est-ce rasé ou épilé ?
– Rasé. »
Un peu plus tard ils se retrouvent à l’hôtel et la femme se met nue, Jean-Marc en la voyant lui demanda encore une question :
« – Est-ce rasé ou épilé ?
– Ni l’un ni l’autre, c’est usé ! »

Un chirurgien cardiaque va dans un garage pour y faire réparer sa voiture, quand soudain le mécano lui dit :
« Hé doc ! On fait à peu près le même travail. On remplace des moteurs, change des valves et de la tuyauterie. On vérifie la circulation, la pression, etc. Et pourtant, vous faites cinq fois mon salaire, y’a pas à dire franchement… »
Et le chirurgien de lui répondre :
« Ouais, y’a pas à dire… Mais essayez donc de faire tout ce travail avec le moteur en marche. »

Un fils de banquier dit à son père :
« – Papa, prête-moi 20 euros, mais ne m’en donnes que 10.
– Pourquoi, mon garçon ?
– Comme ça tu me devras 10 euros, je te devrai 10 euros et nous serons quittes. »

Les enfants attendent en ligne pour dîner dans la cafétéria d’une école catholique élémentaire.
Au bout de la table, il y a une grosse pile de pommes.
La religieuse y a placé une note sur le plateau de pommes disant :
« N’en prenez qu’une seule, Dieu vous surveille. »
En avançant plus loin le long du comptoir de nourriture, ils voient, à l’autre bout une grosse pile de biscuits aux brisures de chocolat.
Et là il y avait une note griffonnée par une main d’enfant :
« Prenez-en tant que vous voulez, Dieu est occupé à surveiller les pommes ! »

Jean-Marc entre à la maison, furieux :
« Maudite vache, je sais tout ! »
Sa femme qui lit le journal, lève les yeux :
« Ah oui ? Qu’elle est la hauteur du Mont Everest ? »

« – Pauvre vieux, c’est fou ce que tu peux ressembler à ma femme… Sans la moustache, bien entendu.
– Mais je n’ai pas de moustache.
– Mais oui, je sais, mais elle en a une. »

« En somme », demande le journaliste à une femme d’affaires multimillionnaire, « qu’est-ce que l’argent vous a apporté de plus satisfaisant ? »
Et madame de répondre : « Mon mari a cessé de me dire que je ne connaissais rien à la finance. »

Jean-Marc frappe à la porte d’un bordel.
À travers une petite fenêtre dans la porte, la madame dit :
« – Qu’est-ce que je peux faire pour vous, Monsieur ?
– J’aimerais me faire baiser.
– C’est un club privé. Pour entrer, vous devez glisser cent euros sous la porte. »
Jean-Marc s’exécute, mais la porte reste fermée.
Il sonne.
« – Que voulez-vous ?
– Ben, je vous l’ai dit, me faire baiser.
– Comment ça ? Encore ? »

« – Pourquoi les hommes ont le cerveau de la grosseur d’un pois ?
– Parce qu’il est enflé ! »

La définition d’un macho :
Après une fellation, le gars demande à la fille :
« Alors ? Heureuse ? »

« – Quand Pinocchio a-t-il découvert qu’il était en bois ?
– En se masturbant. Il a failli prendre en feu ! »

« – Qu’est qui fait le désespoir d’un mathématicien ?
– Trouver un tiers sur le quart (corps) de sa moitié. »

Bonne fin de semaine à toutes et à tous !

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