Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 septembre 2017

Collection d’automne : Suite !


On commence par quelques « revenues »

Je rappelle pour les « béotiens » qui passeraient par hasard sur ce blog pour la première fois (alors que la rubrique des « Histoire d’en rire » existe depuis l’origine tous les vendredis des semaines qui passent), parce que vous avez bien le droit de rigoler un peu après la semaine d’enfer que vous venez de passer, qu’une « revenue », c’est une blague qui a déjà été publiée sur ledit blog (même rubrique).
Elle est partie sur le Web, a fait le tour du monde, parfois plusieurs fois, et m’est « revenue », transformée, améliorée, enrichie.
Comme ça reste drôle, je vous en fais part.

C’est Jean-Marc qui rêvait depuis toujours de monter en avion. Un beau jour, il se rend à l’aéro-club le plus proche et trouve un pilote :
« – Bonjour. Voilà, je voudrais faire un baptême de l’air car c’est mon rêve depuis que je suis gamin. Mais attention, je veux des émotions, pas juste le petit tour pour les touristes.
– Pas de problème. »
Sur ce, ils montent dans l’avion, un petit coucou pour faire des acrobaties et décollent.
Le pilote commence par des figures simples : Une petite vrille, une descente en piqué, un peu de rase-mottes. Derrière lui, il entend son passager dire :
« Ça, je m’y attendais ! »
Le pilote se dit : Monsieur est un dur à cuire, on va corser un peu les choses !
Et il enchaîne les figurent : Descente en piqué, un looping, deux loopings, trois loopings, il aperçoit un petit pont au-dessus d’un ruisseau, qu’à cela ne tienne, il passe dessous avec l’avion.
Après cette série, il entend à nouveau son passager dire :
« Ça aussi, je m’y attendais ! »
Le pilote décide alors de sortir le grand jeu : Il coupe les gaz en plein vol, laisse l’avion tourbillonner en vrille, remet les gaz enchaîne plusieurs loopings, puis à nouveau des vrilles, retourne l’avion avec une série de tonneaux et vole sur le dos.
À ce moment-là, alors que le pilote en est à ses propres limites, il entend l’autre dire :
« Ah ! Là… J’aurais pas cru ! »
Et, satisfait, ils finissent par atterrir.
« – Ben dites donc, pour quelqu’un qui monte pour la première fois en avion, vous n’avez pas peur. Je vous entendais dire « Je m’y attendais ».
– C’est à dire que vous n’avez pas tout compris. La première fois, quand j’ai dit « Je m’y attendais », c’est que je venais de chier dans mon froc. La deuxième fois, c’était quand je venais de remettre ça, mais quand l’avion était sur le dos et que c’est remonté jusque dans mon col, alors là, j’aurais pas cru. »

La revenue de l’été dernier :
Dieu, une femme, décide que la fin du monde aura lieu dans deux jours. Elle appelle les grands chefs d’États et le leur annonce.
Elle téléphone à Obama :
« Barack, c’est terminé. J’en ai marre. La fin du monde, c’est dans 2 jours ! »
Obama s’adresse alors à la nation sur tous les réseaux de télé américains :
« Peuple américain, j’ai deux mauvaises nouvelles ; Dieu est une femme et la fin du monde aura lieu dans 2 jours. »
Dieu appelle Poutine :
« Vladimir, j’en ai marre. La fin du monde sera dans 2 jours. »
Poutine s’adresse au peuple russe :
« J’ai deux mauvaises nouvelles ; il y a un dieu et la fin du monde est dans 2 jours. »
Dieu appelle Sarkozy :
« Nicolas, c’est terminé. Je n’en peux plus. La fin du monde aura lieu dans 2 jours. »
Sarkozy se précipite à la télévision et s’adresse à la population :
« Bon peuple gaulois, j’ai deux bonnes nouvelles à vous annoncer : Dieu me considère comme un grand chef d’État et François Hollande ne sera jamais élu ! »
Naturellement, vous connaissez la suite…

Notre bon pape meurt et arrive au ciel où Saint-Pierre le reçoit et l’amène visiter sa nouvelle demeure : Une petite chambre bien ordinaire.
Plus tard le bon pape entend du bruit qui vient de la chambre en face de la sienne.
Il cogne et demande au monsieur s’il peut visiter sa chambre qui est d’un luxe en dehors de l’ordinaire, vraiment un lieu à demeurer.
Quand il retourne pour voir St-Pierre, il lui demande pourquoi lui n’a qu’une petite chambre alors que le voisin d’en face a tout le luxe possible.
St-Pierre lui répond :
« Voyez-vous Saint-Père, ici le ciel est rempli de papes et nous n’avons qu’un seul avocat, alors nous devons faire attention à lui. »
(Dans l’originale, c’est un curé de campagne qui compare sa chambre avec la somptueuse suite d’un chauffard de conducteur de bus. Et Saint-Pierre d’expliquer qu’avec ce chauffeur-là, tous ses passagers passaient leur temps à prier durant leurs voyages, alors que dans l’église de campagne du curé…)

La scène se passe dans un restaurant du quartier des banques.
Soudain, un client se lève, et dit :
« – Mon Dieu, j’ai perdu mon porte-monnaie. J’offre 10 € à celui qui le trouve !
– J’en offre 15 € » surenchérit un banquier.
(Dans l’originale, ça s’est réellement passé à Calvi – Balagne, « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » –, au Rex, le bar des légionnaires situé en face du monument aux morts de la ville. Ce soir-là, soir de solde, tous passablement éméchés, il y en a un qui lance l’annonce ci-dessus… Il s’en est suivi une rixe qui a marqué les mémoires…)

Trois sœurs de 8, 10 et 12 ans se promènent dans le sous-bois près de la maison.
Soudain elles découvrent un couple d’amoureux qui s’étreint sur le tapis de mousse.
« Mais le monsieur est en train de la battre ! », dit la plus jeune interloquée.
« Non, ils font l’amour », réplique celle de dix ans.
« Et ils le font mal » conclue l’aînée.

Jean-Marc a organisé un pique-nique pour l’anniversaire de Jean-Paul, mais il a oublié d’inviter Jean-François.
Pris de remords, il l’invite à la dernière minute.
« Trop tard ! J’ai déjà prié pour qu’il y ait un gros orage. »

Ça se passe dans une petite ville de province.
Une grenouille de bénitier rencontre son curé après la messe dominicale.
« – Monsieur le curé, il faudrait faire quelque chose pour Madame Léger, vous savez, celle que son mari a laissé tomber avec trois enfants sur les bras, pour aller vivre avec une autre. Elle est misérable. En plus, elle n’arrive plus à payer son loyer.
– Hmmm, quelle tristesse. Je vais voir ce que la paroisse peut faire pour elle. De combien aurait-elle besoin ?
– Ben, je sais qu’elle a trois loyers de 600 € en retard. C’est ce qu’il faudrait lui avancer.
– 1.800 € C’est beaucoup ! Bon, Je vais essayer de mettre les fidèles à contribution. Après tout, un peu de charité chrétienne ne fera de mal à personne. Mais dites-moi, comment êtes-vous au courant des difficultés de Madame Léger ? Vous êtes une voisine, ou bien peut-être de sa famille ?
– Non, non, je suis sa propriétaire. »

Jean-Marc rentre chez lui après le travail.
Sa femme est sortie pour la soirée, il prépare son souper.
Après, il rince sa vaisselle et voit un mot sur le lave-vaisselle :
« PROPRE MAIS PAS VIDÉ ! »
Alors il vide le lave-vaisselle.
La soirée passe, puis il se prépare à aller se coucher.
Il va prendre sa douche, se couche dans le lit et se colle le papier sur le front.
« PROPRE MAIS PAS VIDÉ ! »

Jean-Paul fait l’amour à sa femme. Puis il allume la lampe et se tourne vers elle.
« – Est-ce que je t’ai fait mal ?
– Non ! Pourquoi tu me demandes ça ?
– Parce que tu as bougé. »

Deux gars toxicomanes, des vraies pestes, emmerdent tout le village avec leurs folies.
Par contre, ils assistent à la messe tous les dimanches, et donnent généreusement à la quête en espérant se racheter ainsi.
Un beau jour, un des deux frères meurt.
La veille des funérailles, le survivant visite le curé.
«   Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher, mais à une condition…
– Laquelle ?
– Il faudra dire, pendant l’office, que mon frère était un saint. »
Après réflexion, le curé donne son accord et encaisse le chèque.
Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
« Cet homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »
Le curé parle comme ça pendant plusieurs minutes… et termine par :
« Mais, en conclusion, comparé à son frère, cet homme était un saint ! Que Dieu ait son âme ! »

Allez, sans rancune aucune : Bon week-end à toutes et à tous !

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