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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 22 septembre 2017

Collection d’automne : Fin de série



Les immanquables de Jean-Marc

Et autres & diverses :

Jean-Marc se confesse au curé d’avoir fait l’amour avec cinq femmes en ligne la veille.
« – Comme pénitence, vous allez boire le jus de 5 citrons !
– C’est pour nettoyer l’intérieur ?
– NON ! C’est pour faire disparaître ton petit sourire qui m’agace ! »

« – Pour départager plusieurs prétendants de valeur égale », raconte le responsable de l’embauche dans une grande entreprise, « je leur propose un dessin représentant un homme sur une petite route barrée par un énorme rocher.
Ils doivent inscrire dans une bulle le commentaire que cela inspire à l’homme.
– En quoi est-ce déterminant ?
– J’élimine d’emblée ceux qui le font s’interroger : « Que fait cette pierre ici ? »
On le voit bien, ce qu’elle fait : Elle empêche d’avancer.
En revanche, j’accueille avec joie celui qui écrit, dans la bulle : « J’ai une idée pour la dégager ! » »

Jean-Marc part en voyage et dit à son fils aîné de 10 ans :
« Durant mon absence, c’est toi qui dois veiller au bien-être de la famille. »
Le soir venu, le fils dit à sa mère :
« – C’est bien moi qui remplace papa ?
– Oui mon fils.
– Alors ce soir, je peux coucher avec toi ? »
Un peu hésitante, la mère répond :
« – Euh… Oui.
– Comme tu fais avec papa, nous serons nus tous les deux ? »
La mère, très réticente, mais voulant savoir jusqu’où son fils voulait aller, acquiesça.
Une fois au lit, le fils dit :
« C’est bien moi le chef de famille et je peux te demander n’importe quoi »
La mère est inquiète, mais joue quand même le jeu. Alors elle répond : « Oui ! »
Alors, le gamin dit alors sur un air très solennel :
« QU’EST-CE QUE TU DIRAIS D’ACHETER UNE NOUVELLE BICYCLETTE AUX ENFANTS ? »

Trois chauffeurs d’autobus se rencontrent dans un café.
« – Alors Jean-Pierre t’as pris ta retraite ?
– Hé oui, après trente ans à conduire des autobus scolaires, j’en pouvais plus de supporter ces gamins criards et indisciplinés. Et toi Jean-Paul, toi aussi t’as décidé de prendre ta retraite.
– Ben oui, juste quinze ans, mais à conduire des handicapés… C’est dur sur le moral. Toi Jean-Marc as-tu pris ta retraite aussi ?
– Hé oui… Moi, les « Tamalou », j’en pouvais plus.
– Les « Tamalou » ? Mais …, nous pensions que tu travaillais dans un centre d’hébergement pour personnes âgées.
– C’est juste… Et à chaque voyage en autobus c’était toujours pareil : « Pis toi Gertrude  », t’as mal où ce matin ? » »

« – Maman, c’est quoi la différence entre exciter et énerver ?
– Quand j’ai connu ton père, il m’excitait, aujourd’hui… il m’énerve. »

« – Bonjour ! Je cherche un livre sur l’éducation des enfants.
– Désolé. Nous n’en avons plus madame.
– Ah non…
– Par contre, je peux vous en conseiller un autre.
– Allez-y !
– Comment se contrôler et ne jamais perdre patience. »

Un gros bonnet offre un voyage à la Martinique à son député.
« – Je ne peux pas accepter. Ça serait une tentative de corruption. Trop dangereux !
– Bon, et si je te le vends 50 €.
– Dans ce cas-là, j’en achète un autre pour ma maîtresse. »

Ça fait plusieurs fois que Jean-Marc passe devant une maison où on peut lire sur un écriteau : Danger ! Canari !
Un bon matin, sa curiosité le pousse à sonner à la porte.
« – Monsieur, excusez-moi de vous déranger, mais j’aimerais comprendre le sens de votre écriteau ?
– Simple. C’est le canari qui siffle le chien… »

Au cimetière, le vieux Chinois dépose un bol de riz devant la pierre tombale de sa femme.
Le jardinier du cimetière lui demande…
« – Vous croyez qu’elle va venir manger votre riz ?
– Et vous, vous pensez vraiment que les morts vont venir humer vos fleurs ? »

Jean-Marc, dans un supermarché, s’approche d’une très belle femme et lui dit :
« – J’ai perdu ma femme ici, dans ce supermarché. Puis-je discuter un petit moment avec vous ?
– Bien sûr, mais pourquoi ?
– C’est facile. Chaque fois que je parle à une jolie fille, ma femme réapparaît de nulle part ! »

Jean-Marc à Jean-Paul : « Un jour, ma femme m’appelle furieuse sur mon portable : Alors, vieux soûlard, où es-tu encore ?
Je lui réponds calmement :
Te souviens-tu de cette bijouterie où il y a très longtemps tu avais repéré une superbe bague sertie de diamants. Tu en étais tombée amoureuse et je t'avais dit : un jour elle sera à toi. À cette époque, je n'avais pas assez d'argent pour te l'offrir.
Ma femme émue, presque en sanglotant me dit :
Oh oui, mon amour, je me souviens !
Eh bien, je suis dans le bistrot, juste en face… »

Répondeur de Jean-Marc : « Bonjour laissez-nous votre message après le bip. Et si vous êtes bien pressé laissez le avant… »

Jean-Marc est invité chez des amis. Ses hôtes sont dans la cinquantaine, et viennent de fêter les noces d’argent.
Après le repas, pendant que madame prépare le café, Jean-Marc prend son hôte par le bras, et lui dit sur le ton de la confidence :
« – Dis donc, tu m’épates, après 25 années de mariage, tu continues à donner à ta femme des petits noms comme « Ma chérie », « Mon amour », « Mon bébé ». Vraiment je t’admire !
– Pour être honnête. J’ai oublié comment elle s’appelle. »

« – Ça va mal.
– Comment ça ?
– J’ai prêté 2.500 € à un gars pour qu’il puisse se faire remodeler le visage.
– Et alors…
– Je ne sais pas comment me faire rembourser. Je ne le reconnais plus ! »

Lundi à l’atelier, Jean-Marc se plaint à son collègue de travail :
« – J’en ai marre de ce monde d’individualistes. Personne n’est prêt à lever le petit doigt pour aider son prochain.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Regarde, ce week-end, mon beau-père est venu manger à la maison. Comme je dois réparer ma bagnole, je lui demande de me prêter 1.000 euros pour que je puisse la réparer et ce pourri a dit non.
– Je te préviens tout de suite ! Moi aussi je suis un pourri ! »

Trois petits vieux, Jean-Marc, Jean-Paul et Jean-Luc, sont assis au soleil sur un banc et parlent de leurs misères, comme tous les jours…
«  – Ah », dit le premier, « ce matin, quand j’ai monté les escaliers, j’ai dû m’arrêter toutes les trois marches pour souffler !
– Ah les jambes, les jambes… » se plaignent les trois petits vieux en cœur
« – Moi », dit le second, « je ne digère plus rien et hier soir j’ai mangé du poulet, ce matin quand je rotais ça sentait la basse-cour…
– Ah l’estomac, l’estomac… » se plaignent les trois petits vieux en cœur
« – Moi, hier soir », dit le troisième, « je me suis retourné vers la Fernande pour la lutiner un peu. Ben qu’est ce qu’y te prend qu’elle me dit, ça ne fait pas une heure qu’on a fait l’amour !
– Ah la mémoire, la mémoire… » se plaignent les trois petits vieux en cœur.

Bon week-end à toutes et à tous !

I3

2 commentaires:

  1. Que dites-vous de ceci, My Lord ?

    http://www.viedemerde.fr/article/la-candidature-post-mortem_243254.html

    Excellent week-end

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    1. Merci !
      Alors, toujours parmi nous à rechercher votre soulier perdu, Ô sublime Comtesse.
      J'en suis ravi, mais je ne suis pas encore Lord.
      Ca va venir... peut-être : On ne sait jamais !

      Excellente la VDM.

      Ceci dit, elle me rappelle celle du "Boss" qui meurt et à son éloge funèbre, le Dégé raconte à l'assistance venue aux obsèques que : "Avec sa disparition, on perd un patron exceptionnel et un excellent collaborateur".
      Le gars au dernier rang se tourne vers son voisin : "C'est qui l'excellent collaborateur qui est mort avec lui ?".

      Bien à vous et bon week-end à vous aussi !

      I-Cube

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