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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 20 septembre 2017

Alors, ça y est : Elle aura ses jeux !


Paris 2024…
 
C’était acté depuis la fin juillet, mais pour la forme – et le plaisir d’un déplacement à Lima – il aura fallu un siècle tout rond pour la « kapitale-lumière » de « Paris-sur-la-plage » accueille pour la troisième fois les jeux olympique d’été, même qu’elle en aurait fait la fête alors que Londres s’émouvait : On en parlait déjà lundi matin.
Mais après Londres et avant Los-Angeles…
Que je vous dise tout de l’immense fatuité de « Sœur-Âne » qui fait ainsi mieux que « De-la-nuée » : Par trois fois, la Mairie s’est faite recalée : 1992, 2008 et 2012 !
Un record.
Et pour cause.
 
1992, c’est Barcelone qui est retenue. Sur une série de sites absolument bien vus et un plan d’eau franchement idéal – ou presque.
Les JO, ça tourne. Il y a peut-être 5 anneaux olympiques représentants les 5 continents habités, mais il y a 3 secteurs « horaires ». Europe/Afrique ; les Amériques ; l’extrême orient/pacifique-ouest.
À tour de rôle pour l’attribution.
Il ne fallait donc rien espérer ni en 1996 (Atlanta) malgré le centenaire des jeux modernes sous l’impulsion du baron Pierre de Coubertin, ni 2000 (Sydney). On avait une chance en 2004. Ce fut Athènes et c’était un choix logique même si ça a mis la Grèce à genoux.
Dès lors, il n’y avait plus une hésitation à avoir : Ce ne serait ni 2008, ni 2012.
Et pourtant… 2012, ce fut Londres !
Les britanniques tenaient tellement à offrir les jeux à leur très gracieuse majesté pour son jubilé… Elle ne sera probablement plus là plus tard…
On « perturbait » le calendrier à cette occasion, juste pour faire échouer une candidature 2016 sur la Seine : Diantre !
Qui est allée logiquement à Rio, et 2020 ça sera effectivement – toujours dans la même logique – à Tokyo.
En conséquence de quoi, 2024 revenait au tiers de planète autour du méridien de Greenwich, excluant Boston aux USA côte-Est, Los Angeles, USA côte-ouest (qui sera retenue pour 2018 – de toute façon, ils n’étaient pas prêts et n’avaient pas trop de soutien « populaire » local).
Les jeux suivants seront donc sur le continent américain et ceux de 2032 probablement entre la côte-ouest du pacifique et l’océan indien.
C’est déjà acté, au moins pour partie.
 
Pour 2024, restaient Hambourg en « Teutonnie », mais suite à un référendum local de novembre 2015, la ville s’est retirée de la course.
Pas question de demander leur avis aux parigots, notez bien : La réponse aurait été la même que celle des « Teutons ».
Rome s’était portée officiellement candidate le 2 juillet 2015 et encore en septembre 2016.
Comme s’est devenue une ville « 5 étoiles », si le Comité national olympien italien dépose la 2ème partie du dossier de candidature auprès du CIO le 7 octobre, la ville, dans un élan de sagesse qu’il convient de saluer, se retire le 11 octobre dernier.
Autrement dit, la seule concurrence restante, c’était Budapest.
 
Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais mon « Boss-à-moi » m’a emmené faire un tour sur les traces de « Sissi l’impératrice » en décembre 2016, pour « renifler » (en fait un audit très sérieux) le sujet autour des handicaps et des atouts de la ville (et du pays). À l’époque, ils y croyaient fermement.
Nous, dès la descente de l’avion – enfin moi j’y suis allé par la route à travers l’Autriche – il y a de quoi déchanter. Ce n’est pas que la ville ne soit pas sublime – elle est franchement géniale pour des touristes, des officiels et des « journaleux » – mais du côté des sportif(ve)s, tout restait à faire.
Et rien que de remettre « à niveau » les infrastructures, il y en avait pour un paquet de pognon. Pas facile à assumer quand on est encore marqué par les occupations nazis et soviétiques et qu’on ne se compte que 6 millions, même s’ils étaient prêts à se précipiter dans la zone euro pour faire bon poids.
Depuis, ils temporisent pour ce qui est de l’Euro (alors que la candidature est excellente) et se sont retirés de la compétition JO-2024 en février 2017. Décision du conseil municipal, suite à la campagne du mouvement de jeunes militants, « Momentum », qui revendique la collecte de 266.000 signatures contre la candidature, soit presque le double du total nécessaire pour déclencher l’organisation d’un référendum local dans la ville de 1,7 million d’habitants.
Quant à Los Angeles, sa candidature est retirée le 31 juillet 2017, se positionnant pour les Jeux olympiques d'été de 2028, comme chacun sait.
 
Plus aucun concurrent à la candidature de Paris… Le CIO n’a fait que d’en prendre acte, rien de plus.
Comment disait l’autre ? « Il n’y a pas de gloire à vaincre sans péril » ?
Ou quelque chose comme ça…
En fait, c’est un « coup à trois bandes ».
L’héritière de « De-la-nuée » est en réalité sur la sellette. Si « Le Chi » s’était rendu populaire avec ses « crottinettes », elle est probablement devenue impopulaire avec ses embarras urbains et persiste à en rajouter, semble-t-il.
Je découvre Londres dans ses profondeurs, une ville bien plus peuplée et étendue que « Paris-sur-plage » et je reste étonné par la fluidité de la circulation. Pourtant il y a du monde – dense – sur les trottoirs et ailleurs, un système de péage « in centrum » et quelques embouteillages autour des « points-chauds » de la capitale administrative. Mais rien de plus et ça reste très « fluide » et agréable.
Si je me souviens bien, Paris est inaccessible en voiture et, qui plus est, il est impossible d’y stationner sans se faire racketter. Je n’ai pas encore compris comment faisaient les anglais qu’on ne sache pas faire ailleurs.
Mais ça va venir.
 
Il n’y a pas que ça : Successivement « Eau-brie-iste », « Haut-land-iste », et « anti-mak-ron-iste », « Sœur-Âne » est désormais cernée. Il y a non seulement cette bagarre perpétuelle entre l’État et la Ville, il y a ce racket permanent subi par la ville au profit de l’État – et des villes de pôvres –, la pression permanente de la Préfecture, de département, de région, de police, un manque cruel de foncier, des rénovations urbaines autant hasardeuses que coûteuses qu’il faut assumer et des dérives avec la Région tombée aux mains d’une « opposante ».
À part le « clientélisme-local » (familles de fonctionnaires territoriaux, emplois aidés, accès aux logements de la Ville à loyer plus que modéré), elle n’a plus aucun soutien politique.
Comble du comble, autant à la présidentielle qu’aux législatives, la population a voté « Mak-Rond »/Modem comme un seul homme !
Elle est finie (malgré son parfum que j’imagine toujours aussi envoutant).
« Sœur-Âne » n’a plus qu’un atout : La reconnaissance internationale. Présidente de ceci, présidente de cela, des villes innovantes, des villes-vertes, elle est en train de loupé la sortie du Brexit au profit de Francfort, il ne lui reste que les JO de 2024 et l’expo-universelle de 2025…
Et offrir à « Mak-Rond » d’espoir d’un piédestal jupitérien à l’occasion de son second mandat !
Vous avez compris pourquoi c’était important pour elle ?
 
Ce qui ne l’empêche pas de présenter une fois de plus du vent : Le projet Paris 2024 s’appuie sur 95 % de sites déjà existants pour un budget annoncé de 6,6 milliards d'euros.
Si je compte bien, 6,6 Md€ = 5 %, ça me paraît énorme, monumental !
Les seules réalisations nécessaires sont le stade aquatique qui doit être construit à côté du Stade de France et le village olympique qui sortira de terre à cheval sur trois communes en Seine-Saint-Denis.
Et qu’on vous annonce aussi que l’on va profiter de l’occasion pour devenir une « smart city ». Congestion, gestion des foules, développement durable, transports… la ville intelligente aidera la capitale à mieux gérer les Jeux olympiques de 2024 et à remplir les objectifs écololos qu’elle a fixés vous assure-t-on et tout cela sans augmenter les impôts locaux.
Moi, j’adore les utopies…
 
« Smart-city », c’est le cœur du projet qui consiste à mettre en œuvre différentes solutions qui doivent permettre « d’atténuer » les désagréments engendrés par la tenue des Jeux, d’assurer une meilleure gestion des foules ou encore d’atteindre les objectifs de développement durable fixés lors de la candidature.
Une décision qui remonte à 2016 demandant aux « start-up » de proposer leurs solutions. Et plus de 200 de celles-ci ont candidaté à l’appel d’innovation autour des grands thèmes : Le « smart sport », la « smart experience », la « smart city », la « smart mobility » et les « smart event ». Je vous le dis, j’adore !
La société Placemeter s’est imposée dans la catégorie « smart city ». « Cette start-up répond à un gros challenge de la candidature : démontrer comment on règle la question de la congestion générée par les Jeux ».
C’est vrai que les « parigots & franciliens » s’en foutent : Ils vivent avec.
La technologie de vision par ordinateur développée par Placemeter compte et différencie les voitures, vélos, motos, piétons et camions… L’analyse de ces données devrait permettre d’estimer et d’anticiper les flux de personnes, ainsi que de tester l’influence d’aménagements de l’espace public sur ces mouvements.
Géant, que j’en dis. Sauf qu’aujourd’hui, à part sur les autoroutes, les gares et les aérogares, personne ne sait faire de la prévision hors les trajets pendulaires.
 
Autre solution de gestion des foules sélectionnée, l’application d’appels d’urgence numériques Urgentix. Elle appelle les secours tout en géolocalisant immédiatement l’utilisateur, avant de lui proposer de filmer ce qu’il voit, permettant ainsi de mieux estimer la quantité de personnel à envoyer sur place.
Pourquoi, ils ne seraient pas « pré-positionnés » ?
Navya et ses navettes électriques autonomes se sont imposés dans la catégorie « smart mobility ». « L’idée est de les amener à faire évoluer leurs navettes vers une sorte d’hybride entre taxi et transport collectif », détaille-t-on.
Très drôle alors que les taxis-volants d’Uber vont envahir « la troisième dimension » dès bientôt sous peu…
La ville intelligente aidera aussi Paris à réaliser des Jeux à impact environnemental positif. « Nous voulons utiliser les JO pour initier une transition écologique ».
La chasse au véhicule personnel est ouverte : Il sera impossible d’en utiliser un pour se rendre aux JO, puisqu’aucune place de parking ne sera prévue à cet effet, sauf pour les athlètes et les personnes accréditées, qui se déplaceront uniquement en véhicules propres fournis par le partenaire Toyota. Et avec chauffeur : Uber et les taxis auront intérêt à se planquer !
Afin de faciliter le déplacement sans voiture, les tickets de transports en commun seront inclus dans les places pour assister à une compétition : C’est plus coûtatif et ça va faire rentrer du pognon dans le STIF (et la RATP) qui en a bien besoin avec son « Daβ Groβ Parisse ».
Le « Plan Vélo » de la Mairie de Paris sert également ces objectifs : Il prévoit la construction de nouvelles pistes cyclables connectant le Stade de France et le centre aquatique (Saint-Denis) au village olympique (Paris) et 10.000 places de stationnement de vélo supplémentaires…
Bon, pour aller jusqu’à Marseille, le site des épreuves nautiques, ça va faire un peu juste…
De toute façon, on en reviendra localement au « pousse-pousse » des années 40 : Vive le progrès !
 
On réfléchit encore à des « smart grids » afin de la réduire la consommation, les pertes d’eau. Engie planche notamment sur une boucle énergétique entre le Stade de France et le centre aquatique qui sera construit juste en face, à Saint-Denis. Équipé de panneaux solaires, le stade pourrait fournir en électricité le centre aquatique, ce qui « permettrait de le sortir de ce statut de bâtiment qui ne sert que 12 fois par an en lui donnant une utilité énergétique. »
Tiens donc : Un investissement déjà rentable sur 12 rencontres ? J’admire…
 
Bien entendu, avec tous ces partenariats public-privé il n’en coûtera absolument rien aux contribuables parigots, même si le seul village olympique devrait atteindre 1,3 milliard d’euros soit le double des crédits gelés dans le budget de l’armée cette année. Une bagatelle donc !
En échange, on aura de quoi loger les SDF… hors de la ville, donc !
Pour ce qui est du budget de fonctionnement des Jeux, il devrait tout de même ponctionner près de 1,5 milliard à la Ville de Paris, soit l’équivalent de presque 1.000 € par habitant.
Sans compter les suppléments versés par l’intermédiaire de la région financée aussi par les Parigots et les dépassements et autres imprévus.
 
Car il convient tout de même de se rapporter aux travaux de la Chambre régionale des Comptes d’Île-de-France, en date de 2016, qui détaille de façon précise la situation financière de la capitale. Quels que soient les dénis de la mairesse – jusqu’en 2020 –, la situation financière de la Ville s’est largement dégradée ces dernières années. « En 2015, la capacité de désendettement de la Ville devait correspondre à 13 ans d’épargne brute pour passer à 18 ans en 2017 avant de redescendre à 15 ans en 2018. » L’agence Standard & Poor’s, tout en conservant à la Ville son appréciation positive, a évalué quant à elle à 22 ans en 2017 sa capacité de désendettement, très au-dessus du seuil d’alerte traditionnel estimé à 12 ans, par référence à une durée moyenne de remboursement des emprunts.
Or, ce seuil d’alerte des finances territoriales à 12 ans de durée de désendettement est franchi allègrement depuis un moment, hors « JO-2024 ».
Personnellement, je plains le successeur de « Sœur-Âne »…
 
La Ville récuse la notion de seuil « d’alerte traditionnel » en invoquant, sans la documenter davantage en l’état, l’évolution profonde du rapport à la dette que l’on constate dans d’autres grandes métropoles mondiales.
Elle souligne également la prudence traditionnelle de ses prévisions budgétaires (cf. l’exécution du budget 2014 qui a totalement « merdé ») et l’importance de son patrimoine susceptible d’être mobilisé…
À condition de trouver preneur solvable.
Elle s’appuie aussi sur des ratios réglementaires, rappelant, outre la modération de son endettement par habitant (1.646 €), que, même si la dette parisienne, rapportée aux recettes de fonctionnement (51 % en 2014) atteignait 75 % en 2018, elle serait encore inférieure à la moyenne constatée (85 %) dans des plus grandes villes Gauloisiennes.
Certes : Tout le monde peut faire l’expérience qu’on est toujours moins bon – ou moins pire en l’occurrence – que d’autres.
Il n’y a jamais qu’un seul « major » et un seul « culot » dans n’importe qu’elle comparaison (qui ne fait pas raison).
 
Bref, les JO ne rapporteront pas un kopek à la Ville, même s’ils vont lui en coûter plus de 6 milliards. Sûr que personne n’avait intérêt à demander leur avis aux parigots, d’autant que l’exposition universelle de 2025 pourrait suivre, avec son cortège de surprises budgétaires.
En espérant toutefois un équilibre – ce qui serait une première dans l’histoire des JO : Même Londres 2012 a été déficitaire, quoiqu’on en prétende – ce qui n’est pas sûr, la ville est-elle si méconnue que ça dans le monde pour se payer un coup de pub à 6,6 milliards pour seulement deux fois 15 jours de mondovision ?
 
Le contribuable parigot se fera plumer une fois de plus et en beauté avec cette opération qui se traduira par encore plus de touristes dans les rues, une flambée des prix, des bousculades dans les transports en commun, une sur-fréquentation des musées et lieux de divertissement, encore plus d’embouteillages, une saturation des équipements et encore moins d’air pour respirer au jour le jour.
Alors qui gagne de l’argent dans cette opération ?
Bé, il faut faire la somme des recettes publicitaires que les grandes chaînes de télévision engrangent à l’occasion de la diffusion des Jeux (parce que bon, les hôtels et les restaurants font de toute façon le plein en juillet).
L’exemple de Rio ou de Londres permet d’illustrer le propos : Dans la pratique, NBC a perçu un milliard d’US$ de recettes publicitaires supplémentaires grâce aux jeux de Rio. Et on ne vous dit pas l’industrie des « produits dérivés ».
Autrement dit, le contribuable finance un événement qui profite à des acteurs privés, essentiellement des médias d’ailleurs. Tu mets 6,6 pour espérer récupérer un peu plus d’un : La bonne affaire !
 
Et le pire, mais personne ne le sait, c’est qu’on aura changé de maire à « Paris-sur-la-plage », « Sœur-Âne » virée pour cause d’avoir tellement éventré les chaussées et trottoirs. Celle-là, elle a beau dire, elle n’aime pas sa ville (et encore moins ses quartiers du XVème chic qu’elle habite quand elle peut).
En revenant de Budapest, je me suis dit que c’est là-bas qu’il faut l’envoyer : Pensez donc, sur les deux rives du Danube, il y a des quais piétons, des voies sur berge dans les deux sens de circulation, plus haut le tram, derrière des lignes de bus et enfin, on peut accéder aux pieds des premiers immeubles.
Elle te mettrait le boxon en deux temps et trois mouvements que ça serait extraordinaire : Au moins ça libérerait les parigots qui n’ont pas tous mérité tout ça, finalement.

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