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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 3 août 2017

Dans quel état vous allez le retrouver ?


Moi, je m’inquiète…

Indécrottable aoûtien, demain je ferme après avoir mis en ligne des dernières « histoires d’en rire » de la saison et les chapitres d’« Ultime récit » qui nous emmène jusqu’au début du mois de septembre.
Je ferme au sens propre et au sens figuré : Je vais regretter Venise, ses douceurs vespérales, sa riche vie nocturne et le joli chant de cette langue… J’ai passé les dossiers et le relai à mon successeur et je suis invité par mon « Boss-à-moi-même » à aller voir du côté de la City ce qu’il va y avoir à ramasser sur les ruines futures du Brexit…
Va même falloir que je me remette à l’English, après mettre esquinté le neurone à piger le « Rital ».
Du coup, je déménage « My sweet-Boat » en mer du Nord, dans le Suffolk qui veut bien l’accueillir, toujours en attente d’un anneau à Monaco.

Pour une situation fiscale intéressante : Salarié « détaché » du Rocher, je reste à la « séc-soc » monégasque et, toujours officiellement domicilié à Portoferraio, je ne serai imposable à l’Income-tax (qui est en principe une « retenue à la source ») – la « Council Tax » étant payée par mon boss – que sur mes revenus « entrants » en application du principe de la « remittance basis ».
En vertu de ce mode particulier d’imposition que je ne connaissais pas, les résidents fiscaux britanniques qui n’y sont pas domiciliés sont imposables sur tous leurs gains et revenus de source britannique, mais ne seront soumis à l’impôt que sur leurs gains et revenus de source étrangère (imposition mondiale) seulement s’ils rapatrient ces revenus.
Inutile de vous dire qu’il n’y en aura pas beaucoup : Je vais vivre à crédit, tiens donc !

Ceci dit, ce n’est donc pas le sujet de mes préoccupations du moment. Moi, je serais vous, je m’inquièterai de la santé mentale et politique de « Mak-Rond-le-jupitérien » qui dérape sévère…
Ce gars-là, il a perdu la baraka : Tout ce qu’il touche désormais a tendance à foirer.
Même sa côte de popularité dégringole à une allure vertigineuse.
Au retour des « estives », il risque de ne plus rester grand-chose, notamment quand on va commencer à décortiquer les ordonnances et il va en profiter pour « durcir » le ton et le contexte.

Pourtant, il vous a fait son « coup de pied » dans la fourmilière en dégageant ses « alliés » « Mac-Modem » avec pertes et fracas, le « coup de menton » vis-à-vis de son chef d’état-major des armées, une spectaculaire tournée internationale, allant même jusqu’à se déguiser en « Top-Gun » du ridicule le plus achevé, et il semble qu’il n’y a rien à faire…
Fabuleux ce gars-là !

Même son « armée-bulldozer » au Parlement, entre « ses » députés, les « ralliés », les « alliés », les « constructifs » et je ne sais quoi encore, ils pédalent dans la choucroute.
Une armée de branques, de bras-cassés – qui arrivent même à « faire-procès » entre « marcheurs » à propos des statuts du parti – des amateurs-décontenancés, qui pioncent sur les bancs, qui ne sont pas là quand on a besoin d’eux, qui frondent sans s’en rendre compte, qui râlent de devoir décaler leurs départs en vacances et protestent encore quant au rythme de travail imposé par les circonstances et qui racontent des konneries dès qu’ils l’ouvrent (alors qu’ils l’ouvrent si peu…).

Même qu’ils se plaignent de devoir bosser 70 heures par semaine…
Des qui n’ont vraiment jamais biberonné qu’aux 35 heures, aux 5 semaines de congés payés et aux RTT !
Incroyable…
Qui leur a demandé d’être là au juste, au cœur d’une institution démocratique et républicaine ?

Si encore les « sinistres-du-gouvernement » en prenaient de la graine, mais pas du tout !
Du « pipi-de-chat » !
« Dans six mois, si vous continuez, vous aurez disparu »
« Ne vous laissez pas enfermer dans le confort des documents rédigés par vos administrations. ».
« Jupiter » s’agacerait même de l’image technocratique dégagée par son gouvernement.
« Pour l’instant, les principales mesures mises en avant ont été des mesures de gestion budgétaire, avec la technique du rabot », glisse un proche de l’Élysée.
« On s’est "bercyisé". C’est tout l’inverse de ce que le président veut faire. Il ne veut pas gérer, il veut transformer. »
Résultat, le chef de l’État aurait mis de côté le projet de loi sur le « droit à l’erreur » du ministre du Budget.
Faut dire que…
Bon et puis le texte manquerait de « souffle politique » et devra être réécrit.

Une vraie foirade de communication aussi où les adhérents du parti sont laissés dans l’ignorance de ce qui se passe à la « Kapitale ». Il aurait été jusqu’à demandé à ce que la formation des parlementaires soit renforcée et souhaiterait déjà le remplacement de certains responsables de « Rem-même-pas-rêve » du Palais Bourbon, qui maîtrisent mal l’aride règlement de l’Assemblée nationale.
Ne visons personne, mais je serais « Fer-Rang », je planquerais mes miches.
Et puis le bordel de l’APL : « C'était une connerie sans nom ! Pas la peine de se retrouver dans des débats complètement dingues qui n’ont fait l’objet d’aucun engagement » de campagne. 

En réalité, ces derniers jours ce serait branle-bas de combat, conciliabules, convocations à la présidence des fidèles de la campagne, et revue détaillée de tout ce qui a été mal perçu en juillet par les « gauloisiens ».
La majorité, estime au fond le président, manque de direction et de concertation. En coulisses, c’est surtout feu sur le patron du groupe parlementaire, ex-sinistre éphémère : « Affecté, affaibli par les affaires. Il ne joue pas son rôle de patron du groupe à l’Assemblée », lâche un pilier de la majorité.
Et puis, c’était sa promesse, mais un gouvernement avec beaucoup de ministres de la société civile, finalement plus nombreux que « ramassé », cela veut aussi dire une politique peu défendue dans les médias par manque d’habitude.
Résumé d’un conseiller : « On manque de porte-flingues ».
Forcément, le « tueur », il est installé dans son fauteuil jupitérien pour 5 ans…
Les autres tentent déjà d’éviter les balles et ses foudres…
Marrant d’ailleurs, pendant la campagne, pensez à ces personnalités au nom un tantinet célèbre qui se ralliaient à lui et lui permettaient d’affirmer le sérieux de sa candidature : Le « coco » « Robert-à-Hue-et-à-diable », « Corinnette-Le-Page », « Tour-haie », toutes ces anciennes figures de la politique ont permis au candidat « Mak-Rond » d’accroître sa crédibilité.
Devinez quoi ?
Depuis que les législatives ont accouché du « nouveau monde », l’ère du désenchantement a débuté pour ceux qui, pendant si longtemps, ont fait partie de l’ancien.

« Corinnette » admet désormais que le « centralisme démocratique » « d’En Marche-même-pas-en-rêve » la gêne.
Il serait temps d’ouvrir les yeux.
D’autant que je l’avais prévenue

« Tour-haie » s’emballe son « McDo » avec son ticket de caisse autour de la loi de moralisation de la vie publique : Très drôle aussi !
Il faut frapper fort et vite, car cette loi doit être un emblème du quinquennat.
Les députés sont sommés de se délester de certains privilèges précieux : Leur indemnité de frais de représentation (IRFM), la possibilité d’employer un ou plusieurs membres de leur famille et leur réserve parlementaire qui sert à financer des projets locaux. Et les députés « mak-kronistes » n’ont pas intérêt à piper mot puisqu’ils ont précisément signé pour ça, la réforme était stipulée dans le programme présidentiel de leur « seigneur et maître ».
« Tour-haie » donc, 69 ans, vit depuis très mal cette redite de la nuit du 4 août qui veut le forcer à produire des notes de frais pour se voir rembourser repas et billets de train. Sans doute sermonné après son envolée verbale en commission, le député a pesté contre le manque de « parole libre » dans le mouvement.
Eh, chef, c’est ça la « dictature-douce », du konno !
Fallait lire avant de signer…

L’ex-coco « à-Hue-et-à-dia » pour y revenir, s’est énervé avec son « micro-parti » contre la baisse de cinq euros du montant des aides aux logements (APL) prévue pour la rentrée. Le sénateur du Val d’Oise a émis le souhait « qu’une toute autre direction soit prise afin que les propositions faites pendant la campagne électorale par le candidat Emmanuel Macron – hausse du pouvoir d’achat, protection des classes sociales les moins favorisées – soient véritablement mises en œuvre ».
Rigolo va : Avec quel pognon ?
Toujours ces utopies rances issues du bréviaire dogmatique des « sachants »…

Il y a aussi des feux qui couvent chez les fonctionnaires, chez les élus locaux, touchés par les économies à réaliser que ça va être chaud à la rentrée.
Rien à battre ! Sous-entendu, il faut se montrer imperturbable. « Il assume de pouvoir changer, comme sur les arbitrages fiscaux, il n’est pas dans la posture, il entend », assure un de ses compagnons de route. « Mais il y a des fondamentaux sur lesquels il ne veut pas céder. »
Et face à la critique qui a resurgi à la faveur de la polémique sur un candidat à la présidentielle qui n’aurait pas assez détaillé les économies à réaliser, son entourage balaie d’un revers de la main : « Pendant la campagne, il a préféré expliquer en quoi les réformes qu’il portait devaient répondre aux défis de la société plutôt que d’entrer la mécanique », justifie-t-on.
Résultat, plus personne ne comprend rien à ce pour quoi ils ont tous voté.

Au gouvernement de mettre les mains dans le cambouis, à lui de proposer la vision.
Et un de ses proches de préciser que le chef de l’État ne veut pas « d’entrave à ses choix et sa liberté ».
Le propre des dictateurs…
Et le « porte-la-parole-jupitérienne » d’expliquer laborieusement dans la foulée que pour l’efficacité de la réforme, « il faut un peu de temps ».
Car la rentrée va être encore plus compliquée : Rentrée scolaire et universitaire, réforme du Code du travail, lancement des réformes des retraites et de la formation professionnelle, budget 2018, grogne des fonctionnaires et sortie de l’état d’urgence, il va y avoir de qui souffler sur les braises des incendies de forêt de ce début d’été.
Hautement explosif. 

De ce que j’en analyse, c’est que ce gars-là a décidément un point faible qu’il n’a pas su anticiper : Son manque de soutien parlementaire !
Alors, il se jette sur le rapporteur de la fameuse « loi Mac-Rond », « Fer-Rang ». Pas l’embarras du choix, à l’époque, et la suite des événements lui aura pété entre les doigts sans prévenir.
Tant que celui-là était dans la machinerie de la campagne électorale, au fond, ses vices sont restés cachés. Puis l’arrivée au pouvoir a dévoilé les travers du personnage.
On se souvient encore de l’âpreté de ses relations avec le « MacModem », qui ont ouvert, avant l’élection, la première crise du quinquennat.
Puis les révélations sur l’enrichissement de son patrimoine familial par la mutuelle dont il était directeur général ont évidemment confirmé d’avoir affaires avec une planche pourrie du « monde-d’avant ».

Dans la foulée de ces révélations, un traitement spécial lui a été infligé mais aura laissé des traces.C’est très drôle, finalement : Tout d’abord, exfiltré vers la présidence du groupe de l’Assemblée, là l’impétrant guignait le perchoir. L’astuce pour faire avaler la couleuvre a consisté à lui faire croire qu’il obtiendrait ce poste à mi-mandat.
Mais « De Rugby » a évidemment coupé court à tout espoir en annonçant qu’il ne démissionnerait pas (forcément) au bout de deux ans et demi.
Certains se contenteraient de la présidence du groupe majoritaire absolu, mais pour lui ce n’est manifestement pas assez cher payé.
Résultat : Il fait sa mauvaise tête à l’Assemblée, et laisse le désordre s’installer. Il cautionne l’élection de Yaël Braun-Pivet à la présidence de la commission des lois. Or, magnifique d’ignorance, l’intéressée est convaincue que l’Assemblée vote les décrets… et multiplie les maladresses qui enveniment les débats. Par exemple, elle oublie de couper son micro au moment où elle débine ses petits camarades.

Depuis le début de la session, le soldat « Fer-Rang » a déserté les bancs de l’Assemblée et se garde bien de participer aux débats. C’est « un président absent, alors que la maison brûle. »
Ah oui, ça crame chez les « En marche ! » ?
Les séances épiques où de jeunes députés inexpérimentés subissent le pilonnage de l’opposition, France Insoumise en tête, ont désormais fait le tour des écrans. Et lui, il reste « porté-pâle » : Il n’en avoir cure. Rien à foutre !
C’est évidemment un terrible point de faiblesse pour le Président.
L’exercice solitaire du pouvoir atteint vite ses limites en démocratie, comme on peut et doit s’en rendre compte.

Vivement qu’elle s’effondre toute seule doit-il en penser dans son olympe-jupitérienne et élyséenne…
Et vous avec ?
Bof : Vous aurez « les jeux »… deux ans plus tard !
Ça compensera et on vous en mettra plein la vue bien avant, ne vous en faites pas.
Moi, je m’en contre-cogne les roubignoles avec douceur et volupté : Je fais « britannique » un temps, peut-être même une tournée européenne des charmes féminins dans la foulée, à la recherche de là où les gens sont les moins kons.

Mais vous, vous devriez rassembler vos abattis rapidement : À force de dénaturer le jeu normal des institutions Républicaines (« en marche » vers leur perte), de vouloir capturer « tous les pouvoirs », si « Jupiter » ne change pas de braquet, vous glisserez tout doucement vers un régime de Vichy-pétainiste, sans mot-dire.
C’est « Mes-Luches » qui va être ravi : Il va finir par l’avoir sa VIème République !
Et dire qu’on se méfiait comme de la peste de « Bling-bling » et de sa clique, qu’on redoutait le choléra promis par « Marinella-tchi-tchi »…

En attendant, je vous souhaite un excellent mois d’août. On verra à la rentrée si je n’ai pas mis un « pied au-dessus de rien » dans quel état il va se retrouver.

Bien à toutes et tous !

I3

4 commentaires:

  1. Je vous souhaite d’excellentes vacances I-Cube…
    Pour la suite et bien; vous allez pouvoir vérifier in situ si my taylor is vraiment rich.
    Arrivederci

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Milla vi ringraziu a voi. Addiu!

      Pour le reste, mon boss parie sur l'inverse : Il m'envoie en éclaireur et moi je vais retrouver mes 20 ans et ... "les petites anglaises" !
      lol.

      Bel été à vous : Je vous laisse un roman de pure "science-fiction", avec toujours "mes personnages" : Pas facile mais c'est fait.

      Bè à voi !

      I-Cubo

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  2. Je me demande comment tout ça va finir. Macron est-il autre chose qu'un soufflé porté par l'establishment , dont les médias? Sachant qu'il n'a pas non plus le soutien de la population. On est dans un beau pétrin. À ce rythme, dans cinq ans, on a Mélenchon.
    Bonne acclimatation en Angleterre. Ça va te changer. Le climat, la cuisine. L'Angleterre est un pays pour travailler. Mais, finie la dolce vita!
    Bien à toi.
    Vladimir.

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    1. Bonjour Vlad !

      Les sondages te répondent déjà.
      D'autant de ce qui me semble, c'est que le divorce devient de plus en plus clair entre les politiques, les syndicats et ... tous les autres, insoumis en première ligne.

      Je ne vois pas aussi loin que toi (5 ans), mais c'est certain, il va s'en passer des choses.
      Première étape, les élections allemandes : Va-t-on avoir des "surprises" du même acabit alors que tout le monde donne "mère-quelle" gagnant dans un fauteuil ?
      Ca te rappelle quoi au juste, ce genre de certitude ?

      Ceci dit, merci pour tes vœux : Je débarque à peine !
      Va y avoir du boulot !

      Bien à toi.

      I-Cube

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