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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 21 juillet 2017

Suite de mes cours de japonais


Et diverses…

Photographe : Yakapa bougé
Porte d’entrée : Nakasoné
Homme marié : Téfoutu
Homme trompé : Tekoku
Homme divorcé : Tanana Takité
Homme enragé : Yétisoké
Homme enragé noir : Yékomfou
Minijupe : Ytatouvu
Préliminaires : Tâ-katâté
Moto en panne : Yamamoto Kadérapé
Marteau : Garatédua
Reins : Oraduku
Femme enceinte : Ymanéké
Femme pas enceinte : Takarataké
Odeur nauséabonde : Kikiapété
Soixante-neuf : Kisuski
Déshabille-toi : Takatoutoté
Pudding : Mokaraté
Pigeon : Ytchidsu
Humoriste : Nostidfou
Se prendre pour un autre : Karaoké
Dentiste : Yotékari
Danseur : Yétitounu
Voleur : Yamamonè

La suite, à suivre…

Deux femmes, mariées depuis une vingtaine d’années, discutent de leurs maris :
« – Le mien, il est toujours en voyage, je dois le voir un mois par année.
– Hum, je vois, ce n’est pas toujours facile…
– En effet, mais je dois dire qu’un mois, ça passe quand même assez vite. »

Conseil d’un père à son fils qui se marie pour une troisième fois :
« Bon, écoute, ne va pas lui raconter tous les coups bas que tes deux premières femmes t’ont donné. Inutile de lui donner des idées. »

Jean-Marc et Jean-Paul sont à la brasserie depuis midi.
Il est 17 heures et ils sont givrés.
Soudain, Jean-Marc remarque les chaussures de Jean-Paul… et il hurle de rire !
« – Bon Dieu ! Tu as en une marron et l’autre noire. Ça doit être rare. Tu as acheté ça où ?
– Pas si rare, j’ai une autre paire à la maison. »

« Je suis fière de mon fils » dit une maman à sa voisine.
« – Ah ouiiiii ? Pourrrrrqouaaa ?
– Ça t’en bouche un coin, hein ! Il travaille à Air-France.
– Wow ! Il vole ?
– Ben oui, un outil par ici, un outil par là… »

« On a le droit de dire du mal des femmes, ou des hommes, mais on n’a pas le droit de dire du mal d’une femme, ou d’un homme. »

Jean-Paul déprime complètement et se dit que sa vie ne vaut plus rien.
Jean-Marc arrive et lui lance :
« – Allez… Tu as bien quelque chose de positif dans ta vie ?
– Oui. Mon test HIV ! »

C’est la période des examens à la fac.
Une étudiante, talons aiguilles et chandail moulant, entre dans le bureau du prof et ferme la porte.
Elle s’élance à ses pieds…
« Monsieur, je suis prête à tout pour avoir mon examen ! »
Elle enroule ses bras autour des jambes de l’homme, colle sa tête sur sa cuisse et le regarde droit dans les yeux, l’œil chaud, la bouche humide.
« – Je vous le dis. Je dois réussir. Je veux réussir.
– Vous avez dit tout ?
– Oui.
– Vraiment ?
– Ah oui…
– Que diriez-vous d’étudier ? »

Tous les matins, Jean-François, mange un œuf à la coque. Il en attrape même le teint jaunâtre.
Son père décide d’aller voir le toubib du village avec son fils et lui explique la situation !
Le toubib dit à Jean-François : « Tu dois absolument arrêter de manger des œufs mon garçon, cest très mauvais pour ton foie ! »
Le lendemain matin, au petit déjeuner :
« – Alors fiston, tu veux quoi ?
– Un œuf, Papa, sil te plaît !
– Non pas question, tu mangeras de la confiture ! »
Jean-François, furibard, quitte la table et file à l’école.
Le surlendemain même chose !
Le père réfléchit sur ce problème, et trouve la solution !
Il descend un peu plus tôt, perce un petit trou avec une aiguille dans l’œuf, le gobe, et remet lœuf vide, dans le coquetier.
Jean-François, tout content de voir son œuf, prend sa petite cuillère, tape sur la coquille et rien !
Vide !
Le père :
« – Qu’est-ce que tu veux manger Jean-François ?
– De la confiture ! »
Le lendemain même topos, il prend sa petite cuillère, tape, rien, vide !
Surlendemain : Toujours, rien, vide !
Alors Jean-François, se dirige dans la basse-cour, saisi le coq par son cou, et lui dit :
« Toi si je t’attrape encore à baiser, avec des préservatifs ça va être ta fête ! »

Jean-Paul est désespéré. Son meilleur copain, Jean-Marc, trouve tous les trucs pour ne pas lui rembourser les 12.000 € qu’il lui doit.
Dans l’espoir de l’amadouer, il lui envoi par la poste sa photo avec sa femme, et leurs trois enfants, avec en légende :
« Voici pourquoi j’ai tant besoin de cet argent. Je dois m’occuper d’eux ».
Par le retour du courrier, il reçoit une photo de son Jean-Marc, couché sur le sable, avec sa nouvelle blonde, Contraception, avec en légende :
« Voici pourquoi je ne peux pas te rembourser ».

Une petite fille, très méééééééchante, dit à la petite fille très laide…
« – Tu sais ce qui t’arrivera quand tu seras grande ?
– Non.
– Rien. »

Une femme discute avec le curé.
Elle vient de perdre son mari.
« – 750 € pour la messe ? Mais c’est cher. Je ne veux pas payer ça.
– Bon, on peut enlever la chanteuse.
– Parfait. Et encore ?
– On peut enlever l’orgue.
– Parfait.
– On peut enlever un rang de lampions.
– Un rang…?
– Oui, j’avais prévu cinq rangs de lampions, et …
– Enlevez-moi tout ça !!!!
– Mais ça va être triste.
– Triste vous dites ? Il n’y a rien d’amusant là-dedans, il ne m’a rien laissé ! Ça c’est triste ! »

Une vieille dame vient de mourir.
Sa fille, une religieuse, a beaucoup de peine, et elle prie le Seigneur…
« Seigneur, ma mère était si bonne, faites que la vie revienne dans cette chambre… »
Aussitôt, la peau de l’ours qui servait de tapis au pied du lit se réveille… et l’ours mange la religieuse et sa mère.
Morale de l’histoire : Méfiez-vous des miracles !

Un pompier, en entrant à la maison, dit à sa femme…
« – Tu sais, à la caserne, on a un système efficace.
À la première sirène, on s’équipe ; à la deuxième sirène, on se laisse glisser le long du mat ; à la troisième, faut qu’on soit prêt à partir dans les camions.
– OK ! Désormais, on va faire pareil à la maison… Quand je dis “première sirène”, tu te déshabilles ; quand je dis “deuxième sirène”, tu sautes dans le lit ; et quand je dis “troisième sirène”, on s’y met pour la nuit… »
Le soir suivant, le pompier rentre de la caserne et hurle :
« Première sirène ! »
Sa femme se déshabille en vitesse.
« Deuxième sirène ! »
Sa femme plonge sous les couvertures.
« Troisième sirène ! »
Ils commencent à faire l’amour.
Après deux minutes d’activité, sa femme hurle :
« – Quatrième sirène !
– C’est quoi la quatrième sirène ?
– Rajoute du tuyau, t’es trop loin du feu ! »

Jean-Marc se confesse au curé.
« – Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai pêché. J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, presque…
– Qu’est-ce que vous entendez par « presque » ?
– Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi et j’ai tout arrêté.
– Écoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une bonne chose ; vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 20 € dans le tronc des pauvres ! »
Jean-Marc quitte le confessionnal et s’en va un peu plus loin pour prier et se repentir.
Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
« – Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
– Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est comme si je l’avais mis dedans… »


Le policier interroge la secrétaire de direction :
« – Avez-vous une idée sur les motifs qui auraient pu pousser votre patron à se jeter par la fenêtre ?
– Non, je ne sais pas », répond-elle en sanglotant.
« – Il était tellement gentil avec moi. Il y a deux mois, il m’a offert un vison ; le mois dernier, un rubis rouge et, hier encore, un solitaire absolument magnifique. Tenez, regardez, je l’ai au doigt !
– Quand lui avez-vous parlé la dernière fois ?
– Tout à l’heure. Il m’a demandé ce qui me ferait plaisir pour que je lui accorde mes faveurs.
– Que lui avez-vous répondu ?
– Que je demandais 100 € d’augmentation aux autres employés. »


Le fils d’un rabbin vient d’obtenir son permis de conduire.
Il est âgé de 18 ans.
Et il demande à son père s’il peut utiliser l’auto familiale.
« Je vais passer un marché avec toi. Tu obtiens ton bac, tu viens m’aider à la synagogue une fois par semaine, tu coupes tes cheveux plus courts, et tu auras le droit d’utiliser la voiture. »
Deux mois plus tard, le fils a obtenu son bac et il revient voir son père qui lui dit :
« – Je suis vraiment fier de toi. Tu as eu ton bac, tu es venu m’aider à exercer le culte, mais tu ne t’es pas encore coupé les cheveux !
– Tu sais papa, j’ai beaucoup réfléchi à ça, et je me suis dit que Samson avait des longs cheveux, Moïse avait des longs cheveux, Noé avait des longs cheveux. Alors…
– Oui, mais ils ne roulaient pas en voiture. Tu as le choix. »


« Quel est le comble de l’avarice ?
Refuser de partager une opinion. »


Bon week-end à toutes et tous !


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