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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 juillet 2017

Les femmes ont toujours raison


La preuve

Jean-Marc lit le journal et dit à son épouse :
« – Savais-tu que les femmes utilisent 30.000 mots par jour et les hommes 15.000 ?
– C’est facile à expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes. »
Jean-Marc se retourne vers elle et dit :
« Quoi ? »

Jean-Marc dit à son épouse :
« – Comment le bon Dieu a-t-il pu te faire aussi belle et aussi stupide à la fois ?
– Laisse-moi t’expliquer : Dieu m’a faite belle pour t’attirer. Et il m’a faite assez stupide pour que je te garde. »

« – Pourquoi les hommes penchent-il la tête quand ils réfléchissent ?
– Pour que ses deux neurones entrent en contact. »

« – Pourquoi les hommes ont-ils la conscience tranquille ?
– Parce qu’ils ne l’ont jamais utilisée. »

« – Pourquoi les hommes aiment-ils autant les voitures et les motos ?
– Celles-là au moins, ils peuvent les manipuler. »

« – Pourquoi un si grand nombre de femmes conduisent mal ?
– Parce que les moniteurs sont des hommes… »

« – Quelle est la différence entre un homme et une tasse de café ?
– Aucune, les deux tapent sur les nerfs. »

« – Quelle est la différence entre un homme et un chat ?
– Aucune, tous deux sont paresseux et ont peur de l’aspirateur. »

« – Comment appelle-t-on un homme intelligent, sensible et beau ?
– Un homosexuel. »

« – Quel est le point commun entre les nuages et les hommes ?
– Quand ils s’en vont, on peut espérer une belle journée. »

« – Quel est le point commun entre les hommes qui fréquentent les bars pour célibataires ?
– Ils sont tous mariés. »

« – Quelle est la différence entre un homme, une cravate et une ceinture ?
– La ceinture serre la taille, la cravate serre le cou, l’homme sert à rien. »

« – Quelle est la différence entre le cerveau d’un homme et une olive ?
– La couleur. »

« – Que doit faire une femme quand son mari court en zigzag dans le jardin ?
– Continuer à tirer. »

« – Pourquoi les hommes ont-ils les jambes arquées ?
– Les choses sans importance sont toujours mises entre parenthèses… »

Jean-Paul est ramené chez lui par Jean-Marc, son compagnon de beuverie.
Le gars arrive à la porte de sa maison, mais il éprouve les pires difficultés avec la serrure.
« T’es sûr que c’est ici que tu habites ? » lui demande Jean-Marc qui semble un peu plus lucide.
« – Bien sûr…
– Vas-y, prends la clé et ouvre parce que moi j’y arrive pas, je te le prouverai que j’habite ici ! »
Une fois à l’intérieur, Jean-Paul indique à son pote :
« Tu vois ce piano, là, c’est à moi ; et tu vois cette télé là-bas, c’est à moi aussi ! »
Puis il invite Jean-Marc à le suivre.
Il ouvre la porte d’une pièce et il dit :
« – Tiens tu vois, là, c’est ma chambre. Tu vois ce lit, c’est mon lit. Tu vois la femme couchée dans ce lit, c’est ma femme. Et tu vois le gars couché à côté d’elle ?
– Ouais », fait Jean-Marc d’un air soupçonneux.
« Ben c’est moi ! »

« 12,50 € + 12,50 € font combien » demande le prof ?
Jean-Marc lève immédiatement la main.
« – Oui Jean-Marc ?
– Une caisse de 24 chez l'épicier. Je le sais car mon grand frère et mon père me donnent toujours ça pour aller chercher leur bière… »

« – Ici », dit la maîtresse de maison à sa nouvelle bonne, « nous avons l’habitude de manger les restes.
– Bien madame, je vais vous garder les restes. »

Deux copines d’université se rencontrent quelques années plus tard.
« – Hein ? Quoi ? Toi ? Qui était athée, tu me dis que tu t’es convertie à la religion ? Pas possible…
– J’te jure, mon mari m’a fait découvrir l’Enfer. »

Jean-Marc et une fille se fréquentent depuis quatre mois.
Un vendredi soir, ils se retrouvent dans un bar après le boulot.
Après quelques verres ils décident de s’attabler dans un petit resto.
Après, ils passent la nuit chez lui.
Sa version à elle :
« Il était d’une humeur bizarre quand je l’ai rejoint au bar. J’ai cru un moment que c’était parce que j’étais un peu en retard mais il n’a rien dit à ce sujet.
Notre conversation était lente et peu motivée donc j’ai pensé qu’un resto serait plus sympa pour pouvoir discuter plus intimement. Au resto, il était toujours distant. J’ai essayé de le divertir, de le faire rire mais ça n’a fait aucune différence. Je lui ai demandé si le problème venait de moi mais il a répondu que non.
Dans le taxi qui nous ramenait chez lui, je lui ai dit que je l’aimais et il a simplement mis son bras autour de moi. Je ne sais pas ce que ça veut dire car il ne m’a pas dit qu’il m’aimait en retour.
Quand nous sommes arrivés chez lui je me suis même demandé s’il n’allait pas me plaquer. J’ai essayé de lui demander et il a allumé la télé.
Un peu réticente quand même, je lui ai dit que j’allais me coucher. Après 10 minutes il m’a rejoint et nous avons fait l’amour. Il semblait toujours distrait, à tel point que je ne voulais qu’une chose : Rentrer chez moi.
Je ne sais plus vraiment ce qu’il pense. Je me demande s’il a rencontré quelqu’un d’autre … »
Sa version à lui :
« Journée de merde au boulot, mais au moins j’ai tiré un coup à la maison. »

« – Je n’ai presque plus de cheveux » dit Jean-Marc à son barbier, « et j’ai à peine 40 ans. Qu’est-ce que vous me conseillez ?
– Dans votre cas… hum … des prières ou de la magie. »

« Mon mari est extraordinaire » dit une jeune femme à sa copine qu’elle n’a pas revu depuis quelques mois.
Elles se sont mariées le même jour.
« – Il ne me laisse même pas faire la cuisine.
– Incroyable ! Mais tu pourrais insister pour qu’il te laisse faire un peu. Non ?
– Mais oui, j’ai essayé. Hier encore, je lui ai offert de faire bouillir un bon petit steak, et il a refusé… »

« Une nuit d’amour, ça dure un quart d’heure. »

« Nous nous tenons toujours la main : Tu comprends Jean-Marc, si je la lâche, elle fait du shopping. »

Jean-Marc est très souvent victime d’une érection vigoureuse et quasi permanente.
Il se décide enfin à consulter un spécialiste.
Par pudeur, il choisit un médecin femme (il ne veut pas être vu par un homme) et par discrétion, il la choisit (le médecin femme) à l’autre extrémité de la ville.
Une fois dans le cabinet, il explique son cas et demande :
« – Docteur que pouvez-vous pour moi ?
– Il faut que j’étudie la question, revenez demain vers 16 h 00. »
Le lendemain, à 16 h 00 il est de retour.
« – Alors docteur qu’avez-vous à me proposer ?
– Écoutez. J’en ai discuté avec ma sœur, on vous propose 2.000 € par mois logé, nourri et blanchi. »

« Mon grille-pain n’a que deux positions : Trop grillé, pas assez grillé ».

« C’est quand même étonnant de voir comment l’argent aide à supporter la pauvreté. »

« On doit avoir une confiance absolue dans la médecine… quand on n’est pas malade. »

« – Alors » dit Jean-Marc à Jean-Paul, « tu as déménagé ?
– Non !
– Mais pourtant, dans le journal, il y avait le mot VENDU, en rouge, sur la photo de ta maison.
– C’est exact. Mais quand j’ai lu la description de la maison, j’ai sauté sur l’occasion, car c’est ce que je cherchais depuis des années. Une aubaine. »

« Après 60 ans, lorsque tu n’as mal nulle part, c’est que tu es mort. »

La maman demande au fils de Jean-Marc ce qu’il a appris au catéchisme.
« – Monsieur le curé nous a raconté comment le général Moïse avait conduit l’armée israélienne à travers l’Égypte jusqu’à la Terre Promise : Comme les Israéliens arrivaient au bord de la Mer Rouge, Moïse a arrêté la colonne et a vu les tanks et les Jeeps Égyptiennes juste derrière eux.
Alors il a pris son talkie-walkie et a appelé la marine israélienne pour qu’elle construise un pont flottant sur le bras de la Mer Rouge.
Une fois le pont construit, le général Moïse donna l’ordre à son armée de rouler sur le pont, et une fois que tout le monde fut de l’autre côté, il regarda les Égyptiens emprunter le pont eux aussi, puis, lorsqu’ils furent à mi-parcours, il prit son talkie-walkie et demanda à l’armée de l’air israélienne de bombarder le ponton… Et les Égyptiens sont tous morts noyés.
– Allons, allons mon chéri ! Pourquoi est-ce que tu ne dis pas comment monsieur le curé a dit que l’histoire s’était réellement passée ?
– Ben, moi je veux bien, mais tu ne me croirais pas… »

Un extra-terrestre Ummo entre dans un casino et il est saisi d’effroi devant les machines à sous.
« Comment de si jolies filles peuvent vivre dans un endroit pareil ! »

« La vie ne cesse pas d’être drôle quand quelqu’un meurt, et elle ne cesse pas d’être sérieuse quand quelqu’un rit. »

Bon week-end à toutes et tous !

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