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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 juin 2017

De bon sens !


Jean-Marc…

… rencontre un entrepreneur qui est devenu immensément riche…
« – Quel est le secret de votre réussite ? De votre richesse ?
– Simple. Il faut avoir la conviction que l’argent n’a pas d’importance et que le travail acharné est la source du succès. Le travail, c’est la seule chose qui compte.
– C’est comme ça que vous êtes devenu riche !
– Oui ! Quand j’ai réussi à mettre ça dans la tête de mon personnel. »

Une petite fille, assise, observe sa mère lavant la vaisselle dans le lavabo de cuisine.
Elle note tout à coup que sa mère a plusieurs mèches de cheveux blancs, qui font contraste avec ses cheveux brun foncés.
« – Maman, pourquoi certains de tes cheveux sont-ils blancs ?
– Bien, chaque fois que tu fais quelque chose de mauvais et me fait pleurer ou me choque, un de mes cheveux devient blanc.
– Maman, pourquoi alors TOUS les cheveux de grand-maman sont-ils blancs ? »

Le gamin de Jean-Marc 5 ans va voir son père avec une portée de chatons.
Au retour à la maison, il informa sa mère qu’il y avait 2 chatons garçons et 2 chatons filles.
« – Comment le sais-tu ?
– Papa a regardé en dessous. Je crois que c’est écrit sur leur ventre. »

Tous les enfants furent photographiés, et le prof essayait de les persuader que chacun d’entre eux devrait acheter une copie de la photo de groupe.
« Pensez juste comme il serait intéressant de la regarder, lorsque vous aurez grandi, et que vous pourriez dire : Voici Jenny ; elle est avocate ou C’est David. Il est maintenant docteur. »
Une petite voix, à l’arrière de la classe, chuchote…
« Et voici la maîtresse. Elle est morte. »

Le professeur donne une leçon, à propos de la circulation du sang.
« – Maintenant, si je me tenais sur la tête, le sang, comme vous le savez, circulerait à l’intérieur, et ferait tourner ma figure au rouge.
– Oui », répond la classe en chœur.
« – Mais pourquoi alors, lorsque je me tiens debout, en position normale, le sang ne circule-t-il pas dans mes pieds ?
– Parce que vos pieds ne sont pas vides » répond le petit Jean-Marc.

Un Jean-Jacques avec une prothèse de jambe synthétique contracte une assurance incendie pour sa prothèse.
Le premier agent d’assurances contacté lui propose une prime annuelle de 500 euros, estimant que le pied pouvait brûler une fois en 20 ans et que la valeur de la prothèse est de 10.000 euros.
Le deuxième agent lui propose une prime annuelle de 50 euros.
Lorsque Jean-Jacques demande au deuxième agent comment il est parvenu à un si petit montant, il répond :
« J’ai appliqué le barème proposé dans mes tables. L’objet est bien une structure synthétique avec présence d’un système d’arrosage par le haut, n’est-ce pas ? »

Un chien rencontre un autre chien :
« – Ça n’a pas l’air d’aller, toi !
– Tu parles je suis en train de faire une dépression !
– Tu devrais consulter un psy, non ?
– Je sais bien, j’y ai pensé mais… J’ai pas droit au canapé ! »

Un jour Jean-Marc décide de laver son chandail de rugby.
Quelques secondes après être entré dans la salle de lavage, il crie à sa femme :
« – Quel cycle j’utilise pour la machine ?
– Ça dépend, qu’est-ce qui est écrit dessus ?
– Racing-Club »

Ayant remarqué la braguette ouverte de Jean-Marc, sa secrétaire embarrassée lui dit :
« La porte du garage est restée ouverte. »
Jean-Marc, perplexe ne comprend pas jusqu’à ce qu’elle lui montre.
Il remonte rapidement la fermeture et lui dit :
« – Hum… Vous avez peut-être entrevu ma puissante Jaguar.
– Non, rassurez-vous ! Seulement une vieille Traban rose avec deux pneus crevés. »

Cette histoire se passe dans une brasserie, à Monaco, il y a quelques semaines de cela.
Un gars entre, il est apprécié de tous.
Il est bien connu de la serveuse qui lui tend une consommation, il paie.
En traversant la salle, il dit un bon mot à chaque table, il se rend jusqu’au fond et dit à son ami :
« – Salut Robert ! Comment ça va ?
– Ça va !
– Alors… Ta femme est-elle enceinte ?
– Ben… Non ! Pourquoi ?
– Ouf ! »
Et ça éclate de rire partout dans la brasserie…

C’est l’histoire de Jean-Marc qui entre dans un bar.
L’endroit est plein de monde, il s’engouffre jusqu’au fond, monte sur la scène, il s’empare du micro du chanteur et dit :
« Tous les hommes qui sont ici veuillez m’écouter. VOUS ÊTES TOUS COCUS. Parce qu’hier soir j’ai couché avec ma femme. »

Deux collègues terminent leur journée de travail.
L’un dit :
« – Bon sang, j’ai horreur de rentrer à la maison ! Chaque soir, je mange la même bouffe insipide, je fais la vaisselle, je fais faire sa promenade au chien et puis je vais me coucher.
– Mais pourquoi tu ne te trouves pas une fille sympa pour te marier ? »
Et Jean-Marc en faisant claquer le verrou de son attaché-case :
« Justement ! JE SUIS marié ! »

Jean-Marc s’inventant une excuse :
« Quand je suis rentré chez moi, il y avait une grenouille, habillée de façon très sexy, et elle se dandinait dans tous les sens.
Alors elle se dirigea dans la chambre et commença à me faire un strip-tease phénoménal. C’est alors qu’elle se retrouve à poil devant moi, et qu’elle me tire sur le lit pour que je lui donne un bisou.
Et c’est à ce moment qu’elle s’est transformée en ma secrétaire.
Je te jure chérie, c’est la vérité ! »

Un jour, Jean-Marc rentre du travail pour trouver le chaos qui règne à la maison.
Ses enfants, encore en pyjama, jouent dans la boue du jardin.
Sur le gazon, tout autour de la maison, il y a des cartons de repas congelés et des boîtes de jus de fruits par terre.
Quand il entre dans la maison, c’est encore pire.
La vaisselle sale est éparpillée dans toute la cuisine, le repas du chien est renversé sur le sol, et il y a du sable par terre, sur la table de la cuisine et les meubles.
Dans la salle de séjour, il trouve des jouets, des vêtements et une lampe renversée.
À ce moment, il a très peur qu’un malheur ait touché sa femme.
Il se précipite au second étage et là, stupéfait, il trouve sa femme encore en pyjama assise dans le lit en train de lire un livre.
« – Bonsoir mon amour, comment était ta journée ?
– Mais que s’est-t-il passé ici aujourd’hui ? »
Souriante…
« Tu sais, chaque jour en rentrant, tu me demandes ce que j’ai fait durant la journée et quand je réponds que je me suis occupée de la maison et des enfants… Tu me dis : ‘‘C’est tout ?’’ Eh bien, aujourd’hui, je n’ai rien fait ! »

Jean-Marc, excédé du caractère exécrable de son épouse, se rend chez son avocat :
« – Maitre, je désire divorcer !
– Bien. Avant toute chose, Monsieur, voulez-vous me dire sous quel régime vous êtes mariés ?
– Sous le régime dictatorial ! »

Un octogénaire est marié à une jeune et jolie femme. Ses amis lui disent qu’il a pris des risques.
« Oh ! À mon âge, on n’est pas cocu … On est secondé ! »

Deux vieilles amies prennent le thé.
C’est l’heure des confidences :
« – Mon mari, quand il a fini son petit câlin, il pousse le cri de Tarzan !
– Quelle santé !
– Peut-être, mais moi ça me réveille à chaque fois ! »

Une femme raconte à une de ses amies :
« – C’est grâce à moi qu’il est devenu millionnaire !
– Et avant, qu’est-ce qu’il était ?
– Milliardaire. »

Jean-Marc s’étonne auprès de son copain Jean-Paul :
« – Quoi ! Toi, si pudique, tu as emmené ta femme, cet été, dans un camp de nudistes ?
– Oui, au moins, pendant deux semaines, elle ne s’est pas plainte de n’avoir rien à se mettre ! »

Jean-Marc a été cambriolé.
Le lendemain, le commissariat le prévient qu’on a arrêté le voleur et le convoque.
Jean-Marc demande au policier :
« – Puis-je parler au voleur ?
– Pour lui dire quoi ?
– Écoutez, monsieur le commissaire, il a pénétré chez moi à 2 heures du matin sans réveiller ma femme. S’il m’explique comment il s’y est pris, je retire ma plainte ! »

Dans une réserve nationale, un touriste et sa jeune épouse, assis gentiment sur l’herbe et en train de collationner, voient s’approcher un beau gros ours brun qui fait mine de foncer sur eux.
Il hésite et rebrousse chemin.
Notre couple en est quitte pour une bonne frousse…
Trente minutes plus tard, alors que nos amoureux se bécotent, un ours noir de taille assez petite se pointe, regarde les deux amoureux, pousse un sonore grognement, mais continue son chemin sans plus s’attarder…
Puis, arrive un superbe grizzly géant, terrifiant, dans toute sa splendeur, mais qui semble malgré tout bien inoffensif, et ne regarde même pas nos deux touristes, passant outre en se dandinant pesamment sur ses grosses pattes velues…
La morale de tout ceci ?
Les ours se suivent, mais ne se ressemblent pas !

Bon week-end à toutes et à tous !

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