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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 juin 2017

Ah les femmes !


Elles ont encore gagné !

Ça aurait pu être une histoire vraie.
Mais c’est une blague.
Il s’agit de grammaire : Quand est apparu le premier ordinateur, les anglo-saxon ont appelé ça « a computer » (in English in the text…)
Quid de la traduction en « francilien-natif » ?
Un computer, c’est une grosse calculette, un peu élaborée et programmable. Il a donc fallu trouver un nouveau vocable pour le désigner.
« Ordonnateur » ne collait pas car, même si la machine « ordonne » bien une succession de lignes de programmation utilisant des données « rangées » préalablement dans le bon ordre, avoir une machine qui « ordonne » (pas dans le sens de ranger, mais dans celui de de donner des ordres) ne convenait pas.
Et puis une machine, c’est féminin (alors que l’anglais ignore la notion dans l’article qui précède la chose).
On aurait pu dire « ordonnatrice », mais là, on se prenait le MLF sur le dos, à éviter.
On a préféré « ordinateur », ce qui ne veut rien dire, mais c’est ainsi que « a Personnal Computer » pour ordinateur personnel a été retenu.
Notez qu’on ne cause pas d’ordonnatrice personnelle, ni même « d’ordonnateuse » personnelle.
Le nom est pour les gauloisiens et autre gauloisiophones incontestablement masculin.
Comment a été fait le choix ?
Eh bien tout simplement : On a constitué deux jurys, l’un entièrement masuculin, un autre entièrement féminin.
Les hommes ont décidé à l’unanimité que ordinateur est féminin (une ordinateur) parce que :
1. Personne autre que son créateur ne comprend sa logique intérieure ;
2. Le langage de base que les ordinateurs utilisent avec d’autres ordinateurs, est incompréhensible pour tout le monde ;
3. Même la plus petite erreur est gardée en mémoire vive à long terme pour être ramenée à la surface plus tard ;
4. Aussitôt que vous vous commettez avec « une » ordinateur, vous vous exposez à dépenser la moitié de votre chèque de paye pour des accessoires pour elle.
Le groupe de femmes, toutefois, conclut que l’Ordinateur est incontestablement masculin parce que :
1. Afin d’accomplir quoique ce soit avec lui tu dois l’allumer ;
2. Il est bourré de matériel de base mais ne peut penser par lui-même ;
3. Il est sensé régler beaucoup de problèmes, mais la moitié du temps il est le problème lui-même ;
4. Aussitôt que tu te commets avec un, tu réalises que si tu avais attendu un peu, tu aurais obtenu un meilleur modèle.
Et devinez quoi ?
Les femmes ont gagné !

La vie des bêtes : Dans une prison…
Vous passez la majorité de votre temps dans une cellule de 10 X 10.
Au travail…
Vous passez la majorité de votre temps dans un cube de 6 X 6.
Dans une prison…
Vous obtenez 3 repas gratuits par jour.
Au travail…
Vous avez une pause pour un repas et il vous faut le payer.
Dans une prison…
Pour un bon comportement vous avez une diminution de votre temps.
Au travail…
Pour un bon comportement ils vous donnent plus de travail.
Dans une prison…
Le garde verrouille et déverrouille la porte pour vous.
Au travail…
Vous devez avoir une carte de sécurité et ouvrir les portes vous-même.
Dans une prison…
Vous pouvez regarder la télévision et jouer à des jeux.
Au travail…
Vous pouvez être remercié pour avoir regardé la télévision et joué à des jeux.
Dans une prison…
Vous avez votre propre toilette.
Au travail…
Vous avez à partager la toilette avec du monde qui urine sur le siège.
Dans une prison…
Votre famille et vos amis peuvent vous visiter.
Au travail…
Vous n’êtes pas supposés de parler à votre famille et à vos amis.
Dans une prison…
Toutes les dépenses sont payées par les contribuables sans travail requis de votre part.
Au travail…
Vous devez défrayer toutes vos dépenses pour aller travailler et ils déduisent l’impôt sur votre salaire pour payer pour les prisonniers.
Dans une prison…
Vous passez la majorité de votre vie derrière les barreaux en espérant en sortir.
Au travail…
Vous passez la majorité de votre temps en voulant sortir pour aller derrière les barreaux.
Dans une prison…
Vous devez négocier avec des gardiens sadiques.
Au travail…
Ils se nomment « Patrons » !
Alors quoi choisir ?

Les classiques :

Suite au décès de son mari, une veuve rapporte les cendres à la maison et les répand dans toutes les pièces.
Ensuite, elle sort son aspirateur et à chaque mouvement d’aller-retour, elle s’écrie :
« C’EST LA DERNIÈRE FOIS QUE JE RAMASSE TES CENDRES ! AS-TU COMPRIS ? »

Cela se passe dans une forêt profonde.
Jean-René essaie tant bien que mal de braconner, sans résultat alors qu'il est équipé de tout un matériel high-tech.
Il croise Jean-Marc qui lui braconne les mains nues avec grand succès.
« – Bah dis donc, comment fais-tu pour attraper autant de lapins avec rien dans les mains, comme ça ?
– Eh bien gars, vois-tu, je me mets devant un terrier de lapin et j’imite le cri de la carotte. Si c’est un petit terrier, j’imite le cri de la petite carotte, si c’est un terrier moyen, je fais le cri de la carotte moyenne, et si c’est un gros terrier jecri de la grosse carotte.
– Ah ? Et dis-moi, je pourrai en faire autant et ça marcherai ?
– Ouais, ouais. »
Et le lendemain matin, on ou lire en première page du journal :
« Un braconnier écrasé par un train à la sortie d’un tunnel »…

Jean-Louis trouve des lunettes qui déshabillent.
Il les essaie et n’est pas convaincu de leur efficacité, mais le vendeur le voyant hésitant, arrive et lui explique que ces lunettes ne fonctionnent pas bien dans le magasin, qu’elles nécessitent une certaine luminosité pour bien fonctionner etc...
Finalement, notre homme se laisse convaincre.
Pour rentrer chez lui à pied, il porte la paire de lunettes, et effectivement, cette fois, il constate que les gens qu’il croise dans la rue sont tout nus !
Et lorsqu'il enlève les lunettes, il voit à nouveau les gens habillés !
Et du coup, il remet bien vite ses lunettes sur son nez et continue son chemin.
En rentrant dans sa maison, il est impatient de montrer ces lunettes extraordinaires à sa femme, mais il ne la trouve pas.
Alors il va voir dans toutes les pièces, et finalement, il ouvre la porte de la chambre à coucher : Là, il voit sa femme et Jean-Marc, complétement nus sur le lit.
À peine surpris, il enlève ses lunettes, et il les voit encore tout nus.
Il remet les lunettes devant ses yeux, et ils sont encore et toujours tout nus.
« Bon sang ! Quand je pense que j’ai payé ces lunettes 500 € et qu’elles sont déjà cassées ! »

C’est Jean-Roger qui part en vacances au Club Med.
Là, il se dit, « super, je vais pouvoir me faire des femmes, plein de femmes ».
Un jour, deux jours, … RIEN.
Mais lors de ces journées d’attentes, il a remarqué Jean-Marc, un gentil organisateur qui n’arrête pas.
À chaque fois qu’il se déplace, un troupeau de belles créatures le suit.
Il décide donc d’aller le voir pour lui demander son secret.
« – Mais comment fais-tu pour avoir toujours autant de femmes autour de toi ?
– C’est très simple ! Le matin je me lève et je place une patate dans mon maillot.
– Ah ouais ! J’ai compris !… »
Le lendemain soir, Jean-Marc revoit Jean-Roger et lui demande comment s’est passée sa journée :
« – Alors ça a marché ?
– Ben non j’comprends pas ?
– Hé mec, y faut mettre la patate devant ! »

Jean-Paul est si laid que lorsqu’il fait des grimaces, il est presque beau.

« – Jean-Pierre qui est âgé de 23 ans a marié une millionnaire de 49 ans, et tu me dis qu’il a fait un mariage d’amour ?
– Mais oui, il est en amour avec l’argent. »

« – Avez-vous un médecin de famille ?
– Non, je suis orphelin. »

« Écoutez les vieux avec leur maudite ritournelle : “Dans mon temps c’était bien mieux…”
Ils m’éééééénervent ! À les entendre, dans le temps, même le futur était mieux ! »

Une petite fille s’entretien avec son professeur sur les baleines.
Le prof lui dit qu’il est physiquement impossible pour une baleine d’avaler un humain parce que, même si c’est un gros mammifère, sa gorge est très petite.
La petite fille lui mentionne que pourtant, Jonas a été avalé par une baleine.
« – Je te dis que ce n’est pas possible.
– Quand je serai au paradis, je demanderai à Jonas.
– Et si Jonas est en enfer ?
– Dans ce cas, vous lui demanderez. »

Une prof de maternelle observe ses élèves qui dessinent.
Elle se promène pour voir les travaux.
Elle se penche sur la petite Claire…
« – Que représente ton dessin ?
– Dieu, maîtresse.
– Mais personne ne sait à quoi ressemble Dieu. »
Sans arrêter et sans quitter son dessin, la petite répond…
« Ils le sauront dans une minute. »

Un prof discute des Dix Commandements avec ses élèves de 5 et 6 ans.
Après avoir expliqué le commandement « honorer ton père et ta mère », elle demande :
« Y’a-t-il un commandement qui nous enseigne comment traiter ses frères et ses sœurs ? »
Un petit garçon (l’aîné d’une famille) répond :
« Tu ne tueras point. »

Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Je me souviens, en l’an 2000 : J’ai arrêté de boire et de fumer.
– Ah oui, tu t’en souviens ?
– Je ne peux pas oublier ça.
Ça été les deux jours les plus pénibles de ma vie. »

Jean-Marc à Jean-Paul encore :
« Je préfère mourir de cholestérol que de faim. »

Jean-Marc à Jean-Paul toujours :
« – Non merci, je suis au régime.
– Encore !
– Oui, je suis un régime à l’ail. Je mets de l’ail dans tout ce que je mange.
– Et ça marche ?
– Ben, ça ne me fait pas maigrir, mais ça fait reculer les gens quand je leur parle, et comme ça, de loin, je parais plus mince. »

Une femme du monde…
« Combien j’ai eu de maris ?
En comptant le mien ? »

Jean-Marc visite une usine de latex.
On lui montre d’abord la fabrication de tétines pour biberons de bébé.
La machine fait de façon répétée le bruit “HISSS-POP”.
Le guide explique :
« Le « HISSS », c’est quand le latex est injecté dans le moule. Le « POP », c’est quand l’aiguille vient percer un trou dans la tétine. »
Plus tard, le guide amène les visiteurs devant la fabrication des préservatifs.
La machine fait de façon répétée le bruit « HISSS – HISSS – HISSS – HISSS – POP ».
Alors Jean-Marc se tourne vers le guide et lui dit :
« – Hé attendez une minute ! J’ai bien compris d’après ce que vous nous avez expliqué tout à l’heure, que le « HISSS » était le bruit de l’injection du latex, mais à quoi correspond le POP ici ?
– Oh, c’est comme pour la machine qui fabrique les biberons de bébé : le POP, c’est quand un trou est percé tous les 5 préservatifs…
– Mais dites donc, c’est pas très bon pour votre production de préservatifs ça !
– Peut-être, mais en tout cas, c’est parfait pour la production de tétines de biberons de bébé… »

« Traiter son voisin d’imbécile n’est pas un manque de politesse, mais un diagnostic. »

Une dame âgée voyage en train entre Lausanne et Lyon.
Peu avant la frontière suisse elle s’adresse à son voisin, un prêtre :
« – Si vous pouviez mettre cette jolie trousse de toilette toute neuve que je viens d’acheter sous votre soutane, cela m’éviterait de payer une taxe.
– Bien sûr », lui répond le curé, « mais je dois vous rappeler que si l’on m’interroge, je ne pourrai pas mentir. »
Arrive la douane et le douanier :
« – Rien à déclarer mon Père ?
– De la tête à la ceinture : Je n’ai absolument rien.
– Ah bon », interroge l’homme un peu tatillon, « et en dessous ?
– Oh ! En dessous ? Je n’ai qu’un petit nécessaire pour dame qui n’a jamais servi… »

Bon week-end à toutes et tous !

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