Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 24 juin 2017

Acte II – Scène II


Aux plaisirs du palais – (Comédie dramatique en 3 actes et en prose !)

Avertissement : Ceci est une œuvre de totale fiction. Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé, a fortiori à naître, ne peut qu’être pure coïncidence totalement fortuite, fruit de l’aléa propre au pur hasard. Tout rapprochement incongru relèverait donc de la plus haute fantaisie et son auteur se verrait impitoyablement poursuivi en justice pour répondre du préjudice qu’il aurait pu ainsi créer.

Acte II – Scène II

(Entrent par une autre porte CS et CG).
CS – Ce n’est pas croyable ! Cette pimbêche affreuse avec ses cheveux en forme d’ananas montés sur crâne n’est même pas capable de me laisser entrer dans MES appartements ! Nico, où es-tu ?
CG – Il n’est pas là. Je te rappelle qu’on n’entre pas dans ce bureau sans en avoir au préalable demandé la permission ! Le Président pouvait être avec n’importe qui…
CS – Justement ! Je veux pouvoir vérifier s’il ne tringle pas une secrétaire ! Même à l’improviste. D’ailleurs j’exige d’avoir mon bureau, ici, dans la pièce contiguë !
CG – … en conversation hautement secrète ! Ce n’est pas un moulin, ici !
CS – Aaaaah ! Mais c’est ignoble, cette décoration ! Faut me changer tout ça et mettre un de mes portraits sur ce bureau ! Un grand où je souris ! Non mais ! On en trouvera bien un dans les archives maisons. C’est vraiment d’un mauvais goût, ici ! Hideux ! Je suis sûre que ma chambre est encore plus horrible !
CG – C’est le Président qui choisira son mobilier. Et pour le moment, son emploi du temps est chargé. Il y a Conseil en cabinet et tous les décrets de nomination des directeurs à préparer !
CS – Et c’est quoi, ça ? Un gode et de la vaseline ! Et électrique en plus ! Tiens ! Je ne l’avais pas, celui-là ! D’où ça sort ?
CG – Je l’ignore !
CS – Tu vois : dès que j’ai le dos tourné, il en profite pour recommencer ses frasques ! C’est invraisemblable ! Et avec Chirac en plus ! Où est-elle la victime ?
CG – Je ne sais pas. Il n’était que tous les deux, tout à l’heure.
CS – Ah bé, c’est du propre ! Les cochons ! Tous les mêmes ! Et sans capote en plus ! Il va encore me ramener n’importe quel microbe !
CG – Mais non, il doit y avoir une autre explication. On a du travail, là. On n’est pas là pour s’amuser. Il va d’ailleurs revenir et nous avons très peu de temps.
CS – Je m’en tape ! Je suis cantonné ici pour 5 ans, faudra bien que ce soit à mon goût où je rentre chez maman !
CG – Arrêtes de faire ta gamine : On n’est plus à Neuilly ou place Beauvau !
CS – Il n’empêche ! C’est toujours rive droite et moi je ne supporte pas !
(Entre NS par la porte où il est sorti)
NS – Putain la barre ! Et puis qu’est-ce que vous avez à vous disputer tous les deux ? On vous entend depuis le perron ! Qu’est-ce qui se passe ?
CS – Tu sais quoi ? Eh bien la Bernie avec ses pots de chambre sur la tête, elle est partie avec les clés de MES appartements ! J’exige qu’elle les rende immédiatement ou je ne reste pas une minute de plus !
CG – J’essayai de dire…
NS – Je suis au courant. Claude, tu forces la porte et tu vides tout son bazar d’ici à ce soir. Le grand con vient de me dire de tout livrer chez son pote libanais.
CS – Je veux aussi que tu changes tout le mobilier et j’exige d’avoir le bureau à côté du tien !
NS – Ma Biiiiche ! Calmes toi ! Tu auras tes appartements et ton bureau dès ce soir. Carte blanche pour la déco.
CG – Je vous mets en contact avec le Mobilier National ?
NS – Oui, c’est ça !
CS – Je veux du moderne ! Je connais d’ailleurs un art…
NS – Si tu veux ! Mais avant, j’aimerai souiller tous les coussins avec nos ébats, ma Biiiiche !
CS – Et puis quoi encore ! Si tu m’approches, je hurle que même la garde montée arrivera au grand galop !
NS – Ma Biiiiche…
CS – Et puis c’est quoi ça ? Tu te sers de godes, maintenant ?
NS – Mais non, c’est pas ce que tu crois ! C’est un truc de Jacquou ! Il le tiendrait de Mitterrand. Faut me vérifier ça, d’ailleurs, Claude. J’ai l’impression que c’est encore n’importe quoi.
CG – Vérifier quoi ?
NS – Que c’est un cadeau de Mitterrand à Jacquou le jour de leur passation de pouvoir. Ça vient bien de quelle que part. Alors, fais éplucher les comptes ou essayes de faire parler des témoins.
CG – Tu es sûr que tu veuilles que j’ébruite ce truc-là ? Ce n’est pas le vieux qui t’a encore joué un tour à sa manière ?
NS – Il ne manquerait plus que ça !
CS – En tout cas, je ne veux plus rien voir de pareil ici. Pour le reste, j’en reste à ce que j’ai dit : le mobilier est dégueulasse ! Je veux du moderne ! Je veux des meubles neufs !
NS – Ok, ok. Tu fais comme tu veux mais tu ne touches pas aux murs. Impératif secret défense.
CG – Secret défense ?
NS – Oui… Ah, ma Biiiiche ! Si tu peux, j’aimerai que tu m’installes le bureau sur une estrade avec deux marches de chaque côté. Je veux que les gens, même debout, me regarde par en dessous !
CG – Une estrade ?
CS – Une estrade ? Et pourquoi pas une fosse tout autour tant que tu y es ?
NS – Et un coussin discret sur le fauteuil.
CS – Comme tu veux ! À condition d’avoir des gardes du corps aux portes qui soient baraqués et mignons !
NS – Les gardes ?
CS – Je ne veux pas de nabots moches et sourcilleux dans mon entourage. Un me suffit déjà bien assez !
CG – Hum, hum ! Les Gardes Républicains sont tous sélectionnés selon des critères de taille et de conditions physiques draconiennes ! On ne peut pas en changer comme ça !
CS – M’en fous ! S’ils ne me plaisent pas, vous les mettez ailleurs. Je veux des cerbères, à ma porte et dans les couloirs, dignes de ce nom ! Et des célibataires de préférence. Et puis vous me changez leurs uniformes : je les veux en string !
NS – Tu es folle ! En string ? Mais tu es complétement cinglée, ma Biiiiche !
CS – J’ai des copines à satisfaire, figure-toi ! Et ne me parle pas sur ce ton, sans ça je hurle !
CG – Eh bien dites donc…
NS – Tu crois qu’on peut faire ça ?
CG – Ah non ! Impossible… Changer un uniforme séculaire comme ça sous prétexte que la présidente ou ses copines veulent se rincer l’œil, je m’y oppose catégoriquement ! La Garde, ce n’est pas du bétail tout de même ! Et puis quoi encore ?
NS – Écoute ma Biiiiche ! On a du travail. Alors tu fais comme tu veux. Tout juste, puisque tu es la première dame du pays, tu sors te faire faire des tenues de sorties et de soirées et tu te fais escorter en toute circonstance par les G-men du service. Un point c’est tout !
CS – C’est ça ! Pour m’espionner en permanence !
NS – Pas du tout ! Pour te protéger en permanence. Il nous serait très désagréable, au pays tout entier et à moi-même, que tu disparaisses ne serait-ce que 5 minutes. Tout le monde pourrait imaginer qu’El Qaïda t’a enlevée ! Tu imagines la suite ?
CS – Tiens ? Bien je voudrai bien voir ça ! Qu’ils essayent un peu de me toucher, tes barbus !
NS – Arrête ma Biiiiche ! Le monde entier t’adore déjà et serait navré qu’il t’arrive quoique ce soit !
CS – Le monde entier ? Tu es sûr ?
NS – Sûr !
CG – Ça c’est évident ! Le moindre problème de ce genre et toutes les chancelleries seraient sans dessus-dessous !
CS – À ce point ! C’est magnifique, ça ! Superbe même.
NS – S’il te plaît, n’abuses pas ma Biiiiche ! Vas faire tes courses. Et fais un tour du propriétaire pour moi, s’il te plaît. Nous, il faut qu’on bosse !
CS – Très bien. Si je dérange, je m’éclipse.
NS – À tout à l’heure, ma Biiiiche !
CS – Ah ! Encore une chose : c’est moi qui choisis tes collaboratrices. Celles qui ne me plaisent pas dégagent ! Compris ?
NS – Ma Biiiiche… On en a déjà parlé. J’ai besoin de gens compétents.
CS – Je sais les repérer. Pas question que tu t’entoures de sauteuses. Je connais les femmes, crois-moi !
NS – Comme tu veux ma Biiiiche !
CS – Et ne m’appelles plus comme ça ! Je suis quand même la première dame de France et le monde entier m’adore déjà. Alors un peu de respect.
(CS sort par où elle est entrée)
NS – Ouf ! Quelle journée !
CG – Elle en fait beaucoup pour te satisfaire, pourtant.
NS – Je ne parle pas de ça, mais de mes migraines. Tu ne sais pas la meilleure ?
CG – Non. De quoi s’agit-il ?
NS – De ça !
CG – C’est quoi cette histoire de Mitterrand ?
NS – Une ânerie, à mon avis. Mais faut vérifier.
CG – Et les codes ?
NS – Il m’a mis au parfum. Pas de problème. Bon, on a du taf ! Alors on y va ! Est-ce que tu as pu prendre tes quartiers ?
CG – Ça c’est bien passé. La boutique était bien tenue, les dossiers sont clairs et tous sont accompagnés de notes de synthèse. De son côté, les équipes de François seront toutes en place bientôt : la continuité du Service public est assurée.
NS – Parfait. Tu me fileras une copie de toutes les notes de synthèse. Je veux être au courant de tout. Absolument tout. Tu as une vue claire sur le pognon qui reste dans les caisses ?
CG – J’ai regardé les comptes spéciaux de l’Élysée : il ne manque pas un centime. Et on a de quoi faire !
NS – Ok. Tu te débrouilles pour que Cécilia ne claque nous pas tout l’oseille en fringues. Tu connais ses fournisseurs ?… De toute façon tu te fais rencarder par son escorte. Je peux te faire confiance ?
CG – Ne t’en fais pas. Mais comme elle de mauvaise humeur, ça risque de faire chaud d’ici ce soir !
NS – On verra bien à ce moment-là. Il en est où François avec son gouvernement ? On peut commencer notre réunion de cabinet ou non ?
CG – Brice n’est pas encore arrivé. Pour le reste tout le monde est là, depuis la porte de derrière. Et les textes des décrets sont prêts à la signature. Le parapheur est à côté. On fait comment ? On signe tout de suite ou tu veux le faire devant eux ?
NS – La publication est prévue pour quand ?
CG – D’après notre calendrier, ça sort au JO de vendredi au moment où tu en fais l’annonce. Signature demain au plus tard.
NS – Bon. On décide après la réunion. Car je veux un topo sur les directeurs et des conseillers de cabinet. Pas question qu’on n’impose pas nos bonshommes. J’ai lu la presse : ça va renâcler aux entournures !
CG – C’était voulu. Ça va quand même surprendre, non ?
NS – Ouais. On aurait pu faire mieux. Mais bon, on a assez réfléchi là-dessus. On ne va pas remette ça. Donc, à l’ordre du jour, les nominations des Directeurs et des conseillers. Je ne veux pas leur laisser la moindre marge de manœuvre. Et je veux aussi aborder les « secrétaires d’État » tout à l’heure. L’urgence est aux législatives. Il y a encore du monde à caser. Ça et finaliser les postes clés au parti. Je veux que Brice parvienne à verrouiller l’appareil. Je n’ai pas trop confiance dans les autres « baronnets » du triumvirat et de tous ceux qui se profilent derrière. Bon et la rue ? Ça se passe comment ?
CG – Pour le moment, on matraque tranquillement, dans le calme ici ou là. La presse est bien tenue au chaud et tout le monde attend tes premières déclarations et celles de tes visiteurs. Je te rappelle que tu reçois Vincent, Martin et Arnaud tout à l’heure pour le déjeuner.
NS – Il faut continuer à ce qu’ils s’occupent de ça en priorité. La racaille, on s’en tape pour l’instant… On y reviendra plus tard, si les sondages commencent à baisser. Alors là, on enverra les caméras là où ça chauffe. Histoire de faire peur. Pour les « potes », essayes de dégotter quelques bonnes bouteilles à la cave ! L’autre con n’a pas dû tout boire pour être un adepte de la roteuse. Et veilles à ce que nous ne soyons pas dérangés, sous aucun prétexte.
CG – Ok. Tu manges ici ou dans la salle à manger ?
NS – Ici. Genre sur le pouce.
CG – Entendu. Je fais monter François ?
NS – Si tu pouvais aussi me trouver un cachet d’aspirine, ça serait très bien… En attendant, je ne supporte déjà plus ce bureau. Faut me changer tout ça !
CG – Je laisse faire ton épouse ?
NS – Surtout pas ! Tu fais enlever tout ça d’ici ce soir. Doit bien y avoir encore quelle que part le mobilier du Général. Tu le fais installer après le déjeuner ?
CG – Et c’était sérieux l’histoire de l’estrade ?
NS – Quelle question ! Naturellement que je veux regarder de haut en bas ! Non mais ! Faut que les gens qui entrent ici sachent qui est le patron !
CG – Normalement, ils savent déjà, tu sais, avant même de franchir le portail d’entrée !
NS – Peu importe. Tu me fais faire une estrade haute comme ça, s’il te plait. Il y a de place sous le plafond. Ah ! Et puis changes moi ces rideaux ! Ils sont affreux.
CG – Et pour la peinture ?
NS – Tu ne touches à rien. C’est vraiment top secret défense. Par contre, j’y pense, il faudrait faire passer une équipe de détecteurs de micro. Je veux être sûr que le grand con il n’ait pas laissé traîner un mouchard quelconque.
CG – Entendu.
NS – Ah ! Pour les coussins, ceux-là, tu me les mets dans un coin. J’irai vraiment pisser dessus le temps qu’il faudra !
CG – Tu es sérieux ?
NS – Très sérieux ! Tu ne peux pas savoir comme cette idée-là me soulage ma migraine !
CG – Bon, je file te trouver François !
NS – Ne t’en vas pas tout de suite. J’aimerai aussi que tu te démerdes pour installer un lit escamotable discret, là en face. Non ! Sur le côté face à la fenêtre. Mais en toute discrétion. Pas question que Cécilia soit au courant. Par conséquent, un jour où elle ne sera pas là.
CG – Pour quoi faire ? Tu as ta chambre à l’étage ? Si c’est pour piquer un roupillon, ce n’est pas loin !
NS – Tu rêves ! Elle va encore me claquer la porte au nez plus qu’à mon tour.
CG – Ce n’est pas encore réglé, vos problèmes ?
NS – Ça n’en prend pas la tournure, en tout cas. Et comme je ne suis pas fait que de bois, faudra bien trouver un endroit pour dégorger le poireau en toute tranquillité.
CG – Tu veux aussi que je te recrute ton personnel tant que tu y es ? J’espère que tu n’y penses pas une seule seconde ! Que tu me fais marcher !
NS – Je rigole ! Mais n’empêche. 5 ans avec elle à côté et pas d’accès à autre chose, je le sens très mal ! Alors pour le personnel, tu as raison, je m’en occupe : tu as toujours eu mauvais goût sur ce plan-là. Tu me mettras quand même des loquets aux portes, qu’on ne puisse pas entrer ici sans que j’en décide.
CG – Mauvais goût, peut-être, mais moi au moins je ne suis pas emmerdé comme tu l’es. Pour les loquets, là, tu as raison : je n’ai pas pu la retenir tout à l’heure et un peu plus elle partageait tes secrets d’alcôve avec Chirac ! Quand j’y pense : Un Gode et de la vaseline ! Vous êtes vraiment des cochons, tous les deux !
NS – Oh ! Eh ! Arrêtes un peu avec ça, s’il te plaît ! Le Chirac, j’ai failli lui en mettre une. Mais pas pour ça !
CG – Ah ?… Pour quelle raison ? On peut savoir ?
NS – Vas chercher de l’aspirine, s’il te plaît et reviens avec François et les parapheurs. Je t’en remercie.
(CG sort)
NS – Yes ! Tous niqués ! Tous niqués ! Yes ! Yes !… Tous niqués ! Je suis le meilleur ! Yes ! Ah punaise ! Que c’est chouette ! Tous niqués ! Yes ! Pas un qui manque à l’appel ! Tous niqués ! Tous niqués ! Yes ! Yes ! Je vais leur en foutre plein le cul ! Yes ! Yes ! Tous niqués ! Tous Niqués ! Yes ! Yes ! Putain ! De Gaulle !…
(La niche s’ouvre dans le mur)
NS – …Je les ai tous eus, tes fils de pute ! Piétinés, tes baronnets de crotte ! Ah merde !… Cette putain de merde de connerie de bouton rouge !
(NS referme rageusement la niche).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire