Je
pense à vous, même le vendredi,
Et pourtant, notre RDV des
« Histoires d’en rire » ne devait pas être sacrifié…
La preuve :
Jean-Marc complètement bourré se
fait arrêter par la police. Il roule sur un sens interdit. Persifleur, le
policier lui demande :
« – On s’en va où comme ça ?
–
Ben à vrai dire, je ne m’en souviens plus, mais je dois être en retard, parce
que je vois tous les autres qui reviennent ! »
Ça vaut celle du type qui roule sur
l’autoroute et écoute Radio-trafic qui lance une alerte de véhicule roulant à
contresens : « Ils se gourent.
Ce n’est pas un véhicule, mais tous qui roulent à contresens ! »
Un perroquet voyage tout seul dans un
avion.
Tout à coup, il apostrophe l’hôtesse
(plus très jeune) :
« Hé, la vieille ! Apporte-moi un scotch et vite ! »
L’hôtesse fait la tête mais ne veut pas
faire de scandale et lui sert le scotch.
Un quart d’heure plus tard, le
perroquet remet ça :
« Hé, la taupe ! Apporte-moi un scotch et plus vite que ça ! »
L’hôtesse rouge d’impatience, lui sert
le scotch.
Derrière le perroquet, il y a Jean-Marc qui a déjà pas mal bu et qui
se dit :
« C’est
fou ! Ce qu’un bête perroquet sait faire, moi je sais le faire aussi… »
Et, à voix haute, il s’écrie :
« Hé, la vieille ! Apporte-moi un gin-tonic et pronto ! »
Cette fois-ci, l’hôtesse va se plaindre
au commandant qui revient avec ses hommes pour flanquer dehors les deux
passagers.
Au moment où l’équipage ouvre la porte,
le perroquet
e tourne vers Jean-Marc :
« Hé ! Dukon ! Tu as une bien grande gueule pour quelqu’un qui ne sait
pas voler… »
« – Quel est le meilleur prénom pour une patiente chez le psychanalyste ?
– Anna-Lise. »
Un jeune hémophile est mort.
Il avait entrepris de se soigner par
l’acupuncture.
Jean-Marc et Jean-Paul sont à la
terrasse d’un café devant leur troisième mojito et l’un lit le journal.
« – T’as vu ce qu'ils disent ? À Chicago y a un mec qu’est tué toutes les
20 minutes !
– Le
pauvre vieux ! »
Les mêmes un peu plus tard :
« – Tu sais qu’il existe deux types de douaniers.
– Ah
oui ? Lesquels ?
– Les
manuels et les intellectuels…
– Et
tu les reconnais comment ?
– Les
manuels font signe de passer avec la main. Les intellectuels le font avec la
tête. »
« Les
fonctionnaires sont un peu comme les livres d’une bibliothèque : Ce sont les
plus haut placés qui servent le moins ». (G.Clémenceau).
Du même auteur :
« La
France est un pays extrêmement fertile : On y plante des fonctionnaires et il y
pousse des impôts ».
Le professeur demande à Jean-Marc quel est le travail de son
père.
« – Fonctionnaire.
– Et
ta mère ?
–
Ben, elle ne fait rien non plus. »
« Mâââââdame ! Mâââââdame ! Mâââââdame ! » crie la nourrisse.
« – J’ai laissé tomber le bébé dans la baignoire !
–
Sortez-le de là au lieu de crier comme une folle.
–
Mais mâââdame, l’eau est bien trop chaude… »
Lors de sa visite d’inspection d’un
chantier, le ministre demande à un travailleur :
« – Quelle est ta fonction ?
– Chef
d’équipe » lui répond-il.
« Et toi ? » interroge le ministre à un autre.
« – Chef d’équipe !
– Et
toi ?
–
Chef d’équipe !
– Et
toi ?
–
Chef d’équipe !
– Et
toi alors ?
–
L’équipe ! »
« – Pour quelle raison les prêtres et curés sont-ils souvent sourds ?
–
Parce que Jésus crie. »
« – Bonjour, je voudrai une robe de chambre.
–
Très bien, d’accord … Quelle taille la chambre ? »
Dans un bar, Jean-Marc assis sur un tabouret, dit à son voisin :
« – Monsieur, je n’ai pas le plaisir de vous connaître, mais je vous
trouve très beau.
– Confidence
pour confidence, je vous trouve très beau aussi.
–
Vous êtes homosexuel ?
–
Non. Et vous ?
– Moi
non plus.
– Quel
dommage !
– Ah
oui : Quel dommage… »
Une petite fille s’adresse à sa
grand-mère :
« – Mémé, tu tricotes drôlement vite !
– Oui,
je me dépêche avant que la pelote soit finie ! »
Une vieille dame habite un troisième
étage, sans ascenseur.
Jean-Marc, un de ses amis, arrive
chez elle un après-midi, tout essoufflé :
« – Mais pourquoi donc, Germaine, t’entêter à rester au troisième étage ?
– Jean-Marc,
mon ami, tu sais que j’ai toujours aimé faire battre les cœurs, et c’est le
seul moyen qu’il me reste… »
« Ton futur dépend de tes rêves.
Dépêche-toi !
Ne perds pas de temps : Va te coucher ! »
Comptes rendus absurdes :
Question de l’adjudant à son
brigadier :
« À quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision
? »
Chez « Air-Transe », extraits
des carnets d’entretien des avions :
« – Le pneu principal intérieur gauche a quasiment besoin d’être changé.
– Pneu
principal intérieur gauche quasiment changé. »
« – Test en vol OK sauf l’atterrissage automatique très brutal.
– Pas
de système d’atterrissage automatique sur cet avion. »
« – Y’a quelque chose de desserré dans le cockpit.
– Y’a
quelque chose de resserré dans le cockpit. »
« – IFF inopérant.
– IFF
toujours inopérant quand il est éteint. »
« – Phare rotatif inférieur à moitié rempli d’eau.
– Phare
rotatif inférieur totalement rempli. »
« – Fuite d’eau manifeste sur le train d’atterrissage principal droit.
– Fuite
plus manifeste. »
« – Volume de DME incroyablement bas.
– Volume
ramené à un niveau plus croyable. »
« – Punaises mortes sur le pare-brise.
– Punaises
vivantes commandées. »
« – L’avion a un comportement marrant.
– Avion
averti de la nécessité de se retenir de voler droit et de rester sérieux.
Essais au sol : OK. »
« – Le mode activé du pilote automatique provoque une descente de 200
pieds par minute.
– Problème
non reproductible au sol. »
« – Les crans font s’enfoncer la manette des gaz.
– C’est
à ça qu’ils servent. »
« – Moteur n° 3 manquant.
– Moteur
trouvé sur l’aile droite après une brève recherche. »
« – Il y a un bruit provenant du moteur n° 2 comme si un type tapait avec
un petit marteau.
– Petit
marteau confisqué au type du moteur n° 2. »
« – Gémissement provenant du moteur n° 2.
– Petit
marteau rendu au type du moteur n° 2. »
Jean-Marc et
Jean-Paul philosophent :
« L’occasion fait le larron » dit le premier.
« Et le manque d’occasion fait l’honnête homme » réplique le
second.
« Qui vole un œuf se voit condamné », reprend le premier.
« Et celui qui qui vole un État se voit couronné », conclut
Jean-Paul.
Au moment des funérailles de sa femme, Jean-Marc est pris d’un fou-rire qui
étonne tout le monde.
Alors on lui demande pourquoi tout ce
rire malgré que sa femme soit morte !
Il leur répond : « Cette fois-ci, je sais bien où elle va
! »
« En théorie il n’y a aucune différence entre la théorie et la pratique.
Dans
la pratique ce n’est pas le cas… »
Une mère à son fils :
« – Jean-Marc, ferme la porte,
il fait froid dehors !
– Mais
maman, si je ferme la porte, il fera toujours froid dehors… »
« La France… Comme c’est maintenant ? C’est pas plus mal que si
c'était pire ! »
Une
« revenue » :
C’est un pharmacien qui, en arrivant au
travail vers dix heures, voit un gars debout l’air crispé, se tenant d’une main
près de la porte sur le mur extérieur.
Alors il demande à sa charmante
employée :
« – C’est quoi l’affaire du gars dehors ?
– Ah
oui… À l'ouverture ce matin, le gars est venu acheter du sirop pour la toux,
mais je n'en ai pas trouvé ! Alors je lui ai vendu une bouteille de laxatif et
le gars l’a bue sur place.
– Mais on ne peut pas soigner une toux avec un
laxatif ! Vous êtes folle mademoiselle… »
La jolie laborantine répond d’une voix douce :
« Bien sûr que si, vous pouvez… Regardez, maintenant : Il n’ose même
plus tousser ! »
L’âge
du Capitaine…
Une dame fort riche et sans descendance
est retrouvée pendue au lustre de son immense salle de bain par sa gouvernante.
La porte a dû être défoncée par le
jardinier. Il n’y a pas d’autre ouverture. Tous le mobilier est en place, rien,
aucun meuble ne se trouve à proximité qui lui aurait permis de se hisser
jusque-là, la pièce étant tellement grande : Lavabos, jacuzzi, armoires,
tout est en place.
Et aucun mot n’a été laissé par la de cujus pour expliquer son geste.
La police soupçonne alors le mari
d’avoir organisé ce suicide : Il est son héritier direct, le bénéficiaire
d’une imposante assurance-décès pour ce qui est du mobile, mais il a un alibi
en or.
Il séjournait sur la côte avec une
jeunette et a été vu à plusieurs reprises dans des cercles de jeu et quelques
restaurants.
Peut-être a-t-il mandaté quelques
tueurs à gages en manque d’argent.
Mais la piste s’évanouit dans la mesure
où aucun argent n’a vraiment été dépensé (il a même gagné au casino) et de
toute façon, il n’y a absolument aucune trace d’effraction dans cette vaste
demeure sous surveillance-vidéo étroite.
Inculpé, il est ensuite relaxé faute de preuve.
Et à juste titre, parce que Madame
s’est réellement suicidée.
Mais comment s’y est-elle prise pour
faire ainsi peser les soupçons sur son mari ?
Celui ou celle qui a pu dire qu’il
s’agit de la joie d’une mariée et que l’attitude, digne mais déconfite de ses
deux demoiselles d’honneur qui l’entourent et ont été éconduites par l’époux de
la première se seront plantés : On ne se marie pas en maillot de bain,
même quand on est « vraiment jeune et jolie », enfin voyons !
Non, il s’agit d’un concours de
« Miss-Beauté ». La couronnée est à sa joie d’en pleurer et ses
dauphines tristes d’avoir perdu…
Bien à toutes et tous et bon
week-end !
I3
Encore une histoire de glaçons, je pense. Cette femme très riche avec un nom au lustre ancestral, a mis un gros bloc de glace sous ses pieds pour accéder au lustre de cristal (qui entre parenthèses devait être hyper bien accroché !).
RépondreSupprimerLa glace a fondu et l’eau s’est évaporée.
Comtesse ÔPiedNu
Vous... Vous êtes trop forte.
SupprimerBien sûr que c'est une histoire de bloc de glace qu'elle pousse du pied dans le jacuzzi et qui disparaît.
BRAVO.
Faut que je vous en trouve une plus forte pour le prochain coup : Je me désespère !
Bien à vous "Ô Comtesse-au-pied-dénudé" (qui s'y connaît en lustres-bien-accroché dans son vaste château ancestral) !
I-Cube