Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 avril 2017

Archives


Dans la série laissées en « stock » : 

« – Maman, man », hurle le petit Jean-Marc, « Alexandra est en train de manger le journal. Il y a de la bave partout, et elle est toute rouge.
– C’est pas grave, c’est celui d’hier. »

Un groupe d’ingénieurs a pour tâche de mesurer la hauteur d’un mât.
Ils s’approchent du mât avec les échelles, des rubans à mesurer, des compas et tout l’artillerie.
Tour à tour, ils tombent de l’échelle ou échappent le ruban à mesurer, etc.
Un technicien passe et voit ce qu’ils essaient de faire.
Il tire le mât hors de terre, le met à plat, le mesure d’un bout à l’autre et donne la mesure à un des ingénieurs, puis il s’en va.
Une fois le technicien parti, un des ingénieurs se tourne vers les autres et dit en riant :
« Ça c’est ben un technicien. On cherche la hauteur et il nous donne la longueur. »

Jean-Marc et son gosse se promènent dans un verger.
« – C’est quoi ces fruits-là, papa ?
– Des prunes noires.
– Elles sont roses les prunes. Pourquoi tu dis qu’elles sont noires ?
– Parce qu’elles sont vertes. »

Jean-Marc, très occupé par sa carrière fait laver ses vêtements par une entreprise privée.
Il remarque que ses sous-vêtements reviennent toujours plus ou moins propres.
Alors il inscrit sur un bout de papier, qu’il agrafe aux caleçons :
« Utilisez plus de savon !  »
La semaine suivante, lorsqu’il reçoit sa lessive et qu’il vérifie si ses caleçons sont revenus plus propres, il trouve dans l’un d’eux, un papier sur lequel est inscrit :
«  Utilisez plus de papier !  »

Jean-Marc, en sueur, les mains moites, entre dans le bureau du patron qui a la réputation de terroriser son personnel.
« – Ben, heuh, c’est que… En fait, si je suis ici, c’est que ma femme m’a demandé de vous demander une augmentation de salaire.
Elle a exigé que je le fasse aujourd’hui.
– Hum, ok, je vais demander à ma femme ce qu’elle en pense. »

Jean-Marc, un petit garçon de 6 ans dit à sa sœur de 10 ans :
« – Tu sais comment on fait les enfants toi ?
– Mais oui. Facile.
– Alors dis-moi !
– Eh bien c’est simple, le papa il met la graine dans le ventre de la maman …
– Et après ?
– Et après il la pousse bien au fond avec son pénis. »

Un couple célèbre son 38ème anniversaire de mariage. Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village.
On disait d’eux : « Quel couple pacifique et amoureux ».
Jean-Marc, un journaliste local décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.
« – Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce », explique le mari.
« Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à d’os d’âne. Nous n’avions pas encore parcouru une grande distance que l’âne de ma femme a trébuché.
Ma femme, sur un ton tranquille a dit :
« Première fois ». Elle a fait se relever l’âne et nous avons continué.
Après une courte distance l’âne trébuche de nouveau.
Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :
« Seconde fois ». Elle a encore fait se relever l’âne et nous sommes repartis.
Nous n’avions pas fait la moitié d’un mile que l’âne trébuche pour une 3ème fois.
Tranquillement, ma femme a sorti un pistolet de son sac et a tiré l’âne.
C’est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité cette pauvre bête, quand soudain, elle m’a regardé et m’a dit d’une voix tranquille : « Première fois ».
Depuis ce jour, nous vivons heureux. »

Quand Jean-Marc a su qu’il hériterait d’une fortune de 20 millions de dollars à la mort de son père, il a vite compris qu’il pourrait en profiter pour se marier rapidement à une très belle femme.
Il décida donc d’aller dans un bar pour célibataires, où il rencontra une superbe femme.
Sa beauté lui coupa le souffle.
Voulant profiter rapidement de la mort prochaine de son père, il prit son courage à 2 mains, et alla rapidement lui dire:
« Je peux sembler être un homme ordinaire, mais d’ici une ou deux semaine mon père va mourir et je vais hériter de 20 millions de dollars… »
Très impressionnée, la femme accepta la proposition de l’homme de retourner à la maison avec lui.
Trois jours plus tard, elle devenait sa belle-mère…

Jean-Marc et Jean-Paul se rencontrent dans un bar.
« – Alors, ta femme est toujours aussi dépensière ?
– Épouvantable. Pour essayer de la convaincre, je lui ai acheté un livre sur la gestion du budget familial.
– Bonnnn…
– Ben elle m’a interdit de fumer et elle a vendu notre hors-bord. »

Nous sommes en 2019, un robot entre chez Zara :
« Je voudrais un mètre cinquante de tôle ondulée, ma femme veut se faire une jupe plissée. »

Au Moyen-âge, un noble très amoureux de la comtesse habitant le château voisin, lui fait une cour effrénée depuis de longs mois.
Un soir, il organise un somptueux repas où la belle est, bien entendu, l’invitée d’honneur…
Pendant le repas, les serviteurs apportent les différents mets.
L’un d’eux présente à la comtesse un superbe plat dans lequel se trouvent plusieurs poulets rôtis.
La belle hésite à choisir pendant plusieurs minutes, ne sachant quel morceau serait le plus à son goût.
Enfin, elle se sert et prend un cou de poulet.
Notre hôte, voyant cela, se penche vers sa voisine, la comtesse, et lui glisse malicieusement à l’oreille :
« Allons, ma chère Comtesse, avec de si belles cuisses, vous ne tirez qu’un cou(p) ? »

Les blagues racistes retrouvées avant censure :
(Avertissement : Ce n’est que pour rire, bien entendu).

Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Un jour le racisme disparaîtra.
– Oui mais en même temps que les arabes. » 

Les mêmes :
« On dit souvent que les immigrés doivent s'intégrer.
La solution la plus rapide serait de les désintégrer. »

« Qu’est-ce qu’un arabe mort-né ?
La preuve que la nature peut parfois rattraper ses erreurs. »  

« Que signifie le mot « RAP » en francilien-natif ?
Retour Au Pays. »

« – Pourquoi n’y a-t-il pas d'arabes dans Game Of Thrones ?
– Parce que le ménage a déjà été fait. » 

Avec Le-Peine-père, la parole s’est libérée en Gauloisie :
« Autrefois, il y avait le RMI : Revenu pour les Maghrébins Immigrés.
Aujourd'hui il y a le RSA : Revenu pour les Sales Arabes. » 

« Tu sais quoi ? La France n’est plus le pays de la laïcité.
Elle est devenue le pays de l’Allahicité… » 

De Jean-Paul à Jean-Marc :
« En France, il y a des quartiers interdits aux blancs : Aucune sanction, et tout le monde trouve ça normal.
S’il y avait un seul endroit interdit aux arabes ou aux noirs, il y aurait un scandale médiatisé et des procès rendus publics, pour apartheid. »

Une revenue pour finir : 

Un beau matin, un fermier découvre dans son poulailler un œuf en forme de cube.
Surpris, il surveille ses pondeuses de près et parvient à identifier la poule responsable de l’exploit.
Il présente sa poule au concours des gallinacés au Salon de l’Agriculture où, chaque matin, sous les yeux ébahis des visiteurs, sa poule pond un œuf cubique.
Le gouvernement propose une jolie somme d’argent au fermier pour développer la poule et sa descendance.
Imaginez ! Un produit de classe mondiale qui pourrait révolutionner les marchés.
Dès que la poule est sous le contrôle du gouvernement, elle commence à pondre des œufs ordinaires.
Les fonctionnaires convoquent le fermier, demandent un remboursement au fermier qu’ils soupçonnent de fraude.
On le menace.
Le fermier demande à sa poule :
« – Ben alors, tu ne ponds plus d’œufs cubiques ?
– Hé! Je suis fonctionnaire maintenant. Plus question de me fendre le cul en quatre ! »
Dans l’originale, il s’agissait d’un problème de souris dans les caves d’archive de la Préfecture. Rien n’y faisait malgré l’intervention de dératiseurs réputés.
Jusqu’à ce que Jean-Marc ait l’idée de prêter son chat au préfet.
D’un coup d’un seul, plus aucune souris.
On embaucha le chat et dès le surlendemain de la décision, les archives étaient de nouveau envahies de souris.
Et le chat de se défendre : « Maintenant que je suis titularisé, pourquoi me casser le cul ! »

L’âge du Capitaine :

Dans l’enquête de la semaine dernière, personne n’avait remarqué les traces d’eau au sol de la salle de bain.
Et pourtant, si Madame est restée pendue à son lustre, c’est qu’elle s’est hissée jusque-là en se servant d’un bloc de glace qui aura glissé ensuite jusque dans le jacuzzi situé à proximité pour fondre sans laisser de trace : Seule la Comtesse-au-pied-dénudé a fait l'effort de trouver : Bravo à elle !
C’est l’hypothèse la plus vraisemblable dans la mesure où on ne voit pas bien comment elle a pu atteindre son lustre sans même s’aider d’un meuble ou d’un tabouret.

En revanche, dans celle de cette semaine, Madame est retrouvée asphyxiée, plus exactement intoxiquée au monoxyde de carbone durant son sommeil, au petit matin glacé.
Sa chambre est fermée de l’intérieur, les fenêtres sont également fermées et aucune trace d’effraction n’est relevée par la police.
L’appareil de chauffage au gaz est éteint, alors que l’expertise démontrera qu’il est en parfait état de fonctionnement, et ça empeste le gaz de ville qui alerte les secours quand ils pénètrent dans la pièce mais trop tard pour la réanimer.
L’autopsie démontrera qu’elle était sous l’effet de son valium quotidien et, bien qu’aucune lettre ne soit retrouvée pour expliquer son geste funeste, tout le monde pense alors à un suicide tellement elle était dépressive dans les semaines précédentes.
Notons simplement que son époux faisait chambre-à-part et que le reste de l’appartement était chauffé normalement, hors la chambre de la de cujus.
Ce n’est pas un suicide mais un meurtre.
Comment a-t-il été commis par le mari ?

Bien à toutes et à tous : Bon week-end !

I3

4 commentaires:

  1. Cela me rappelle une histoire d’Agatha Christie. Une victime morte d’asphyxie par la réaction chimique de la déshydratation de l'acide formique par l'acide sulfurique.
    Le mari peut-être chimiste aurait placé son dispositif mortel dans la grille d’aération.
    Tiré par les cheveux hein ?

    ComtesseÔPiedNu

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, bien trop !
      C'est beaucoup plus simple.

      J'avais lu cette nouvelle d'Agathatha. Et je n'avais pas été convaincu, me souvins-je.
      Mais bon, le plaisir de la lire est aussi ailleurs.

      Bien à vous charmant Comtesse Ô pied dénudé!

      I-Cube

      Supprimer
  2. Il y a une récurrence dans les histoires de l’âge du capitaine : la réponse est toujours à l’intérieur de la description des faits.
    Mon idée que le mari aurait pu introduire sous la porte verrouillée un tuyau relié à une bouteille de gaz est donc fausse.

    Bonne soirée oxygénée.
    ComtesseÔPiedNu

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Elle est effectivement fausse.
      Mais vous avez raison : Tout est dans l'énoncé.

      D'ailleurs, historiquement, c'est en 1841 que Gustave Flaubert a envoyé sa première énigme à sa sœurette Caroline.
      Mais c'était conçu de telle sorte qu'aucun élément de l'énoncé ne permettait de répondre à la question posée :

      "Puisque tu fais de la géométrie et de la trigonométrie, je vais te donner un problème : Un navire est en mer, il est parti de Boston chargé de coton, il jauge 200 tonneaux, il fait voile vers Le Havre, le grand mât est cassé, il y a un mousse sur le gaillard d'avant, les passagers sont au nombre de douze, le vent souffle N.-E.-E., l'horloge marque trois heures un quart d'après-midi, on est au mois de mai.
      On demande l'âge du capitaine ?"
      Gag !

      Bonne soirée à vous aussi, Ô Comtesse au pied dénudé !

      I-Cube

      Supprimer