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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 28 février 2017

Vous en savez enfin un peu plus :


« MacRond » se déclare !

Dans son interview aux Échos-du-matin, où il détaille pour la première fois son projet économique, il propose un cocktail de mesures d’économies sur les dépenses de l’État et certaines dans la sphère sociale (60 milliards au total), combinées à une relance de l’investissement public dans quelques secteurs (50 milliards pour la formation, la santé, la numérisation, l’agriculture, l’environnement, les transports locaux… mais rien pour les coïts-féconds).
L’ex-ministre de l’économie annonce aussi, s’il est élu, une réforme ambitieuse de l’assurance-chômage, qui serait étatisée, disons « nationalisée », mais aussi généralisée, donc obligatoire à toutes les catégories de travailleurs, tout en étant rendue plus contraignante en matière de recherche d’emploi.
En outre, il confirme sa réforme de l’impôt sur la fortune, cantonné aux seuls biens immobiliers, l’abaissement des cotisations payées par les salariés en échange d’une hausse de la CSG (qu’on imagine à « balance-nulle ») fixant comme objectif la création d’un prélèvement forfaitaire unique au taux de l’ordre de 30 %, « tout compris », sur le capital : Une sorte de bouclier-fiscal sur les patrimoines (y compris « professionnels » ou un minimum-minimorum, on ne saura pas ?).
D’autant qu’il garde dans sa manche une ultime « gâterie » pour les contribuables modestes et moyens, qu’il a révélée vendredi dernier sur « Rocher-Monte-et-Carlo » : L’exonération de la taxe d’habitation pour 80 % des ménages, qui coûtera à l’État une dizaine de milliards et qui fait déjà rugir les maires des communes-municipales : « Dès 2019, 4 Français sur 5 ne paieront plus la taxe d'habitation » précisaient dans la foulée les experts « d’En marche ! ».
Ce que d’aucun considère comme un geste pour le pouvoir d’achat qui montre que, s’il tient par-dessus tout à respecter nos engagements européens sur les 3 % de déficit, il estime qu’il ne pourra pas gagner l’élection sans apporter quelques remèdes à l’allergie fiscale développée dans les classe moyennes par le quinquennat de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » dit aussi « Gras-nul-laid », là où moi je traduis une seconde « nationalisation », celle des finances municipales…

Mais il va plus loin encore : « Je veux rendre nos dépenses publiques plus efficaces tout en finançant la transformation de notre modèle de croissance. Cela passe par trois grandes idées (…) le respect de nos engagements européens en restant dans l’épure des 3 % de déficit (…). Je ne prendrai pas de mesures additionnelles à l'été : Ni cadeau, ni rigueur supplémentaire. »
Voilà « Angèle-A-Mère-Quelle » rassurée…
Et pour enfoncer le clou, il vous indique que le poids de la dépense publique devra être progressivement ramené vers la moyenne de la zone euro. « Je prévois donc une baisse de 3 points de la part des dépenses dans la richesse nationale. Cela représente 60 milliards d’économies par rapport au tendanciel. »
Ah oui, le encore « économies par rapport à ce que j’aurai pu faire si je ne me retenais pas », on connaît : Ils nous l’ont servi depuis plus de 5 ans, à peu près tous les jours…
Et il en rajoute : « Je construirai un nouveau modèle de croissance avec un plan d’investissement public de 50 milliards d'euros durant le quinquennat, en plus du soutien fiscal à l’investissement privé. »
Ce qui revient à dire, je t’en retire 60, mais pas chien pour deux sous, je t’en rajoute 50 en direction… des entreprises privées.
Comme le « tendanciel » est de l’ordre de 2 à 3 milliards/an, vous avez donc compris que la baisse des dotations publiques n’est pas encore pour demain : On va gaver « la finance » d’emprunts nouveaux, faut pas dékonner avec le grisbi, le pognon « pas à moi » mais à celui de l’électeur-kon-tribuable !

Sur ces 50 milliards, « 15 milliards seront consacrés aux compétences et qualifications des Français avec un plan de formation ambitieux des jeunes et des demandeurs d’emploi. 15 milliards seront consacrés à la transition écologique et énergétique (…) »
En voilà déjà 30 qui vont partir en fumée dans le tonneau des danaïdes-locales, comme si les nombreuses dizaines de milliards déjà claquées dans la formation primaire et jusqu’à la permanente ne suffisaient pas avec les résultats que l’on connaît d’une descente aux enfers régulière mais persistantes aux classements, Pisa y compris…  
Quant à la fameuse « transition énergétique », plus personne ne sait de quoi il s’agit vraiment. En revanche, c’est un beau et grand ministère aux moyens renforcés promis à « Ségololo » qui correspond à ses canons de beauté et risque de rater son entrée dans des organismes internationaux…
Autres priorités : « La modernisation des administrations publiques (numérisation), l’agriculture, les transports locaux, et la santé. ».
Bien sûr, bien sûr…
C’est sûr que les vaches seront mieux traites par des ordinateurs connectés wifi.
On en cause depuis combien de temps au juste ?
Déjà une priorité du « Chi », me semble-t-il, avec sa « réduction de la fracture-sociale » et la lutte contre le cancer…
J’adore les résultats acquis par tous ceux-là !

« Je vise d’abord 25 milliards d'économies sur la sphère sociale. Cela passe par 15 milliards sur l’assurance-maladie (…) »
C’est du « Fifi-le-voyou » tout craché : La pilule de « Juppette » aurait été moins amère.
« Je ne supprimerai aucun poste dans la fonction publique hospitalière. La réorganisation du système de soins est de nature à faire ces économies et à conduire un vrai plan de modernisation de l’hôpital. »
Là encore, à peine crédible vu les résultats déjà promis et qu’on n’a jamais vus venir !
« Je réaliserai 10 milliards d’euros d'économies sur l'assurance-chômage grâce aux réformes structurelles. »
Gourgandine : La gestion du « bidule » coûterait encore 10 Md€/an après la fusion de l’Unedic et des Assedic de « Bling-bling » ?
Je ne le crois même pas…
« Je veux nouer avec les collectivités un pacte sur cinq ans, dans lequel je contractualiserai une baisse de 10 milliards d’euros de leurs dépenses. Cette baisse sera à leur main. Parallèlement, je leur donnerai des marges de manœuvre. (…) »
Faudrait savoir : On leur laisse la bride sur le cou ou on les met sous tutelle ?
« Ce sera à elles de décider désormais pour leurs agents. » Comme si ce n’était pas déjà le cas…
« Elles pourront (…) recourir plus largement à des recrutements de droit privé. Je leur demande (…) de respecter la durée annuelle légale du temps de travail. Autre liberté : les communes (…) pourront revenir sur la réforme des rythmes scolaires »…
Le type n’hésite même pas à rouvrir des chantiers qui ont laissé tant de plaies pas encore cicatrisées : J’admire.
Vraiment, j’admire ce 180° !

« L’effort (pour l’État) atteindra 25 milliards d'euros. Il reposera sur un mode de gouvernance totalement nouveau (…) » Ah oui ? Lequel ? On se passe du Parlement, par exemple ?
« Le statut des fonctionnaires ne sera pas remis en cause, mais il sera modernisé. Il s’agit de mieux reconnaître les plus engagés. (…) Un jour de carence (sera restauré) (…) ». Un seul ?
« Il est possible de ne pas renouveler 120.000 postes de fonctionnaires, 70.000 venant des collectivités et 50.000 de l’État (…) Ce sera aux ministres de faire des choix. »
Voilà qui devient plus conforme aux aspirations de la « technostructure » : Une dose homéopathique conditionnelle aux ministres mis sous la pression syndicale.
L’essentiel est donc sauf !

Pour les retraites, il botte en touche après un « renvoi aux 22 » : « Je détaillerai une proposition de réforme structurelle des retraites le 2 mars prochain : Elle ne sera pas guidée par une logique budgétaire mais par une logique d’équité. »
La belle ambition que voilà : Et c’est qui qui compte ?
Ou alors on ne compte plus rien du tout, je ne sais pas…
Sur la fiscalité : « Je propose (…) des baisses d'impôts réparties équitablement entre ménages et entreprises (…). »
Vous vous souvenez que les impôts et taxes que payent les entreprises, vous les retrouvez dans votre assiette, à travers le prix payé…
Lui, il l’a oublié.
« Sur le quinquennat, mon objectif est d’aboutir à une baisse nette des prélèvements obligatoires de 20 milliards, pour soutenir le pouvoir d’achat et l’investissement. (…) Les couples pourront choisir d’individualiser leur impôt sur le revenu (ou non : Le divorce-fiscal à la carte…). Je présenterai prochainement une autre mesure de réduction d'impôt, pour environ 10 milliards, (…) mise en œuvre au début du quinquennat, visera les classes populaires et les classes moyennes (…). »
Pour l’heure, on ne sait pas de quoi il s’agit.

Mais dans le détail, il a pu préciser que vendredi dernier sur la « radio-périphérique » du Rocher que souhaiter que l’État « exonère les Françaises et Français de classe populaire et de classe moyenne sur leur taxe d'habitation ». Précisant que seraient exonérés « 80 % de celles et ceux qui la payent ».
La mesure ne « coûte(ra) rien aux collectivités locales », puisqu’elle sera à la charge de l’État, a-t-il précisé. « C’est la mesure la plus essentielle et la plus juste pour le pouvoir d’achat », a-t-il justifié.
Attend-là, coco : L’État, c’est qui ? Et qui donc le finance au juste ?
« (La hausse de la CSG) s’accompagnera d’une réforme globale, avec la création d’un prélèvement forfaitaire unique au taux de l’ordre de 30 %, prélèvements sociaux inclus, pour tous les revenus du capital : Intérêts, loyers, dividendes, plus-values, etc. (…) » Nous l’avons déjà dit, mais il s’est fait plus précis : « (Pour l’assurance-vie, les) conditions ne changeront pas pour les contrats et dépôts existants, mais seulement pour les flux à venir, les nouveaux versements. L’objectif est de réorienter massivement l’épargne vers l’économie productive. C’est la même logique qui prévaut pour la transformation de l’ISF en impôt sur la fortune immobilière. »
Et alors, qui va financer les déficits de l’État et des retraites, gourmands des collectes de l’assurance-vie ?
« (Pour les entreprise), la transformation du crédit d’impôt compétitivité emploi en allègement pérenne de cotisation s'opérera dès 2018 (…) le taux de l’impôt sur les sociétés sera ramené de 33,3 % à la moyenne européenne, c’est-à-dire 25 %, sur le quinquennat ».
Ne pouvait-on pas y penser plus tôt ?
« (Il y aura des hausses d’impôts) uniquement en matière de fiscalité écologique, avec l’alignement progressif de la fiscalité du diesel sur l’essence et la montée en charge de la taxe carbone (… c’est déjà en cours) les propriétaires de véhicules diesel anciens bénéficieront d’une prime de conversion pour l’achat d'un véhicule plus écologique, neuf ou d’occasion. »
Faut savoir : C’est une hausse ou une nouvelle « niche fiscale » ?

Précision pour le pouvoir d’achat des électeurs : « La suppression des cotisations salariales maladie et d’assurance-chômage, mesure qui sera entièrement financée par une hausse de la CSG sauf pour les petites retraites, (…) rapportera 250 euros de plus par an à une personne au SMIC. Une hausse de 50 % de la prime d'activité est aussi prévue. Et toute hausse de TVA est exclue. »
Là encore, je veux bien, mais c’est financé comment ? Par une hausse des cotisations patronales ?
Précision sur la lutte contre le chômage : « Ce sera vraiment le cœur de mon projet : Investissements, formation professionnelle, baisse des charges et réforme du marché du travail (…) Il y aura une décentralisation des négociations sociales : C’est la loi qui définira l’ordre public social, les entreprises et les branches pouvant y déroger par accords. Il faut assumer davantage de flexibilité, je n’ai pas peur du mot, pour adapter notre droit du travail aux mutations en cours. »
Il devrait prendre des cours de droit et ne pas réitérer la konnerie de la loi « El Konnerie » qu’il a manifestement inspirée : L’ordre public, même social, personne ne peut y déroger, ni une convention, ni un juge…
C’est dans son essence même, ou alors elle n’est plus d’ordre public, mais seulement normatif ou d’application.
« Une réforme de l’Unedic permettra d’aller vers une assurance-chômage universelle (…) Il faut que le système change vraiment. J’ai (…) proposé que le bénéfice des droits à l’indemnisation soit ouvert à tous ceux qui démissionnent de leur entreprise, ainsi qu’aux indépendants, aux professions libérales et aux entrepreneurs. »
Il ne sait pas et ne dit pas qu’une prestation n’est ouverte que sur un « risque » assuré, autrement dit une cotisation attachée à une souscription. Si la cotisation est obligatoire même « aux indépendants, professions libérales et entrepreneurs », y’en a qui vont faire la tête.
Perso, je n’en ai eu besoin que pendant 3 mois, une seule fois dans ma vie après avoir cotisé obligatoirement pendant 15 ans, sur tranche A et B, le reste c’est « cadeau », et je me suis toujours bien porté de ne pas avoir cotisé durant plus de 25 ans…

Justement sur les paramètres d’indemnisation, « ni la durée ni les montants » (ne seront changés), « en revanche, je veux un vrai dispositif de droits et de devoirs. Mon nouveau système crée un filet de sécurité pour tout le monde, mais avec de vraies exigences. Quand vous perdez votre emploi, vous êtes indemnisé, un bilan de compétences est fait et les prestations seront strictement conditionnées à vos efforts de recherche, avec un contrôle drastique. (…)
C’est là où j’ai craqué et me suis mis à mon compte personnel sans rien demander à personne. 90 jours de chômage, 60 RDV d’embauche et « mon conseiller » trouvais que je n’en faisais pas assez…
Il voulait absolument me vendre une formation inutile qui m’aurait été chronophage, alors que j’étais « le meilleur » sur le marché. Trop meilleur, même : Ça faisait peur !
« Je veux créer une vraie sécurité professionnelle. On vous trouvera une formation vraiment qualifiante. Le service public vous donnera accès à une nouvelle formation, et le demandeur d’emploi, une fois formé, devra accepter les offres qui lui sont proposées ».
Quitte à le délocaliser ?
Soyons sérieux : Y’a rien de tel pour la vie de famille épanouie…

Sur son gouvernement : Un gouvernement resserré « autour d’une petite quinzaine de ministres. Et extrêmement solidaire (…) Je donnerai aux ministres une vraie latitude politique. Je ne les garderai pas s’ils ne mettent pas en œuvre les économies. (…) »
On a déjà donné…
« Je propose aussi une réduction massive des effectifs des cabinets, de l’ordre de cinq personnes afin que les ministres s’appuient davantage sur leurs administrations ». Et leurs nombreux secrétaires d’État, c’est ça ?
Ils ont tous fait comme ça pour se retrouver à plusieurs dizaines en Conseil des ministres les mercredis.

Et pour résumer : « Je veux construire un nouveau modèle de société et une nouvelle économie. » Du « Chat-ban-d'elle-Masse » tout craché !
« Contrairement à François Fillon, je ne crois pas dans la purge et le rétablissement du pays contre lui-même. Je pense plutôt au changement du pays en responsabilisant chacun des acteurs. Et contrairement à Benoît Hamon, je n’accepte pas la défaite quant au travail. La bataille du travail est gagnable si on invente ce nouveau modèle de croissance. »
Reste qu’il n’en dit rien, finalement.

Ceci dit, il est le seul candidat à s’engager à respecter, dès l'an 1, l’objectif européen de 3 % de déficit budgétaire. Et ses hypothèses de croissance sont raisonnables : 1,4 en 2017, 1,7 en moyenne sur le quinquennat…
On est assez loin de « Mes-Luches » et même de « Fifi-l’enchanteur » qui croit encore pouvoir se qualifier au second tour et passer devant « Marinella-tchi-tchi ».
J’en conclus qu’il confirme lui-même qu’il est cinglé…

Là, je n’insiste pas : C’est un affreuse rumeur qui circule jusqu’en « Ritalie ».
Une « bulle de savon » gonflée à l’hélium, finalement ?

2 commentaires:

  1. Je n'ai rien compris! Va falloir recommencer ... Qui est cinglé? Macron le maquereau?

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    1. C'est en tout cas ce qu'on en dit jusqu'à Rome.
      Ceci dit, si vous n'avez rien compris de son programme, ce n'est pas parce que vous êtes un imbécile, mais parce c'est qu'effectivement, il n'y a rien à comprendre, puisque c'est "une bulle de savon" qui pioche un peu partout...

      Bien à vous !

      I-Cube

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