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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 février 2017

Blagues divines…

Quand même Dieu s’en mêle…
 
Trois hommes partent en randonnée en forêt. Ils se perdent, si bien qu’au soir ils arrivent affamés devant un étrange manoir.
Devant un panneau indique « Couvent des sœurs castreuses ».
Intrigués, les trois hommes hésitent à rentrer dedans. Un seul y va alors que les deux autres préfèrent passer la nuit dehors.
L’homme rentre et trouve une bonne sœur à la porte :
« – Bonsoir, bienvenue au couvent des sœurs castreuses.
– Bonsoir, est-ce que je pourrais boire, manger et dormir ici s’il vous plait ?
– Oui, oui. »
Dans la nuit, les deux hommes dehors entendent des cris horribles provenant du couvent.
Le lendemain, ils ne voient pas leur compagnon revenir.
Un des deux hommes restants décide de rentrer dans le couvent à son tour :
« – Bonsoir, bienvenue au couvent des sœurs castreuses.
– Bonsoir, est-ce que je pourrais boire, manger et dormir ici s’il vous plait ?
– Oui, oui. »
Dans la nuit, l’homme restant dehors entend à nouveau des gémissements et des cris.
Le lendemain matin, affamé et inquiet pour ses amis, il va vers le manoir :
« – Bonsoir, bienvenue au couvent des sœurs castreuses.
– Bonsoir, est ce que je pourrais boire, manger et dormir ici s’il vous plait ?
– Oui, oui.
– Et euh, je pourrais savoir ce qu’il est arrivé à mes deux amis ? » demande l’homme.
« Le premier il était bûcheron : On lui a scié. Le second était vigneron : On lui a pressé. »
Une idée lumineuse traverse alors l’esprit de l’homme :
« Moi, je suis marchand de sucettes ! »
 
Un jour Dieu a parlé à Abraham :
« – Abraham, Abraham, je veux te demander quelque chose.
– Ce que tu veux Seigneur.
– Je veux que tu sacrifies ton fils à la montagne.
– Ah non, Seigneur, demande moi tout sauf mon fils.
– Je veux ton fils ! »
Abraham en parle à sa femme, Sara…
« – Tu sais, Dieu nous demande notre fils afin de le sacrifier à la montagne.
– AH NON !
– Je dois obéir à Dieu. »
Et le lendemain, il conduit son fils à la montagne, prépare le feu et attache les pieds et mains de l’enfant.
« – Père, pourquoi m’attaches-tu ?
– Tais-toi, ne pose pas de questions.
– Où est l’agneau pour le sacrifice ?
– Tais-toi, ne pose pas de question. »
Quand Abraham sort le couteau pour immoler son fils, une voix se fait entendre…
« Arrête-toi ! Arrête-toi Abraham ! Je voulais seulement tester ta foi en moi. »
Alors Abraham, heureux, jette le couteau, détache l’enfant et ils rentrent à la maison pour raconter l’histoire à Sara et lui annoncer que Dieu ne voulait plus du sacrifice.
En descendant, Abraham dit à son fils :
« – C’est bien que Dieu t’aie laissé la vie, et ne m’a pas demandé de te sacrifier.
– Tu parles si j’ai de la chance d’être ventriloque ! »
 
Un homme coupe les branches d’un arbre, au-dessus de la rivière. Dans le feu du travail, sa hache tombe dans l’eau. L’homme entre dans un désespoir profond. À tel point que Dieu lui apparaît…
 « Ô Seigneur je travaillais pour construire un abri pour ma famille quand ma hache est tombée dans la rivière… »
Dieu ne fait ni un ni deux, il plonge et revient avec une hache en or…
« – Est-ce là ta hache ?
– Non. »
Aussitôt Dieu replonge et revint une hache en argent :
« – Est-ce là ta hache ?
– Non. »
À la troisième tentative, Dieu revint avec une hache en fer.
« – Est-ce là ta hache ?
– Oui ! »
Dieu, touché par l’honnêteté de l’homme, lui donne les trois haches.
Le bûcheron rentre tout heureux à la maison.
Quelques jours plus tard, le bûcheron longe la rivière en compagnie de son épouse.
Soudain celle-ci tomba à l’eau. L’homme panique et pleure.
Dieu apparait et lui demanda la raison de son chagrin.
« Ma femme est tombée dans la rivière ! »
Alors Dieu plonge et ramène Jennifer Lopez dans les bras :
« – Est-ce là ta femme ?
 – Oui ! »
Dieu, furieux, fustige l’homme :
« – Tu prends le risque de me mentir ? Je devrais te damner !
– S’il te plaît, Dieu, pardonne-moi ! Comment aurais-je dû répondre ? Si j’avais dit « Non » à Jennifer Lopez, la fois prochaine tu serais remonté avec Catherine Zeta-Jones.
Si, à nouveau, j’avais dit « Non », tu serais revenu avec mon épouse et j’aurais dit « Oui ».
À ce moment-là, tu me les aurais données toutes les trois. Mais je suis pauvre et pas du tout en mesure de nourrir trois femmes. Ce n’est que pour cette raison là que j’ai dit « Oui » la première fois… »
La morale de cette histoire ? Finalement, les hommes ne mentent que pour des raisons parfaitement honnêtes et totalement compréhensibles !
 
Quel est l’âge du Capitaine ?
 
Pour la petite énigme de la semaine dernière, vous aurez tous noté, comme l’a pressenti « La comtesse au pied-dénudé » que si Wesson prétend avoir immédiatement téléphoné depuis le bureau de son associé, quand il a découvert son corps inanimé et poignardé, la police scientifique aurait dû retrouver ses empreintes sur le dit combiné.
Or, il n’y en avait pas, probablement parce qu’il portait des gants pour ne pas laisser de traces sur l’arme du crime.
C’est qu’il a menti…
 
Pour cette semaine (perturbée), imaginez-vous dans une ville que vous ne connaissez pas, à la recherche d’un coiffeur pour vous faire une coupe (ou un brushing) en urgence.
On vous indique qu’il n’y a que deux échoppes de « coupe-tifs » installés sur la « grand-rue ».
Le premier ne vous inspire pas : La boutique est sale, mal rangée, les présentoirs en désordre, du linge sale qui déborde de la corbeille, des cheveux coupés jonche le sol et le coiffeur à un allure douteuse et une coupe particulièrement mal réussie.
Vous traversez la rue et portez vos pas en direction de l’autre établissement.
Celui-là vous inspire nettement plus favorablement : C’est bien rangé, c’est propre, c’est clair, le coiffeur est bien habillé et sa coupe est vraiment impeccable.
De vous à moi, vous allez chez lequel ?
Le premier ou le second ?
Évidemment, ne seront désignés vainqueurs que ceux qui expliquent leur choix !
 
Bien à vous toutes et tous !
 
I3

2 commentaires:

  1. CQFD :
    Spontanément on irait dans la seconde échoppe plus engageante. Cependant, je vais partir selon ce proverbe que les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés.
    Mes pas me conduiront vers la première.
    Parce que s’il y a des cheveux au sol, du linge qui déborde et que c’est sale c’est qu’il a beaucoup de clients et donc il est bon et même très bon dans son métier. La preuve, même son concurrent si bien coiffé vient chez lui pour sa coupe.
    Alors ?
    Bon week end en immersion…
    ComtesseÔPiedNu

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    1. C'est la seconde partie de votre réponse qui est la bonne, Ô vénérable Comtesse au pied dénudé !

      Un coiffeur ne pouvant se coiffer lui-même, c'est donc l'autre qui lui a fait sa coupe si "impeccable" !
      Logique.

      Notez que "mon Muet", que vos ne connaissez pas (mais que connaît "l'Ami-râle"), a été plus rapide que vous, via un message envoyé par courriel !

      Bravo à tous les deux !
      Je vais pouvoir prendre des vacances jusqu'à la semaine prochaine...

      Ceci dit, pour mon "immersion", je repars à Milano tout-à-l'heure dans un bureau d'accueil : Je ne peux pas vraiment m'éloigner de mes centres d'intérêt professionnels pour le moment.
      Et il faut que j'emménage quelle que part dans la ville...

      Bien à vous et bon week-end à vous !

      I-Cube

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