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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 février 2017

Ah nos femmes…

On les adore et elles nous le rendent si bien !
 
Une jeune épouse tombe éperdument amoureuse de son dentiste.
Ils se voient secrètement dans le cabinet du praticien en fin de journée, afin que son mari ne se doute de rien.
Mais un jour cependant, le jeune dentiste dit à sa conquête :
« – Ma chérie, je suis vraiment désolé, mais nous allons devoir cesser de nous voir. Ton mari ne va pas tarder à avoir des soupçons !
– Mais non, ne t’inquiète pas », lui répond-t-elle. « Il est bête comme ses pieds ! D’ailleurs, cela fait 6 mois que nous nous voyons, et il n’a toujours rien remarqué !
– C’est vrai, mais maintenant, il ne te reste plus qu’une seule dent… »
 
Une femme approche précipitamment du comptoir des objets perdus d’un grand magasin.
Elle est seulement vêtue d’un chemisier transparent et d’un slip tout bleu.
Elle dit à l’employé émerveillé :
« Monsieur, monsieur, s’il vous plaît, on ne vous a pas rapporté deux enfants accrochés à une jupe ?
– … »
 
À la pharmacie, la vendeuse :
« On a des shampoings pour les cheveux gras, des shampoings pour les cheveux secs, des shampoings pour les cheveux normaux… »
La cliente :
« En avez-vous pour des cheveux sales ? »
 
Jean-Marc :
« Chaque matin quand je me rase, j’ai l’impression de rajeunir de 10 ans. »
Sa femme :
« Tu devrais te raser avant de te coucher ! »
 
Madame :
« Après 12 ans de thérapie, mon psychiatre m’a dit quelque chose qui m’a donné envie de pleurer.
Il m’a dit : « I’m so sorry, but I don’t speak French ! »…»
 
Jean-Marc encore :
« – Trouves-tu que mon fils me ressemble ?
– Oui, mais c’est pas grave ; tant qu’il est en bonne santé… »
 
Jean-Marc toujours :
« Le mariage est comme un mirage dans le désert…
Palais, cocotiers, chameaux…
Soudain tout disparaît et il ne reste que le chameau ! »
 
Jean-Marc dit à sa femme sur le point d’accoucher :
« Si le bébé te ressemble, ça va être extraordinaire. »
Elle, dans les premières douleurs hoquette :
« Si le bébé te ressemble, ça va être un miracle ! »
 
Dans une maternité, une infirmière dit à une jeune mère :
« – Votre bébé est un vrai petit ange. Une fois couché, il ne bouge plus !
– Le portrait craché de son père ! »
 
« – Quand je mourrai », dit Jean-Marc à sa femme, « je veux que tu me fasses incinérer.
– C’est bien toi, ça ! En plus de jeter tes cendres de cigarettes partout, tu veux finir en cendres. »
 
Après l’incinération de son mari, la veuve de Jean-Marc a fait placer ses cendres dans un petit pot que ses amies prirent l’habitude d’utiliser comme cendrier.
Un jour, l’une d’elles, en secouant sa cigarette au-dessus du pot, jette un regard à l’intérieur.
« Dis donc, ma belle, j’ai bien l’impression que ton mari prends du poids. »
 
Une femme téléphone à son mari et lui dit :
« – J’ai passé 2 semaines dans une clinique d’amaigrissement et j’ai fondu de moitié.
– Super ! Restes-y une autre quinzaine ! »
 
Au petit-déjeuner, une femme dit à son mari :
« J’te parie que tu ne sais même pas quel jour on est aujourd’hui ! »
Son mari, Jean-Marc qui ne le sait visiblement pas, fit semblant d’être indigné :
« Bien sûr que j’le sais ! »
Il prend son manteau et file travailler.
Vers 10 h 00, on sonne à la porte, sa femme ouvre et un livreur lui présente un énorme bouquet de fleurs.
Puis, vers 13 h 00, on sonne encore.
Cette fois, le livreur lui remet une magnifique boîte de chocolat.
Enfin, à 15 h 00, un troisième livreur se présente avec cette fois, une superbe robe.
La femme en a les larmes aux yeux.
« (sniff) C’est le plus beau jour de ma vie sans même que ce soit mon anniversaire. »
 
Deux copines prennent le thé dans un grand hôtel.
« Jean-Marc est parti en voyage avec sa maîtresse.
– Qu’est-ce que tu comptes faire ?
– Mais je vais me venger.
– Comment ?
– Je lui laisse Jean-Marc et je garde la maison, l’auto, et le chalet.
– Chanceuse ! »
 
Jean-Marc est un maniaque de la santé et de l’exercice.
Il lève des poids tous les jours, court 10 kilomètres et joue au tennis.
Il mange bio, prend des vitamines, se couche tôt, ne bois pas et ne fume pas.
Une belle bête…
Un bon matin, alors qu’il s’admire dans le miroir, il a un choc en constatant que son pénis est la seule partie de son corps qui n’est pas bronzée.
« Je dois régler ça ! »
Il fonce à la plage, trouve un endroit reculé, se déshabille complètement, s’enduit le pénis avec de l’huile, se couche et se recouvre entièrement de sable, à l’exception de son flamboyant appareil viril.
Deux vieilles dames passent par là.
Le regard de la première tombe sur notre homme.
Enfin… sur son pénis.
« – Il n’y a vraiment pas de justice en ce bas-monde !
– Que veux-tu dire ?
– Écoute… Quand j’avais 10 ans, j’en avais peur. Quand j’avais 20 ans, j’en étais curieuse. Quand j’avais 30 ans, j’en profitais. Quand j’avais 40 ans, j’en demandais. Quand j’avais 50 ans, je payais pour en avoir. Quand j’avais 60 ans, je priais pour en avoir. Quand j’avais 70 ans, j’avais oublié que ça existait…
Et maintenant que j’ai 80 ans, tu parles, elles poussent à l’état sauvage !… »
 
Une femme agonise.
Un médecin entre dans la chambre.
Il prend le pouls de la femme, et s’adresse à Jean-Marc, son mari :
« – Il y a longtemps qu’elle râle comme ça ?
– Depuis notre mariage. »
 
Un aveugle décrit son sport préféré : Le parachutisme.
Quand on lui demande, comment cela se fait-il, il répond que ce sport est fait pour lui…
« – Quand je suis devant la porte pour sauter, j’ai ma main placée sur mon anneau de dégagement, et hop je saute !
– Mais comment savez-vous que vous êtes proche de la terre ?
– J’ai un sens de l’odorat très développé, je peux sentir l’odeur des arbres et de la verdure à plus de 300 pieds.
– Mais comment savez-vous que vous devez soulever vos jambes pour amoindrir l’impact du contact avec le sol ?
– Oooooooh, là je le sais dès qu’il y a du mou dans la laisse du chien. »
 
Deux touristes franchouillards rentrent de voyage.
Ils ont visité l’Italie et ils ne cessent de vanter les Italiens.
« – Mais ils sont extraordinaires ! Toujours joyeux. Toujours souriants. Incroyable…
– Ah oui ! Tant que ça ?
– Vraiment extraordinaire ! Par exemple, quand nous sommes arrivés à Venise, même si la ville était inondée, les gens chantaient quand même ! »
 
Une « revenue » pour finir… :
 
Avant, c’était 2 fois par nuit. Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est 2 fois par mois.
Avant c’était : « Tu m’essouffles… ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Tu m’étouffes… »
Avant, c’était : « Ne t’arrête pas ! ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Ne commence pas ! »
Avant, c’était : « Saturday Night fever ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : «  Sunday Night football ».
Avant c’était : « Être à tes côtés… ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est : « Reste de ton côté ! »
Avant c’était : « Je me demande ce que je ferais sans elle ? ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant c’est : « Mais qu’est-ce que je fais avec elle ? »
Avant c’était : « Érotique ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant, c’est « Névrotique ».
Avant c’était : « On croirait qu’on est ensemble depuis toujours ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant c’est : « On est toujours ensemble ! »
Avant c’était : « Hier soir, on l’a fait sur le canapé ! ». Mais ça, c’était avant.
Maintenant c’est : « Hier soir, j’ai dormi sur le canapé ! »
Elle me fait penser à celle « d’Alain-Deux-Long » :
« Avant, quand j’avais 20 ans, je croyais que c’était un os. À 40, je pouvais la ployer. À 60, j’étais capable de la plier en deux. Mais ça c’était avant.
À 80, je peux en faire un nœud.
Comme quoi, la force vient avec l’âge ! » 
 
Et puis une dont on me bassine depuis quelques jours :
« I francesi ? Tutti i froci ... Anche i grandi barbe rosse !
E piccoli cazzi : dieci centimetri, non di più ! »
Bon, avec la « musique », c’est meilleur, je reconnais.
Je ne vous traduis pas, c’est en rapport avec l’affaire Théo, mais ça les fait bien rire…
 
L’âge du capitaine pour terminer.
 
Le serez-vous cette semaine ?
 
Deux hommes sont accoudés au bar d’un tripot.
La barmaid à moitié-nue leur sert à tous les deux un double-scotch on the rock.
L’un boit son verre d’un seul trait, alors que l’autre préfère prendre son temps.
Au bout d’un quart d’heure, le second commence à ressentir des maux d’estomac et pense que siroter son verre va faire disparaître sa douleur.
Moins d’une heure plus tard, il s’effondre et meurt manifestement empoisonné...
Que sait-il passé ?
Naturellement, la police détecte du poison dans son verre et suspecte son ami d’avoir versé de l’arsenic à l’occasion d’un moment de distraction.
Or, ce dernier est innocent et ce sera démontré par la suite.
Comment ?
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3

4 commentaires:

  1. Oh yeah! Le poison était dans les glaçons qui ont fondu.
    La morale de l'histoire : ne jamais gâcher une boisson avec de l'eau solide ou liquide.

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Absolument !
      Bravo !

      Vous avez un esprit remarquablement affûté, ou alors c'est moi qui suis nul.
      Parce que j'ai ramé pour trouver quand on me l'a posée...

      Je dois être nul, c'est ça : On va arrêter...

      Mais mes félicitations méritées, Ô Comtesse au pied dénudé !

      Bien à vous et bon week-end !

      I-Cube

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    2. Mais non vous n'êtes pas nul; c'est la barmaid topless qui vous aura distrait!
      ComtesseÔPiedNu

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    3. Ah ?
      Elle était "topless", alors ?
      J'ai encore rien vu, là, abruti par le whisky qu'elle a dû me servir...
      Mais moi, je le sors direct du congélateur, à moins 30 (plus froid il fait des paillettes) : Ca évite de le couper avec l'eau des glaçons...

      Et c'est peut-être ce qui m'a sauvé la vie, finalement.
      Comme quoi, je suis "nul" : Un petit verre dans le nez et je ne remarque même plus les charmes d'une jeune-fille.
      Dur de vieillir...

      Bien à vous Ô Comtesse au pied dénudé.

      I-Cube

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