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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 3 janvier 2017

Je ne devrais pas dire ça :


Je suis sur le kul !

D’abord parce que c’est grossier et pourrait choquer le lecteur de passage sur ces lignes ;
Ensuite parce que les avocates qui ont obtenu la grâce de leur cliente sont des « cousines » (Corses, s’entend).
La première, je ne la connais pas personnellement, la seconde, si.
C’est la fille unique d’un ex-fonctionnaire cortenais de la mairie de Paris-sur-la-plage, évidemment « grand-copain » du « cousin-Jean » (Tiberi), cortenais lui-même et du père de ce dernier, lui-même un « ex » de la même administration municipale…
(Vous avez suivi ? Comme mon grand-père était lui-même le cousin par alliance de la belle-mère de Jean, celle qui tenait la pâtisserie locale au coin de la rue, nous sommes donc cousins : Là, ça va mieux ?)
Et « sa nichée » a croisé la mienne dans même bahut.
Une petite blonde plutôt mignonne et pétulante, aux charmes disons… « enthousiastes », qui n’a vraiment pas eu de chance avec ses maris : À chaque fois qu’elle en a touché un, il a clamsé…
Un désastre, un danger, une vraie mante-religieuse !
Et quand elle se remariait, sa mère à elle, au lieu de se réjouir, venait « faire-scandale » chez ma « Môman-à-moi-même », en boucle avec la mère du « cousin-Jean »…
Il faut dire que ce n’étaient jamais des « autochtones » qu’elle ramenait dans son lit : Trop kons à ses yeux, les Corsi (et surtout pas assez friqués).
Trop drôles, ces cousines-cortenaises-là !

Pas eu beaucoup de chance non plus d’un point de vue professionnel : Elle a ramé dans de vraies galères durant des décennies, allant jusqu’à perdre des procès au civil préalablement gagnés !
Je me souviens parfaitement d’une affaire « facile » prémâchée, gagnée haut-la-main par un brillant confrère décédé entre-temps, que je n’ai pas compris comment, et qui se retrouve à revenir en mode « copier/coller » devant le même tribunal pour les mêmes causes et arguments juridiques mais avec d’autres successeurs, pour lamentablement échouer…
Au pénal, elle est nettement meilleure, il faut bien le reconnaître : Elle a su démêler une affaire de contraventions indémêlable, une autre où la bonne foi de mon pote a été prise en défaut et encore une autre pour un autre de « mes potes » suspecté à tort de fraude à la sécurité sociale.
J’en fais une relation in fine dans ce post ancien-là.
Et puis je l’ai suivie dans sa « reconversion » dans les « femmes-battues », enchaînant les conférences sur le sujet, à la pêche aux clientes qui abondent sur cette « niche étroite », mais avec la caution d’institutionnels et de quelques « experts » (aucune « experte », naturellement, des fois que ça fasse de l’ombre…) qui en jetaient tellement que j’ai fini par ne plus rien comprendre.
Alors évidemment, l’affaire de Jacqueline Sauvage, elles s’y sont accrochées avec conviction.
Je vous résume :

– Deux ans après les faits, Jacqueline Sauvage est jugée pour le meurtre de son mari.
Le 10 septembre 2012, elle avait tiré à trois reprises et dans le dos de son époux âgé de 65 ans, après, selon elle, plusieurs dizaines d’années d’enfer conjugal, marqué par la violence et les viols.
L’amour, ce que ça fait faire comme konneries…
La veille, le fils, qui lui aussi était régulièrement frappé par son père, s’est suicidé.
Lors du procès, les trois filles survivantes affirment avoir été violées et battues. « Notre père est décédé et pour moi, c’est un soulagement », déclare l’une d’elles à la barre.
En octobre 2014, elle est condamnée à dix années de réclusion par la Cour d’assises du Loiret : Mauvaise défense.
L’avocate générale avait requis entre douze et quatorze ans de prison, mais sans retenir la préméditation.
Ça aurait dû être du pain-béni pour la défense.

– Le procès en appel se tient en décembre 2015. L’accusée pleure en évoquant le calvaire que lui a fait endurer son mari.
Ses filles racontent même comment leur père les a violées.
Mais les jurés ne retiennent pas la légitime défense plaidée une nouvelle fois par les avocates de l’accusée.
Le verdict tombe le 4 décembre : Elle est à nouveau reconnue coupable du meurtre de son mari.
Dix ans de prison, comme en première instance. 

Bon jusque-là, rien à dire : Techniquement, la légitime-défense doit être « instantanée », sur le moment, factuellement liée à une agression.
En aucun cas la violence, voire les crimes de la victime ne peut servir « d’excuse absolutoire » : Ce n’est plus de la légitime défense mais une banale vendetta.
Et on s’y connaît en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » pour savoir faire la différence depuis des générations.
Et en tout cas pas en tirant dans le dos qui reste un banal assassinat.
C’était une konnerie d’avoir pu plaider ça à moins de vouloir faire faire un revirement de la jurisprudence constante sur le sujet depuis des siècles et des siècles : Personnellement, j’avais indiqué de plaider les circonstances atténuantes qui étaient fort nombreuses et l’élément déclencheur, à savoir le suicide du fils, pour obtenir une condamnation (il y a quand même eu mort d’homme, crime de sang) de principe avec un large sursis qui la remettait en liberté dès le lendemain de la décision de la Cour.
Après tout, elle n’était pas dangereuse pour les tiers qui circulent dans la rue et avait déjà fait trois ans de taule au compteur en attente de jugement…
Mais quand on est kon, on est kon et, comme disait l’autre, on ose tout !
C’est d’ailleurs comme ça qu’on les détecte…

Notez qu’au passage, on ne comprend pas bien comment on peut supporter 40 ans de violence, de cocufiage en tous genres, les viols de ses propres gamins, sans jamais réagir, hors menacer les maîtresses du mari avec des armes, ni sans même que les services sociaux ou les gendarmes, voire les tribunaux ne se saisissent du dossier pour faire arrêter ce scandale et protéger au moins les enfants…
Passons !
Il y a parfois des « loupés » qui ne recevront jamais d’explication.

– Ce n’est pas comme cela que ça s’est passé : Cette nouvelle condamnation suscite une vague d’indignation chez les « bien-pensants ». Le verdict déclenche même une grande mobilisation pour obtenir sa libération : Près de 400.000 personnes, la vox populi, signent une pétition demandant la grâce présidentielle.
Sollicité par ses filles ainsi que par de nombreux élus et personnalités (dont « Deux-noix-Âme-mont »), « Tagada-flanby-à-la-fraise-des-bois » prononce le 31 janvier 2016, une grâce partielle, partielle seulement, qui permet à la condamnée de présenter une demande de libération conditionnelle à effet immédiat.
Bon rien à dire, les avocates ont fait leur boulot, auront été reçues par « Gras-Nul-Laid » (à la fraise des bois), elles lui auront fait le coup du charme, de la pression de l’opinion publique, etc. et ça marche.
Tant mieux, me direz-vous.
Tant pis pour l’autre krétin qui s’est fait descendre : Peut-être ne méritait-il pas mieux !
Sans cette « remise », elle aurait été libérée au mois de juillet 2018.
Équité et compagnie, c’est dans son pouvoir régulièrement constitutionnel que de gracier telle ou tel. Libérable, elle l’est donc immédiatement à condition d’en demander l’autorisation au JAP (Juge d’Application des Peines), les mêmes ceux-ce qui remettaient en liberté les pervers pédophiles et autres tueurs en série ou serial-violeurs soignés au viagra il y a encore peu.

– Ce qu’elle fait : Elle présente dans la foulée sa demande de libération conditionnelle. Et là, coup de tonnerre, le 12 août, le tribunal d’application des peines de Melun (Seine-et-Marne), refuse de la libérer.
Les « JAP » lui reprochent « de ne pas assez s’interroger sur son acte » et estime en conscience qu’elle ne peut « prétendre vivre à proximité des lieux des faits, dans un environnement qui, compte tenu des soutiens dont elle bénéficie et de la médiatisation des faits, risquerait de la maintenir dans une position victimaire ».
Ce qui est finalement assez bien vu.
Ils la protégeraient presque…

– Mes « cousines », ses avocates, dénoncent alors un « véritable acharnement judiciaire » de la part des magistrats et font appel de cette décision, alors que leur cliente n’y croit pas, prête à renoncer.
L’audience se tient à huis clos le 27 octobre.
Un mois plus tard, le 24 novembre, la Cour d’appel de Paris lui donne raison et rejette la demande d’aménagement de peine, à laquelle le parquet général ne s’était pourtant « pas opposé ».
Là, on devrait au minimum se poser quelques questions : Deux condamnations, deux autres décisions des JAP pour un même crime, tout cela n’est pas un « dysfonctionnement » de l’appareil judiciaire, manifestement pas « aux-ordres » sur ce coup-là et on devrait s’en féliciter !

– Vous connaissez la suite : Le 10 décembre, plusieurs centaines de personnes se réunissent place du Trocadéro, à Paris-sur-la-plage, pour réclamer sa grâce totale en présence de plusieurs personnalités comme les actrices Eva Darlan (présidente du comité de soutien), Anny Duperey et Danièle Evenou.
Toutes parfaitement respectables.
Et le 28 décembre, « Tagada » lui accorde « une remise gracieuse du reliquat de sa peine d’emprisonnement », qui « met fin immédiatement à sa détention ».
« Le président de la République a estimé que la place de Madame Sauvage n’était plus aujourd’hui en prison, mais auprès de sa famille », a ajouté le palais présidentiel.
Et à 18 h 15 du même jour, elle franchit les portes de la prison de Réau (Seine-et-Marne).
Définitivement libre.

Les grâces individuelles sont extrêmement rares. Encore plus quand elles sont à double détente, à savoir une grâce partielle suivie, bien plus tard, par une grâce totale.
Probablement qu’il en est d’autres qui auraient mérité davantage cet hommage douloureux.
Mais il semble que « l’idéologie victimaire » et le féminisme militant sont plus que convaincants…
Dès lors, force est de constater que sur un plateau de la balance, nous avons une justice criminelle qui a statué à deux reprises. En appel, on lui a présenté une défense aussi absurde qu’en première instance.
Comme tout avait été « normal », et même exemplaire si on veut bien admettre qu’une Cour d’assises ne juge pas une cause mais un crime singulier accompli par une personnalité unique, dans des circonstances elles-mêmes uniques, si dans notre monde « béat » dégoulinant de « bons sentiments », un comité de soutien ne s’en mêle pas pour prétendre incarner le peuple des « Gauloisiens » aux lieux et places des juges et jurés auxquels il se substitue illégalement, il n’y aurait eu qu’une seule grâce.
Et je n’en aurais jamais fait un post comme pour mieux marquer qu’il y a eu une erreur de commise à la première.
D’un côté, de la démocratie et de la justice, rien de plus, et de l’autre exigence de compensation, consolation, réparation, avec un brin d’expiation, de contrition…
Pourquoi pas ?
Mais mélanger deux fois les pouvoirs judiciaire et exécutif, sous la seule pression d’un diktat-populaire, il y a de quoi s’inquiéter…

Sur un plateau donc, légitimité et normalité judiciaires, deux jurys populaires, deux juridictions spécialisées, une institution à la hauteur de ce que la République attendait d’elle, et, sur l’autre, ce qu’on peut appeler une « justice privée », celle de « l’opinion ».
Dont on vous dit aussi à longueur de colonnes qu’elle est raciste, antisémite, sectaire, violente parfois, il y a de quoi franchement s’inquiéter, là encore.
Vous réclame-t-on le même « coupable mais pas responsable » qui a blanchi « Kiki-la-Garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas » ?
Une fois dans le mois, ça suffit, quoique là, on n’a vu aucune pétition sur le sujet.
Deux fois, c’est trop !

Justice privée ? Et encore même pas (on devrait parler d’arbitraire privé), puisqu’il s’agit plutôt d’une confusion entre des chagrins privés, des vies gâchées et une intervention présidentielle soumise à ces pressions incessantes obligeant les partisans d’une administration conforme de la justice à s’excuser en permanence de la vouloir être irréprochable.
Alors qu’ils sont payés pour ça avec vos impôts…
Comment qualifier, a minima, et autrement que de « justice privée » cette offense adressée à une bonne justice que les émois n’avaient pas encore réussi à gangrener ?
Comment nommer autrement cette déperdition du sens de la justice, de celui de l’intérêt général, que ce privilège présidentiel dévoyé (deux grâces pour une même peine) ?
Comment se fait-il qu’on puisse céder au « populisme » dans mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) et vouloir en même temps et par les mêmes, lui faire front en avril et mai prochain ?
Expliquez-moi, SVP, c’est urgent !
Dites-moi vite à quoi servent nos juridictions si c’est finalement la rue qui dicte sa loi à leur place ?
Une décision de grâce, dont je me réjouis pour mes « cousines » (ça va booster leurs cabinets au moment d’arriver en fin de carrière) et la famille meurtrie, massacrée, mais au prix d’une insulte générale à toute la magistrature, juste après le camouflet de sa « reprise en main » par voie de décret.
Autrement dit un « coup de grâce » à la Justice tout-court.

Je ne sais pas si je croise ma « cousine » à Corti cet été, je ne l’engueulerai pas.
Notez que je lui ai envoyé un texto de félicitations : C’est ma « cousine » après tout.
Mais elle aurait dû suivre mon conseil originel, pour parvenir aussi sûrement au même résultat et sans avoir à ouvrir largement une porte béante de plus d’une boîte de Pandore qui tuent mes institutions, faute pour elles d’avoir oublié les cours de droit pénal du Sieur Léauté, en première année à Assas.
C’est quand même dommage d’être aussi kon que ça, je n’en démords pas.

10 commentaires:

  1. Hello l'infree ! J'aime bien tes posts explicatifs en droit. Celui-ci est super, comme d'habitude. Merci. Je comprends mieux certains tenants et aboutissants. J'en profite pour te souhaiter une bonne année 2017. Santé et prospérité !

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    1. Merci bien Vlad !

      A toi aussi, je souhaite une excellente année !
      Paix et santé...

      Donc là, tu as tout compris ?
      Bé figure-toi que ce n'est pas le cas de tout le monde !
      Bravo alors !

      Bien à toi !

      I-Cube

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  2. Je me souviens d'un journal télévisé où Philippe Bilger n'avait pu placer un mot sans qu'une Eva Darlan se déchaine pour l'interrompre et d'un Pujadas souriant à la donzelle fier sans doute d'offrir aux téléspectateurs l'onction du journaliste impartial....L'homme compassionnel pouvait reprendre du dessert avec bonne conscience, il était du côté du bien !

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    1. Ah, les "voies de l'opinion restent impénétrables".

      Bilger, j'ai eu l'occasion de le fréquenter sur son blog il y a longtemps (je lui ai même fait deux tomes de roman qu'il n'a pas lu : "Au nom du Père" avec pour thème le meurtre par procuration, beaucoup plus subtile qu'un coup de feu dans le dos), a une très haute et saine opinion de l'institution qu'il a servi loyalement durant des années.
      Ca ne m'étonne pas qu'il ait pu être pris à partie par une "béotienne", là, même en direct :
      Ce n'est pas de moi : "Quand on est kon, on ose tout. C'est même comme ça qu'on les reconnaît" !
      Je ne connais pas Eva Darlan, je ne peux pas juger, mais cette affaire est totalement "passionnelle".

      Je le répète, mes "cousines" auraient plaidé les circonstances atténuantes, leur cliente aurait été libérée plus rapidement.
      La justice des hommes n'est pas inhumaine, loin de là et parfois très compréhensible face aux drames que vivent et ont vécu les prévenus (et leurs victimes).
      Ce sont des spécialistes qui en voit tous les jours et il faut être solide pour assumer.

      Non, là je reste persuadé qu'on a voulu nous faire croire que le crime était autorisé par la loi et c'est ce qui a été plaidé (à tort).
      Autrement dit, esprit "Corsu", que la "vendetta" était légitime !

      Vous en causez de ma part à Colonna et à son commando pour qui la violence d'Etat représentée par Erignac, faite au peuple Corsu, justifiait son assassinat, d'autant mieux que c'est un devoir constitutionnel que de résister à l'oppression (cf. déclaration des droits de l'homme et du citoyen).
      Et là non plus, ça n'était pas passé.

      Bref, d'un autre côté, la décision de grâce de "Tagada-à-la-fraise-des-bois" peut se justifier.
      Sauf qu'il est tellement nul (de "gras-nul-laid") qu'il a fallu qu'il s'y reprenne à deux fois !
      Belle preuve d'indépendance de la justice, au passage.
      Et Bilger fait bien de défendre l'institution, si personne d'autre ne le fait !

      Bien à vous, l'anonyme.

      I-Cube

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  3. Moi, j'avais tout compris depuis le début! Un mâle s'est fait buter par une femelle qui a dit qu'elle avait été violentée, battue, etc pendant 47 ans de vie commune avec ledit mâle. La femelle lui a tiré, à trois reprises, dans le dos avec un fusil dont elle est experte dans le maniement (dans quel état était le cadavre après une telle fusillade à bout portant? il ne devait pas être très beau à voir!). Tout ça sans jamais apporter le moindre élément de preuve à l'appui de ses allégations ...
    Le résultat? On va tragiquement le découvrir lorsqu'un prochain assassinat d'un mari déclamé comme violent aura été fait dans les prochaines années voire les prochains mois!
    Espérons que la Sauvage ne commettra pas, sous un autre prétexte, une nouvelle sauvagerie ...
    Question : A-t-on pris la précaution de lui interdire l'usage et même la détention de toute arme jusqu'à la fin de sa pauvre vie de meurtrière? Rien n'est moins sûr!

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    1. Non, je ne crois pas !
      La détention d'une arme à feu dans un lieu privé n'est pas interdite en "Gauloisie", que je sache.
      C'est son usage qui doit être très circonstancié et de toute façon contrôlé par l'autorité judiciaire après coup (même pour un flic !).

      Des preuves de la brutalité et de la violence de la victime (mâle), il y en avait des tombereaux et pas seulement des allégations.
      La justice sait faire le tri du vrai et du faux et tout cela a été épuré avant d'arriver en audience.
      Il n'y a aucun doute, pas la moindre trace de doute : Même l'avocat général, l'accusateur public en était d'accord.

      Donc rassurez-vous, si ça vous arrive, ce ne sera pas si évident que ça à votre épouse (ou votre maîtresse éconduite) de s'en tirer avec un grâce présidentielle, qu'il y ait ou non un comité de soutien de votre meurtrière.

      Mais tout de même, méfiez-vous des maris-cocus : Eux, ils passent environ 5 ans à l'ombre, ce qui n'est pas cher payer.
      Porter les cornes, les juges font un transfert assez facilement.
      Idem quand c'est l'épouse qui est la victime du mari cocu : Ils ne peuvent pas s'empêcher de penser à la leur.
      C'est comme ça.

      "Justice humaine", justice des hommes, vins-je de dire.

      Bien à vous !

      I-Cube

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  4. Pour autant que je sache, un tribunal peut interdire à un quidam de détenir une arme à feu, même chez lui... Je fais bien la différence entre la détention d'une arme à feu et le permis de port d'arme. Le permis de port d'arme relève de l'autorité administrative.
    Vous êtes bien le premier qui me dit que la sauvage Sauvage a apporté des preuves de sévices allégués.

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    1. Pas elle qui a apporté lesdites preuves, mais l'enquête de police.
      En fait, il s'agit plus d'un "faisceau concordant de présomptions fortes".
      Remontant sur plusieurs dizaines d'années, je vous ai dit que le doute n'était pas permis.
      D'autant que le doute bénéficie toujours à l'accusé(e). Mais là, c'est à l'envers...

      Bien sûr qu'il y a des "nuances" entre "détention" et "port" d'arme.
      Là, vous avez raison, mais je ne sais pas si la Cour l'en a interdit : De toute façon, un couteau de cuisine peut devenir une arme létale : C'est difficile d'interdire même la détention de couteaux de cuisine...

      Bien à vous !

      I-Cube

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  5. Sauf que buter quelqu'un avec un couteau de cuisine, il faut du cran! Pas nécessaire que ce soit un cran d'arrêt! Buter quelqu'un avec un fusil à trois mètres, c'est "facile" ... J'imagine dans quel état aurait été le gus s'il avait pris les bastos dans la tête! Il n'aurait plus eu de tête, tout simplement ...

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    1. Ce n'est pas une question de "facilité" ou non, mais de motivation !

      Bien "motivé", je vous massacre "facile" à coups de pieds et de poings, que vous soyez armé ou non pour vous défendre, d'ailleurs !
      Alors, entre planter un couteau dans le dos ou tirer au fusil à bout touchant, franchement, dans les deux cas il fait être pareillement motivé pour le faire.

      Essayez, vous m'en direz des nouvelles ... après coup, naturellement !

      Bien à vous !

      I-Cube

      PS : C'est d'ailleurs la "motivation" qui fait toute la différence entre un "accident" et un meurtre et c'est justement ce que juge les magistrats : un cas unique, des personnalités uniques, des circonstances elles-mêmes uniques, que j'en dis dans le texte de mon post !

      Un jour, si Dieu me prête vie, je vous écrirai un roman (jamais terminé jusque-là) sur ce thème-là : "L'affaire du juge Ferrayé", qui fait bien la distinction...
      J'y fais allusion à plusieurs reprises dans les précédents roman déjà en ligne et notamment "Au nom du Père".

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