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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 18 janvier 2017

À Paris-sur-plage, ils se foutent vraiment de votre gueule…


Et alors là, j’adore !

Vous les aviez voulus, vous les avez : Tant pis pour vous, les parigots.
« Sœur-Âne » et son doux parfum si envoutant assassine sa ville et ses habitants à petit feu en tuant les commerces qui font vivre sa ville et en rendant toujours plus difficile à la vie dans sa ville. Le chaland est prié d’aller voir ailleurs et de loin en loin, les habitants n’ont plus d’autres choix que d’aller gagner leur maigre pitance (de ces temps de crises) plus loin.

Résumons : Le foncier est rare, donc cher. Ça permet d’encaisser toujours plus de recettes locales sur les mutations qui s’opèrent avec des acheteurs qui ont forcément toujours plus de « moyens ».
Du coup, les « primo accédant » n’ont plus accès qu’à des surfaces plus petites ou aux offices d’HLM, ILM, investisseurs institutionnels et se cassent en banlieue quitte à revenir la nuit brûler des voitures les jours de fête.
Le « petit-propriétaire » qui était là avant l’arrivée de « la clique à De-la-nuée », de toute façon voit ses loyers bloqués, ses charges et taxes locales augmenter et être « imposé » bientôt soit à un « permis de location » soit à une surtaxe…
J’adore !

Et quand il vient de loin, de sa campagne ou de son lieu de vie en province visiter son bien avec ses valises pour en user, il va lui falloir acheter une voiture neuve et payer un racket au stationnement dédoublé, voire triplé…
C’est qu’une mairie-soce, ça a besoin de plein de pognon… des autres !
Alors, pour ce qui est de racketter le citoyen qui se hasarde sur le territoire, elle s’y entend.
Je vous le dis : J’adore !

Ainsi, les amendes pour le non-paiement des parcmètres à Paris, vont être doublées ou triplées selon les zones à partir du 1er janvier 2018, en même temps que les contrôles seront renforcés : 50 euros pour les arrondissements allant du Ier au XIème, 35 euros du XIIème au XXème, contre une amende actuelle de 17 euros : Ce sont les montants du futur « forfait post-stationnement » selon la dénomination officielle de cette amende, qui seront proposés à la fin du mois au vote du Conseil de Paris.
La « loi Maptam » municipalise en effet à partir du 1er janvier 2018 la gestion du stationnement, donnant aux communes le pouvoir de fixer l’amende pour non-paiement. 

C’est que la « fraude » est estimée à 90 % sur les quelque 150.000 places de parcmètres soit un manque à gagner estimé à quelque 300 millions d’euros par an ou 2.200 €/an l’emplacement…Un vraie rente foncière, de biens qui appartiennent à tous, mais celle-là est « soce », donc bienvenue.
Et plus ce sera cher, plus il y aura naturellement de fraude… passons !
Mais ce n’est pas tout !
300 millions, c’est « soit le coût du fonctionnement des crèches ou le coût des dépenses de sécurité », a indiqué « Chrichri-Nage-dove-ski », l’adjoint « écololo-bobo » aux transports de « Sœur-Âne ».
Et il sait de quoi il cause, puisqu’il a été adjoint à la petite-enfance du temps de « De-la-Nuée » où je le croisais encore à l’Hôtel de Ville pour mes « petites-crèches-associatives » : Fortiche avec les maths ce gars-là, puisqu’il y avait seulement 31.900 places de crèche en 2013, dont les trois-quarts « municipales » et que ça remettrait à 9.400 euros/an la place tout confondu, soit 2 fois plus que ce recevaient les miennes, et même 4 fois plus que celles de province !
Hein ? Pas mal le « fier à bras » de la bonne gestion « soce-parigote », là…
Un chiffre que je n’ai jamais pu lui faire « cracher » : Il ne sait pas compter pour être fâché avec le chiffre et faire quand même prof’ « d’économie-administrative » dans un bahut pourri de banlieue !
C’est que, pas totalement konne, l’académie de Paris-sur-plage n’en veut pas dans ses rangs.

Et le tartuffe-trisomique en rajoute tel qu’il en affirme que « c’est une mesure antifraude, pas anti-voiture », le paiement du stationnement « ne change pas pour ceux qui respectent les règles, c’est pour les fraudeurs que cela change ».
Il doit stationner son vélo à l’arrache sur les trottoirs (ou avoir un chauffeur de fonction avec voiture municipale) pour ne pas savoir que les tarifs des horodateurs ont triplé depuis la nouvelle mandature…
Ou alors il est précocement atteint de la maladie d’Elsheimer et ne se souvient plus de rien.
D’autant que les grilles de stationnement vont encore être modifiées : Les tarifs resteront de quatre euros l’heure pour deux heures pour la zone I (2,40 euros pour la zone II), le maximum de temps de stationnement autorisé aujourd’hui (pour rappel, je payais 2,50 francs par jour, avant… « Mais ça, c’était avant »,comme dirait l’autre).
Il sera en revanche enfin possible de rester garé jusqu’à sept heures d’affilée, avec des tarifs horaires hélas croissants : 8 euros pour la 3ème heure puis 10, 12 et 14 euros les heures suivantes (zone I) ; 4,80 euros puis 7,20, 8,60 et 9,60 euros  en zone II.
« L'objectif n'est pas de faire payer des amendes mais de faire respecter le stationnement » dont on rappelle que le service va être privatisé.

Et puis alors le summum de la mauvaise-foi est atteint avec cette déclaration invraisemblable : « Une meilleure rotation aidera notamment les professionnels à se garer et ceux qui veulent stationner longtemps sont ainsi incités à aller dans les parkings en sous-sols » !
Mais si : Lui aussi ose tout…
Car comme chacun le sait depuis l’arrivée des « soces », aucun parking souterrain nouveau, public ET privé, n’a été autorisé.
Même qu’il a fallu revoir tous les permis de construire délivrés par le « Cousin-Jean » (Tiberi) qui exigeait un emplacement par appartement nouvellement construit…

Et depuis, la voie publique est encombrée d’innombrables aires de déchargement qui ne servent que quelques heures par semaine, a été réquisitionnée pour les Vélibs’ et désormais les « autolib’ » qui coûtent un maximum à leurs deux opérateurs privés, tels que plus personne n’en veut dans les communes voisines appelées à combler les abyssales pertes financières de ces « machins »…
Franchement, c’est-y pas extraordinaire que ce verbiage-là ?
Moi j’adore, si, si !
Digne d’un autiste-patenté…

Par ailleurs, depuis les deux pics de pollution successifs de décembre, chacun aura pu constater que les restrictions de circulation n’ont guère eu d’effet notable sur la qualité de l’air, au grand dam de l’équipage en perdition de « Sœur-Âne ».
En urgence, elle s’apprête donc à basculer dans le nouveau système de vignettes de couleur pour trier les voitures comme les motos en fonction de leur âge et leur degré de pollution présumée.
En effet,  la circulation alternée n’a guère donné de résultats probants, en raison de la « mauvaise volonté » des automobilistes, qui en majorité n’auraient pas « joué le jeu ».
« Il y a eu un problème d’application de la circulation alternée et d’absence de contrôle, préjudiciable à l’opération ».
La faute aux terroristes islamistes puisque le « Plan Vigipirate renforcé » pendant les fêtes mobilisait les forces de l’ordre, que de nombreux déplacements en véhicule pour les achats de fin d’année ont eu lieu malgré tout, que les dérogations de toutes sortes ont plu, que les incidents techniques en série sur le RER ont obligé les banlieusards à se déplacer en voiture, que les départs en vacances ont contrarié le « civisme écologique » naturel des franciliens pourtant toujours prompts à voter « Gôche-écololo-bobo » ! 

« L’implication de la Préfecture de police n’a pas été à la hauteur de ce qu’on attendait » d’elle : Pas ma faute si le préfet n’est pas à la hauteur…
L’adjoint au transport (et à la sécurité des voies publiques) est impatient de basculer dans le nouveau système. Au mieux, concède-t-il, ces journées auront représenté sur les émissions des véhicules « un moyen de ne pas ajouter de la pollution à la pollution », sachant que les concentrations de polluants, elles, couvrent des zones infiniment plus vastes que les 10.500 hectares du territoire parisien intra-muros, n’étaient pas liées aux seules véhiculent des parigots obligés de se tamponner des embouteillages monstres, mais aussi et surtout le fait des industries polluantes des pays du nord et du trafic des camions bien obligés de livrer leurs marchandises aux parigots affamés…

Le préfet de police de Paris a une toute autre approche : « Près de 3.000 verbalisations pour non-respect de la circulation alternée ont été dressées et seuls 7 à 10 % des véhicules n'auraient pas respecté la mesure ».
Et puis c’est toujours du fric en plus pour le budget général.
Et il s’est vivement félicité d’« une baisse du trafic automobile de 5 à 10 % ».
Disons que comme le réseau était saturé, il valait encore mieux ne pas l’emprunter…

« Oui, Paris est une ville dans laquelle je souhaite diviser par deux le nombre des voitures polluantes et on va actionner tous les leviers », a lancé « sœur-Âne » lors de ses vœux à la presse.
Je rappelle que toutes les voitures polluent, sauf les électriques-intégrales qui ne font que soulever la poussière.
Il faut dire qu’elle reste … « déstabilisée » depuis des mois face à une levée de boucliers en Île-de-France après avoir piétonnisé les voies sur berges rive droite, au centre de la capitale au seul bénéfice de quelques « marcheurs-pédestres » locaux.
Parce qu’au-dessus, les moteurs tournant au ralenti pendant des heures les auraient étouffé : C’est en ne roulant pas qu’une voiture, un camion, un car ou un autobus pollue le plus !
« Le premier défi à relever était l’urgence écologique. Nous sommes juste avant le déluge, juste avant, à un moment où l’on peut encore agir. »
Apocalyptique…
Vite, fuyez tant qu’il est encore temps !

« Ça tombe bien, nous avons été élus pour agir et agir vite » pour lutter contre la pollution de l’air « qui fait 40.000 morts par an à cause des dégâts des particules fines dans les poumons, le cœur et le cerveau », a-t-elle précisé.
LOL !
Encore une qui sait compter : En 55 ans, à ce rythme-là, tous les parigots auront trépassé !
Et comme ça a commencé avec « De-la-Nuée », en 2001, il n’y en a plus que pour 39 ans… C’est kon tout ce fric dépensé pour les « tout-petiots » qui auront déménagé ou trépassé avant de grandir !
Elle pourra toujours se faire élire par elle-même et jouir toute seule dans une ville devenue déserte et inaccessible…
Inhabitable en somme, son objectif-recherché.

Dès lundi la capitale est ainsi devenue une « zone à circulation restreinte » pour tous les véhicules, qui devront porter la vignette Crit’Air qui les identifie, par numéro et couleur, selon leurs émissions. Ne pourront rouler que les véhicules les moins polluants en modulant les couleurs de vignettes en fonction des taux de pollution.
La Fédération Gauloisienne des automobilistes citoyens (FFAC) a d’ailleurs appelé le dimanche précédent à une manifestation pour dénoncer le « trop peu d’effets » contre la pollution d’une mesure qui « pénalise les plus modestes ».
Bé oui, j’en suis, puisque à moins de 5.100 €/mois, on n’a plus rien en dit encore un autre ! 
Imaginez un peu que je ne sois pas autorisé à voter au consulat de Venise en avril prochain, si je veux faire l’aller-retour dans le week-end pour virer tous les « soces », j’aurai tendance à prendre ma nouvelle Lamborghini (celle pour frimer dans les rues de Monaco), mais je ne pourrai même pas arriver jusqu’à mon ancien bureau de vote parigot : Pastille noire !
Si j’use de ma vieille « Simca-1000-Pigeot » diesel stationnée à Mestre (celle de tous les jours), idem : Pastille noire !
Le train, en « Ritalie », c’est encore un truc à ramener des « puces de lit » et à arriver après la fermeture des bureaux de vote : Exclu !
L’avion, c’est une affaire de « riches-jet-setter » que je suis trop pôvre (et sans dents) pour financer…
Voyez donc mon dilemme !

Et le pire, c’est que dans son « autisme-trisomique », elle ne voit rien et en rajoute : Pour « reconquérir de la place sur les voitures », un « grand parc » sera aussi ouvert au printemps le long de la Seine, sur la rive droite comme sur la rive gauche déjà piétonne.
Elle a même rappelé ses annonces « très symboliques » faites la semaine dépassée que sont les ouvertures d’ici à la fin de l’année de pistes cyclables sur les Champs-Élysées et la rue de Rivoli : La place du Carrousel qui jouxte la pyramide du musée du Louvre deviendra également piétonne, sauf pour les bus et les taxis, comme certains secteurs des 3ème et 4ème arrondissements, sous ses fenêtres.
Sur la place de la Nation et la place des Fêtes, les automobilistes devront apprendre à rouler dans moins d’espace, déjà que c’est « bordéleux » place de la République.
Enfin, dès septembre 2018, un tram-bus électrique circulera dans les deux sens sur les quais hauts de la Seine-rive-droâte, remplaçant le bus de la ligne 72 entre l’hôtel de ville et le parc de Saint-Cloud…
Merveille de coût supplémentaire : J’adore, je ne paye plus ! 

Circulant en site propre, cette nouvelle ligne de bus va encore réduire de l’équivalent de deux files de circulation dévolues à la circulation automobile sur un axe déjà très embouteillé, surtout depuis la fermeture des quais.
Il faut que je demande à « ma nichée » d’aller faire un tour du côté du Chatelet et de l’Île-de-la-cité, vérifier que les commerces d’herbes-&-plantes existent toujours sur les quais-hauts et au « marché aux fleurs ».
Alors que c’était sa promenade favorite en vue de l’acquisition d’une « pépète-à-poils » dans ses jeunes-années, ça m’étonnerait qu’il y en ait encore qui survivent…
D’ailleurs, est-ce que « La Samar » voisine ouvrira bien en 2018, si tout le quartier devient totalement inaccessible au chaland ?  

L’annonce du nouveau joujou-électrique-nucléaire a d’ailleurs suscité de vives interrogations au Stif (le syndicat des transports d'Île-de-France), dirigé  pas la présidente LR de la région Île-de-France qui s’est étranglée, elle-même déjà à la pointe pour dénoncer la piétonnisation des berges de Seine : C’est que le projet ne cadre pas avec un plan-bus déjà élaboré avec la Ville de Paris, et le matériel coûtera plus cher sans en avoir les financements.
« On part d’un tracé existant », a répliqué « Sœur-Âne », « mais quelque chose imaginé avec des outils d'il y a quelques années peut être revu », en affirme-t-elle.
D’ailleurs, quant aux transports propres, il y aura de nouvelles expérimentations avec le pognon des impôts-locaux : Des navettes automatiques sans chauffeur et électriques entre la gare d’Austerlitz et la gare de Lyon, ou encore avant le parc floral, ainsi que des « Sea Bubbles » sur la Seine.
De plus, une dizaine de ces taxis fluviaux électriques devraient être testés en juin prochain.

Je ne te vous dis pas ce que c’est que d’avoir plein de pognon – des z’autres » – à dépenser pour les rendre malheureux tous les jours un peu plus sans leur demander leur avis, puisque c’est pour leur bien.
Même si certains en disent déjà qu’il n’y en a déjà plus assez dans les caisses…

Finalement, je ne regrette qu’une chose, c’est que « Sœur-Âne » ne se présente pas aux présidentielles (mais ça va venir, ne vous en faites pas).
Là, d’abord je serai « remonté » lui coller ses affiches pour la faire élire, mais en plus, vous auriez pu tous goûter du bonheur des « parigots-sur-la-plage » (qui partagent volontiers) !
C’est simple, j’en suis tellement heureux que j’ai dégagé…
Et ne le regrette toujours pas.

Parce qu’il aurait été quand même moins taré de faire comme partout ailleurs : Puisqu’elle veut diviser par deux le nombre voitures dans la ville, il lui suffirait de juguler, comme vous le voulez, les accès à la ville, toutes les villes s’il le fallait, dès lors que ça ne touche pas ceux qui payent pour y habiter.
Ça ne l’aurait rendue que plus qu’attractive et sympathique.

4 commentaires:

  1. Vive Anne Hidalgo! Sus aux bagnoleux et aux bagnoleuses!

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    1. Vous, je vous assure que si je survis jusque-là, je vous l'envoie à l'Elysée si elle est candidate en 2022 : Vous verrez qu'avec la grosse-tête qu'elle prend, vous changerez d'avis.

      De toute façon, vous êtes un habitué, si je ne me trompe ?

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. En effet! Je suis DEVENU opportuniste! Là, par exemple, je suis obnubilé par l'idée de voir s'effondrer TOUS les candidats "socialistes" ou pseudo-socialistes ... Peu m'importe qui sera élu, en définitive! L'important, c'est l'écrasement, la destruction organique du P.S.

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    1. Euh...
      "Sœur-Âne" est "soce", si je me souviens bien...
      Si son parti est écrasé, elle n'a ^plus aucune chance d'être "dégagée"...

      Il s'agirait d'être cohérent, Monsieur "mon conseiller".

      Bien à vous !

      I-Cube

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